Au cœur d'une douce complicité entre le dominant et sa soumise, Eléa et moi-même jouons au défilé de lingerie. la jeune fille polie et bien éduquée se transforme en soumise vulgaire pour mon plus grand plaisir. Celui-ci semble partagé...
Proposée le 2/09/2019 par albanphoto
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Nos mains continuèrent à caresser nos corps mais en évitant les zones trop sensibles, déjà largement sollicitées. Dans la nuit et la faible lueur du pc, je regardais mon amour mais voyais surtout celle qui venait de faire naître ma sexualité.
Avant Eléa, je n’avais connu que deux copines. La première avait été une expérience très agréable mais un peu gauche. La seconde avait été compliquée et m’avait apporté peu de plaisir. Avec Eléa, je découvrais ce que la complicité dans l’amour et le sexe pouvait apporter de félicité.
Presqu’une heure durant, nous nous embrassions sur les multiples parties de notre corps, parcourant de nos lèvres notre dos, nos cuisses, nos pieds même et cela valait toute les lettres d’amour.
Cette douceur, mêlée à la fatigue de ce milieu de nuit, m’apporta presque l’idée d’abandonner mon projet suivant. Étonnamment, ce fut Eléa qui nous conduisit une nouvelle fois vers la sexualité.
Glissant doucement de ma cuisse à mon sexe, puis de celui-ci à mes testicules, elle remonta le long de mon corps et vint se placer à côté de mon oreille. Continuant ses caresses appuyées, elle se mit à susurre à mon oreille.
- Tu sais que ton sexe est magnifique.
Je ne répondis pas, la laissant monter dans son délire.
- J’aime sa forme pointue et ce bout arrondi et si doux. Dans ma bouche, il est comme un animal vivant. Lorsque je passe ma langue sur ta petite ouverture, il tressaute contre mon palais. Jamais je n’aurai cru une bite si vivante. Je peux même ressentir les battements de ton cœur dedans.
- Mmhhh, continue…
- Je ne pourrai plus m’en passer tu sais. Il me la faudra encore et encore dans la bouche. Que je sente les bonds qu’elle fait au moment de cracher sa liqueur. Il y a 24h00 j’étais une petite pucelle mais tu as faite de moi la salope que j’attendais d’être et je me régale avec cette bite que tu m’offre. Ton sperme à le goût de l’Amour, je pourrai en boire des litres et rien que d’y penser, je recommence à mouiller pour toi…
Au-delà de l’excitation que me produisaient ces mots, je me demandais si Eléa avait oublié le supplice que je lui avais promis ou si, au contraire, craignant de ne pas le recevoir, elle cherchait à ranimer ma flamme ?
Par ailleurs son refus initial de la sodomie m’avait fait craindre un abus de pouvoir de ma part, ce que je ne voulais pour rien au monde.
Je décidai donc de m ’n’y livrer pas en écoutant ses paroles de refus qui pouvaient être du domaine du jeu mais en étant attentif à sa gestuelle si explicite.
Très tendrement, je la relevai et la conduisit devant la chaise du bureau où je pus m’asseoir. Lui tendant la jolie culotte blanche faite de tulle, je lui demandais de la passer. Elle n’avait pas pu oublier mes paroles au sujet de cette culotte, elle l’enfila pourtant lentement en me regardant fixement dans les yeux.
Mieux, elle se retourna, comme pour me narguer et tendis de ses deux mais le tissu recouvrant son adorable cul.
- Approche-toi !
Elle s’exécuta. Du bout du doigt, je visai directement son clitoris et appuyai dessus. Il était dur comme du bois et, loin de se soustraire à cette pression Eléa porta son mont de Venus vers moi.
Elle commença même à se branler sur ce doigt fixe à la manière de ce qu’elle avait fait avec son bureau.
Attentif, je la laissais faire monter son plaisir et me régalais. La voir onduler sur mon doigt, les bras dans le dos, projetant à la fois sa chatte et ses petits seins en avant tout en soupirant les yeux fermés me rassura sur son envie de continuer notre jeu de soumission.
Abandonnant cette pression, je me levai et la pris dans mes bras pour l’embrasser. Elle comprit sans doute que c’était là la dernière attention affectueuse à son sujet et en profita pleinement.
Fermement, je la conduisis face au lit tout en me plaçant derrière elle. Je restai là quelques secondes, lui caressant les seins tout en frottant ma queue sur sa culotte. Le crissement du tulle contre mon gland nous excitait tous les deux et nous aurions pu finir ainsi mais…
D’un geste ferme, je poussai son torse en avant et celui-ci vint se poser sur les couvertures. De dos, je voyais le spectacle affolant de son cul tendu sous l’étoffe transparente, de la fente de ses fesses appelant au sacrifice et se deux petits seins écrasés et dépassant de chaque côté.
Je me couchai sur elle et entrepris à mon tour de susurre à son oreille.
- Tu sais ce que je vais te faire maintenant ?
- …oui…
- Tu en as envie ?
- Non…
- Pourquoi ?
- Ça me fait peur….
- Mmhhhhh… tu ne devrais pas dire des choses comme ça…
- Pourquoi ?
- Parce que cela m’excite encore plus…
Elle poussa un soupir désespéré.
- Mais, tu veux peut-être savoir ce que je vais te faire ?
- Non… si… non…. Je ne veux pas j’ai peur…
- Peur ou pas, je vais te préparer le cul et y glisser ma bite…
Elle se mit à pleurnicher en ondulant du bassin, réussissant même à attraper ma queue entre ses fesses et la serrant avec force.
- Tu peux pleurer tant que tu veux, au contraire, cela me plait énormément. Je t’avais prévenue, je ne te ferai aucun cadeau cette nuit. Il fallait dire non, maintenant il est trop tard pour jouer les petites filles.
