Les femmes ont toujours un parfum attitré qu'elles préfèrent. Inversement, celui-ci trahit des constances de leur caractère. Ayant travaillé avec beaucoup de femmes, j'en connais donc les principaux. Voici une histoire où l'attirance vers un de ces parfums me valut une furtive carte de visite, puis des moments inoubliables.
Proposée le 19/10/2020 par Antigonos
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Entre Nancy et Luxembourg, la cadence des trains est infernale aux heures de pointes. Beaucoup de Français vont travailler dans le Grand-Duché de Luxembourg. Les salaires y sont beaucoup plus élevés qu’en France. Les prix du tabac, des alcools et tout ce qui n’est pas nourriture sont beaucoup moins taxés que dans notre pays.
L’autoroute A32, A31 et ceux qui sont au Luxembourg sont tout aussi bondés. Donc, évitez les heures de pointes, le matin, si vous allez vers le Nord (Amsterdam, Bruxelles, etc.). Inversement, évitez celles du soir lorsque vous revenez des grandes villes belges, néerlandaises ou allemandes qui se situeraient au nord de cet axe.
Comme beaucoup de Français, j’achète le maximum au Luxembourg. Et le matin, même bondé, l’avantage est de ne pas avoir à attendre trop de temps pour rentrer dans un train vide sur le retour.
J’allais faire donc le plein de cigarettes, un de ces matins. Et je cherchais un compartiment de libre. Je vis deux femmes y entrer et il ne restait plus qu’une place, près du couloir. L’une d’elle était en face de moi, l’autre sur la même banquette, mais près de la fenêtre.
Les femmes parlent autant lorsqu’elles se taisent, qu’oralement. J’avais senti deux parfums : Opium et Angel.
Le premier faisait parfois tourner la tête, mais pas du bon côté. Et parfois même, il faisait mal à la tête. Celle qui le possédait, devait être soucieuse de plaire. C’était peut-être une Diane chasseresse. Il faut vraiment sentir l’Opium de cette époque. J’avoue qu’ils l’ont amélioré, mais il ne m’inspirait guère.
Angel était la signature des femmes heureuses de vivre. C’était un parfum jeune, pour des filles souvent gaies.
J’observais les deux femmes. Sans doute avaient-elles prolongé leur nuit le plus possible, et envisageaient la monotonie d’une nouvelle journée de travail. Car ni l’une ni l’autre ne ressemblait à ces parfums.
Je fis semblant de refaire mon lacet pour constater que l’Opium était devant moi. Mon attention se détourna aussitôt vers l’autre femme.
Elle avait un tailleur foncé et une jupe qui allait sans doute jusqu’aux genoux. Je n’avais fait que l’entrevoir quand elles étaient passées devant moi.
Elle regardait le paysage qui défilait. Subitement, elle croisa les jambes. Entre sa jupe et son bas noir, j’entrevis de la chair. Je pense que le plus heureux des hommes se trouvait à la dernière place ou à l’avant-dernière place de ma banquette.
Discrètement, je me régalais du spectacle. Je pense que chaque femme sait comment se faire convoiter. Mais elle, avait-elle conscience de l’effet qu’elle faisait.
BETTEMBOURG… BETTEMBOURG… TROIS MINUTES D’ARRET. PROCHAIN ARRET LUXEMBOURG. TERMINUS DU TRAIN.
D’habitude, peu de gens s’arrêtaient à cette gare. Je vérifiai que je ne gênais personne. Et comme aucun ne se manifestait, je restais assis…
Elle n’avait pas bougé… Mais je crus avoir vu dans le reflet de la vitre, un léger sourire. A qui était-il adressé ? Au type du fond ? A celui qui devait avoir la meilleure vue sur le panorama ? Ou à un autre ?
