Deux jours après sa première expérience limitée, Damien cède encore à la tentation de sa cousine, bien décidé cette fois-ci d'entrer dans le vif du sujet, et de ne plus être puceau. Et oui, mais il y a bien des tas de façons de virer son pucelage.
Proposée le 28/02/2019 par artaban
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman
Même si je n’en menais pas bien large, je mentirais en disant que le petit jeu pervers auquel nous nous étions adonnés m’avait déplu. Pourtant, nous aurions dû y mettre un terme tant les risques étaient grands dans ces années-là : pas de pilule et quant à trouver des préservatifs, c’était peu évident dans un petit village où tout se savait vite, trop vite… J’avais juste peur que nos jeux ne nous poussassent un peu trop loin, jusqu’à commettre l’irréparable faute de contrôle. J’étais très jeune, mais ma semence elle, avait tout d’une grande ! Essayez donc de demander à un garçon de renoncer à se faire tripoter par trois jeunes femmes, à l’âge où tout vous y pousse.
Lucie et moi avions éprouvé un plaisir si intense dans nos caresses et attouchements sexuels de débutants, que toute pratique onaniste, pour nous qui n’avions que peu d’expérience, devenait désormais fade, insipide et insatisfaisante. Je m’étais masturbé deux jours après, et j’avoue que pour la première fois, je n’éprouvais plus aucun plaisir, en tout cas ce n’était plus comme avant. J’avais d’ailleurs lu à ce propos qu’au Moyen-Âge, certains hommes et femmes avaient pour fonction de masturber les jeunes, qu’ils soient filles ou garçons, pour leur ôter tout plaisir à le faire eux-mêmes et donc de limiter la pratique de l’autosatisfaction. Technique efficace et dorénavant éprouvée ! Peut-être de l’obsolescence programmée avant l’heure !
Il m’apparut de plus en plus clair, que Céline avait saisi l’opportunité au vol quand elle nous surprit Catherine et moi, lorsque nous commençâmes « innocemment » la séance. Cette dernière se retrouva finalement le dindon de la farce. Comme me disait un ami, ça devait lui gratter maintenant. Malgré le spectacle auquel je m’étais livré, et qui avait dépassé leurs espérances, au bout du compte j’étais toujours vierge. Difficile de faire autrement, en pénétrer une, c’était prendre le risque que je ne puisse me retenir ou me retirer à temps, alors, à moins qu’elle ne maîtrise à la perfection leurs cycles (eh oui ! Il fallait bien que les cours servent un jour !), il n’était pas question d’aller trop loin… à moins que… Une idée me vint.
Sans doute parce que nous étions naturellement proches, mais aussi parce qu’enfants, il nous était arrivé souvent de pratiquer des séances de touche-pipis innocents, Catherine fut encore la première à m’aborder quelques jours après la séance, mais cette fois, en s’assurant que ses deux sœurs n’étaient plus dans les parages.
- L’autre jour ce n’est pas juste, je n’ai eu droit à rien !
- Tu as quand même touché un peu ma bite non ? Autant parler cru ! Elle ne comprenait que ce langage !
- Oui mais c’est tout, en plus j’étais d’accord pour te montrer aussi.
- Tu crois vraiment que c’était drôle pour moi ? j’ai eu l’impression d’être un jouet ! Et puis j’ai honte, j’ai l’impression d’avoir été une vache dont on venait de tirer le lait.
- En tout cas, ça n’avait pas l’air de trop te déranger sur le coup.
- Je n’ai pas eu le choix, après, tu sais bien, quand on touche là, c’est difficile de dire non tellement c’est bon !
- Viens on va dans ma chambre si tu veux ? Céline et Lucie sont chez leurs copines.
Elle me lança un clin d’œil en souriant.
- Et puis moi aussi je voudrais faire sortir le lait de ton petit pis.
Comment refuser un nouveau petit jeu maintenant ? Rien qu’à l’idée, je sentis mon sexe se gorger de sang dans ce slip trop grand, état second qu’il m’était difficile de cacher avec ce survêtement moulant et clair.
- Bon d’accord, lui répondis-je, mais c’est bien parce que c’est toi !
- Hypocrite va ! Dit-elle en fixant mon entrejambe, un sourire embarrassé aux lèvres.
Elle n’avait pas tort, je cédais facilement, et je peux même dire que j’ai attendu avec impatience cette prochaine fois. Je me suis même posé la question finalement de savoir si je préférais encore les garçons aux filles. J’avoue que j’étais un peu perdu. En attendant, je redemandais encore à visiter ce petit jardin moussu et merveilleux.
Quand nous arrivâmes dans sa chambre, elle me demanda tout de suite de lui montrer mes petits jouets. Je mis cette précipitation sur la peur de se faire de nouveau surprendre par l’une ou l’autre de ses sœurs. Ce qui était pris était pris !
- Dans ce cas vas-y, je ne veux pas te priver du plaisir de me déshabiller, lui dis-je en écartant les bras à l’horizontal.
- Il est déjà dur on dirait, et je ne l’ai même pas encore touché !
- Oui, que veux-tu, ça se passe aussi dans la tête, le cerveau change d’étage.
Catherine s’approcha de moi, s’agenouilla et commença à fouiller de ses mains la surface de mon survêtement. Elle cherchait sans doute l’emplacement exact où le vilain serpent du péché se cachait, à moins que ce ne soit une sorte d’apéritif tactile. Elle avait pris de l’assurance depuis la dernière fois, mais restait très nerveuse à l’idée d’avoir enfin le petit jouet rien que pour elle, et de pouvoir l’étudier sous toutes ses coutures. Ses petites mains frottaient le tissus, et plus elle s’approchait, plus mon pénis donnait des à-coups incontrôlables. Finalement, elle le saisit au travers de mon jogging.
