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De l'autre côté du miroir (Chapitre CXIV Le problème Pentas (Le roi et Druha) )

Après avoir traversé un trou de vers, onze personnes se retrouvent catapultées dans un passé parallèle. (-1900). Dans un monde ou hommes et femmes sont polygames, les reines président la vie civile à tour de rôle. Le jour de la reine Druha s'achève avec un banquet traditionnel et se termine dans le lit conjugal. Mais Druha se fait attendre...

Proposée le 4/10/2020 par Antigonos

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


A la fin du banquet, la reine Druha qui avait officié le jour, demanda au roi de prendre un bain dans le tonneau. Elle lui dit qu’elle en ferait de même, et qu’il lui faudrait patienter un petit peu plus longtemps que la veille avec Pervia.

Allongé sur sa couche, le roi attendait la reine du jour… Les trois autres s’approchèrent de lui en se masturbant. Trias, la Nubienne, se pencha vers lui et lui offrit un énorme sein globuleux. Le roi voulut s’en emparer, mais elle lui répliqua :
« Tes mains, ce soir, sont à Druha. »
Pervia qu’on disait plus belle femme du monde se masturbait au plus près de sa tête. Excité par ses effluves, il voulut la toucher…
« Tes mains, ce soir, sont à Druha. »
Sournoisement, Tchetras la guerrière se leva, et se baissa lentement, tout en se masturbant… Il voulut la toucher, la sucer…
« Tes mains et ta langue, ce soir, sont à Druha. »
Tout excité, le membre en érection, il voulut se masturber, mais elles lui retirent violemment la main.
« Ton sexe, ce soir, est à Druha.
- Avez-vous donc décidé de me rendre fou ? hurla-t-il. »
Mais il n’eut comme réponse, que des ricanements.
« Avoue que tu as apprécié cette folie, hier, rajouta Pervia.
- Je l’avoue ! Mais ma putain préférée exagère. Elle est vraiment lente.
« Etes-vous sûres qu’il ne lui est rien arrivé ?
- Tout à fait. »

Elles durent peser le plus possible pour continuer à le torturer. Et finalement Druha apparut. Elle avait utilisé du cuir de yack pour en faire des chausses qui ne s’arrêtaient qu’à hauteur de fesses. Elle avait également chaussé une peau de l’animal, sans doute le cou, pour se rehausser la poitrine en dissimulant sa taille dans cet étrange vêtement…
Surexcité, le roi devint furieux. Il prit Druha de force et se mit à la fesser d’importance…
« Crois-tu que je t’aie sortie du bordel pour que tu te comportes en putain ?
« Crois-tu que je veuille baiser un animal ? »

Cette fois, les reines paniquèrent. Pervia, la veille, n’avait pas osé user du stratagème avec les peaux. Elle aurait dû, car elle n’avait été qu’esclave, et la colère du roi aurait été moindre. Elle craignait que le roi déshonore sa « sœur » en la privant du lit conjugal, ou pire, en la répudiant…

Trias également paniquait… Perdre une de ses « sœurs », c’était comme perdre une de ses sœurs. Elle cherchait déjà comment apaiser la colère du roi. Elle savait que Pervia et Tchetras partageaient les mêmes sentiments…

Tchetras voyait les fesses de Druha tourner au rouge puis au violacé. Pourtant, il se passait quelque chose d’étrange. Celle qui était châtiée, semblait apprécier cette torture. Elle se frottait contre les jambes du fesseur. Se sentant condamnée, c’était comme si elle avait décidé de profiter une dernière fois des faveurs du roi…
Mais la main du roi se fatiguait et les coups s’espacèrent, s’affaiblirent…
« Me diras-tu enfin, ce qui t’a pris ? N’es-tu pas heureuse, ici ?
- Je le suis, répondit-elle crânement.
« Je voulais simplement que tu voies jusqu’où une femme amoureuse peut aller.
« Ma tenue ne te montres que mes atouts.
- Je le conçois, fit le roi. Tu es une maîtresse-femme, ma putain préférée. Mais que ne le disais pas plus tôt ?
- J’ai aimé ton châtiment. J’ai aimé que tu m’humilies. Regarde comme je suis trempée. »
Elle mouillait si fort que des poils illuminaient la pénombre de la nuit.

Le roi la prit par les fesses pour l’attirer à sa bouche…
« Non, tu me dois un petit dédommagement, dit-elle en lui saisissant le sexe. »

Druha ayant gagné, les autres reines, soulagées, se masturbèrent de nouveau…
La reine du jour, happa bourse après bourse… Puis, elle passa sa langue sur la hampe qui se tendait…
« Ma putain préférée, gémit le roi, tu as décidé de me rendre fou. Prends-la en bouche, je t’en conjure ! »
Mais l’espiègle femelle le fit languir… Ses deux mains écartèrent délicatement le méat urinaire pour faire de la place à sa langue…
« Par Hippys ! Tu vas me vider avant la bataille. »
Finalement, elle avala le gland, commença quelques succions anodines de plus en plus profondément, puis elle happa le membre qui buta contre sa gorge…
« Tu me tues ! »
Sourde à ses protestations, elle continuait… Trop excité par ce qu’il avait vu avant son arrivée, puis par le châtiment, le roi ne tarda pas à éjaculer… Jamais, il n’avait produit autant… Druha crut pouvoir tout avaler, mais elle en fut la première surprise…
Les autres reines se demandèrent pourquoi elle ne lâchait pas prise… Finalement, sa bouche se retira… Victorieuse, elle tira la langue et ouvrit la bouche devant ses amies pour montrer la quantité qu’elle allait avaler…

