Histoire Erotique

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La Consolation de Karine

Voilà la belle saison et Karine se retrouve seule, quitté par son cher Alex... Mais ses deux copines, Alicia et Chloé, ne vont pas la laisser se morfondre et vont lui montrer qu'elle peut s'offrir bien des plaisirs sans avoir besoin d'un homme... dans l'immédiat.

Proposée le 20/03/2019 par Le Gourmandiseur

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


L'été commençait et Karine se retrouvait seule.
C'est d'autant plus déprimant d'être plaquée quand la belle saison arrive. Elle allait devoir subir la vue de tous les couples qui se promènent dehors pendant qu'elle resterait bêtement dans son coin, à faire semblant de ne pas en souffrir.
Elle ne pouvait pourtant pas non plus rester enfermée !
Elle accepta donc sans hésiter longtemps l'invitation que ses deux meilleures amies, Alicia et Chloé venaient de lui exprimer par mail, en l'encourageant justement à ne pas se laisser « dépérir » chez elle « à cause d'un crétin qui venait de la quitter pour une connasse » (terme toujours prévu pour désigner une rivale, même intelligente ou bien foutue). Après-midi soleil et shopping... Voilà qui ne se refuse pas.

La Consolation de Karine Elle a donc rejoint les filles qui l'attendaient à la terrasse d'une brasserie, dans le quartier le plus animé de la ville, où les rues piétonnes permettent de flâner et d'entrer dans toutes sortes de boutiques. Elle avait suivi la consigne qu'on lui avait imposée, un dress code séduction absolument obligatoire, sous peine de devoir croupir chez elle entre la théière et le divan : fines chaussures à talons (pas trop hauts, mais suffisants pour une petite démarche chaloupée), jupette à mi-cuisses (admettons... Vive l'été!), un haut « qui fait savoir que tu as de quoi intéresser au balcon », selon les indications, et pour lequel elle avait choisi un cache-coeur.
L'air d'approbation unanime quand elle arriva devant les deux amies la mit à l'aise. Elle s'assit à leur table, sur laquelle trônaient au soleil deux grands verres de cocktails paradisiaques.
- Parfait, sexy Karine... C'est parfait. Tu permets qu'on t'appelle « sexy Karine » ?
- Ne vous donnez pas tant de peine pour me redonner le moral.
- Mais ce n'est pas la question ! Déclara officiellement Chloé.
- Non, en effet, suivit Alicia. Pas question de se demander si on a le moral ou pas ! On est là pour prendre du bon temps.
- Mais vous deux, vous avez un mec à la maison.
- « A la maison » n'est pas le mot juste. Tu sais qu'on est très contentes d'avoir décidé de ne pas vivre en couples : on se voit quand on en a vraiment envie, et ça se passe très bien comme ça.
- Vous n'avez pas peur qu'ils aillent voir ailleurs ?
- Si un mec a envie de se faire une autre nana, tu peux toujours chercher à le surveiller, il y arrivera.
- Et en plus, ce qu'Alicia ne pourra pas contredire, c'est que si tu rends dingue un mec au lit, c'est la meilleure garantie de fidélité.
Karine fut un peu vexée, elle se crut visée : « Il me semble qu'Alex n'avait pas à se plaindre »
- On ne voulait pas dire ça pour toi. Simplement, il y a des choses contre lesquelles on ne peut rien.
- Oh et puis, on passe sur le sujet « Alex », définitivement. Dossier à la corbeille.
- En tout cas, les filles, je comprends pourquoi le dress code : vous êtes vêtues en vraies vamps... enfin, quand je dis "vêtues"...
- On est vêtues comme on aime et comme ça plaît aux hommes. Je me fous pas mal des prises de tête. C'est très simple : j'aime plaire, j'aime qu'on me désire, j'aime la baise, alors, comme on est entre gens de bonne compagnie, pourquoi se priver ?
- Belle théorie d'Alicia ! Mais ce n'est pas de la théorie fumeuse, précisa Chloé.
Celle-ci ouvrit soudain les jambes, de manière ostentatoire, quand le serveur vint à leur table.
Karine commanda un Cocktail « Tahiti » très prometteur.
Chloé croisa les jambes, que sa mini-jupe moulante découvrait au plus haut, et regarda Karine en souriant : « T'as vu ? Les coups d'oeil du serveur, entre son petit calepin et vers mes cuisses ? C'est imparable, ça ! Peut-être même qu'il va t'apporter autre chose que ta commande, histoire de revenir voir un peu mieux... »
Karine doutait. « Tu ne serais pas quand même un peu prétentieuse. C'est vrai qu'il a eu une vue sur le jardin, mais... »
- Oh ! Mais, tu ne sais pas. Non seulement vue sur le jardin, mais vue directe sur une des fleurs du jardin.
- Comment ça ?
- Eh, bien... Je n'ai pas mis de culotte.
- Tu plaisantes !
Chloé se tourna vers elle, et sous l'ombre de la table, elle étira le tissu de sa jupe, juste le temps pour Karin d'entrevoir en effet un fente verticale entre deux bourrelets d'une chair bien épilée.
Le garçon apporta un Perrier citron...


