Cette longue nuit d'amour et de vice doit se terminer en apothéose. Eléa a-t-elle bien compris combien elle est ma soumise ? Alors qu'elle s'y refuse, je prendrai sa seconde virginité de force. mais étai-ce bien contre sa volonté ?
Proposée le 2/09/2019 par albanphoto
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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Je me relevai et me plaçais entre ses cuisses.
Mon sexe tendu n’eut aucun mal à pénétrer son sexe marécageux et, arrivé au fond, je commençai à caresser son dos, ses fesses, ses cuisses afin de la détendre.
De mon pouce, je ramassai ensuite un peu du jus gras sortant de sa chatte et vins l’étaler sur son anus contracté. Elle répéta sa plainte.
- Non…
Sans m’en soucier, je continuai plusieurs fois jusqu’à ce que sa rosette fut bien grasse. Alors, je commençai à masser ce trou vierge en opérant des cercles de moins en moins larges et se terminant à l’entrée que je forçais chaque fois un peu plus.
- Noooonn…nooooon…
J’appuyai de plus en plus fort mais sans la pénétrer encore, attendant qu’un signe de son corps vienne contredire ses paroles. Il arriva enfin sous la forme d’une poussée de son cul vers mon pouce et, contre toute attente, c’est elle qui fit pénétrer la première phalange en poussant un râle.
Je le ressortis afin de juger à nouveau de son envie et, tout en criant « non », elle tendit à nouveau son anus vers mon pouce. Cette fois-ci, deux phalanges entrèrent et l’anneau se referma sur moi avec vigueur. Plus de doute possible…
Je me retirai une troisième fois, crachai sur son trou palpitant et enfonçai mon pouce tout entier au fond de son cul.
- Aaaahhhh salaud !!!!!
- Tes trous sont à moi, tu l’as bien compris ?
- Salaud !!! Qu’est-ce que tu me fais ???
Je découvrais pour la première fois cette endroit mystérieux, interdit et pourtant capable de produire du plaisir.
Comme pour sa chatte, j’ajoutai bientôt un second doigt puis un troisième mais il me fut impossible de les faire pénétrer ensembles.
Eléa de son côté poussait de plus en plus fort son cul vers mes doigts, m’insultant ou m’encourageant à poursuivre ma poussée impossible.
Après avoir suffisamment joué à ce jeu, je retirai mes doigts de son cul et ma queue de sa chatte.
Mon gland vint se placer face à l’anus qui, déjà, c’était un peu ouvert.
- Tu es prête ma chérie ?
- Noooonnnnn !!!!
- Parfait, c’est ce que j’espérais…
- Non, j’ai peur, j’ai peur
- Dans quelques minutes, ce sera terminé…
D’une main je saisis ma queue et poussant plus fort tout en la guidant, je commençai à pénétrer ma petite brune.
Usant d’une certaine force, j’eu un moment de doute car son anus ne semblait pas vouloir céder.
Choisissant une autre technique, je poussais puisement et restai ainsi face au trou serré, attendant qu’il ne puisse plus résister.
Eléa tint ainsi plusieurs secondes mais, à bout de force et relâchant son effort, son anus se relâcha et mon gland y entra d’un coup.
Elle poussa un cri de bête déchirée et se mit à sangloter.
Alors que je ne rêvais que de l’embrasser et la prendre dans mes bras 12h00 auparavant, j’étais en train de me réjouir de la faire souffrir. Incompréhensible…
Je goûtai avec délectation à cette nouvelle pénétration. Très diffèrent de son vagin, ce conduit, finalement plus large, n’était resserré qu’à l’entrée et il me semblait que deux doigts mis en rond avaient saisi ma bite et me masturbaient en me serrant presque trop.
Encore une fois, j’attendis que ma belle brune prenne l’initiative envisageant même d’en rester là si elle ne manifestait aucune envie visible.
Indistinctement, j’entendis Eléa prononcer une phrase. Me penchant sur elle, je lui demandai de répéter.
- Tu... tu es dans mon cul ça y est ?
- Oui mon amour et il est délicieux.
Elle commença à se tordre.
- Ça veut dire que tu es en train de… de m’enculer. ?
- Oui ma belle salope.
Son basin fit de petits bonds puis ceux-ci s’amplifièrent. Par-là même, elle commença à faire coulisser ma verge dans son boyau.
- C’est horrible, ta bite est énorme, je n’arriverai jamais à…
- A quoi mon amour ?
- A la prendre en entier, je suis trop étroite…
- Je ne crois pas… Tu sais que mon gland, ce gland que tu aimes tant est entrée en entier…
- Ooohhhhhh salaud, tu veux dire que tu es en train de me défoncer le cul, c’est ça ?
- Oui ma belle putain, je te fais ce que l’on fait aux salopes dans les films pornos, je te ramone le cul et tu aimes entendre ça, j’en suis sûre.
- Oooh ouiiiii, dis-le encore !!!
