Le père de ma copine (et son fils)

Lors de la fête d'anniversaire de Hugo, pour ses 16 ans, je propose de le dépuceler. Je me retrouve à passer du père au fils, pour mon plus grand plaisir.

Proposée le 24/01/2022 par Valentina

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Monsieur Colin a 2 enfants : ma copine Marie et un garçon, Hugo, qui est plus jeune que nous. Marie m’invite d’ailleurs à sa fête d’anniversaire, car Hugo va avoir 16 ans. Je passe le weekend chez Marie et le soir, nous discutons tous les 3 Marie, Hugo et moi de nos premières expériences sexuelles. Je raconte que ma première fois s’est passée avec mon petit copain de l’époque, j’avais 16 ans, lui aussi, nous sortions ensemble depuis quelques mois et avons décidé de sauter le pas ensemble. Toutefois le moment venu, il a eu du mal à tenir la position et après plusieurs essais infructueux, a quand même réussi à me pénétrer mais je ne garde pas un souvenir très excitant. Par la suite, nous nous sommes donnés plus de plaisir, mais la première fois que j’ai joui, c’était avec un homme plus âgé. Leurs regards sont fixés sur moi et je réalise que j’en ai trop dit. Je me retourne rapidement vers Marie et lui demande de raconter à son tour ses premiers émois. Quand le tour de Hugo arrive, il nous avoue, en nous faisant promettre de ne pas en parler, qu’il est puceau. C’est comme cela qu’une idée me vient. Je voudrais le dépuceler pour son anniversaire. J’ai promis à monsieur Colin de ne coucher avec personne sans sa permission, je dois donc lui en parler auparavant.
Je lui pose la question directement : je voudrais coucher avec Hugo, je voudrais être sa première fois. Monsieur Colin parait d’abord très surpris, il ne répond pas. Puis il m’envoie un texto plus tard : c’est d’accord, attention de ne rien dire pour nous 2.
Le soir au diner, je m’assois à côté de Hugo et attendant le dessert, quand la conversation est animée autour de la table, je pose la main sur sa cuisse. Il ne tourne pas la tête, je la remonte jusqu’à son sexe, que je sens durcir à une vitesse dingue sous mes doigts.
Nous allons nous coucher avec Marie et lorsque j’entends Hugo dans la salle de bains, je prétexte avoir oublié quelque chose et je m’introduis dans la salle de bains avec lui. Il est en train de se rincer les dents, je me colle contre lui, passe mes bras autour de son cou et l’embrasse à pleine bouche en caressant sa verge par-dessus son short, puis je lui murmure dans l’oreille « demain tu ne seras plus puceau » et ressors immédiatement. Je suis très excitée en retournant dans la chambre avec Marie. Excitée de me taper tous les hommes de cette famille et surtout d’être celle avec de l’expérience cette fois-ci.
Au petit déjeuner, Hugo me fixe sans cesse, je fais exprès de me pencher exagérément à toutes les occasions, pour lui montrer mes seins ou mes fesses. Nous débarrassons la table tous les 2 et il me demande :
- Pourquoi tu as dit ça hier soir ?
- J’ai dit quoi ?
- Que j’allais perdre ma virginité aujourd’hui.
- T’as pas envie ?
- Ben si mais…

Je vois qu’il hésite, il n’est pas sûr de ce que je lui propose.
- Tu n’as pas envie de coucher avec moi ?

Il ne répond pas, mais je vois le tissu de son short se tendre sur son érection. Il s’approche de moi, pose ses mains sur mes hanches, son souffle est court.

- C’est un pari ou une blague ? Tu vas me planter et tout raconter à Marie ?
- Non, pas du tout. J’ai envie de coucher avec toi. D’ailleurs, je suis déjà toute mouillée.

Je prends sa main et la glisse dans mon short, je frotte ma chatte sur ses doigts, il se laisse faire. Il caresse ma bouche avec la sienne, j’entends des pas et quelqu’un entrer dans la cuisine. Nous nous retournons pour voir Marie sur le pas de la porte. Elle est toute rouge, elle crie :
- Mais qu’est-ce que vous foutez putain ! Valentina sérieux, c’est mon petit frère !

Elle repart aussitôt, l’air très en colère. Nous la suivons dans sa chambre.
- Ça fait longtemps que vous faites ça ? Tu t’es bien foutu de ma gueule à raconter que tu étais vierge.
- Mais non c’est vrai.

Je prends la parole.
- Je voulais juste qu’il ne soit plus puceau pour ses 16 ans, qu’il ait de l’expérience.
- Mais quelle générosité ! s’exclame Marie.

Elle se calme et nous discutons finalement. Elle part avec ses parents faire des courses, nous laissant la voie libre.

