L'inconnue

Souvent sur la route, je dois faire des étapes régulièrement à l'hôtel pour une ou deux nuits par semaine et ça me permet de couper de la maison, de mon mec et des gosses. Le temps de prendre du temps pour moi. Et ce qui va m'arriver ne serait me rappeler si je l'ai vécu ou simplement fantasmer...

Proposée le 11/03/2021 par Marcialus

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FF
Lieu: Hôtel
Type: Fantasme

Chaque semaine je passe une nuit ou deux dans un hôtel. Je suis souvent sur la route et quand je suis trop loin de chez moi je préfère dormir à l’hôtel. D’une part parce que je suis crevée, mais aussi et je l’avoue, cela me permet de couper avec la maison, mon mec et les gosses. J’ai besoin de mon indépendance quelques instants. Je les aime mais de temps en temps, c’est bien de se retrouver seule. Et puis, ils m’insupportent tous en ce moment. C’est toujours la même chose, il n’y a rien qui bouge. Ces deux jours sans rentrer à la maison vont me faire du bien.

Après une bonne journée de travail, je rejoins mon hôtel. Je prends une bonne douche et après mes différentes saisies administratives je me dirige vers le restaurant. Sur le chemin, j’en profite pour prendre des nouvelles de la maison.

Je m’assois, prends commande auprès du serveur. Je surfe sur mon portable, regarde les conneries habituelles, les réseaux sociaux, PurePeople. Le serveur apporte mon assiette. Je regarde autour de moi et remarque qu’il n’y a pas grand monde ce soir. On ne doit même pas être une dizaine. Il n’y a pas un mec potable. J’ai parfois cette envie soudaine de me faire un inconnu. Un mec qui me prendrait, me tirerait par les cheveux sans que je n’aie à lui rendre de compte, sans que je sache comment il s’appelle. Juste qu’il me saute. Mais ce soir, pas de morceau de choix.

Le temps de partir dans mes pensées, je ne me suis pas rendu compte que j’en étais déjà au dessert qui par ailleurs est très bon. Tiramisu aux framboises c’est toujours une valeur sûre. Et il y a cette femme à l’autre bout de la salle. Ca doit faire la troisième fois qu’elle me sourit depuis toute à l’heure. Je ne sais pas pourquoi. Peut-être qu’elle est dans le même délire que moi. Elle se dit que tous les mecs ce soir sont dégueulasses et que si elle avait envie de se faire déglinguer, il fallait passer son tour. Elle est magnifique en plus. Elle ressemble un peu à la brune du clip Blurred Lines. Bref, je divague et je pouffe de rire. Ça la fait sourire davantage.

Allez, il est temps d’aller au lit. J’ai une longue journée demain et une tonne de rendez-vous. Avant de m’endormir, je m’autorise un petit temps pour moi. Ce petit temps pour moi consiste à me mettre un petit porno sur le portable, de préférence un trouple, 2 femmes 1 homme, de me mettre sur le ventre, et hop la main dans la culotte et je me fais jouir.

Je ne sais pas pourquoi mais avant de m’endormir je repense à cette femme, magnifique et je me dis que si je pouvais choisir mon « casse-croûte » ce soir, c’est elle que j’aurais choisi. Et je m’endors sur cette idée.

Après une longue, trop longue journée, me voici de nouveau à mon hôtel. Après une bonne douche, je me repointe au restaurant. Je commande rapidement et même constat qu’hier. Que des mecs dégueulasses… A part, cette femme qui est de nouveau là ce soir. Elle me sourit, je lui rends. Mon thé avalé, je me lève et me dirige vers ma chambre. Je monte dans l’ascenseur et quelqu’un m’y rejoint. Cette femme. Cette femme est avec moi dans l’ascenseur. Cette femme élégante, en tailleur, pantalon noir, chemisier blanc, brune, lèvres pulpeuses, des yeux magnifiques. Elle me regarde de haut en bas. Elle m’analyse. Je la vois regarder mes chaussures, mes jambes, ma robe, mon décolleter, mon visage, ma bouche, mes yeux et de nouveau ma bouche. J’ai l’impression qu’elle me dévore du regard, du moins, c’est mon interprétation. D’un côté ça m’effraie, de l’autre ça m’excite. La Chaleur de mes joues doit lui indiquer que je rougis et que je ne suis pas insensible.

Les portes s’ouvrent, je sors et me dirige vers la porte de ma chambre. J’essaie de marcher correctement parce que ce bref instant dans l’ascenseur qui a duré 20 secondes mais en a semblé dix fois plus m’a quelque peu émoustillée. J’ai le bas du ventre chaud et humide.

Je la sens, je sens sa présence, elle me suit. Peut-être que sa chambre n’est pas loin de la mienne.