Elle pensait peut-être simplement à une anecdote amusante…
Toujours fut-il que je continuais à regarder ce petit bout de chair qui dégageait trop partiellement sa cuisse…
Le train ralentit. Et finalement :
LUXEMBOURG ! LUXEMBOURG ! TERMINUS DU TRAIN…
Bien que je fusse le plus proche du couloir, je laissais passer les passagers en premier. La femme à l’horrible parfum passa la première. Puis les hommes plus ou moins âgés…
La dernière à se lever, avait fouillé dans son sac à main…
Négligemment, elle laissa tomber quelque chose devant moi…
Je le ramassais… C’était une carte de visite !
Je n’allais pas lui courir après pour la lui rendre. Je mis le précieux document dans mon portefeuille et on verrait…
L’adresse, le téléphone, tout était indiqué…
J’attendis 20 heures pour lui téléphoner. Pas de réponse…
Ecœuré, je m’imaginais sa journée de travail. Elle devait commencer à 9 heures et se terminer au plus tôt à 17 heures, 18 heures. Peut-être prenait-elle un bus à Luxembourg, ou une correspondance pour une autre ville. 24 minutes de train entre Luxembourg-ville et ma ville où elle était montée. Ce qui nous amenait à 19 heures. Si elle ne se pressait pas, elle raterait le dernier bus pour sa ville. Si elle l’avait, il serait au plus tôt 19h30.
20h10 ! Je réessayais…
20h20 ! Je réessayais…
« Allo ? fit une voix suave.
- Excusez-moi de vous déranger, mais je vous ai vue dans le train ce matin…
- Et vous étiez assis près du couloir, petit cochon !
- J’avoue que j’avais les yeux baladeurs, fis-je embarrassé.
- Ecoutez monsieur ! Je viens de rentrer. J’ai entendu le téléphone sonner en ouvrant la porte.
« Je suppose que c’était vous.
- Je l’avoue.
- Si vous veniez boire un café à la maison.
- C’est que je ne connais pas votre ville…
- Vous avez une voiture ?
- Non, fis-je catastrophé.
- Et bien, je vous propose ceci. Samedi prenez la ligne 6. Elle part de la gare à 14h06.
« J’ignore à quelle heure vous le prendrez, mais demandez au chauffeur l’arrêt ***, je vous y attendrai. »
C’était trop beau pour être vrai ! Je refusais de croire à lapin et j’irai… Mais samedi ! C’était si loin.
Et pourtant, le jour J, je découvris la belle dame qui avait un prénom sur la carte, et que je continuerai à appeler la Belle Inconnue.
Elle affichait un sourire radieux. Le parfum Angel lui allait bien… Elle était debout, là devant moi, manteau grand ouvert qui laissait apparaître un léger pull et une mini-jupe noire qui dissimulait le haut un collant de la même couleur.
Nous partîmes ainsi jusque chez elle. Ce n’était pas loin. Troisième ou quatrième étage d’un immeuble qui n’en portait qu’un de plus.
Pendant tout le trajet, nous bavardions. Elle m’informa même que la fille devant moi devait offrir un spectacle plus réjouissant que le sien. Je lui expliquais le parfum, le morceau de cuisse.
Elle semblait étonnée qu’un parfum fût si révélateur. Mais je lui répondis que les femmes ne mettront jamais n’importe lequel. Elles choisiront un préféré et peut-être en changeront, mais jamais elles ne s’en infligeront un. Amusée, elle dit qu’elle en parlerait à ses amies.
Ce qu’une cuisse entrebâillée ne dit pas, c’est la couleur des cheveux. Elle était brune, avec des cheveux ondulés, des yeux verts à marron, une bouche sensuelle. Elle ne portait qu’un léger décolleté, avait une silhouette élancée. Quant à la taille, impossible de juger à cause de ses hauts-talons.
Nous arrivâmes enfin à sa demeure. Elle passa la clé dans la serrure, mais le manteau, m’empêchait d’évaluer ses rondeurs fessières.
Elle m’indiqua un porte-manteau pour m’inviter à me mettre à l’aise. Elle m’imita et je la vis enfin face à moi.
Son soutien-gorge soulignait une poitrine moulée par un léger pull.