Dès que j’entends la voiture sortir de l’allée, je m’allonge sur lui, je l’embrasse et le branle par-dessus son short. Il se laisse faire. Lorsque je passe la main sous le tissu, un soupir s’échappe de sa gorge et j’empoigne sa queue dressée comme un mat, dure comme l’acier, prête pour moi. Hugo a l’air aussi bien membré que son père, je baisse son short et découvre l’engin, énorme. Les hommes de cette famille sont décidément gâtés par la nature. Je le déshabille, il passe ses mains sous mon t-shirt, attrape maladroitement mes seins qu’il pétrit sans ménagement. Je me relève, et avant de retirer mes vêtements, j’éteins la lumière. Je ne suis pas timide, mais je ne veux pas qu’il voit le tatouage sur ma chatte, « propriété de RC », il devinerait que ce sont les initiales de son père.
Il n’a pas bougé, il est allongé sur le lit, il me regarde. Je me penche pour prendre sa queue dans ma bouche, il retient son souffle. Je gobe son gland délicatement, je le lèche, l’humidifie, pour pouvoir le prendre dans ma bouche, j’avance de plus en plus mes lèvres le long de sa grosse tige, comme son père m’a appris à le faire. Et soudainement, il m’attire contre lui, m’embrasse, je m’allonge sur lui, guide sa verge entre mes jambes et le fait pénétrer lentement dans ma chatte, sans le quitter des yeux. Il est vraiment très gros, ma chatte est écartelée par ce gros dard, je l’enfonce aussi loin que je peux en moi et attends quelques instants avant de me redresser sur lui. Je le monte comme un cheval, j’accélère sur lui, il tient mes seins dans ses mains et s’exclame rapidement :
- Valentina, je vais jouir.

Je le laisse éjaculer en moi. Puis je m’allonge à coté de lui, je regarde sa queue qui ne ramollie pas. Il me sert contre lui.
- Putain c’était trop bon.

Nous entendons le bruit de ses parents qui arrivent et je file dans la salle de bains. Sa famille et ses amis commencent à arriver pour sa fête d’anniversaire et j’enfile un maillot de bains pour rejoindre Marie et les invités autour de la piscine. Mais avant de descendre les escaliers, monsieur Colin m’attrape par le bras et m’attire contre lui :
- J’ai envie de te bouffer la chatte.

Il me pousse dans sa chambre et sur son lit, tire sur les nœuds de mon maillot de bain et écarte mes jambes, sans attendre sa langue fouille ma chatte, trouve mon clitoris, il le suce, le titille, je m’essouffle sous ses caresses.
- Tu es toute mouillée petite cochonne. Tu vas jouir ? Tu vas jouir pour moi ?

Il me lèche de plus belle, relève encore plus mes jambes, entre un doigt dans mon vagin puis le ressort pour le pousser dans mon anus.
- Tu aimes ça petite chienne ?
- Oui, monsieur Colin.

Je plaque une main sur ma bouche et je jouis en essayant de ne pas faire de bruit. Il regarde ses initiales gravées sur ma peau, puis me relève, il me rhabille et me pousse hors de sa chambre d’une claque sur les fesses.

Arrivée en bas, je découvre une cinquantaine de personnes autour de la piscine, Hugo me fait un clin d’œil au loin et Marie me rejoint immédiatement :
- Je sens que cette journée ne va pas être super fun.

Je souris pour moi-même. Elle a plutôt bien commencé pour moi ! Nous buvons quelques verres et faisons la conversation avec les membres de sa famille. Nous répondons à la question classique :
- Alors maintenant que vous avez votre bac, vous allez faire quoi ?

Pour ma part, je suis inscrite à la fac, en histoire de l’art et Marie qui a toujours rêvé d’être avocate, prend la filière du droit. Hugo me rejoint à un moment pour murmurer qu’il n’arrête pas de penser à ma chatte et mes lèvres autour de sa bite, il ajoute « j’ai envie de te baiser dans toutes les positions » puis demande « tu as joui tout à l’heure ? ». Je fais non de la tête, je ne lui dis pas que son père s’est chargé de me faire jouir après lui.
- On pourra recommencer ?

Cette fois, je fais oui de la tête. Il ajoute :
- Rapidement ? Parce que je crois que tout le monde a remarqué que je bande comme un taureau.

Je baisse les yeux et Hugo écarte ses mains pour me montrer l’énorme bosse qui déforme son maillot de bains.
- Rejoins-moi derrière la douche dans 5min.

Dans le jardin, légèrement un retrait de la piscine, il y a une petite salle de bains, derrière laquelle nous serons à l’abri des regards. Je m’éclipse discrètement et Hugo est déjà là quand j’arrive. Il me plaque contre le mur :
- J’ai trop envie de toi, tu m’éclates les couilles.

Il m’embrasse et j’attrape sa tige. Je m’agenouille devant lui, le prend dans ma bouche, il me regarde l’avaler et se retire presqu’immédiatement de ma bouche pour éjaculer. Il est appuyé d’une main contre le mur, et il se branle avec l’autre, je regarde jaillir son sperme qui coule sur mon menton et ma poitrine. Il reprend son souffle et je m’essuie comme je peux. Hugo s’excuse de cette rapidité et il promet qu’il va me faire jouir la prochaine fois.

