Mon fils de 17 ans, Romain, sort depuis quelques mois avec une fille de sa classe. Cette dernière, très charmante, vient souvent lui rendre visite à la maison, au point que nous avons décidé de lui laisser un double des clés. Un soir, elle arriva à l'improviste…
Proposée le 12/08/2019 par Chris50
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Je m'appelle Christophe, j'ai 50 ans. Je suis marié depuis 22 années à Isabelle, une femme de mon âge, avec qui j'ai eu 2 enfants: Manon, 20 ans, et Romain, 17 ans. Mon fils était en première S cette année, et il sort depuis 8 mois environ à une fille de sa classe, Célia, 16 ans (car née en fin d'année).
Elle vient souvent à la maison pour passer du temps avec Romain (mais je la ramène chez elle le soir bien sûr). Cela ne nous dérange pas, moi et ma femme, bien au contraire: Célia est une très bonne élève et les notes de notre fils se sont améliorées depuis qu'ils font leurs devoirs ensemble. Ils sont très amoureux et elle nous plait aussi: d'un naturel discret, elle est sérieuse, plutôt réservée et surtout très bien élevée.
Et c'est aussi une fille très mignonne: elle mesure 1m72 pour 50 kg, elle a des cheveux châtains longs et ondulés, des grands yeux couleur noisette, de longs cils noirs et des lèvres roses, assez fines. Sa peau est assez mate, car elle est d'origine espagnole par son père. Célia possède également un petit cul rebondi et des petits seins bien fermes (elle fait du 85A) qui font d'elle une jeune femme très séduisante, malgré son jeune âge.
Cette année, ils passaient donc le bac français. Il y a quelques jours, mon fils a obtenu ses résultats: 20 points d'avance. Heureux de cette annonce (et pour sa petite-amie qui a obtenu 38 points d'avance), il partait fêter ça en passant le week-end avec des amis (entre garçons). Connaissant sa jalousie, il n'avait pas pris la peine de prévenir Célia de son absence, elle qui avait de toute façon prévu de sortir avec ses copines le samedi.
Notre fille étant en vacances pour deux semaines avec ses amies (eh oui, elle ne part plus avec nous), nous étions seuls, moi et Isa, pour un week-end en amoureux. Cela allait nous faire du bien: notre couple traversait une mauvaise passe et nous n'avions pas eu de rapport sexuel depuis près de 3 mois. Mais la soirée du samedi ne se passa pas comme prévu: avec la chaleur, l'excitation et l'alcool consommé, nous nous sommes disputés, comme souvent ces derniers temps, et j'étais viré du lit conjugal. Je partais donc dans la chambre de Romain, et m'endormais, en boxer, sur son lit.
Là, au beau milieu de la nuit, j'étais réveillé par un bruit de pas dans la chambre. Inquiet, je m'apprêtais à ouvrir les yeux et me lever, quand j'entendis une voix féminine chuchoter:
- Chuut
J'imaginais donc ma femme voulant se réconcilier par le sexe. Je l'entendais se déshabiller et elle me lança son haut sur le visage. Depuis quelques années, avec Isabelle, nous aimons pimenter nos ébats sexuels, notamment en instaurant du mystère, pour augmenter l'excitation, alors je jouai le jeu et fermai les yeux.
Je respirais dans son haut et je découvrais son nouveau parfum, plus frais et fleuri. Là, je sentis ma petite femme (1m60 pour 50 kg) se glisser sous les draps. Elle abaissa mon boxer en chuchotant à nouveau:
- Chuuuut
Je sentais son souffle chaud sur mon sexe. Elle retira complètement mon sous-vêtement, écarta mes cuisses pour s'y placer au milieu et pris délicatement mon sexe de sa main droite. Ses doigts me paraissaient tellement fins, elle lécha mon gland et je me mis à bander. Alors elle posa son autre main sur mon sexe, le ramena vers elle et le rentra tout entier dans sa petite bouche chaude. Là, je sentais sa petite langue faire le tour de ma bite pendant que sa tête faisait des va-et-vient de haut en bas. Ah! Ma femme ne m'avait plus sucé avec autant d'entrain depuis de longues années.