- Je te ramone le trou du cul et je suis même en train de te l’élargir avec ma grosse bite…
- Aaaahahhh Aahhhhhhh !!!!!!!
- Je m’enfonce dans ton petit anus de pucelle ainsi j’aurai pris tous tes orifices avec cette queue…
- Ahhhhhh Aaaaaahhhh !!!! Encore, encore !!!!
- Je vais maintenant pousser un peu plus pour que tu sentes bien chaque centimètres glisser en toi, alors, lorsque je serai au fond, je te traiterai de « petite enculée »…
- Oohh ouiiiii, vas-y vas-y !!!!!!
Sans plus attendre, j’attrapai ses deux hanches et glissai en avant d’une poussée franche. Il me sembla que son anus craquait un peu et à la fin de cette poussée, mes couilles vinrent buter contre ses lèvres trempée et poisseuses.
- Ça y est ma belle, tu es une petite enculée, je viens de te déchirer les fesses et c’est à ma bite que tu le dois…
- Oooohhhh, non… j’ai peur, j’ai peur….
- Peur de quoi petite soumise ?
- J’ai peu de jouir par le cuuuuuul !!!!!
- C’est pourtant ce qui va arriver, regarde ce que je vais te faire petite conne !
Je passai ma main sous son ventre pour atteindre son clitoris et continuai à la pistonner.
A grands coups de bassin, j’explosais son anus tout en le lui disant pour la faire jouir.
- Je vais t’exploser la rondelle belle salope de soumise. Tu regardais des vidéos de domination, te voilà dedans désormais. Ton cul est à moi et je suis en train de te fouiller les fesses comme on le fait au petite dévergondées de ces sites.
- Oh ouiiii, déchire mon cul, fais de moi une petite enculée, je veux que tu me dilate le trou du cul et que tu craches dedans. Remplis-moi le ventre de sperme. Vide tes grosses couilles bien pleines. Remplis ta salope de foutre, je veux jouir du cul sur ta bite gonflée !!! je t’aime !!! je t’aime !!!!
Mon bassin frappait ses fesses et je tirais sur sa culotte pour la faire entrer dans sa chatte en même temps. Alors elle saisit ses seins et en tritura les pointes au point de les rendre rouges et gonflées.
- Oh putain ouiiii ouiiii, mon chéri. Regarde ce que tu me fais, tu vois ta bite dans mon petit trou ? Ça te plait ?
- Oh oui, je la vois glisser dans ton boyau et je me régale.
- Termine-moi mon beau salaud, défonce ta salope et fais-la jouir par les fesses, vas-y, vas-y !!!!!!!!
- Ahhhhhh tiens, tiens sale putain soumise à ma grosse bite !!!!!!!
Eléa fut prise d’un spasme énorme qui faillit m’écraser la bite.
Je crus un instant qu’elle allait s’évanouir puis, en pleurant, elle se mit à se trémousser de telle manière que ma bite lui envoya plusieurs salves de sperme au fond du ventre. Il me sembla que toute mes forces partaient avec ces giclées et planté au fond de son cul, je poussais un cri de jouissance monumental.
Emportés tous les deux vers des cieux inconnus, nous sombrâmes dans une sorte de comas d’amour…
Le lendemain, ouvrant les yeux, je vis ma belle brune s’agiter sur ses bagages et me regarder en souriant.
Elle se pencha sur moi et m’embrassa avec fougue et amour.
- Il est super tard, je suis à la bourre et mes parents arrivent dans 15 minute. Tu te lèves ?
Je fis un bon.
- Quoi, il est quelle heure ?
- 13h45…
- Oh putain !!!
- AH ben oui, à force de jouer les étalons, on fatigue.
Et elle m’embrassa à nouveau.
- Tu es un amant de folie…
Quelques minutes plus tard, je me retrouvai devant la voiture de ses parents tandis que mon amour embrassait déjà ma cousine et ma tante. Se tournant vers moi, elle posa à nouveau ses lèvres sur les miennes et me fit un baiser si plein d’amour, que l’entourage en resta silencieux.
Ma cousine, voyant Eléa se séparer de moi avec difficulté, m’adressa la parole.
- T’inquiète, j’ai son adresse à cette petite.
Eléa lui fit un dernier clin d’œil, laissant lentement sa main quitter la mienne et monta dans sa voiture.
Elle ne me quitta plus des yeux jusqu’à ce que le véhicule disparaisse derrière la haie, sur la route.
Quelques minutes plus tard, je trouvais dans ma chambre la jolie culotte blanche du sacrifice avec un petit mot accroché dessus : « vous alliez si bien ensemble » …
Parce que cette histoire est vrai, je ne vous épargnerai pas la fin qui fut inattendue.
Cherchant à la joindre, par le biais d’une longue lettre d’amour rédigée l’après-midi même de son départ, je reçu comme simple réponse le surlendemain :
« adieu mon merveilleux amant, sache tout de même que je t’aimerai toujours ».
Fin
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