Ce récit raconte ma première-fois avec ma belle-sœur. Entres caresses et préliminaires, ce qui devait arriver arriva... Si ce récit vous plaît je posterai la suite.
Proposée le 13/11/2020 par LotusDown
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Histoire vraie
Ceci est ma première histoire, soyez indulgents :)
J'avais 16 ans. Je vivais avec ma mère, son nouveau copain et ses enfants depuis 1 an. Trois enfants donc. Un garçon et deux filles : Lola et Lucie, la plus jolie.
J'étais quelqu'un d'assez solitaire, et je ne les connaissais pas encore très bien.
Un dimanche après-midi, alors que nous regardions tous ensemble un film sur la grande télé du salon, j'étais pour la première fois allongé sur le canapé à côté de Lucie, nos deux corps étaient collés -le canapé n'étais pas très grand- et cachés sous la couverture.
Au rythme de la musique du film, Lucie faisait bouger son pied contre le mien. Amusé, je fis de même. Cela ne la gênait pas. Peau contre peau un peu malgré nous, je tentais de glisser ma jambe entre les siennes. Elle se laissa faire. La frontière entre camaraderie et sensualité s'estompait.
Nous nous rapprochions l'un l'autre, lentement pour ne pas éveiller les soupçons car nos parents étaient juste à côté. Toujours sous la couverture, je mis ma main sur son ventre dénudé en la caressant. À ma grande surprise, elle prit ma main et la fit glisser sous sa culotte jusqu'à ses lèvres. Je n'y avais pas vraiment prêté attention mais je bandais maintenant très fort.
Je savais ce que je devais faire. Je commençais à faire des aller-retours sur son clitoris et sur sa chatte de plus en plus humide. C'était la première fois que je faisais ça. Elle respirait de plus en plus fort alors pour ne pas que son père se doute de quoi que ce soit, je retirais discrètement ma main.
J'étais un peu frustré et elle aussi. Le film était terminé et tout le monde repartit dans sa chambre à ses occupations, sauf Lucie qui se dirigeait innocemment vers la douche.
Elle me jeta un regard avant d'entrer dans la pièce : il fallait que je la rejoigne.
Une fois entré, je refermais la porte derrière moi et après un long regard, nous nous embrassons. Ses lèvres pulpeuses m'excitaient beaucoup, j'en voulais plus et elle le savait. Elle se mit à genoux, déboutonna mon pantalon et prit ma queue en bouche. Ma première pipe. J'adorais ça et je mis ma main derrière sa tête pour qu'elle continue plus fort, plus profondément. J'ignorais si elle avait déjà fait ça mais elle l'avalait entièrement, ce qui était d'autant plus surprenant que j'étais très bien équipé. J'allais bientôt finir et je ne voulais pas jouir dans sa bouche, je ne voulais pas lui imposer ça. Je lui dis à voix basse “je vais..” elle hocha la tête avec un air malicieux et ne recracha pas ma queue. Je jouis en elle. Je sentais les longs jets de sperme dans sa bouche, c'était de loin la meilleure sensation que j'ai jamais eue. Pensant qu'elle allait recracher mon sperme dans le lavabo, elle n'en fit rien et avala tout d'une traite. Je l'aidais à se relever et nous échangions un regard complice. J'étais loin de m'imaginer ce qui allait arriver en commençant ce film putain ! À peine sortis que ma mère nous appelait pour mettre la table. Le repas se passa comme d'habitude, animé par des discussions peu intéressantes mais qui faisaient passer le temps.
Personne ne se doutait de ce qu'il venait de se passer à l'étage, et ça me faisait sourire.
Après avoir débarrassé la table, chacun regagna sa chambre à l'étage. Une fois entré dans la mienne qui est un peu plus loin que les autres, j'allumais mon téléphone et vis que Lucie m'avait envoyé un message.
- “22h ?”
je répondis aussitôt.
- “22h”
J'avais pas de capotes. Putain. Vous vous en doutez, on n'allait pas jouer au Monopoly. J'avais 40 minutes devant moi, "tous les commerces étaient fermés à cette heure” pensais-je. Je finis par me dire que si on remettait ce qu'il s'était passé tout-à-l'heure, ça ne serait pas si horrible que ça. À 22h pile, Lucie entra dans ma chambre habillée d'un t-shirt qui tombait en dessous de ses fesses: impossible pour moi de savoir ce qu'elle avait en dessous. Pas de bisous cette fois-ci, elle ne perdit pas de temps et enleva son t-shirt dévoilant ainsi ses seins plutôt énormes. Je fis de même en enlevant mon t-shirt. Elle s'allongea sur mon lit et je me mis par-dessus elle. Je lui dit “ce soir j'ai pas de capotes mais..”. À mon tour de m'occuper d'elle. Je léchais tendrement ses seins, puis son ventre jusqu'à sa culotte blanche que je fis glisser laissant apparaître sa chatte toute lisse. Je plongeais dedans. À chaque coup de langue, elle laissait échapper un long gémissement. Elle mouillait mais ça ne me dérangeait pas. J'avais une érection monumentale mais ça n'était pas encore mon tour. Je léchait vigoureusement son clito jusqu'à ce qu'elle se cambre et qu'elle laisse échapper un petit cri : je l'avais fait jouir. J'étais plutôt fier de moi mais mon érection en devenait presque douloureuse. Alors une fois remise de ses émotions, elle se tourna et prit ma queue en main. Dans la main d'une autre, c'était tout autre chose. J'adorais ça mais j'avais un peu peur de finir trop vite. Maintenant qu'elle s'était tournée, j'avais à nouveau sa chatte face à moi. Nous entamions alors un 69 et il était désormais beaucoup plus difficile pour moi de me concentrer sur mon cunni. Comme elle l'avait fait tout à l'heure, Lucie entamait une savoureuse gorge profonde. Je donnais des coups de reins de plus en plus fort pour accompagner sa fellation. Elle gémissait de plus en plus et j'étais presque en train de baiser sa tête tellement mes coups de reins étaient violents. Je jouis peu avant elle.
