Après avoir traversé un trou de vers, Brigitte et ses amies se retrouvent propulsées dans un passé parallèle. Depuis des mois, elles aimeraient se laver les cheveux, mais sans shampoing, que faire ? Une Amazone acceptera de rendre ce service à Brigitte. Mais l'hétérosexuelle, devra payer ses prestations à la guerrière avide de caresses saphiques.
Proposée le 7/10/2020 par Antigonos
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Thème: Première fois
Personnages: FF
Lieu: Inclassable
Type: Roman
Elles se consultèrent rapidement, mais c’était aux protégées des reines de choisir. Et comme Ulla Andersson était leur invitée, elle eut la priorité. Sans hésiter elle choisit l’une de ces pulpeuses brunettes.
Plus mignonnes les unes que les autres, Christiane choisit ensuite.
« Mais d’abord, prends un bain. Tu sens l’homme.
- Viens avec moi, il n’y a pas encore trop de moustiques autour du lac, répondit l’élue. »
Vint le tour de Brigitte :
« Toi, comment t’appelles-tu ?
- Hippysas.
- Tu plongeras dans l’étang d’abord.
- Tout ce que tu voudras. »
Et les trois couples partirent tantôt vers l’étang, tantôt vers le lac, tantôt vers la forêt.
Arrivée à l’étang, Brigitte essayait encore de se convaincre. Elle voulait se persuader que ces soins capillaires valaient bien un tel sacrifice. Ou encore, de se dire que le traitement infligé par les jeunes amazones à ses esclaves, risquait de les tuer. En somme, elle se sacrifiait pour sauver leur vie.
A l’origine, elles avaient voulu égayer leur quotidien en leur offrant ces femmes. Mais elles n'imaginaient pas que leur appétit serait insatiable. Comme ses amies, elle savait qu’elles allaient perdre des hommes.
Non, elle n’était pas lesbienne. Juste charitable…
Elle suivit du regard les petites fesses nues qui n’avaient pour seul vêtement, un lacet qui leur ceinturait la taille et qui retenait leur poignard. Nouée derrière, la ficelle de cuir se promenait dans la raie des fesses. D’origine généralement indo-européennes, les amazones étaient toutes bronzées. Le soleil de Dacie, de Béotie, de l’Attique ou des pays argiens les avait toutes dorées.
Elles avaient toutes de petits seins qui ne les gênaient pas lorsqu’elles combattaient. Elles étaient faites pour la guerre et rien d’autre. Comme les garçons, leur apprentissage commençait à quatre ans. Beaucoup échouaient et se retrouvaient cantonnées dans l’armée régulière. Ensuite, il y avait une seconde sélection qui en écartait un grand nombre. Etre une amazone, c’était un honneur. Et le roi ne s’y était pas trompé en accordant le seul triomphe à ses troupes d’élites.
Comme toutes les femmes, elles avaient des cycles, risquaient la maternité. Mais comme tous les soldats, elles enduraient tous les maux et avortaient. Elles n’avaient aucun maternel. Ce n’était que des machines à tuer. Elles n’étaient pourtant pas dépourvues de sentiments. Leurs chevaux faisaient partie intégrante de leur corps, et leurs compagnes de lutte étaient leur unique famille. Unies par un même esprit, les amazones ne faisaient qu’un.
Une fois dans l’étang, la fille lui jetait des regards pleins de sympathie. Mais elle surveillait également son arc et ses flèches qu’elle avait laissés sur la berge. Son poignard en revanche, restait dans l’eau. Elle devait être prête à tuer à chaque instant.
Brigitte dut reconnaître qu’elle avait quelque chose d’irrésistible. Une candeur qui leur était propre, car elles n’avaient qu’occasionnellement des contacts avec les gens libres. Cette même simplicité s’étendait à tous les Hippides, mais contrairement à elles, les hommes avaient plus de choix dans les bordels.
Elle ressortit de l’eau offrant ainsi à son regard, toute sa nudité. Elle avait des cheveux couleur jais, comme ses compagnes d’armes, une taille plutôt petite, des seins proportionnés à son corps, une taille fine, un ventre plat, une toison moyennement abondante, et des jambes évidemment bien galbées.
Trois cicatrices meurtrissaient ce corps de rêve. Une à l’épaule gauche, une à l’avant-bras droit, et une à la jambe droite.
La jeune fille interpréta mal la réaction de l’étrangère qui déplorait ces meurtrissures…
« Bientôt, j’en aurai plus, promit-elle »
Les amazones comme les autres femmes hippides refusaient tout maquillage, symbole de décadence. Il en était de même des piercings et des tatouages réservées aux esclaves. Chez les guerrières, une cicatrice était un signe de beauté.