Peu de temps après, dans la rue commerçante qui grouillait de monde, Karine regardait marcher Chloé devant elle. Sa petite jupe moulait sans pudeur la rondeur de son joli cul. Elle trouvait singulièrement excitant de savoir que dessous elle était nue, que son sexe était à l'air libre... Ce qui n'aurait pas pu être tenté avec une jupe plus légère. Et à ce propos, Karine songea que sa propre jupe, comme celle d'Alicia, était fort courte et souple, et qu'elle pouvait facilement se soulever au moindre coup de vent. Elle gardait prudemment les bras le long du corps pour arrêter toute éventuelle envolée...
Alicia s'arrêta devant une boutique dont elle était une habituée : « Opération petite robe, les filles. » Elles entrèrent et passèrent tout en revue. Puis elles se faufilèrent au fond pour atteindre les cabines.
« Ce qu'on aime bien ici, c'est que les cabines sont grandes... Viens. » commanda Chloé à prenant Karine par le coude.
Alicia referma soigneusement le rideau et elles posèrent les robes choisies sur une petite tablette en verre suspendue au mur par des montants en fer forgé. La cabine avait de grands miroirs sur ses trois parois et le plafonnier diffusait une lumière douce. On se sentait d'un seul coup comme coupé du monde, bien que les clientes et les vendeuses circulaient sans cesse aux alentours.
Chloé s'assit sur un deux tabourets capitonnés, rouge grenat. Alicia déboutonna aussitôt son chemisier. Si l'une n'avait pas de petite culotte, l'autre n'avait pas de soutien-gorge et montra sans gêne sa belle et lourde poitrine. Karine s'assit également, incapable de définir au juste les impressions qui montaient en elle en voyant cette superbe paire de mamelles aux bouts tout en pointes.
- Ils sont impressionnants, hein ? Fit remarquer Chloé. Voilà, ça, c'est des nichons !
- Les tiens sont très mignons, pleure pas.
- Oui mais, c'est pas le même gabarit. Et en plus, regarde-moi ça comme ils sont fermes ! Chloé venait de porter ses mains sur les seins de son amie et se mettait à les palper, à les malaxer très sensuellement.
- Si tu commences comme ça... on ira jusqu'où ?
- Ne t'inquiète pas, je me retiens. On ne va pas prendre de risques ici, avec Karine, qui a l'air tout à fait novice dans ces choses-là. Tu devrais au moins tâter un peu ça... tu ne trouves pas que ça donne envie ?
Karine se leva, s'approcha d'Alicia, se pencha en peu et enveloppa à pleines mains ses seins. Cette sensation l'excita énormément. Elle avait envie de les malaxer, de les masser comme elle-même appréciait qu'on prenne soin de ses seins. Elle se pencha encore et prit délicatement entre ses lèvres, entre ses dents, les pointes à la fois durcies et tendres. Elle se mit, sans pouvoir s'en empêcher, à téter sa copine. Chloé, chaudement émue par cette bonne surprise, releva sa jupe, glissa un doigt du bas jusqu'au sommet de sa fente et commença à se titiller le clitoris.
- C'est très très bon, Karine, fit Alicia, mais on ne va pas pouvoir continuer ce jeu longtemps, c'est trop risqué.
- Tu as raison, dit Chloé, mais c'est tellement bon... Laisse-moi juste caresser ton cul. J'en ai envie depuis que je te connais.
Karine sentit des mains flatter affectueusement son derrière... et ça lui plaisait, au point de cambrer son dos instinctivement pour accueillir les caresses. Une chaleur se concentrait assez précisément entre ses cuisses. Chloé souleva la petite jupe qu'elle avait choisie pour obéir aux consignes et dit avec un ton assez gamin : « Oh... Je suis un peu déçue. Regardez-moi cette petite culotte de coton toute tristoune ! »
Alicia s'éloigna un peu pour passer ses robes. Bien décidée à être la plus raisonnable des trois dans cette cabine.
« Tourne-toi Karine ma belle, demanda tendrement Chloé en se levant, je voudrais juste une petite chose, avant d'aller plus loin un autre jour, j'espère. Mets ta main là. »
Karine posa la main sur la vulve de son amie : c'était si doux, velouté, humide.
Une vendeuse avait écarté le rideau, sans que Karine ne l'ait vue et, alors que ni Chloé ni Alicia ne s'en formalisèrent, elle dit avec le calme d'une complice :
- Vous faites comme vous voulez, les filles, mais aujourd'hui, il y a pas mal de monde et il faudrait quand même pas tarder à libérer la cabine.
- D'accord, Justine, c'est bon... On va essayer vite nos robes, assura Chloé.
Le rideau retomba.
Karine, tout enfiévrée, les idées très confuses, essaya deux robes sur les quatre sélectionnées, choisit l'une des deux qu'elle n'avait même pas enfilée et suivit ses deux copines vers la caisse, pour enfin sortir. L'air du dehors lui fit le plus grand bien. Alicia et Chloé lui expliquèrent qu'il était donc prouvé qu'on pouvait s'amuser entre filles sans avoir besoin toujours des hommes.