Elle avait à nouveau gardé mon sexe en bouche m'offrant un orgasme extraordinaire. Elle avalait mes longs jets de semence et je continuais mon cunni, qu'elle avait l'air d'apprécier d'après ses gémissements. Ne voulant pas éveiller les soupçons. Elle se rhabilla rapidement, me lança “à demain” et repartit dans sa chambre. Elle venait de m'offrir un moment extraordinaire et venait de repartir comme si de rien n'étais. Sans doute avait-elle peur de se faire prendre. Je m'endormis l'esprit léger.
Le lendemain matin, j'avais le sentiment que nos aventures n'allaient pas s'arrêter là. Je sortis faire mon sport habituel et fis un détour pour aller acheter ce qu'il m'avait manqué la veille. La journée fut terriblement longue et la tension sexuelle entre Lucie et moi était à son maximum.
Après le dîner, nous devions tous partir au cinéma, mais Lucie et moi avons prétexté à la dernière minute un mal de ventre: elle voulait continuer ce qu'on avait commencé autant que moi. Dès qu'ils furent partis, elle me dit qu'elle m'attendait dans sa chambre dans 10 minutes. Elle ne perdait pas de temps ! Mais ça me plaisait. Beaucoup même.
J'étais excité et un peu stressé à l'idée de me faire dépuceler dans 10 minutes. À moins qu'elle ne veuille cette fois-ci vraiment jouer au Monopoly.
Les 10 minutes passèrent et je me présentais devant sa chambre. Elle m’accueillit avec une lingerie en dentelle rouge, cette fois-ci. Elle était magnifique. Lucie était une petite brune, mince et très bien formée. Ce genre de fille très jolie qui avait ce genre de voix douce que l'on aimerait écouter pendant des heures. Je savais maintenant que sa lingerie cachait des seins énormes mais je n'avais pas encore eu l'occasion de bien voir son cul. J'entre dans la pièce, l'embrasse un moment, la prend par les fesses pour la coller contre moi et la jette sauvagement sur le lit. Je me déshabille et mets rapidement ma capote. Elle était superbe là, allongée, presque nue. Elle dégrafe son soutif dévoilant ainsi sa superbe poitrine. Puis sa culotte qu'elle laisse glisser jusqu'à ses pieds. Elle baisse les yeux et jette un œil à mon sexe bien en érection, ce qui la fait sourire. Je me rapproche, toujours debout, elle lève les jambes m'offrant une vue imprenable sur sa chatte et je m'insère en elle. C'était une sensation nouvelle et incroyable. La position dans laquelle j'étais me permettait de marteler son cul à chaque va et vient ce qui avait pour effet de m'exciter encore plus. Mes coups de reins étaient de plus en plus puissants et ses gémissements de plus en plus intenses. Elle pouvait crier comme elle voulait, nous avions la maison pour nous deux. Elle se mit à caresser son clito en même temps que je la baisais. Elle m'excitait incroyablement mais à ma grande surprise je tenais assez longtemps. Comme je n'avais pas encore vu son cul, je la retournais et la tirais vers moi de sorte que nous étions maintenant en levrette. Son cul m'excitait plus que tout et je ne tint pas longtemps. Comme elle n'avait pas jouis, je finis par m'occuper d'elle avec un cunni des plus vigoureux. Après une heure de bavardages, de caresses et de bisous, nous nous endormîmes dans le même lit sans même nous soucier du retour des parents.
Fin.
Dites moi ce que vous en avez pensé :)
Si cette petite histoire vous plaît, je posterai peut-être la suite de ce qu'il s'est passé.
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Superbe histoire d'amour mais je veux en savoir plus (par exemple vous aviez quel âge pour faire ??????????????)
Posté le 8/01/2023
Zebulon_Michel
Un joli dépucelage pour ce jeune homme :-).
Posté le 27/07/2021
Enez
Bonne petite coquine qu'on aurait eu envie de baiser avec toi
Posté le 15/11/2020
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