Le galbe de ses jambes annonçait de superbes cuisses.
Elle avait appuyé sur le bouton de la cafetière, les tasses et des biscuits. Sans préambule, elle s’assit sur ma jambe. Je sentis ses fesses chaudes, et je posais une main sur une cuisse…
« Pas trop vite, n’oublie pas que tu es venu pour le café. Maintenant, il est en route.
« Comment t’appelles-tu ?
- Antigonos.
- Moi c’est…
- … je sais. J’ai lu la carte de visite.
- J’oubliais.
- Tu as de beaux yeux bleus… Je pense que ce n’est pas la première fois qu’on te le dit.
- Et toi, tu as les fesses bien chaudes…
- Je peux me retirer…
- Surtout n’en fais rien, dis-je en gardant ma main sur ses cuisses.
- Un jour, j’ai oublié d’éteindre la cafetière le matin. J’ai eu peur toute la journée. J’ai même téléphoné aux voisins pour savoir si rien ne brûlait.
« J’en étais quitte pour tout racler. Et pour une facture d’électricité un peu salée.
« J’aime bien le contact de ta grosse main…
- Mais elle doit se contenter du collant…
- Ca ne t’empêche pas de bander ! Sois patient. Cette cafetière m’a traumatisée. »
Puisque j’étais démasqué, ma main remonta plus haut. Elle était maintenant à hauteur de son entrejambe…
« S’il te plaît. » fit-elle en la ramenant plus bas.
Elle me fixa dans les yeux et nous nous embrassâmes. A nouveau, elle avait mis Angel. Sa bouche était pulpeuse. Le contact de ses lèvres m’électrisait. Elles avaient une saveur que je ne soupçonnais pas… Nos langues s’exploraient, mais je m’efforçais d’animer ce contact en faisant mine de me retirer et de revenir… Ce n’était pas des lèvres, mais des ventouses.
Je ne sais combien de temps a duré ce baiser, mais ce dont j’étais sûr, c’était que ni elle, ni moi, ne voulions l’arrêter…
Il était si sensuel que je sentis mon sexe s’agiter. Et pourtant, je n’avais besoin en ce moment, que de cette bouche parfumée à l’Angel…
Pendant ce temps, je sentis sa main déboutonner ma chemise. Elle ne descendit pas jusqu’en bas, et caressa mon torse…
Je soupesais un sein à travers le vêtement et le soutien-gorge. Finalement, je m’engageais sous le pull pour continuer mon exploration.
Le premier contact avec sa peau, fut une impression d’immense douceur. Elle était aussi douce à caresser qu’à embrasser. Furtivement, je remontais vers son soutien-gorge, soupesai un sein, m’infiltrai par le bas, débusquai l’objet tant convoité, le tâtai, et m’aventurai vers l’aréole, vers le téton…
Elle se dégagea, mettant fin au baiser…
« Excuse-moi ! C’est cette maudite cafetière. »
Elle se leva, l’éteignit et vint verser le contenu dans nos deux tasses. Elle me demanda si je prenais du lait. Je lui répondis par la négative. Elle le buvait noir également. En revanche, elle ne prit pas de sucre contrairement à moi…
Elle rapprocha les tasses et me dit :
« Je n’aime pas les cafés bas de gamme. Les paquets rouges. »
Elle s’y connaissait. Les sortes de cafés à l’époque étaient devenus comparables à des crus viticoles. Les bas de gamme, n’étaient que du vin de table.
Elle revint prendre la même position sur ma jambe, peut-être plus proche de mon sexe… Je remis ma main sur sa cuisse et la regardais touiller mon café…
J’avais besoin de ressentir un contact direct sur sa peau… Je m’aventurais à nouveau sous son pull, et lui caressais le ventre, pour remonter jusqu’au sein que j’avais libéré de sa prison…
Finalement, des deux mains, je levais son pull…
Négligemment, elle lâcha sa touillette pour se laisser enlever le haut. Je dégrafai alors son soutien-gorge, et lui déposais des baisers dans le cou pour mieux la voir touiller le café…
Bien que je fusse derrière elle, je surpris un sourire qui me rappela celui du train. Je dégageai son soutien-gorge. Elle se laissa faire, et se remit à touiller le café…
Cette fois, à pleines mains, je lui saisis les seins. Mon doigt évalua la rondeur de l’aréole. Elle était moyenne… J’embrassais tout ce que je pouvais : le cou, l’omoplate, les épaules… Son sourire était de plus en plus apparent.