Vers la fin de l'après-midi, elles décidèrent de prendre un thé chez Chloé.
A la fois fatiguées et excitées par tous les essayages dans les différents magasins, elles avaient besoin de se retrouver dans la tranquillité.
Karine s'affala dans un fauteuil du salon, Alicia posa les sacs près du divan où elle se laissa tomber, à demi allongée, de travers. Chloé arriva bientôt de la cuisine en tenant un plateau en osier sur lequel elle avait assemblé trois tasses, une théière et un bol rempli de speculoos. Elle le posa sur la table basse à droite de Karine, en face du divan, puis elle aussi se posa enfin, sur un autre fauteuil, entre la table et le divan.
Alicia s'étira, en prenant une grande respiration de soulagement : « Pas fâchée d'en avoir fini.  Tu me sers une tasse, Chloé ? ». Celle-ci se releva péniblement : « Mais bien sûr, maîtresse Alicia... » Elle versa le thé dans les trois tasses, puis elle apporta la sienne à Alicia. Alors que celle-ci porta ses lèvres sur la petite coupole de porcelaine, Chloé, debout devant elle, reprit sa voix un peu gamine : « Mais, dis... Moi aussi je voudrais qu'on boive dans ma tasse... » Elle retroussa sa jupe jusqu'aux hanches. Karine regarda avec la plus intéressée des attentions les belles fesses de son amie pendant qu'Alicia posa la tasse par terre et s'avança : « C'est vrai que tu as une douce liqueur qui coule de là. C'est toujours ce que je préfère boire, tu le sais bien, petite dévergondée. » Elle se mit à genoux puis colla sa bouche sur la fente offerte, toute inondée de jus. Karine se leva aussitôt et vint se placer juste à côté pour regarder.
Elle vit la langue d'Alicia s'introduire entre les longues lèvres humides et, qui, allant de bas en haut, recueillait une abondante sécrétion qu'elle avalait avec appétit. « Mmh... Karine, tu devrais goûter ça, tu ne sais pas ce que tu perds. Tu sais, c'est vraiment délicieux. Ne me dis pas que tu n'as pas eu au moins la curiosité de te goûter toi-même, hein ? Quand tu te touches, tu dois bien aussi te lécher les doigts, non ? »
- Et ça t'excites de nous regarder ? Demanda Chloé. Tu peux te laisser aller avec nous, on va te montrer comment on peut se passer aussi des mecs.
- Soulève-moi déjà ta jupe, qu'on voit si tu mouilles ta culotte.
- On dirait en effet... il y a une jolie auréole très prometteuse.
- Retire donc cette culotte trop sage, qu'on puisse voir ce que tu caches dessous.
Karine se leva, fit tomber sa jupe à ses pieds puis sa culotte.
- Tu ne te rases pas la vulve ? S'étonna Chloé. Mais remarque, c'est très bien aussi comme ça. Une bonne grosse chatte aux poils tout englués de cyprine...
Alicia se tourna alors vers Karine, qui ferma les yeux en sentant se poser la bouche sur ses longues lèvres toutes trempées.
Chloé ouvrit le canapé-lit. « Maintenant, passons aux choses sérieuses, les filles. »
Karine s'allongea sur le dos et ses deux copines finirent de la déshabiller complètement. Alicia passait sa langue sur tous les replis de sa chatte, aspirait et avalait tout ce qu'elle pouvait puiser de suc au creux de sa fleur largement ouverte, humait et léchait les boucles de sa toison. Chloé s'occupait de ses seins... puis elle vint au-dessus de sa figure, à genoux, une jambe de chaque côté, pour coller sa moule sur sa bouche. Karine plongea sa langue dans l'orifice tendre, tout chaud, tout inondé de sève épaisse. Elle aspira le liquide qui envahit sa bouche et coula dans sa gorge. Elle avait pleinement conscience d'être en train de se régaler d'un vagin, le vagin d'une de ses meilleures copines. Et elle aimait ça. Elle découvrait le goût musqué, un peu salé, mais sans amertume, du sexe d'une femme.
Pendant un assez long moment, les deux amies échangèrent leurs places sur Karine. Puis, à la demande de Chloé, elles formèrent un triangle, joint à ses trois sommets par leurs bouches collées à leurs chattes. Lorsque Karine se mit à se concentrer sur le clito saillant et ferme d'Alicia, elle sentit en même temps la bouche de Chloé suçoter son propre petit bourgeon, tandis qu'Alicia commença aussi les mêmes soins sur le bonbon de Chloé.
Karine sentit très vite monter l'extase et elle se mit à jouir en hurlant.
Les deux amies ne tardèrent pas non plus et toutes les trois furent secouées en même temps de spasmes qui semblaient ne plus pouvoir finir.