Anéanti, le roi lui donna une claque sur les fesses, comme s’il protestait, comme si elle lui avait volé toute sa semence. La bouche pleine, elle le narguait. Elle s’était vengée de la fessée…
Elle s’allongea sur son torse, posa une main sur ce qui restait de cet orgueilleux membre, et attendit qu’il reprît une vigueur digne d’un roi…
« Je t’aime, Arimar, chuchota-t-elle.
- Je t’aime, ma putain préférée.
- As-tu vraiment cru un seul instant, que mon but n’était pas de te faire plaisir ?
- Non, répondit-il honteux. Mais tout de même, faire l’amour à un animal !
- Tu ne fais pas l’amour à un animal. C’est pareil qu’en hiver… On a froid, on s’habille.
- Tu as raison, fit le roi. Mais l’effet de surprise était trop fort.
- Maintenant, dis-moi si tu me préfères toute nue ou comme cela ? demanda Druha.
- Je t’aime tout entière. Mais je ne suis qu’un homme, j’aime ce que tu me montres.
« Ce sont encore ces étrangères ?
- Dans leur monde, il y a des tailleurs spécialisés dans l’excitation.
- Quel drôle de monde ! »

Tout en discutant, Druha masturbait l’objet de ses convoitises… Le roi la serra contre elle et lui chuchota :
« Si tu veux la sucer, j’exige une compensation.
- Laquelle, mon roi ?
- Tchetras m’a ouvert l’appétit. Elle m’a présentée sa fente sans que je puisse y goûter.
- C’est entendu. Tu gouteras la mienne. »

Féline, elle se positionna à quatre pattes derrière le roi allongé, et progressa… Elle embrassa sa bouche, leurs deux langues s’enlacèrent comme pour se saluer. C’était un rituel. Chaque reine devait trouver le meilleur moment pour placer le plus long baiser possible. N’ayant aucune mesure du temps, elles ne pouvaient concourir, mais il était certain que ce soir, Druha marquait des points. Le roi paraissait impuissant à se défaire de cette étreinte. Il explorait cette bouche pulpeuse qu’il connaissait pourtant, dent par dent. C’était comme si leur salive s’était séchée en leur collant les langues. Chacun respirait l’air de l’autre… Il ne formait plus qu’un être symbiotique incapable de vivre l’un sans l’autre…

Finalement, Druha lâcha prise… Elle s’avança plus féline qu’un lynx, et ses seins effleurèrent la bouche royale… Effrayé de voir passer de tels trésors, il en rattrapa un, pour le mettre en bouche. Il aurait voulu l’avaler tout entier, mais Druha avait une poitrine généreuse, et il n’atteint pas son but. Pourtant il ouvrit sa bouche au maximum comme s’il s’était lui-même persuadé qu’il en serait capable…
Druha gémissait. Abandonnant la partie, le roi se concentra sur l’aréole en saisissant d’une main l’autre sein laissé à l’abandon. Son doigt titilla le téton qui pointait depuis longtemps. Sa langue fit de même avec l’autre téton…
Druha gémissait et haletait… Déjà, elle saisissait le sexe en érection… Et le roi lâcha prise… Le cuir de yack qui enserrait la taille de la reine, le priva du spectacle de cette peau si désirable…
Pendant de temps, Druha commençait à donner de petits coups de langue sur le membre qui serait bientôt à sa portée…
Le roi vit défiler enfin le nombril… Il lui donna de petits coups de langue furieux comme pour le défoncer…

Finalement, il découvrit les cuisses béantes de sa partenaire… De ses deux mains, il lui saisit la taille. Elle comprit, et écarta les cuisses pour mettre son sexe béant et ruisselant à portée de sa bouche…
Il lui posa un doigt sur le clitoris, en enfonça un autre dans son sexe et commença à lui lécher les lèvres. Des deux mains, il lui écarta le sexe. Pour y plonger sa langue…
Les gémissements de Druha auraient dû l’alerter, elle hurla et lâcha son nectar…

Anéantie en tenant le membre en érection, elle lui chuchota :
« Les putains simulent, elles ne te donnent pas ce qui vient de couler.
- Mais ce qui appartient aux reines, appartient au roi ! »

Devant la verge en érection, elle passa à l’action et happa le membre viril, le pompa et arracha des cris de plaisir au roi…
Celui-ci se méfiait maintenant de sa putain préférée. Il voulait jouir en elle…
« Puisque tu t’es déguisée en animal, je te baiserai comme un animal. »

Son déguisement mettait effectivement sa croupe et son sexe en valeur. Et à quatre pattes, elle était encore plus désirable… Le roi lui caressa les fesses avec tendresse. Mais ce spectacle l’obsédait…
Il introduisit son membre et glissa aisément jusqu’au tréfond de son intimité…
Druha poussa un cri. Plus qu’une autre, elle avait appris à simuler, mais aussi à jouer avec ses muscles vaginaux. Le roi profita au maximum de ses dons… Mais Druha y gagnait aussi. Elle gémissait, haletait au même rythme que son partenaire…
« Plus fort… Plus vite… Encore… »
Baignés par la sueur, le mâle suivait les ordres… Il avait trop envie de jouir à l’unisson.
Connaissant sa putain préférée, il attendit un cri significatif qui l’autoriserait à se libérer… Ils jouirent en même temps…

Anéantis, ils s’allongèrent côte à côte…
« Notre présence est-elle nécessaire demain matin ? demanda-t-il à la reine Trias.
- Les fantassins sont de retour. Un autre jour, j’aurais pu différer leur entrée en ville, mais Pentas est également de retour.
- Elle a raison, fit Druha nostalgique. Les honneurs avant tout.
- Quand je pense que certains complotaient pour être roi, soupira le mâle déçu.»

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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