Dans un train TER, j'avais rencontré une femme qui m'avait laissé sa carte de visite. Depuis nous nous vîmes environ cinq mois. Usant de ses atouts naturels et de lingerie, elle essayait de me surprendre à chaque fois. Et un jour, je mangeai sa culotte. (Au sens propre : comme on mange de la viande, des légumes, etc.)
Proposée le 19/10/2020 par Antigonos
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Je ne la revis ni le samedi suivant, comme prévu, ni le samedi après car elle avait attrapé une de ces horribles maladies en « ite » (pharyngite, ou un truc comme ça).
Mais ensuite nous nous vîmes régulièrement. Et souvent, nous passions le week-end chez elle. Elle était constamment en porte-jarretelles, et achetait des préservatifs Tutti Frutti. Ce qui donnait à son sexe épilé, un doux goût de fraise ou de vanille.
Elle avait fini par m’offrir son anus. Et un jour, elle me fit une étrange surprise…
Elle m’ouvrit la porte, j’entrevoyais un généreux décolleté, et nous nous embrassâmes. Elle avait une bouche si pulpeuse que ses baisers en devenaient aphrodisiaques.
Puis, elle mit le café en route, et vint s’asseoir entre mes cuisses. Je la voyais donc de derrière et entrevoyait son sourire qui m’avait déjà conquis.
Je passais mes mains devant et évaluais ses seins à travers les vêtements…
Puis je contournais la jupe pour remonter jusqu’à la chair entre le bas et le porte-jarretelles. Toujours en continuant mon exploration, j’arrivais à la culotte. Un tissu étrange, presque spongieux, m’interdisait l’accès direct à sa fente. Mais il était si tendu, qu’on pouvait deviner aisément les contours de celle-ci.
Curieusement, il émanait d’elle un parfum lourd et gras qui ne lui correspondait pas.
J’entrepris de lui ôter le haut. J’enlevai également ma chemise. A nouveau, j’étais en contact avec sa peau de bébé. Je l’embrassais sur le cou et partout où me le permettait la position.
Finalement, elle se déroba. Le café était prêt… Elle me demanda de me déshabiller complètement et vint se rasseoir sur mes genoux…
Cette fois, le contact avec l’étrange tissu était direct. C’était de lui qu’émanait cette odeur lourde. Je me demandais même s’il ne fondait pas sur mon bas-ventre et sur ma verge…
Malicieusement, elle se tortilla pour provoquer une érection, et me demanda :
« Tu aimes les fruits de la passion ? »
A l’époque, et peut-être encore aujourd’hui, je ne prisais pas ces fruits. Certaines boissons à base d’oranges ou de pêches étaient trop traitées. Pour en connaître le fruit original, il fallait lire l’emballage. Et il en était de même des fruits de la passion…
Mais peut-on répondre par la négative à une femme comme celle-ci ?
« Assez, répondis-je.
- Parfait, tu vas pouvoir manger ma culotte. »
Elle se débarrassa de ses vêtements et m’apparut dans un porte-jarretelles, le sexe caché par cette mystérieuse culotte. Celle-ci laissait apparaître la fente que je me mis à léchouiller. Elle commença par de petits gémissements et finit par jouir…
Maudite culotte aux fruits de la passion. Elle me privait du plus doux des nectars. Mais le tissu cédait. Entre mes coups de langue et les sucs de la femme, il se fracturait… Pas assez à mon goût !
Et le côté pile n’avait pas été du tout entamé…
A nouveau, je l’embrassais… Puis elle me dit en souriant :
« Faudra que tu manges toute la culotte. »
Elle reprit sa position assise et se mit entre mes jambes… Elle pouvait sentir mon émotion se matérialiser sur ses fesses. Il me semblait qu’elle se collait à la culotte rendue gluante par la chaleur de nos corps. Ses seins et son dos donnaient à cet instant une sorte de béatitude. De temps en temps, j’arrachais un morceau de tissu à l’avant pour le dévorer. Je savais que mes léchouilles ne suffiraient pas à venir à bout de ce tissu-bonbon.
Et lorsqu’il ne fut que haillons, je passais une main de propriétaire sur le sexe totalement rasé.
J’introduisis un doigt, puis deux, et commençais à préparer un clafouti aux fruits de la passion, clafouti accompagné de premiers gémissements…
Mais la Belle Inconnue, ne l’entendait pas ainsi. Totalement lubrifiée, elle sortit un préservatif, y emprisonna mon sexe, s’y empala, me chevaucha. Le tout, sur la chaise de la cuisine. Elle était maintenant face à moi, et je voyais l’escalade de son plaisir. J’entendais ses halètements, blottie tout contre moi. Je pouvais téter ses seins et passer ma main sur son dos à la peau si douce.