Après cinq à dix minutes de cette bonne fellation, elle se redressa et me jeta son soutien-gorge et sa culotte. Isa m'avait caché cette petite lingerie sexy: de la dentelle noire et d'une taille inférieure à la sienne. Alors qu'elle rapprocha mes cuisses, écarta les siennes, s'assis sur mon sexe et le pris dans sa main gauche pour le placer dans son vagin, j'approchai sa petite culotte de mon nez et la reniflai. Elle descendit alors lentement son corps et je sentis mon pénis pénétrer sa chatte étrangement étroite. Était-ce dû à notre longue abstinence ? En tout cas, c'était terriblement agréable. Elle se retourna finalement et commença par me chevaucher de dos. Je posais mes mains sur son petit cul. Assez vite, elle accéléra le rythme: elle allait au triple galop! Pendant que ses fesses bien fermes rebondissaient vigoureusement sur moi, je les malaxais. Ma partenaire donnait tout. Elle enleva mes mains de son fessier et les pris dans ses mains, tendues vers moi. À travers les mailles de son haut rouge, je trichai et la voyait se balancer de haut en bas, s'épuisant pour me faire jouir. La mauvaise visibilité me donnait l'impression de revivre mes premières nuits avec Isa, lorsque nous étions deux jeunes amants et que ses longs cheveux tombaient dans son dos.
Après quelques minutes, elle ralentit la cadence, se retourna de nouveau et me chevaucha, avec la même énergie, mais de face cette fois-ci. Encore une fois, je la regarde à travers le tissu et je vois son jeune physique de rêve: un ventre plat, des seins fermes qui ne tombent pas, se balançant au rythme effréné de ses hanches, et des cheveux qui tombent sur sa poitrine. Elle s'efforce de les rabattre en arrière, quand elle ne pose pas ses petites mains sur mon torse...
Qu'est-ce que je raconte ? J'étais en plein fantasme! Ces trois mois sans sexe avaient rendu ma femme, certes bien conservée pour son âge, irrésistible et jeune à mes yeux. Au bord de l'éjaculation, je revins à la réalité pour faire redescendre mon excitation. Je l'entendis respirer de plus en plus fort, et, tout à coup, elle commença à gémir doucement. C'est à ce moment qu'elle décida de retirer son petit haut de ma tête, me laissant découvrir la belle femme qui me faisait torridement l'amour...
CÉLIA ! Ce n'était pas Isa, mais Célia ! À la découverte de mon visage, et voyant qu'elle m'avait confondu avec Romain, elle poussa un cri, sous le choc. Moi, voyant son corps de déesse sur le mien, j'étais encore plus excité. Son expression faciale, les yeux et la bouche grands ouverts, et son petit cri sexy me firent jouir en elle instantanément. Elle essaya de s'échapper, mais sentant mon sperme se vider en elle, je la retins par les hanches et me penchai sur elle en l'allongeant sur le lit. Je remontai mes bras et la serrai pour qu'elle ne puisse pas se débattre.
- Non! non! non!, répétait-elle.
Je finissai de jouir et lui répondis:
- Trop tard.
Je la lâchai et m'allongeai à côté d'elle. Elle me tourna le dos, et pleurant presque:
- Vous êtes un porc !
- C'est toi qui m'a sauté dessus, Célia.
- Je pensais être avec Romain, vous le saviez et vous en avez bien profité...
- C'est faux ! Je croyais que tu étais ma femme, sinon je n'aurais pas joui.
Elle se retourna et me jeta un regard noir: je sentis que cette dernière phrase l'avait vexée.
Célia est une très belle fille, et elle en a bien conscience. Elle aime attirer les regards et être au centre de l'attention. Ainsi, elle est aussi très jalouse lorsque mon fils se risque à regarder une autre femme (ce qui ne lui arrive que très rarement) et ne supporterait pas d'être moins excitante qu'une femme de l'âge de sa mère.
Alors, elle tourna tout son corps vers moi, me fixant droit dans le yeux. Elle cachait ses tétons de son bras droit et plaça sa main gauche devant son vagin. Je la sentais hésitante, cherchant la vérité dans mon regard: elle devait se douter que c'est son corps de rêve qui m'avait fait jouir. Elle avança ensuite lentement, à quatre pattes sur le lit, vers la porte de la chambre. Je prenais du plaisir à mater son petit cul quelques instants. Arrivée près du bout du lit, elle se retourna finalement et s'allongea sur le ventre, plaçant sa poitrine entre mes cuisses, levant et croisant ses pieds.
Ses yeux de biche me fixèrent une nouvelle fois, puis elle attrapa mon sexe, encore chaud et humide, du bout des doigts de sa main droite. Elle le leva, le fixa attentivement puis releva son regard sur moi. Elle regardait ensuite ses doigts, les frottant légèrement. Elle osait à peine toucher mon pénis, et utilisait ses petits doigts pour le lever. Elle le tripotait lentement dans tous les sens, comme pour l'inspecter: je crois qu'elle n'avait jamais touché de sperme de sa vie.