Ma main s’aventurait plus loin. Elle n’était plus bloquée par cette histoire de cafetière.
Je rêvais encore de cette chair furtive, mais aujourd’hui, elle portait un collant. Je le baissais sur sa taille pour pouvoir m’infiltrer plus facilement entre le tissu et la peau… Sa jupe n’était pas un obstacle et je parvins facilement au haut de ses cuisses. Elle ne portait pas de culotte…
Elle se leva légèrement pour faciliter son déshabillage. Je descendis jupe et collant et m’emparai des cuisses… J’explorais tous les alentours de sa fente sans me rapprocher.
« Qu’est-ce qu’il y a ?
- Tu n’as pas de poils ?
- Ca te gêne ?
- Non, mais c’est la première fois…
« J’aimerais bien voir… »
Elle se leva et je vis sa fente complètement rasée. Ca n’avait plus rien à voir avec ces saletés de tickets de métro ou autres saloperies. C’était si mignon et si attendrissant…
« C’est plus hygiénique, fit-elle comme si elle se sentait coupable.
- C’est surtout plus appétissant pour la langue. »
Il y avait quelque chose de sacré dans cette fente. Quelque chose de fascinant… Je n’osais y porter la main, et je me contentais de la langue…
Grâce à mon organe du goût, je commençai directement à essayer de séparer les lèvres. Un mélange subtil de femme et d’Angel me vint à l’odorat. Enivré par le premier qui prit le pas sur le second, ma langue s’enhardit. Elle passa sur le clitoris et sur les lèvres. Puis mes mains vinrent au secours. Elles écartèrent le sanctuaire sacré et je pus laper les chairs roses…
Elle commençait à gémir… Et je la pris par les fesses pour ne pas qu’elle m’échappe. Malheureusement, je n’avais que deux mains et ses lèvres se replièrent…
Agacé, je la pris dans mes bras. Sur la table, il y avait encore le café. Je la mis sur la chaise… Et je repris l’exploration du sanctuaire avec mes doigts et ma langue…
Elle poussait de petits gémissements bien agréables à entendre… Et lorsque je la sentis prête, je me préparais à recueillir le fruit de mes efforts… Elle me fit don de sa cyprine, et j’avalai tout ce que je pouvais…
« Tu es encore plus cochon que je ne le pensais, fit-elle amusée en se relevant ».
Elle enleva ma chemise et fit sauter les deux derniers boutons…
« Excuse-moi ! Je te les raccommoderai… »
Puis, elle se mit à genoux, déboutonna ma braguette, fit descendre le pantalon, enleva chaussures et chaussettes. Finalement, je me dégageai complètement…
Puis elle se releva, et nous nous embrassâmes de nouveau. D’une main, elle saisit mon membre, de l’autre ma tête. Moi j’en fis de même avec la sienne et son dos…
Bien que seins et tétons s’écrasaient contre moi, j’appréciais le contact de ma main sur cette peau si douce. Mais la tension la plus forte se concentrait sur cette bouche pulpeuse. Je ne sais pas si c’était sa science du baiser ou cette avidité de sa bouche, de son corps, mais je ne pouvais m’en séparer…
La douceur de sa peau sur son dos avait quelque chose de bienfaisant, mais ce baiser était un véritable aphrodisiaque.
