Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 1

Je découvre la sexualité avec une jeune fille folle de lingerie. En deux nuits de folie, ma belle Eléa me transmettra son goût pour les petites culottes et la soumission. Deux pratiques complices qui ne me quitteront plus.

Proposée le 23/08/2019 par albanphoto

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie


L’histoire que je viens vous raconter est vraie. Certes, je l’ai romancée mais cette aventure m’est véritablement arrivée.

Elle est incroyable et a conditionné ma vie sexuelle pour toujours en faisant de moi un amoureux de la lingerie.

A l’époque, j’avais 17 ans ½ et mes parents, obligés de travailler l’été, m’envoyait depuis deux ans chez mes oncles et tantes dans le Lot.
C’était bien sûr un immense plaisir de quitter la ville et de retrouver cette partie de ma famille que je ne voyais que rarement. Ma cousine du même âge que moi n’ayant pas froid aux yeux m’en racontait de belles et nous étions très complices tant dans les conneries que dans les secrets et soutiens face aux adultes.
Nous passions un mois de liberté ensembles et je ne tardais pas à être présenté de manière flatteuse à ses copines.
Cette année-là fut pourtant spéciale car dès mon arrivée, je tombai sous le charme d’une copine de ma cousine. C’était la première fois que je la voyais d’ailleurs, je m’en serais souvenu. A peine plus petite que moi, un visage adorable toujours armé d’un aimable sourire, et un corps absolument parfait à la fois svelte et ferme que des années de gymnastique avaient contribué à construire de la manière la plus harmonieuse qui soit.

En bon ado, je regardais bien évidement ses seins et son postérieure et les premiers comme le second m’inspiraient énormément.

Le soir même, j’étais amoureux d’elle. Impossible de faire autrement que de chercher à me trouver près d’elle à table ou à faire équipe dans les tonitruantes parties de ping-pong de fins de soirées.

Cela marchait parfois mais pas toujours et j’avais bien du mal à comprendre ses sentiments envers moi. Sa joie de vivre, ses éclats de rire mais aussi sa classe naturelle, agissaient pourtant sur moi comme un aimant puissant.

Ma cousine, à qui je n’avais pas même eu besoin de dire quoi que ce soit, tentait de me faciliter les choses mais notre aimable Eléa restait tout à la fois adorable avec moi et distante à mes avances.
Après quelques jours, elle devint même une sorte de binôme, ne souhaitant plus faire ses activités qu’avec moi. Pourtant, à la moindre allusion, de son sourire si plaisant, elle changeait de conversation ou feignait de ne pas comprendre et changeait de conversation.

On s’en doute, cette belle petite brune me rendait fou et cette incertitude contribuait au renforcement de cet amour. Je passais mes journées à la regarder se mouvoir dans des tenues estivales affolantes pour mes sens. Ses seins enfermés par si peu de tissu et plus ou moins libres selon les jours, semblait s’adresser à moi lorsqu’elle se penchait. Je passais de même des heures à le regarder en jupe dévoiler ses sublimes cuisses bronzées au moindre coup de vent.
Impatient, je me demandais quand arriverait le virage tant attendu.

La maison étant immense, il se trouvait qu’elle et moi dormions dans une aile parfaitement isolée, au bout d’un long couloir que barraient deux portes.
Les conditions, sans doute réunies par ma cousine, étaient tellement propices à une rencontre discrète que je me morfondais chaque soir, de dormir seul, à quelques mètres de mon bel amour.

Tiraillé entre l’amour que je lui portais et l’envie de connaitre plus avec elle, je m’enhardis un soir à faire le tour de la maison, dans l’obscurité, afin d’arriver sous sa fenêtre. Ce pignon de la maison étant barré par deux grosses rangées de thuyas, je me trouvais en parfaite discrétion pour observer ma chérie mystérieuse. Mieux, ces Thuyas cachaient une citerne à gaz qui m’offrait un promontoire parfait.

Me hissant avec la plus grande discrétion je découvris, derrière la fenêtre entrebâillée, ma belle Eléa, de dos, assise à son bureau face à son ordinateur.
Mes yeux s’habituant à la pénombre, je compris rapidement qu’elle était quasiment nue, vêtue seulement d’un soutien-gorge et d’une culotte dont le blanc tranchait dans le noir de sa chambre.

Image affolante, je devinais, sur ses flancs et grâce à la lumière de l’écran, l’étoffe de son slip puis parvins à voir distinctement ses fesses, au travers du tulle transparent, légèrement écrasées sous son poids, contre le fond de la chaise. Sans même m’en rendre compte, une érection monta dans mon caleçon et ma main se posa dessus. Ignorant ma présence, la belle brune qui faisait chavirer mon cœur, se penchait, se tordait parfois, déformant la petite culotte au gré du déplacement de ses deux délicieux globes. Ce spectacle aurait pu durer cent ans, cela m’aurait suffi, pourtant, après quelques minutes, j’observais que mon nouvel amour semblait bouger ses bras et je commençais à me demander si je n’assistais pas une scène encore plus torride que ce que je pensais.

La réponse arriva bien vite. Je vis très nettement le bras droit d’Eléa monter à la hauteur de son sein gauche et commencer à le masser. Puis, comme prise d’une brusque envie, elle retira son soutien-gorge et se mit à malaxer ses deux seins de manière compulsive, basculant parfois la tête en arrière.
Je n’en croyais pas mes yeux.

La jolie jeune fille faisait visiblement pas mal d’efforts pour ne pas soupirer trop bruyamment pourtant, de temps à autre, un râle s’échappait de sa bouche et dans ce son suave, tout le plaisir qu’elle se donnait pouvait se mesurer. Incapable de résister, je sortais mon sexe et commençais à me masturber.
Situation étrange que d’observer une jeune fille à qui l’on aimerait déclarer sa flamme et qui vous offre un spectacle tel que celui-ci…

Alors que je faisais des efforts considérables pour ne pas éjaculer trop vite, Eléa se leva, attrapa les deux côtés de sa délicieuse culotte, la fit glisser le long de ses jambes et la garda dans sa main.
L’écran de l’ordi m’offrant juste ce qu’il fallait de lumière pour admirer cette splendeur, quelle ne fut pas ma surprise de voir Eléa retourner son slip afin d’en extraire le fond sans doute mouillé, puis le porter à son nez.
Stupéfait, je lâchai mon sexe afin qu’il n’explose pas et continuai à regarder.
J’avais là devant moi l’adorable Eléa, distante et charmante, discrète et sérieuse, transformée en furie ne se contrôlant presque plus.

Sa culotte toujours dans la main gauche, elle fit descendre sa main droite jusque contre son sexe et commença à se masturber avec une certaine violence. Puis, portant cette fois-ci son slip contre sa langue, elle lécha le fond mouillé à plusieurs reprises et partit dans un orgasme dont elle ne put cette fois, retenir le cri qui l’accompagnait.
De mon côté, sans même me toucher, je lâchais plusieurs salves de sperme dans le vide me pliant en deux pour ne pas hurler de plaisir. Me laissant glisser le long du mur, il me fallut de longues minutes pour reprendre mes esprits, assis dans l’herbe.
Minutes durant lesquelles Eléa avait refermé sa fenêtre sans même que je m’en rende compte.

De retour dans ma chambre, les jambes coupées, je tombai dans mon lit et m’endormis presque immédiatement jusqu’au lendemain midi.
……………………


© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 4
La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 5
La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 6
La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 7
La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 8