Après ces quelques minutes, elle reprit ses esprits et lécha ma semence sur le bout de ses doigts. Elle osait à peine sortir sa langue, et après y avoir goûté, elle baissa la tête et esquissa un léger sourire qu'elle essayait de me cacher. Elle commença à rougir et releva la tête. Là, elle me regardait et, voyant que je la laissais faire, elle sourit et me lança d'un air malicieux:
- Alors ?
Elle embrassa mon gland et reprit mon sexe de ses doigts fins. Elle le tournait doucement de tous les côtés, mais cette fois-ci elle ne se contentait pas de mater: elle léchait doucement, du bout de sa langue, mon pénis de bas en haut et l'embrassait partout (je crois bien qu'il n'y a pas un seul centimètre de ma bite qui n'a pas reçu de baisers cette nuit là !). Parfois, elle ne sortait pas sa langue et se contentait de remonter ses lèvres le long de mon sexe.
Durant toute cette fellation, elle me fixait d'un regard torride. Elle profitait que ma bite ne soit pas encore dure pour me décalotter et lécher délicatement la base de mon gland. Quelques minutes plus tard, je pouvais de nouveau entrer en érection et je me retenais d'éjaculer trop vite. Elle prenait un malin plaisir à me sucer lentement, elle commençait seulement à entrer mon sexe entier dans sa bouche, puis se retirait aussitôt et reprenait ses baisers et petits coups de langue. Elle gardait les yeux sur moi, me souriant timidement par instants. Moi, je lui caressais les cheveux et replaçais ceux qui tombaient sur ma bite. Elle ne me branlait jamais, elle voulait me faire tenir le plus longtemps possible.
Après environ vingt minutes de cette lente et magnifique pipe, elle fouilla dans son sac à main et en sortit un chouchou. Elle jeta alors ses longs cheveux en arrière et se fit une queue de cheval. Elle se remit en position et agitait enfin vigoureusement la tête, prenant mon sexe, déjà plein de sa salive, dans sa bouche chaude et posant sa langue contre lui. Je finis par éjaculer fortement dans sa bouche et lui retins immédiatement la tête pour qu'elle ne s'échappe pas. Au bout d'une seconde, j'enlevai mes mains et la voyais tout avaler avec enthousiasme. Elle se retira enfin et se remit à rougir, honteuse d'avoir aimé ça. Elle releva la tête, me regarda de nouveau puis eut un petit rire coquin.
J'étais allongé, exténué après l'orgasme. Célia, elle, regardait mon pénis, débandant, puis le toucha du bout de son index. Je m'attendais alors à la voir partir, ayant eu ce qu'elle voulait. Mais elle ne semblait pas rassasiée, elle se tripotait un peu la chatte avant de s'avancer et de me monter dessus, encore une fois. Cette petite coquine plaça bien ma verge en elle et se mit à s'agiter sur mon corps. Elle se redressait et posait ses mains sur mes cuisses, basculant sa tête en arrière. Elle avait les yeux fermés et ne laissait qu'un petit espace entre ses lèvres, à travers lequel j'entendais, de plus en plus fort, sa respiration haletante. Je voyais ses magnifiques nichons rebondir à toute vitesse, synchronisés avec le grincement du lit de mon fils.
Ensuite, elle avança à peine son corps et abaissa son regard vers moi. Elle me tendait les mains, paumes vers le sol. Alors je les prit et les tenait pendant qu'elle s'épuisait sur moi. Elle relevait la tête et refermait ses beaux yeux. Sa bouche s'ouvrait peu à peu, elle cherchait sa respiration. Une fois à bout, elle se contentait de ralentir. Elle se penchait sur moi et s'appuyait sur mon torse. Ses mouvements de bassin étaient plus amples, basculant aussi d'avant en arrière. J'avais les yeux rivés sur sa belle poitrine, nue, face à moi. D'au-dessus, je sentais son haleine chaude. Son odeur habituelle, si fraîche, que je sens en lui faisant la bise, était masquée par la transpiration et l'odeur de sperme: cette gamine puait le sexe !
Après avoir récupérer de ses efforts, elle se redressait et retrouvait la première position, ses mains sur mes cuisses, puis je posais les miennes sur ses hanches. Je la voyais danser sur mon corps, et elle commençait à gémir, doucement:
-Hmmm... hmm.. hmmmm...
Mon sexe se durcissait et gonflait en elle, alors qu'elle continuait de me chevaucher sauvagement:
-Hmm.. hm... hmmmmmm... HAN !!