Revenues de leurs émotions, et tout en se caressant souvent et avec tendresse, elles reprirent du thé, en échangeant de douces paroles qui effaçaient toute aigreur dans le cœur de Karine. Il était clair qu'entre filles les jouissances possibles ne manquaient pas.
Une arrière pensée résistait néanmoins et empêchait un bonheur complet...

Alors même que Karine allait se décider à l'évoquer, Alicia, partie un instant dans la chambre, revint avec une chose qui arrêta tout net ses pensées. Elle portait un harnachement autour de la taille et était ainsi armée d'un phallus en érection d'une taille extraordinaire, aux reliefs et à la texture très réalistes. « A moi de jouer, les filles ! Et croyez-moi, vous allez vous faire mettre comme vous pouvez pas savoir ! Vous allez vous faire ramoner... je ne vous dis que ça ! »
Chloé, sans faire le moindre commentaire en dehors d'une exclamation d'enthousiasme, se positionna sur le lit, à quatre pattes, jambes tout écartées, son superbe cul en l'air.
Alicia s'approcha, pointant l'engin vers l'entaille toute suintante. Karine se plaça sur le lit, à genoux, juste à côté. « Rends-toi utile, ma belle Karine, écarte-lui les lèvres, que je puisse bien voir son trou. » Elle exécuta. Les bouts de ses doigts tirant et retenant les deux épais rideaux afin que l'entrée soit grande ouverte.
Le gros gland s'introduisit sans difficulté. Puis, sans brusquerie, mais sans hésitation non plus, Alicia enfonça jusqu'à la garde son impressionnant braquemart : « Voilà, ma petite salope, tu vas te faire bien ramoner... Une bonne grosse bite de 25 centimètres de long et 5 de large... » Alicia regarda Karine dans les yeux : « On n'en trouve pas tous les jours des comme ça. »
Elle empoigna les hanches de sa copine puis commença par un lent et profond va-et-vient. Chloé poussait des râles. Karine, en regardant ce merveilleux spectacle, se touchait le clito et coulait tellement qu'elle se mouillait le haut des cuisses.
La culbute s'intensifia progressivement et dura aussi longtemps que Chloé put encore en supporter la violence : elle fut prise dans toutes sortes de positions, au gré des caprices d'Alicia qui était bien décidée à la rendre folle. Elle l'acheva par terre sur le tapis devant le divan : Chloé, allongée sur le dos, se mit à hurler comme une bête, en se contorsionnant dans tous les sens, Alicia se retira, son énorme chibre de latex enduit de cyprine. Chloé, vautrée par terre, reprenant son souffle, les jambes toutes grandes ouvertes sur sa vulve béante et dégoulinante, à la chair toute rougie par la pénétration, regardait Karine : « Viens me lécher tout ça... viens me bouffer la moule ! »
Karine se pencha et plongea sa bouche dans l'ouverture toute chaude, tendre et trempée. L'odeur et le goût du vagin de Chloé lui étaient très agréables, presque enivrants.
Comme elle s'était mise à quatre pattes pour se régaler, son cul dressé en l'air, ce qu'on appelle un "bon gros cul", fut soudain saisi entre les mains d'Alicia, qui lui lécha vigoureusement l'abricot. Puis elle sentit entrer dans sa fente complètement offerte le bout massif du gode-ceinture, déjà tout lubrifié par la mouille de Chloé. L'introduction fut brusque et tout de suite profonde. Un énorme pieu venait de l'empaler. Elle ne pouvait plus s'occuper de la chatte qui s'offrait à sa bouche et à sa langue. Elle était complètement emmanchée par Alicia, qui n'allait plus la lâcher et qui se mit à la bourrer sans aucune retenue.
Elle n'avait jamais été à ce point remplie et soumise à un tel ramonage.
« T'es super bonne, ma belle Karine ! Super bonne à enfiler ! Et ce cul, putain ! il faut qu'on te bourre ce gros cul ! »