Je saisis la carte de la porte dans mon sac, l’enfonce dans la fente, appuie sur la poignée, pousse la porte et pose mon pied droit dans ma chambre. Je continue de pousser la porte et fais un pas de plus. Je sors la carte de la fente de la porte pour la diriger vers le boitier qui permet d’allumer la lumière quand une main saisit ma queue de cheval, me tire vers l’arrière pour me retourner, un corps me pousse vers l’arrière, referme la porte et me propulse contre elle. Il fait noir, je ne vois rien, mais je sens un parfum, un parfum que je connais très bien. Hypnotic Poison. C’est elle, c’est cette femme sur qui j’ai fantasmée quelques secondes hier avant de m’endormir qui vient de se jeter sur moi. Je sens sa bouche se poser dans mon cou. Ses lèvres chaudes et humides. Sa bouche monte vers mon oreille droite, le lobe, ça me rend folle. La chaleur de mon bas ventre augmente. Ma respiration s’accélère. Je divague. J’hésite entre la repousser et fuir ou me laisser faire. Que dois je faire ? Sa bouche est sur la mienne. Sa langue caresse la mienne. Mes bras sont toujours ballants. Je ne sais pas quoi en faire. Encore une hésitation. Dois-je poser ma ou mes mains sur elle ? Sa bouche descend tout le long de mon cou et continue sa descente dans mon décolleté.

Aah ! Je lâche ce petit bruit de plaisir. Sa bouche s’est emparée de mon téton droit. Je n’avais pas mis de soutien-gorge. J’en porte rarement. Et mon petit 85b n’en a pas besoin. Et voilà qu’elle s’occupe de l’autre téton. Je ne sais toujours pas quoi faire. Dois-je partir ? Dois-je me laisser faire ? Est-ce normal d’être la proie d’une autre femme que je ne connais pas et… ? Oh non, c’est trop bon… Mon bas ventre devient une fournaise. Elle est à genoux devant moi. Elle a soulevé ma robe et a posé sa bouche sur mon genoux gauche qu’elle lèche. Sa bouche monte, monte, monte… je sens sa langue glisser le long de ma culotte. En faire le tour, d’un côté et de l’autre. C’est excitant, cette montée d’un plaisir nouveau pour moi. Elle joue avec mes nerfs. Elle tourne autour de mon sexe sans se diriger dessus. Elle joue avec ma frustration. Parce qu’à cet instant précis, je n’ai qu’une envie, celle qu’elle me dévore l’entre jambe. Mais elle continue à me lécher autour de la culotte en passant au milieu à travers le tissu. Elle me rend complètement dingue.

Je n’en peux plus. Je décide d’écarter ma culotte. Oh putain, c’est trop bon. Je sens sa langue se déposer délicatement entre mes lèvres. Elle la remonte jusqu’à mon clito. Elle me goûte. Parcours chaque centimètre carré. Mmmmhhh quel délice. Je pose ma main sur sa tête pour l’arrêter quelques secondes. J’enlève ma culotte et lui tourne le dos. Je veux qu’elle s’occupe de mon cul. Je me plaque contre cette porte que je n’ai plus envie de quitter et me cambre pour lui offrir les deux parties les plus charnues de mon corps. Elle soulève ma robe pour la déposer sur le bas du dos. Elle me caresse chacune des fesses, les cuisses, entre les cuisses, je sens son souffle. Mes fesses frissonnent. Puis sa bouche remplace une de ses mains. Elle parcourt chacune de mes fesses, le dessous de chacune des fesses, puis c’est ma raie tout entière qu’elle déguste de haut en bas jusqu’à mon petit trou, ce qui me fait vriller. Cela faisait longtemps, très longtemps que personne ne s’était occuper de mon anus comme ça. Ah non, vraiment ça faisait très longtemps surtout avec un doigt. Oh mon dieu. Et voilà qu’elle en enfonce deux autres dans mon vagin en même temps. Elle est parti à l’assaut de mes orifices. Mmmmh comme c’est bon. Elle se relève, m’embrasse dans la nuque tout en continuant des vas et viens digitaux. En m’enfonce un autre doigt dans la bouche que je me mets à sucer comme une malade. Ses doigts quittent ma bouche. Elle me tire à nouveau par la queue de cheval tout en s’activant frénétiquement en bas.

Aaaaaaaaaaahhhhh mmmhhh aaaaahhh mmmmmhhhhh aaaaaaaaahhhhh. Putain c’est bon. Putain ouiiiiii. Je peine à reprendre mon souffle. Mon cul est si cambré que j’ai l’impression qu’il est 50 mètres plus loin tellement je me suis offerte à elle. Elle qui est derrière moi, qui ne dit rien, qui vient de m’offrir un plaisir immense. S’il y avait des gens dans le couloir qui ont entendu mes cris, ils ont de quoi fantasmer pour un moment. Ah putain quel pied. A moi de lui rendre la pareille.

Je me retourne, la regarde droit dans les yeux, sourire béat aux lèvres, je m’avance vers elle pour la faire reculer. C’est toi qui sera ma proie désormais. Ses chevilles buttent contre le lit…

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