Couples hors normes 2 (histoire vraie)

Manon saisit la verge de Ludovic et commence à faire une masturbation qui laisse l'homme sans voix. La main agile décalotte à chaque descente le gland large et épais, L'homme d'un certain âge commence à geindre de plaisir.

Proposée le 14/06/2023 par valeriane

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

La main habile de Manon glisse lentement dans le pyjama de Ludovic, passe sur le ventre et sans brusquerie, elle s'empare de ma verge encore molle de son papy comme elle l'appelle. Ludovic reste tétanisé, il se demande ce qu'il lui arrive, les petites pressions que fait Manon sur sa verge commence à porter ses fruits, progressivement le membre le raidit dans la main douce de Manon. Ludovic pose sa main sur celle de Manon, et en la serrant doucement, dit :

-Manon, que fais-tu !

Sans répondre, la coquine, se blottit encore plus contre lui sans lâcher la verge qui se tend de plus en plus. Elle tente de pratiquer une masturbation, mais le pyjama, trop encombrant, gêne les mouvements. Manon, un peu déçue, sort sa main du pyjama, repousse les draps et s'agenouille près de Ludovic, elle lui saisit le haut du pyjama et commence à le descendre. Ludovic reste sans voix, petit à petit en descendant sur ses hanches, le pyjama découvre la verge qui se dresse d'un coup sec, libérée de son carcan, elle oscille un instant avant de se stabiliser sur le bas ventre velu de Ludovic. Manon regarde l'engin, ses yeux brillent, elle le saisit, elle sent le sang battre dans les grosses veines apparentes, elle reprend ce qu'elle avait interrompue, la masturbation de la verge pleine de vie

Le branlage est doux, Ludovic serre les dents, il ne sait que faire. Malgré son jeune âge, Manon sait manier l'engin de chair. À chaque descente de son poignet, elle decalotte le gland large et épais. L'homme d'un certain âge commence à geindre de plaisir, il serre les dents pour ne pas réagir négativement, il ne veut pas faire de mal à Manon, qu'il considére depuis de nombreuses années comme sa fille. Malgré qu'il est mal à l'aise, Ludovic savoure le branlage bien dosé que Manon lui fait. Ses gémissements deviennent plus bruyants, il pousse un râle qu'il ne peut contrôler. Manon vient de lui gober le gland et le tète du mieux qu'elle peut, sa langue tourne sur le champignon de bonne taille, titille le frein à chaque passage sur lui. Le méat ouvert laisse échapper quelques perles de rosées, que Manon, lape avec quelques coups de langue bien ajustée.

Elle reprend en bouche le gland marbré, elle le suce à s'en déboîter les mâchoires. Ludovic pose sa main sur ses longs cheveux et y enfonce ses doigts en geignant comme une bête blessée. C'en est trop pour le brave homme. Il commence à agiter son bassin de plus en plus rapidement. Il ne se contrôle plus, il ne peut retenir les deux ou trois giclées qu'il envoie dans la bouche de Manon. Qui rapidement recrache la verge, car elle manque d'étouffer, ses yeux s'emplissent de larmes, elle déglutit péniblement l'abondante décharge, en regardant l'homme qu'elle appelle son papy.

Enfin, Ludovic lui demande :

-Mais ma chérie, pourquoi que tu fais ça ?

Manon avance son visage du sien et répond :

-Parce que j'ai envie de faire l'amour avec toi, depuis très longtemps, et je m'y suis risquée seulement aujourd'hui, car avant le courage me manquait, ou pour faire plus simple, je t'aime !

Ludovic ne trouve pas les mots, pour répliquer, il pousse uniquement un gros soupir. Manon fronce les sourcils et demande :


-tu n'aimes pas ce que je te fais !

Ludovic répond entre deux respirations :

-Ce n'est pas ça m'a chérie, mais je peut être ton papa et cela me gêne terriblement !

Elle pose ses lèvres sur les siennes et l'embrasse fougueusement, un peu réticent, surtout très gêné, Ludovic lui rend quand même son baiser. Il decouvre que l'amour platonique, qu'il portait jusqu'à présent à Manon, change d'un coup et se transforme en un amour plus fort que platonique. Il lui avoue :

-Je ne suis bien ma chérie que lorsque tu es là !

Manon, émue par cet aveu, l'embrasse à nouveau. Le baiser qu'ils échangent est un vrai baiser d'amour. Une fois les lèvres séparées, Ludovic remonte doucement ma nuisette de Manon, elle agite son corps pour faciliter l'enlèvement du vêtement de nuit. Ludovic et émerveillé par la sculpture parfaite du corps de Manon. Il la couche avec douceur sur le lit et commence à lui caresser le corps, les mains pas très rassurées de Ludovic, sur sa peau, la font frissonner. Avec tact, il lui caresse les lobes mammaires, lui agace les mamelons qui rapidement changent de volume. Enfin, il pose sa bouche sur les mats de chair qui se dressent fièrement au centre des aréoles brunes. Il suce, tète comme le fait un bébé pour s'alimenter.

Les gémissements de Manon ne sont pas simulés, son corps se met à trembler, la bouche de son amant sur ses bouts tendus, la fait délirer. Elle dit de nombreuses fois :

-Prends-moi mon amour, prends-moi, je suis à toi corps et âme, oh comme je te veux !

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