Toujours plus d'amour pour ma belle Eléa de jour et toujours plus de vice pour la demoiselle de nuit. Apprentis voyeur, je découvre une sexualité jusque là inconnu grâce au spectacle de ma chérie.
Proposée le 28/08/2019 par albanphoto
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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Les jours qui suivirent ne changèrent que trop peu de choses à mon gout et les vacances étant maintenant sérieusement entamées, je décidais d’être plus direct afin d’en avoir le cœur net.
Il faut dire que ces deux séances m’avaient galvanisé et si mon amour était toujours plus fort et bien présent, l’idée de partager une de ces séances avec elle me motivait tout autant.
Je continuais à me rendre sur mon perchoir mais le spectacle n’était plus au rendez-vous et une longue période infructueuse me fit penser que tout cela était fini.
Me livrant, partiellement, à ma cousine, je lui expliquais qu’il était temps d’agir car la fin des vacances finirait par arriver et je l’aimais trop.
Elle me promit de plaider ma cause et même, avec mon consentement, de lui dévoiler mon amour.
Très autonome, Eléa gérait ses courses, quelques achats et son linge. A cet effet, ma cousine lui avait attribué une corde à linge se trouvant un peu sur la droite de la fenêtre de ma chambre, sous un appentis.
Je ne sortais jamais de ma chambre sans jeter un œil inquisiteur et découvrais chaque fois avec plaisir ses vêtements sages mais toujours sexy mais aussi sa lingerie en train de sécher. Plusieurs fois je reconnus le petit slip en tulle du premier soir mais aussi le tanga qu’elle avait si mal mené. Me retenant de lui en voler un afin de me soulager dedans, je fis toutefois régulièrement des photos afin de les regarder le soir en me masturbant avec ferveur. Aussi incroyable que cela puisse paraître, à la simple vue de ces images, je ressentais le même plaisir qu’à la voir en vrai.
Un jour alors que la belle ramassait son linge et que nous étions en train de jouer au freesbie avec ma cousine, celle-ci, avec un clin d’œil, envoya le disque avec suffisamment de force pour qu’il arrive au pied d’Eléa.
Courant le chercher avec la plus feinte innocence, j’arrivais à ses pieds alors qu’elle décrochait une petite culotte noire et transparente. Très inspiré, je lâchai en la regardant dans les yeux :
- Vous allez très bien ensemble toutes les deux !
Pour la première fois, Eléa ne me rembarra pas avec une boutade mais plongea dans mon regard comme perplexe. Je décidai de forcer le trait en ajoutant à voix basse :
- J’espère que je vous verrais réunies un jour.
Puis je lui déposai un baiser sur l’épaule et la belle ne put retenir un frisson.
Sans savoir l’expliquer, je sentais que je venais de me rapprocher d’elle mais j’étais encore loin de m’imaginer à quel point.
Les jours passèrent pourtant, irrémédiablement et ce n’est que trois jours avant la fin de nos congés que tout bascula.
Depuis déjà quelques temps, elle ne me quittait plus m’appelait « mon beau » devant tout le monde et ceux qui ne faisaient que passer pensaient que nous sortions ensemble. Plutôt que de profiter de ces attentions, je ne forçais rien mais lui disais chaque jour combien je la trouvais belle et attirante.
De merveilleux jours en vérité….
Le soir de l’avant dernier jour, après que nous nous soyons tendrement embrassés sur le pas de sa porte et qu’elle n’ait lâché ma main qu’avec un certain regret, je constatai qu’une fois seule dans sa chambre elle avait allumé son pc et lui faisait jouer un peu de musique.
Il n’en fallut pas plus pour m’inspirer une petite sortie sous sa fenêtre. Bien m’en pris.
A mon arrivée, ma chérie dansait devant son PC, vêtue du chemisier blanc qu’elle avait porté ce jour-là mais à la place de son short, elle avait passé une de ses affolantes petites jupes plissées sur lesquelles se retournaient tous les garçons du coin. Se déhanchant sans retenue, je voyais ses petits seins sauter dans son soutien-gorge et parfois, la jupe se relevant assez haut, je découvrais un joli string noir tout en dentelle. Cette danse était diabolique car elle mélangeait cette très belle classe naturelle qu’avait Eléa avec une conduite des plus obscène.
Comme chaque fois, elle commença par retirer son soutien-gorge. Elle le fit par les bras de son chemisier, sans doute pour le plaisir de sentir ses pointes frotter sur l’étoffe du chemisier à chacun de ses mouvements. Et en effet, sa danse redoubla d’intensité.
Puis, ce fut au tour de la jupe de tomber au sol, libérant à mon regard ces merveilleuses fesse fendues par cette dentelle tentatrice.
Massant ses seins d’une main au travers de son chemisier, elle descendit vers sa chatte, et commença à se branler avec ferveur.