La journée se passe tranquillement, je connais bien la famille de Marie, je les fréquente depuis que nous sommes à l’école primaire. Dans l’après-midi, j’entends monsieur Colin plaisanter avec ses amis « qu’il a envie d’une bonne fellation » tout le monde rigole, sauf sa femme qui le fusille du regard. Elle tourne d’ailleurs les talons et se mêle à un autre groupe. Quand il annonce qu’il va chercher plus de bouteilles de champagne, je le précède dans la cuisine. Je suis assise sur le plan de travail lorsqu’il entre.
- Valentina, qu’est-ce que tu fais. N’essaye pas de m’exciter ici !

Dans le recoin du frigo, il ouvre la porte et je m’agenouille devant lui, je le regarde dans les yeux.
- Relève-toi tout de suite !

J’écarte le haut de mon maillot de bain et dévoile mes seins aux tétons dressés, je les pince entre mes doigts. Monsieur Colin me regarde puis il regarde dehors, il hésite puis annonce :
- Va m’attendre dans le garde-manger. À genoux.

J’y vais immédiatement, m’agenouille et prie pour que personne d’autre n’arrive. Lorsque la poignée de la porte se baisse, je retiens mon souffle mais c’est monsieur Colin qui baisse sans attendre son short de bain, il tient sa queue dans sa main et prend ma tête dans l’autre, puis s’engouffre aussi profond que possible dans ma bouche ouverte. Je crois qu’il butte au fond de ma gorge, et je crains qu’il me fasse vomir. Il tient maintenant ma tête à 2 mains pour mieux me baiser. Il dit qu’il va me punir et que ma petite chatte va payer pour mon insolence. Il me lâche et je continue à le sucer jusqu’à ce qu’il me demande de me relever :
- Va m’attendre dans la chambre d’amis. Je veux que tu te masturbes et que tu sois bien mouillée quand j’arrive.
Je monte rapidement au 2ème étage de la maison, faisant de mon mieux pour ne pas être remarquée, j’entre dans la chambre précipitamment, je me déshabille et m’allonge sur le lit. Je caresse ma poitrine, fais sortir mes tétons, j’écarte grand les jambes, mouille mon doigt et le glisse sur ma chatte. Je pense à monsieur Colin, à sa grosse tige, à son autorité sur moi et comme j’aime obéir à toutes ses demandes, je me laisse aller et j’entends rapidement des pas dans l’escalier. Je pense reconnaitre monsieur Colin, mais je redoute de voir la porte s’ouvrir sur un invité perdu, ou pire, madame Colin. Mais c’est bien lui qui se retrouve devant moi, il baisse son caleçon et exhibe son sexe.
- Ne t’arrête pas.

Il se branle en me regardant faire de même, je suis très excitée.
- Tu es assez mouillée pour que je m’enfonce en toi d’un coup ?
- Oui, monsieur Colin.
- Vas te pencher devant la fenêtre.

J’y vas, je me mets légèrement en retrait afin que les invités en bas, ne me voient pas.
- Décris-moi ce que tu vois.

Je raconte le monde qui rigole, boit, autour de la piscine.
- Tu crois qu’on peut te voir ? Tu crois que quelqu’un peut voir ma petite chienne penchée en avant en attendant de me recevoir en elle ?
- Oui, je crois.
- Alors tu vas être bien sage, tu ne vas pas faire de bruit.

Je sens sa main s’abattre sur mes fesses. J’ouvre la bouche mais retiens un cri dans ma gorge. Je mouille encore plus, j’aime même quand il me frappe.
- Écarte tes fesses.

Il se penche et lèche mon anus puis je sens son gland sur mon clitoris, j’adore quand il me caresse comme ça. Il se positionne à l’entrée de mon vagin et pousse d’un coup. Je le sens buter et cette fois je ne peux retenir un cri. Il me tire les cheveux pour me faire relever la tête, je regarde les gens autour de la piscine. Je vois mon amie Marie rigoler avec son frère, que j’ai dépucelé le matin même. Madame Colin discute avec des amies, les grands-parents de Marie sont là aussi et je me demande quand l’un d’entre eux va lever les yeux et nous voir. Monsieur Colin continue à aller et venir en moi, très fort, il me claque les fesses et je sens son doigt sur mon anus, en train d’essayer d’entrer, brusquement.
- Non, monsieur Colin, non, vous me faites mal.

Mais je sens mon vagin se contracter, son doigt et sa bite sont synchronisés pour m’emmener vers la jouissance. J’adore le sentir m’ouvrir comme ça, je jouis très fort. Monsieur Colin me pousse rapidement sur le lit, il s’allonge sur moi me pilonne encore quelques minutes puis se retire, il éjacule sur ma chatte, sur mon tatouage « propriété de RC ». Il s’allonge à côté de moi le temps que nous reprenions notre souffle. Il attrape des mouchoirs et nettoie son foutre sur moi puis pose un baiser sur ses initiales gravées sur ma peau.
- J’ai envie de voir tes petits seins rebondir pendant que tu me chevauches.

J’hésite un instant mais j’ai peur qu’on s’aperçoive de notre absence. Monsieur Colin aussi car il ajoute :
- Descends vite avant qu’on nous cherche. Au fait tu as couché avec Hugo ?

J’enfile mon maillot et sors de la chambre. J’adore passer du père au fils, comme ça.

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