Elle ne mit pas longtemps à venir… Et moi, je se soulageais pour la première fois aujourd’hui.
Sa culotte était maintenant complètement en lambeaux à l’avant. Mais elle collait encore à ses fesses et à son anus. Comme elle se doutait que j’avais des vues sur sa partie charnelle, elle se mit debout devant la fenêtre. Et je lui titillais l’étroite porte de ma langue…
Ces vêtements en pâte de fruits n’étaient pas faits pour durer. Déchirée à l’avant, mes succions commençaient à éclaircir la culotte, jusqu’à la transpercer… N’épousant pas la raie fessière, elle avait cédé sous la pression et sous mes coups de langue, au niveau de l’anus.
Cependant, je voulais encore l’entendre gémir et je m’acharnais donc sur le muscle étoilé. Le tissu céda du terrain et commença à mettre à jour, la raie fessière et les petites lèvres…
Au début, elle m’interdisait, ou plutôt différait, ce plaisir bien légitime. Mais depuis la quatrième ou cinquième rencontre, elle acceptait de se faire sodomiser. Aujourd’hui, tout en prenait le chemin.
Je continuais donc à lui titiller l’anus en dégageant les fesses de cette culotte aux fruits de la passion. Si bien que les derniers lambeaux tombèrent. Il restait bien quelques vestiges coincés entre les fesses, mais c’était à peu près tout…
A cet instant, ni l’un ni l’autre ne nous soucions des derniers cris de la Haute couture. Ni de la basse, d’ailleurs.
Ma position, outre qu’elle dominait l’anus me permettait aussi de surveiller avec les mains ou avec la langue, ses liqueurs vaginales, lui arrachant ainsi un bonheur indicible qui se manifestait par de petits cris.
Je ne venais pas sans préservatifs, mais ma tenue n’avait pas de poche. Elle décida de se rendre à la chambre et me fit asseoir sur le lit. Sa table de nuit était pleine de ces gadgets. Elle en sortit un, et me fit un pompier. Tout y allait, le méat, la langue, la salive, le pompage.
Finalement, elle en sortit un gel anal, et se badigeonna l’orifice le plus étroit…
Ma pine se présenta devant l’anus, le força, le pénétra, l’élargit, le défonça… Elle me le tendait bien et prenait appui sur ses deux bras qui reposaient sur le lit…
Après les premiers va-et-vient, elle se caressa le clitoris pour augmenter son plaisir. Elle n’émettait toujours que de petits gémissements furtifs… Mais il arrivait un stade où on devinait l’apothéose…
J’éjaculais… Elle jouit…
Puis allongés, elle posa son visage contre mon torse. Comme j’avais une main contre sa poitrine et qu’elle explorait ma pine vaincue, elle me dit en désignant le préservatif que j’avais oublié de retirer :
« Enlève-moi cet affreux chapeau de schtroumpf. »
Je m’exécutais aussitôt avant de répéter :
« Chapeau de schtroumpf ?
- C’est Isabelle Mergault qui a sorti ça aux Grosses Têtes.
- C’est bien son style, approuvais-je. »
Mais ceci ne m’empêchait pas de lui caresser les seins…
Elle était toujours en porte-jarretelles, ce vêtement magique qui sculptait les appâts de la femme. Parce qu’il exhibait les chairs les plus convoitées, il les rendait encore plus excitantes.
Pourtant, si suggestif qu’il fût devant, en faisant du sexe un portrait. L’arrière était un redoutable piège dans lequel on ne demandait qu’à tomber.
Mais pour le moment, j’en étais seulement à lui caresser les seins, et à récupérer ça et là, les vestiges fruités de sa culotte.
Finalement, nous eûmes à nouveau faim l’un de l’autre. Je commençais à caresser son sexe nu. Et l’idée d’y passer la langue me vint immédiatement. Elle s’allongea sur le dos et je pus voir à nouveau, sa fente entrebâillée. J’y lapais les lèvres et y enfonça un doigt avant de concentrer mes caresses buccales sur le petit bouton…
Elle gémissait de plus en plus fort, mais ce n’était pas ce que je voulais.