Chloé avait un moment quitté les lieux, puis Karine, entre les larmes de jouissance qui lui troublaient la vue, se rendit compte qu'elle était revenue en se plaçant sous elle, avec elle-aussi autour de la taille un superbe membre tout raide. Elle eut à peine le temps d'envisager ce qui allait lui arriver qu'elle sentit le phallus d'Alicia sortir, remplacé aussitôt par celui de Chloé passant immédiatement à l'action, et venir s'enfoncer entre ses fesses.

Alicia empoignait fortement Karine : « Tu te fais défoncer le cul, ma chérie ! Je suis sûre que ton mec ne t'as jamais enculée comme ça. Tu n'as rien à regretter. »
Chloé, sous elle, remuait son manche au rythme de la double pénétration : « Baisé des deux côté à la fois, ma chérie, c'est ça le vrai bonheur ! »

Ce fut un délire de pénétrations si puissantes et si acharnées sur Karine, que sa jouissance, aussi sublime que douloureuse la fit presque s'évanouir à plusieurs reprises.

L'orgasme qu'elle finit pas atteindre la fit hurler à s'en écorcher la voix. Les deux amies la libérèrent alors de leur emprise et la laissèrent délirer tout son soûl sur les draps maculés et trempés.

Enfin calmée, comblée, Karine, qui venait de se faire magistralement foutre, fut en effet convaincue que bien des plaisirs lui étaient possibles sans avoir encore un homme sous la main. Mais elle nuança quand même : "Je vous l'accorde, c'est super bon, même sans un mec. Mais... J'avoue que ça ne sera pas pour moi une raison pour..."
- Bien sûr, nous non plus on ne veut pas s'en passer, assura Chloé.
- Et puis il faut bien dire qu'un bonne bite... et surtout, il n'y a qu'un mec pour faire gicler la sauce !
- Oui, évidemment, convenait Alicia.
- Surtout que, moi, dit Karine, j'adore ça...
- Quoi ?
- Bah... le sperme. J'adore en avoir partout. J'adore même tout prendre dans ma bouche et tout avaler.
- Eh bien... j'ose vous proposer ceci, déclara Chloé : demain soir, festival de pipes à la maison ! J'invite. Et ne t'inquiète pas, Karine. On partage sans problème les queues de nos mecs.
Les trois filles se quittèrent en échangeant encore dans des baisers profonds les saveurs de leurs chattes dont elles s'étaient délicieusement régalées.

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Commentaires de l'histoire :

Popjl
Recit bien mené, agréable à lire. Excitant à souhait, j'espère pourvoir lire la suite amenée sur un plateau d'argent.
Posté le 11/04/2019


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