A n’en pas douter, son string devait passer un sale quart d’heure et il ne faisait aucun doute qu’une certaine humidité devait déjà l’avoir gagné. Signe évident du plaisir montant en elle, les coups de bassin redoublaient et, comme folle, elle vint appuyer son sexe contre le coin de son bureau.
S’en suivit une masturbation sans les mains, celle-ci se retrouvant posées sur ses deux seins massés avec hystérie.
Avançant et reculant son bassin dans un rythme régulier, elle meurtrissait sa chatte contre le bois du bureau poussant de petits cris, semblant même parfois se faire mal mais reprenait immédiatement après ce frottement diabolique. A chacun des mouvements, le tissu du string passait d’une tension extrême au plus complet bâillement, laissant entrevoir une partie de sa jeune toison brune et une partie de ses lèvres maltraitées.
Avant même que j’ai le temps d’apprécier ce nouveau spectacle, elle explosa dans un orgasme magnifique qui la fit tomber au sol, les cuisses ouvertes vers moi. M’offrant une vue magnifique et inespérée, je contemplais cette belle brune, habituellement si distinguée, m’offrir son intimité rougie, gonflée et poisseuse de son plaisir, avec la pire des vulgarités.
Immobile et reprenant son souffle, elle me laissa tout le loisir d’observer sa merveilleuse chatte. Surmontées de quelques jeunes poils, ses grandes lèvres parfaitement ouvertes laissaient s’échapper les plus petites comme deux langues humide. Par moment, l’entrée de son sexe se contractait encore, alors, ces lèvres rougies, comme surprise, se rétractaient puis ressortaient à nouveau doucement.
Incapable de résister à cette vue, je saisissais mon sexe et envoyais plusieurs giclés de sperme.
Après quelques longues minutes de repos, Eléa se remit sur ses jambes et partit du côté du cabinet de toilette. Je pensais la séance terminée mais, alors que j’allais sauter de mon perchoir, elle revint, nue, les mains pleines de petites culottes, de toutes formes, de toutes couleurs et les lança sur son lit.
Elle s’y jeta à son tour, sur le dos, et recommença sa masturbation, d’abord lentement, puis de manière plus soutenue. Elle retira son string qu’elle garda dans sa main et enfonça directement deux doigts à l’entrée de sa grotte. De mon poste d’observation et grâce à la fenêtre entrebâillée, je pouvais entendre un bruit de clapotis accompagner le mouvement de ses doigts trempés.
Ceux-ci accéléraient clairement et semblaient prendre de plus en plus de place dans ce bas ventre.
A nouveau, en quelques secondes, cette adorable chatte se retrouva grande ouverte au milieu des cuisses écartées et laissa s’échapper un jus limpide et gras dont elle se servait avec adresse.
Quelques fois, un de ces doigts descendait plus bas que sa fente et je vis pour la première fois une femme se donner du plaisir en caressant son anus.
L’excitation remonta en moi comme si rien n’avait encore eu lieu.
Elle chercha de sa main libre les culottes qu’elle avait déposées juste avant et, en ramassant plusieurs d’un grand geste, elle les porta à sa poitrine et commença à caresser ses seins avec.
Ses tétons tendus, semblaient lui procurer un plaisir inouï et des râles commençaient à sortir du fond de sa gorge. Elle prit ensuite le string noir du jour, le fit descendre vers sa chatte et l’enfonça doucement. Sans y entrer complètement, il disparut pour une grande partie dans son vagin où elle continua à le faire aller et venir. Le laissant à l’entrée de sa chatte, elle tira sur le bout resté dehors et commença frotter son clitoris.
Elle se retourna ensuite pour se mettre à quatre patte, m’offrant une vue parfaite sur ses deux plus beaux orifices. D’une main experte, elle fit tourner un autre slip blanc, posé sur le bout de son majeur, tout autour de son anus puis, finalement et par petites pressions fermes, le fit entièrement disparaître entre ses fesses. J’étais stupéfait !
Voir Eléa à quatre pattes, les cuisses écartées devant moi, le cul cambré, avec les orifices emplis de lingerie souillée me rendait fou. Toujours à genoux, dos à moi, les cuisses grandes ouvertes et le bassin en transe, Eléa astiquait sa chatte et son anus dans la plus grande impudeur, m’offrant une vision tellement ouverte de ses grottes qu’aucune pénétration ne me semblait impossible.
Après s’être tordue de plaisir en continuant sa masturbation, elle tira doucement sur l’étoffe dépassant de son petit trou et lentement, elle fit ressortir le slip. La dentelle résistait, retenue par les bords de l’anus et ce geste fut accompagné d’un râle animal m’indiquant que ma belle salope était en train de jouir pour la seconde fois.
Cette seconde secousse passée, elle s’endormit enfin, telle qu’elle était au moment de l’orgasme, nue et à nouveau élégante.
De retour dans ma chambre, je sortais les photos de ses culottes et me branlais avec délectation fermement décidé à porter l’estocade le lendemain.
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