- Mais je ne l’ai jamais fait et j’ai peu d’avoir mal…
- J’espère que tu auras mal, cela décuplera mon plaisir d’ailleurs. Mais au fait, tu n’as jamais rien mis dans ton anus ?
Elle hésita à mentir puis bascula finalement pour la vérité que je connaissais déjà.
- Si, une fois…
- Raconte-moi ça tout de suite.
- Non, j’ai honte…
Je me dégageai d’elle et lui collai une claque sur le cul.
- Raconte !
- Un jour j’ai… j’ai…
- Vite !
- J’ai caressé mon anus….
- C’est tout ????
- Non…
- Alors vite !
- Je l’ai fait avec un string….
- Mmmmhhhh…. Et alors
- C’était délicieux….
- Très bien mais donne-moi des détails…
- …. Je l’ai fait tourner autour de mon anus puis, je… je l’ai enfoncé un peu dedans…
- Un peu ??? Cela m’étonne de toi…
- …
- Un peu ou beaucoup ?
- Beaucoup….
- Combien beaucoup petite traînée ?
- … en… entier…
- Grosse salope. Tu t’amuses toute seule avec ton cul et tu ne veux pas que je puisse y glisser ma bite ?
La plaquant contre le lit, je poussais le fond de son slip sur le côté et plaçais un doigt dans sa chatte.
- Afin de te préparer, nous allons jouer avec ta chatte d’abord. Combien de doigts y a tu déjà mis ?
- …trois…
- Pas plus ?
- Non, j’avais peur de me dépuceler.
- Bien, nous allons en ajouter deux !
- Quoi ??????
- Tu comptes discuter mes ordres ?
- …non…
- Bien. Écarte tes jambes !
Elle s’exécuta, ouvrant en même temps sa jolie vulve.
- Tu es prête pour un second doigt ?
- Oui. Dit-elle dans un soupir.
Je ressortis mon majeur, y joignis mon indexe et retournai en elle. Mélangées de sperme et de mouille, ses sécrétions servirent de lubrifiant et mes doigts glissèrent sans peine jusqu’à son utérus. Les remuant un peu, je déclenchais de profonds gémissements plaisant à entendre.
Ressortant à nouveau, j’ajoutais l’annulaire et la pénétrais à nouveau. Son petit sexe recevait ce volume avec déjà une certaine pression.
- Tu m’as bien dit trois n’est-ce pas ?
- Ouiiiii soupira-t-elle.
- Alors passons à quatre, tu vas aimer.
De nouveau, je sortais mes doigts trempés et ajoutais l’auriculaire en leur donnant une forme pointue.
- Aaahhhhhh.. nooooonnnnn….
- Mhhh quel délice de t’entendre te plaindre ainsi. Et quand je fais ça, qu’en dis-tu ?
Joignant le geste à la parole, je dépliais ma main à l’intérieur de son petit vagin et commençais à bouger énergiquement les doigts.
Eléa se contorsionnait autour de mes doigts, poussant des râles, comme un petit animal.
- Combien avais-je dit ?
- … non..
- Combien ???
- …non… non…
Je retirai ma main, crachais sur mon pouce et replaçai l’ensemble de mes doigts à l’entrée de sa fente.
Afin de la faire profiter pleinement de ce moment, je me penchai à nouveau vers elle et chuchotai.
- Tu vas prendre ma main belle salope. Tu ne le sais pas encore mais ta chatte va se dilater et je vais bouger tous les doigts en toi. Alors en frottant les parois de ton vagin, je vais te faire jouir comme une grosse pute obéissante.
- Oh oui, salaud, gros salaud, ça te plait de m’éclater la chatte hein ? Tu aimes ça m’écarteler avec tes doigts ?
- Oui ma salope chérie et je vais te faire jouir avec ma main dans la chatte !!!!
Se faisant, j’opérai une poussée en effet difficile et entrai centimètre par centimètres dans ce conduit qui hier encore était fermé. Alors qu’Eléa partait dans son délire, j’appuyais toujours contre l’entrée de sa chatte et brusquement, le renflement de mon pouce pénétra en elle.
Alors, ma main fut comme aspirée comme dans un gant humide. Enfonçant sa bouche dans la couverture, Eléa poussa un cri et cessa de bouger. Je fis une pause dans mes mouvements et je l‘entendis grogner comme démente.
Lentement, c’est elle qui reprit ses mouvements du bassin et, ses ondulations augmentant, elle finit par littéralement s’empaler sur ma main. Très excité, je me contentais de bouger mes doigts autour de l’entrée de son utérus.
- Alors petite salope, je croyais que ce n’était pas possible ?
- Oh putain oui, c’est bon, c’est booooon… continue, tu es un démon !!! Bouge tes doigts en moi, bouge-les tu me fais jouir mon salaud, ma chatte est pleine !!!!
La sentant partir, je pistonnais alors sa chatte de tout ma main et les pulsations déjà ressenties avec ma bite se renouvelèrent autour de ma main. Je pus ainsi sentir les contractions de ses parois sur mes doigts en même temps qu’une inondation se produisait à l’intérieure de son vagin. Elle s’écroula, cuisses écartées, chatte dégoulinante, ma main plantée en elle. Cette vison d’une immense vulgarité était me donna envie d’éjaculer sur elle mais je me résolu d’attendre.
Je me retirai délicatement d’elle et vins l’embrasser. Comme folle, elle sauta sur ma bouche et y enfonça sa langue pour la faire tournoyer.
- Tu m’as rendue folle !!! Putain ce que je t’aime !!!!
- Et ce n’est pas fini mon bel amour.
Pour toute réponse, elle enfonça à nouveau sa tête dans le lit.
…………………
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