Elle poussa soudainement un grand cri aigu. Elle avait les yeux écarquillés, surprise de ne pas contrôler son plaisir. Elle me regarda un instant puis referma les yeux, orienta son visage vers le plafond, et se mordit les lèvres. Je l'entendais gémir de plus en plus fort, même si elle s'efforçait de fermer la bouche:
-hmmm... hm! hm! hmm! Hmmmmm...
Épuisée, elle passa sa main dans ses cheveux et les détacha. Ils tombaient dans son dos et sur sa poitrine ruisselante. Elle tombait presque sur moi, morte de fatigue, s'appuyant encore sur mes pectoraux.
- Ahhhh !
Son souffle était fort et ardent, sa respiration haletante et saccadée, ralentissant. Nos corps étaient moites, nos peaux brûlantes et nos cœurs battaient fort. J'étais moi aussi épuisé, au bout de ma respiration. Elle continuait à me monter, lentement. Je massais ses fesses de mes deux mains, puis je remontais la main droite pour la passer dans ses cheveux, gras et mouillés. J'observais des gouttes de sueurs glisser dans son cou, jusqu'au bout de ses seins. J'avançais alors ma tête et les suçait, l'un après l'autre.
Elle ralentissait, remontait ses mains sur mes épaules, je relevais la tête et la vis me regarder dans les yeux:
- Ça t'a pas plu ? , me demanda-t-elle, déçue de n'avoir pas reçu de nouvelle éjaculation.
Ne voulant pas passer pour un vieux qui avait besoin de temps pour jouir de nouveau, je lui répondis simplement :
- Continues un peu.
Elle sourit. Elle semblait à bout de force mais se redressait, encore une fois, uniquement pour me contenter. Je lui pris alors les mains, tendrement, et elle sourit de nouveau. Elle me fixait, j'étais perdu dans ses yeux. Elle se balançait sensuellement sur moi, j'étais au bord de l'explosion. Je lui caressais les mains avec mes pouces et je me retenais pour faire durer ce moment encore quelques minutes. Je n'admirais plus que son joli visage, doux et apaisant. Je finis par éjaculer, je vidais tout mon sperme en elle, durant une dizaine de secondes. Je poussai un cri gras de plaisir, comme ça ne m'était jamais arrivé auparavant. Elle gémit timidement et continua ses mouvements de bassin encore quelques instants, avant de s'écrouler sur mon corps.
Nous étions tout transpirants, collés l'un contre l'autre, mon corps dans son corps. Je la pris dans mes bras, puis je remontai ma main dans ses cheveux. Elle relevait la tête, jusque là sur mon torse, et nous échangions nos regards. Nos lèvres se rapprochaient, puis je lui mordit la lèvre supérieure. Nous nous embrassions, tendrement, à tour de rôle. Puis nos bouches se collèrent, et s'ouvrirent lentement. Nos langues s'entremêlèrent. Je la serrait dans mes bras, puis je la basculai, pour passer au-dessus d'elle, mon sexe toujours introduit dans le sien. Une fois notre langoureux baiser fini, je l'embrassais dans le cou et sur la poitrine. Je remontai lentement et lui glissai à l'oreille, pour la taquiner:
- Je suis un porc, hein ?
Elle éclata de rire. Je ris aussi. Elle me regardait une nouvelle fois, les yeux brillants. Puis elle soupira et me repoussa de ses bras:
- Je dois y aller.
Avant qu'elle ne parte, je me précipitais pour lui embrasser la joue. Elle se leva, prit ses habits et avança dans la chambre. Elle s'habillait là, devant la porte. Elle recoiffait ses cheveux comme elle put et j'en profitais pour mater son beau cul une dernière fois. Elle mit sa culotte, puis son soutien-gorge. Elle enfila ensuite un pantalon serré, remuant ses fesses pour le remonter, pour mon plus grand plaisir. Elle mit son t-shirt rouge puis sa petite veste noire par dessus. Enfin, elle porta son petit sac à main, ouvrit la porte, puis me chuchota, avant de partir:
- Bonne nuit.
Depuis, je n'ai plus revu Célia. Et je n'en ai évidemment pas parlé à ma femme ni à mon fils, qui passe ses vacances à discuter avec sa belle petite-amie par messages. Moi et Isabelle avons retrouvé une vie sexuelle normale, et penser à Célia au lit avec ma femme me permet de rester fidèle, après ma seule aventure extra-conjugale. Mais je fantasme à longueur de journée sur cette petite...
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