Je la fis asseoir à quatre pattes devant le miroir de son armoire. Ainsi j’avais vu sur ses fesses dodues que soulignaient les jarretelles qui tendaient les bas. La position me permettait également de guetter ce merveilleux sourire.
J’allais en vitesse à la table de nuit et cherchait un préservatif. Pendant que je me masturbais, j’utilisais l’autre main pour vérifier l’humidité de son intimité.
Puis je la pénétrais. Je lui tenais les hanches et l’observais dans le miroir. Au fur et à mesure de mes coups de boutoir, ses halètements augmentaient, et son visage s’animait. De temps en temps, je couronnais le tout d’un baiser, sur son cou, sur son épaule, sur sa bouche…
Mais au fur et à mesure, je ne voyais plus ni sa splendide mappemonde, ni le porte-jarretelles… D’autres idées me traversaient l’esprit…
Prudemment, tout en guettant ses réactions, j’avançais un doigt et le poussait dans son fondement…
« Vas-y ! Mets-la moi ! »
Je ne me fis pas prier. Grâce au miroir, je pus deviner si tout se passait bien. Je mis mon membre devant l’étroite pastille, je la forçai, la pénétrai. Après un premier gémissement proche de la douleur, elle recommença ses petits miaulements tout en se stimulant le clitoris…
Nous essayâmes de résister le plus longtemps possible, mais en vain. Nous jouîmes, je me retirai, je lui baisai les fesses. Et nous nous relevâmes pour nous embrasser.
Nous retournâmes à la cuisine manger quelques biscuits. Il restait du café chaud et elle me dit :
« Je vais devoir partir. »
Je pense qu’elle vit à ma réaction que cette perspective ne m’enchantait guère.
« Ce n’est pas facile pour une femme de vivre seule. Tous te traitent de salope. Quand ce ne sont pas les mères qui s’insurgent pour leurs gamins. »
Si je n’avais pas tant appréhendé ses idées, j’aurais plaint ces pauvres mères qui, se sentant hors d’usage, enviaient les plus jeunes.
« Et quand partiras-tu ?
- Dès que je le pourrai. Nous ne pourrons plus nous voir. Sinon tout recommencera…
« Tu te rappelles cette voisine qui disait : « Je vous laisse réviser vos maths. 1 + 1 = 69 » ?
« Au début, ça l’amusait car nous étions amies… Mais depuis, elle est avec elles.
- Mais tu n’as encore rien trouvé, n’est-ce pas ?
- Non. »
J’espérais qu’il en serait toujours ainsi, que ces maudits voisins finiraient par s’apercevoir qu’elle était géniale, et qu’elle n’aurait plus aucune raison de les quitter…
Les week-ends succédaient aux week-ends. Le dimanche était devenu un rite, nous nous réveillions vers les 5h00. J’étais souvent encore à moitié endormi lorsqu’elle me masturbait, ou qu’elle s’empalait. Pour plus de discrétion, ses pompiers se limitaient au gland.
Evidemment, ses premières caresses me sortaient de ma torpeur, mais j’aimais lui faire croire qu’elle me réveillait. Elle répondait à mes protestations avec son merveilleux sourire :
« Lui, il est déjà réveillé ! »
Ensuite nous mangions des croissants qu’elle avait achetés la veille. Et nous nous recouchions.
Comme elle fournissait tout : dîner, croissants, gadgets sexuels, je ne pouvais me permettre de me laisser entretenir. Je lui faisais livrer assez régulièrement des fleurs qu’elle retrouvait après une dure journée de travail, et je l’imaginais les ramasser devant sa porte avec son merveilleux sourire.
Et puis, plus rien, pendant des années…
Mais un jour le menu que proposait le restaurant d’entreprise n’était pas à mon goût. Je décidai de sortir pour manger un sandwich sur le banc de l’abribus. Une voiture klaxonna, mais elle était sur la file du milieu. Sur le coup, j’ignorai à qui s’adressait ce coup de klaxon. Mais quelqu’un avait crié par la fenêtre.
Elle passa de nouveau, mais sur la file de droite. Elle se gara sur l’espace réservé aux bus. C’était elle. Elle était blonde avec une ou deux rides, mais toujours le même sourire et le même parfum.
Elle avait trouvé un appartement dans un étage habité uniquement par des femmes célibataires.
Dès qu’un inconnu se pointait à l’étage, d’autres femmes apparaissaient prêtes à appeler la police. C’était donc très réconfortant de les savoir en sécurité.
Cerise sur le gâteau, ces appartements étaient à quinze minutes de marche de chez moi. Et tout recommença.
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