Karine rentre de virée

Karine, comme chaque année, sort avec ses copines. Elles terminent dans une partouse phénoménale, Karine se fait démonter le cul comme jamais une partie de la soirée, elle rentre chez elle, son mari l'attend avec angoisse. Elle finit par lui avouer qu'elle s'est faite degluinguée le cul.

Proposée le 18/03/2022 par amandine

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Karine et ses amies, font comme chaque année une virée entre elles. L'heure avance, elle n'est toujours pas rentrée. Francis commence à trouver le temps, il fait les cent pas dans le salon, le stress s'installe en lui. Il est déjà 2 heures, Karine n'est toujours pas présente. L'angoisse est au plus haut.

Soudain une clé tourne dans la serrure, enfin Karine apparaît, souriante, les cheveux en bataille, le corsage débraillé. Elle est un peu éméchée. Le ton monte, les explications confuses de Karine ne convaincs pas son mari. Après de nombreux palabres, Karine finit par avouer, qu'elle s'est bien faite déglinguée dans une partouse avec ses amies. Francis, prit d'une rage soudaine, la bascule sur ses genoux, lui remonte la jupe et lui donne la correction de sa vie. L'adultère, se contorsionne de douleur, sous les coups puissants de son mari, elle ne peut compter que sur la seule protection de sa culotte. La fessée cesse enfin. Elle se redresse en marmonnant puis se dirige vers la salle de bain.

Elle retire sa jupe, baisse sa culotte et regarde dans le miroir ses fesses brulantes en grimaçant. Elle prend une douche rapide et enfile sa nuisette. Francis est enfin calmé, il est installé dans le canapé et ne cesse de zapper la télé. Karine entre dans le salon, sous sa nuisette, comme d'habitude elle est nue. Elle se met face à son mari et remonte sa nuisette, pour lui montrer les dégâts causés par la fessée. Les marques sont encore visibles, Francis admet qu'il a été un peu trop fort, mais il ajoute qu'elle l'a quand même méritée.

Pour ce faire pardonner de sa brutalité. Il propose de lui masser le fessier avec une pommade apaisante, Karine accepte. Il prend dans un tiroir la pommade magique et Invite sa femme à s'étendre sur ses genoux. Avant détaller la pommade, il lui donne une petite tape sur les fesses puis, enduit les lobes. Le massage ressemble à une caresse. Les doigts de Francis glissent dans la raie pour taquiner l'anus. Karine se cabre, lorsqu'il appuie sur son anneau. Une phalange disparait dans le canal qui ne semble pas si étroit que cela. Francis fronce les sourcils et dit :

-Oh ça rentre tout seul, tu t'es fait enculer hein avoue !

Entre deux soupirs Karine répond :

-Oui mon chéri ils m'en gavés la chatte et le cul avec leurs queues ces salauds !

-Tu as joui du cul cochonne ? Demande le cocu.

-Oh oui, comme une dingue mon chéri ! Réplique Karine.

Francis enfonce entièrement son doigt, sa femme pousse un gros soupir en s'arcboutant. Un deuxième, puis, un troisième intrus, rejoignent le premier dans le rectum accueillant, qui a été visité plusieurs fois dans la soirée. Le ramonage et brutale, Karine ne rechigne pas, elle adore se faire dilater les orifices. Francis regarde avec envie ses doigts fouiller l'antre de l'enfer. Il accélère, Karine grince des dents, les doigts de son mari l'emmènent au bord de la jouissance, elle arrive à marmonner :

-Oh putain mon chéri, je viens, je viens !

Elle se raidit et explose, son corps se met à trembler sous la forte jouissance, elle répète :

-Oui, oui mon Dieu, comme c'est bon !

La queue de Francis prend du volume dans son pantalon, il demande à sa femme de se mettre à quatre pattes sur le sol. Chaude comme de la braise, la salope prend la pose en tendant sa croupe. Francis extirpe de son pantalon sa queue gonflée et, sans retenue, la plante dans le cul de sa femme, qui se cabre sous la pénétration brutale. Il s'accroche à ses hanches et la démonte comme un soudard, comme pour se venger de l'adultère de sa femme. Sa queue voyage dans la gaine anale avec violence, chaque coup de reins fait cabrer l'enculée, qui grogne de plaisir. Karine jouit une seconde fois, sa bouche se déforme sous la jouissance. Francis est étonné, par les jouissances terribles que prend sa femme par le cul.

Il la déglingue comme un sauvage, Karine geint de plaisir en criant :

-Plus fort, plus fort, démonte-moi à fond Putain, comme c'est bon !

Francis redouble ses coups de pilon, il tire fortement sur les hanches de sa femme pour bien empaler cette salope. Sans avertir, il retire sa queue du cul de sa femme et l'enfonce sans ménagement dans sa chatte en feu. Le va-et-vient qu'il impose et violent, à caque coup de reins ses couilles frappe la chatte dégoulinante de Karine qui hurle de plaisir. Contre toutes attentes, Francis retire sa queue de la chatte brulante et la replonge profondément dans le cul de Karine qui pousse un long râle de plaisir. Le coquin réitère plusieurs fois le mouvement, Karine est aux anges. Francis ne sait pas si c'est du cul ou de la chatte que sa femme, re-jouit fortement. Il change encore plusieurs fois de trou, se bloque dans le cul accueillant et le remplit de sa semence épaisse.

Il se retire du corps parcouru de frissons et, offre à la bouche gourmande, sa queue gluante. Karine est une experte de la fellation, Francis grogne comme un fauve sous les coups de langues rapeuses que sa femme lui donne sur le gland. Elle gobe l'engin et le tète avidement, la pipe dure un bon moment. Francis se raidit, il se bloque et remplit la bouche de la suceuse de son sperme brulant. Sa femme, toujours à quatre pattes, le regarde amoureusement. Elle avale la semence jusqu'à la dernière goutte. Francis caresse les fesses rebondies de Karine et lui donne quelques tapes. Les regards se croisent, Karine lui sourit, lui, c'est avec un certain aplomb qui lui dit :

- Voir ton cul, j'ai comme une envie de le fesser !

-Karine le regarde en pinçant les lèvres, elle répond :

-Si c'est ton désir mon chéri, fais-le, vas-y corrige ta salope de femme qui donne son cul à n'importe qui !

Francis a les yeux qui s'illuminent, il lève le bras et commence à frapper le postérieur rebondi de sa femme. Un peu par vengeance, surtout pour le plaisir de lui marquer les fesses de ses doigts. Les coups s'abattent, les lobes fessiers rougissent rapidement. Karine se cabre, se cambre puis, tout d'un coup, pousse un cri terrible. La coquine vient de jouir sous la fessée cuisante. Francis passe sa main entre les cuisses de sa femme et enfonce trois doigts dans la gaine dégoulinante de jus. Il les tourne en vociférant :

-Tu aimes ça sale pute hein, jouis, jouis encore salope !

Les doigts qui lui fouillent les entrailles la font jouir une énième fois.


© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email