C’était un de ces moments de grâce où seules la bouche et les mains jugeaient. Celle qui me saluait de la langue, ne pouvait être que parfaite. Les yeux étaient privés de son étalage de charmes, les oreilles fermées à toute sollicitation. Même son parfum s’était évaporé. Seul comptaient cette peau, cette langue et cette bouche pulpeuse…
Puis elle se libéra, descendit vers mon sexe déjà en érection. Elle me goba le gland qu’elle entoura de sa langue, puis elle avala toute la hampe. Elle se releva à nouveau et me saisit par la queue :
« Viens avec moi…
- Ai-je le choix. Je ne suis pas un lézard. »
Elle s’esclaffa en me serrant plus fort par la queue, et nous entrâmes dans sa chambre.
« Allonge-toi, dit-elle en riant. »
Je m’exécutais… Et toujours en riant, elle ouvrit un tiroir, en sortit un préservatif, me rejoignit sur le lit, m’enjamba et debout devant moi, elle arracha l’étui avec de belles dents blanches…
Subitement, elle s’effondra… Joue contre joue, elle riait de tout son souk… Elle murmura :
« Un lézard ! »
C’était pour moi l’occasion de la caresser de nouveau… Cette douce peau vibrait sur tout son corps…
« Un lézard ! »
Je commençais à m’inquiéter… Il n’y avait plus rien d’excitant, juste la douceur d’une peau que je ne pouvais même pas baiser…
Finalement, elle se calma. Mais mon sexe avait perdu de sa vigueur… Bonne joueuse, elle se remit à l’ouvrage, et le mit en bouche… Elle pompait et léchait sans retenue et ce traitement satisfit assez rapidement la Belle Inconnue…
Un peu perdue, elle se pencha vers moi pour tirer sur une corde au-dessus du lit… Et la lumière fut…nécessaire pour retrouver le préservatif…
Elle le retrouva, finit d’ouvrir l’étui… Elle avait des dents parfaitement blanches.
Une fois l’opération terminée, elle l’enfila le préservatif sur ma verge, et prudemment, elle le fit entrer vers l’orifice sacré…
Elle poussa un soupir de soulagement, et commença à me chevaucher. Je voyais ses seins qui, même s’ils n’étaient plus aussi orgueilleux que dans le soutien-gorge, conservaient un galbe qui leur conférait une certaine noblesse.
Je les pris en mains pendant qu’elle poussait ses premiers gémissements. Elle était belle ainsi, la figure animée par la recherche de son propre plaisir…
Je la pris par les épaules pour la serrer contre moi, et je lui donnais ainsi de violents coups de reins… Elle gémissait de plus en plus fort et j’aimais cette douce musique…
Il était beaucoup trop tôt pour que ça s’arrête. Pour ménager nos forces, je la pris en cuillère en lui levant la jambe… La route était tracée et je n’avais donc à me préoccuper d’une pénétration trop violente…
Je passais ma main droite sous ses épaules pour saisir un de ses seins…
J’avais donc un contact direct sur ce dos qui caressait mes poils, sur la cuisse que je retenais et sur le sein que j’empoignais…
Et pourtant, quelque chose manquait… La douce musique de ces halètements s’estompait. Il était difficile dans ces conditions de lui donner des coups de butoir assez puissants pour orchestrer cette douce musique…
Finalement, je l’invitai à s’allonger. Et la pénétrai en tenant ses cuisses. Elle ressemblait à une grenouille ainsi écartelée. Et cette douce mélodie se remit à tinter… Je guettais, j’épiais son visage… Elle était si belle à la recherche de son plaisir...
Sentant que le final allait arriver, je m’allongeai sur elle pour observer son visage de plus près…
Elle poussa un petit cri, et nous vînmes en même temps…
Je me retirai d’elle tout en continuant à lui peser dessus. Elle avait de nouveau ce petit sourire. Ce n’était plus celui de la vitre du train ou que j’entrevoyais par derrière son cou. Il était entier, planté entre ses deux lèvres pulpeuses…
Je l’embrassais…
SUSPENSE : RACCOMODERA-T-ELLE LES DEUX BOUTONS DE MA CHEMISE ? LA SUITE AU PROCHAIN EPISODE.
A SUIVRE
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