Elle ignorait bien sûr qu’elle avait été choisie parce qu’elle en avait le moins, ou que les siennes étaient plus discrètes.
Elle s’approcha de l’étrangère et dit :
« Je crois qu’il serait bon d’enlever ton vêtement pour ne pas le souiller. »
Brigitte qui connaissait le procédé ne fut donc nullement surprise. Elle se laissa déshabiller comme une poupée…
La jeune fille en profitait pour effleureur « accidentellement » le haut de sa cuisse, sa hanche, un sein. La fraîcheur de ces contacts furtifs, mit Brigitte en émoi. Elle avait encore les mains fraîches et humides.
Une fois qu’elle lui eut enlevé son unique vêtement, elle se mit en indienne derrière elle. Ensuite, elle ramassa de la boue et lui frictionna les cheveux. Finalement, les emprisonna dans la boue, pour enserrer le tout dans une sorte de turban.
Pendant l’opération, Brigitte sentit les tétons et les seins de la coiffeuse se presser contre son dos. Eux-aussi étaient encore mouillés. Le froid et ces contacts furtifs augmentaient encore son émoi.
Une fois ses cheveux emprisonnés, elle sentit la main de l’amazone lui caresser la hanche. Dans un monde sans argent, elle allait devoir payer. Et lorsque l’amazone lui soupesa un sein, elle réalisa que la facture serait bien agréable…
Perfidement, celle-ci était déjà partie à l’assaut. Elle lui baisait le lobe de l’oreille par derrière et par-dessous. Puis elle se concentra sur le cou…
Brigitte ressentit en même temps une poitrine toujours fraîche et humide qui s’écrasait contre son dos…
Tout ceci était bien agréable…
Visiblement, la fille n’était pas pressée. Elle lui baisait maintenant les omoplates et soupesait plus fermement le sein gauche. Son autre main lui caressait la taille…
L’amazone maintenant, continuait à la baiser dans la nuque. Un peu gênée par le turban, elle descendit de plus en plus bas pour se concentrer sur l’échine dorsale…
Sans doute habituée à ses jeux, l’amazone parvint à changer plusieurs fois de positions sans que sa partenaire s’en aperçût. Agrippée à sa taille, elle en était maintenant à hauteur de reins et Brigitte ressentit ses premières sécrétions…
Instinctivement, la proie se pencha en avant pour lui permettre d’aller plus loin… La jeune fille était maintenant à hauteur du coccyx. Toujours dans la même intention, l’étrangère se mit à quatre patte…
La langue de l’amazone évita la raie pour contourner la fesse gauche par le haut. Elle mordilla l’appétissant morceau et le prit en bouche. Cette nouvelle caresse débusqua un moment l’anus.
Brigitte émit un premier soupir. Trop excitée, elle ne se demandait plus si elle était lesbienne ou non.
Pendant ce temps, la sauvageonne recommença à contourner le périmètre de cette même fesse gauche par le haut. Sa langue maintenant, s’infiltra entre le muscle fessier et la cuisse...
Au moment où elle s’approcha de son intimité, Brigitte se mit à espérer. Elle lui tendit ses fesses, facilita l’accès à ses lèvres gonflées, mais en vain…
La langue de l’amazone était maintenant sur la séparation de la cuisse et de la fesse droite. Comme elle faisait le chemin en sens inverse, elle s’éloignait de la fente sacrée… Brigitte cria :
« Mais tu veux me rendre folle ! »
Imperturbable, l’amazone continuait. Elle remonta l’autre fesse et se trouva à nouveau, à hauteur du coccyx…
Soulagée, Brigitte constata que la langue redescendait. Cette fois, elle était dans la raie fessière. Bientôt, elle atteindrait l’anus…
L’habile amazone contourna celui-ci en donnant de légers coups de langue sur la partie plus sombre et étoilée de l’orifice…
Brigitte gémissait. Elle n’était plus rien entre ces mains et cette langue expertes.
L’autre lui enfonça enfin sa langue dans l’anus…
Satisfaite de l’effet produit, elle continua sa descente vers les petites lèvres qu’elle mordilla avec un tel art que Brigitte ne savait plus si elle ressentait du plaisir ou de la souffrance…
Finalement, l’amazone s’allongea sur le sol pour se glisser sous le sexe de sa cliente. Elle savait par expérience, qu’elle aurait pu d’emblée y mettre trois doigts. Mais elle se contenta de son index…
De son autre main, elle massa le clitoris en le pinçant, le faisant tournoyer…
Brigitte respirait de plus en plus fort. Elle gémissait et craignait d’alerter d’autres baigneuses…
La langue de l’experte se faufila maintenant au plus profond d’elle-même… Elle mit un doigt sur le clitoris comme pour prendre la température de sa cliente…
Brigitte ruisselait, haletait, cria…
La diablesse s’accrocha à sa taille pour savourer son délicieux nectar…
L’autre s’effondra sur l’Amazone…
Reprenant ses esprits, elle réalisa que sa partenaire risquait de s’étouffer. Elle se dégagea. Avec orgueil, la jeune fille vit que sa cliente avait particulièrement apprécié…
« Viens, étrangère ! Allons plus loin. Ici, la terre est trop humide. Elle souille ton corps divin. »
Docile, elle se laissa prendre par la main. L’amazone récupéra son arc et ses flèches au passage. Puis elles s’allongèrent, plus loin sur l’herbe grasse…
« Je n’ai même pas goûté tes seins, reprocha-t-elle.
- Ils sont à toi, proclama Brigitte. »
Evidemment, cette nouvelle caresse était bien agréable. Mais peut-être que sa coiffeuse attendait la réciproque. Elle lui confia :
« Hippisas, je n’ai jamais fait l’amour avec une femme. Et je pense que je n’arriverai pas faire tout ce que tu m’as fait.
- Tu es l’amie des reines. Ne te sens pas obligée, fit-elle sans marquer la moindre déception.
- Mais j’essaierai. Si je suis maladroite, promets-moi de le dire.
- Je suis une Hippide. Et les Hippides sont toujours francs.
« Mais je crains de te blesser, continua-t-elle en se blottissant contre elle. »
Elle continua à lui palper les seins. Cette chair si claire, si délicate, la fascinait…
Elle se mit à titiller le téton gauche qui était plus proche d’elle… Puis elle le mit en bouche et engloutit le globe. A nouveau, Brigitte gémit…
Pour atteindre l’autre sein, la jeune fille enjamba sa cliente qui ressentit un objet froid et métallique…
« Tu vas me faire mal avec ton poignard !
- Excuse-moi, répondit-elle en le plantant dans la terre. »
L’amazone était maintenant sur l’étrangère. Elle pouvait aisément avaler l’autre sein, lui titiller l’aréole puis le téton…
Brigitte gémit et s’offrit. La diablotine en profita pour glisser ses propres cuisses entre celles de l’étrangère.
Elle commença à frotter son clitoris contre ses poils pubiens et chercha sa bouche…
L’étrangère se rétracta. Elle n’était pas lesbienne… Mais il était si bon de ne pas l’être ! Elle céda…
Leurs langues s’explorèrent. Chacune tenant la tête de l’autre comme si elle cherchait à prolonger ce baiser pour l’éternité, comme si la langue de l’autre était le seul lien qui les rattachaient à la vie.
Leurs cuisses s’humidifièrent, mais leurs bouches étaient insatiables…
Finalement, il fallut lâcher prise et l’amazone en revint aux seins. Elle essayait de les avaler l’un après l’autre, puis se concentra sur l’aréole et enfin, le téton.
Brigitte gémit à nouveau…
La jeune fille continuait à explorer cette peau si claire. Elle descendit jusqu’au nombril où elle s’arrêta un instant. Elle dédaigna le sexe pour baiser la peau si douce du haut des cuisses…
Ensuite, elle s’acharna sur le petit bourgeon, et glissa une main pour caresser la fente sacrée…
Brigitte poussa de petits cris de plus en plus forts en tenant sa partenaire par la tête…
A nouveau, elle sentit l’inévitable arriver… Qu’il était bon de jouir dans une bouche amie !
Allongées à nouveau, la tête de l’Amazone reposait sur son ventre. Sans s’en rendre compte, Brigitte lui prit un sein. Même harcelé par le soleil, celui-ci restait doux et ferme…
Lorsqu’elle passa un doigt sur le téton déjà bien dur, elle s’arrêta. Elle réalisa…
Elle n’était ni lesbienne ni hétéro. Elle était libre. Libre de disposer de son corps comme elle l’entendait. Finis les tabous et les jugements des autres ! Elle était libre…
« Que se passe-t-il ? demanda l’amazone en remarquant que son doigt restait immobile.
- Je suis heureuse.
- J’en suis contente pour toi, fit-elle avec nostalgie. »
Ces étrangères étaient bien mystérieuses. Elle arrêtait ses caresses parce qu’elle était heureuse. Et la pauvre jeune fille crut qu’elles en resteraient là…
Mais Brigitte, reprit sa caresse, se pencha sur le sein. Mais comme il était trop loin, elle s’allongea sur la jeune fille pour mieux le prendre en bouche. En bonne amazone, celle-ci était toujours sur le point d’éclater le plus vite possible.
Elles devaient jouir en un temps record, car elles étaient toujours aux aguets. C’était pour eux une course à la vie et à la mort. Celle qui subissait les caresses, n’avait pas droit à de longs préliminaires. Les autres veillaient sur elle. Mais elles étaient elles-mêmes menacées si elles manquaient d’attention. L’amour devait être furtif, bref et silencieux…
En revanche, l’étrangère prit son temps. Elle lui embrassa le globe du sein gauche, absorba l’aréole, et lui suça le téton…
Machine à tuer et machine à plaisir, l’amazone poussa un petit cri…
« Tu as déjà joui ? s’étonna Brigitte amusée et intriguée.
- Je sais que la plupart des femmes sont plus lentes, fit-elle essoufflée. Mais nous, nous ne pouvons pas nous permettre de perdre du temps ou nous exprimer trop bruyamment lorsque nous sommes en guerre.
- Mais tu n’es pas en guerre, en ce moment !
- Crois-tu que j’aie eu le temps de m’en rappeler, étrangère ?
« Maintenant, ce serait bien que tu continues…
- Mais à une condition, c’est que tu te retiennes.
- Je ferai de mon mieux, étrangère.
« Mais rassure-moi, tu n’es pas déçue.
- Simplement étonnée. »
Elle se remit sur la guerrière et lui suça un sein en lui palpant l’autre. Brigitte commençait à aimer ce jeu, mais elle devait surveiller la rapidité de sa partenaire. Ses cuisses se faufilèrent entre celle de la jeune fille.
A nouveau, elle baisa les tétons, embrassa les aréoles dans un souci de bien-faire. Puis elle l’attrapa par les hanches pour baiser son ventre plat. Elle se redressa légèrement. Les côtes entouraient cette perfection. Sa respiration était encore lente. Pour le moment, l’amazone tenait sa promesse…
C’était vraiment une belle fille. Sa bouche se posa à nouveau sur son ventre et Brigitte fit comme elle l’avait appris. Elle lui titilla le nombril. Bien sûr, elle sentit les effluves qui émanaient de son vagin. Mais celles-ci ne la dégoûtaient plus. Plus maintenant.
Elle caressa les poils à la recherche du clitoris déjà trop érigé. Elle écarta les grandes lèvres pour le chatouiller de la langue…
Elle n’y resta pas longtemps car les odeurs capiteuses lui avaient ouvert l’appétit. La respiration de la jeune fille s’était considérablement accélérée. De légers miaulements témoignaient de son plaisir.
Brigitte était fière de les lui avoir arrachés. Elle utilisa à nouveau les poils pour écarter la fente au maximum. Elle contempla un moment ses chairs si délicates avant d’y plonger tantôt la langue, tantôt un doigt, tantôt deux doigts.
La jeune fille gémissait de plus en plus fort. L’étrangère la connaissait maintenant suffisamment pour savoir qu’elle ne tarderait plus…
Ses cuisses entourèrent le cou de Brigitte. Ses jambes passèrent sur son dos, comme pour l’empêcher de s’échapper…
La jeune fille se retenait au maximum… Dans un cri, elle expulsa sa cyprine dans la bouche de Brigitte.
Celle-ci se régalait. Devenue aussi économe qu’un Hippide, elle n’en perdit pas une goutte. Elle lapa désespérément les chairs roses, mais il n’en restait rien…
Puis elle se rua sur sa victime allongée pour l’embrasser à nouveau…
« Tu t’es jurée de me faire chevaucher les plaines d’Hippys avant l’heure, commenta l’amazone. »
Brigitte l’embrassa à nouveau…
Puis la fille annonça :
« Tes cheveux doivent être secs. »
Elle enleva le turban, les secoua pour faire tomber la terre. Puis elle utilisa sa main pour mieux les lisser. L’opération était plutôt longue, mais ses cheveux étaient enfin propres.
La jeune fille, déjà intriguée par ces cheveux si clairs, était fière du résultat…
« Viens te montrer à tes amies, dit-elle en lui prenant sa main. »
Elle récupéra poignard, flèches et arcs, et les deux amantes du jour repartirent à la ferme.
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