- Wahou ! Dit-elle, c’est drôlement dur !
N’y tenant plus, elle attrapa l’élastique du jogging, l’écarta, et descendit tout doucement, comme pour faire durer l’instant. J’avoue que je ne faisais plus le fanfaron, réduit à ce rôle d’objet, fut-il volontaire et agréable. Paradoxalement, j’aimais bien me retrouver dans une situation un peu humiliante. Cette petite vicieuse pinça le tissu entre ses doigts, de sorte que celui qui était à l’intérieur frottait tout le long de mon pénis bien dur derrière mon slip, tandis qu’elle continuait d’abaisser le pantalon. Je commençais à suer des gouttes, et je ne parvenais pas à me retenir de gigoter. Cette fois, elle ne faillit pas, même en sentant les petites secousses d’excitation provoquées par ce doigt effronté et hardi. Au contraire, elle me regarda droit dans les yeux avec un petit sourire, sentant que je n’étais pas totalement à mon aise. Après ça, je ne pourrais plus jamais regarder Paul VI dans les yeux !
Mon cœur s’emballait et battait très fort la chamade, et ce doigt, ce doigt qui n’en finissait plus de descendre, descendre, descendre, frottant le dessous de mon sexe redressé contre mon bas-ventre ! Elle descendit ainsi jusqu’aux testicules. Un truc de dingue !!! Elle entra ses mains dans mon pantalon par les côtés, contourna mes hanches, et les arrêta sur le pli sous mes fesses, comme pour les soutenir. La petite garce, elle les malaxait ! Je commençais à douter qu’elle n’ait jamais rien fait.
Elle reprit la descente de mon pantalon, très doucement, laissant glisser ses mains langoureusement sur l’arrière de mes cuisses toutes lisses, jusqu’au niveau de mes genoux. Sans me demander la permission, elle ne résista pas à tripoter le petit paquet au travers de mon slip tout bleu. Près de l’élastique, là où se trouvait mon méat, il y avait déjà une petite tâche humide et même une petite goutte qui avait suinté au travers, et qu’elle s’empressa de frotter du doigt avant de le lécher.
- C’est un peu salé, me dit-elle.
Tant d’audace de sa part me surprit ! Elle osait tout ! Je ne savais pas qu’on pouvait faire ça.
Elle se releva, recula d’un pas et se déshabilla. Je ne cherchai pas à le faire moi-même, ce n’était pas plus mal comme ça ! Je n’étais qu’un automate incapable de prendre la moindre initiative. Alors je profitai de l’effeuillage. J’avais très envie d’ôter mon slip, juste pour être nu le premier, juste pour me sentir plus mal à l’aise et gêné, mais je trouvais qu’il était plus excitant pour elle de voir les secousses de ma petite souris se débattant dans son nid. Et puis, le plus excitant, c’est quand même quand tout est encore caché et que l’on doive tout deviner.
Quand elle enleva son soutien-gorge, je remarquai tout de suite qu’elle avait des seins plus gros que ceux de Lucie, sans doute parce que chez elle, tout était un peu plus gros aussi, à commencer par ses fesses ! Ses tétons m’hypnotisaient. Les seins, c’est rond, c’est bon, c’est chaud ! Allais-je pouvoir les sucer cette fois ? Les téter ? Y aurait-il du lait de femme ?
Et puis, il y avait enfin cette délicieuse culotte de dentelle toute blanche, bien trop blanche, bien trop tendue sans le moindre pli, dont le tissu ajouré laissait entrevoir quelques touffes de poils blonds. Elle épousait parfaitement sa petite vulve et ne laissait que peu de place à l’imagination. Je devinais la forme de son sexe, la fente de ses lèvres avec ce petit sillon humide. Ah ces lèvres ! Si bien enveloppées dans cette étoffe ! Jamais le terme moulant n’avait pris autant de sens. On aurait dit qu’elle avait deux petites aiguillettes de poulet dans la culotte ! Ça aussi c’était bandant. Culotte ou pas, j’avais envie de passer le doigt dans son sillon et de retrouver le plaisir de jouer avec les deux petits carpaccios, écarter ce petit voile de coton blanc sur le côté, pour dégager l’une des lèvres, puis l’autres, humer de nouveau l’odeur, le parfum de l’élixir de plaisir qui suintait derrière.
- Je peux toucher s’il te plaît ? Lui demandai-je.
Rien ne se faisait sous la contrainte, elle était ouverte dans tous les sens du terme.
- Oui, vas-y ! Répondit-elle simplement.
J’avançais alors ma main, la paume vers le plafond, mes doigts repliés, à l’exception de mon index et de mon majeur. Je fis quelques glissements sur cette fente que l’humidité révélait à mes yeux. Ça suintait de partout ! Je sentis du bout des doigts le relief en creux du sillon. La petite culotte était bien plus qu’humide. Me doigts s’enfonçaient tous seuls, imbibant le tissu de plus de liquide encore. Sous mes doigts qui frottaient maintenant les grosses lèvres, je sentis ses poils crisser derrière le tissu, douce sensation tactile autant qu’auditive, la mode n’était pas encore aux petits minets rasés. Puis, sous mon majeur, je parvenais à deviner ces deux petits lambeaux de chairs qui semblait se gonfler un peu, mes deux petits sot-l’y-laisse entre lesquels il glissait délicatement. Que c’était bon : Et dire qu’il n’y avait que ce petit bout de tissus qui me retenait de l’enfoncer doucement. Mon doigt glissait et glissait encore au beau milieu, et j’avais l’impression d’une petite pelouse détrempée, comme lorsqu’on l’avait trop arrosée. La seule différence était ces petits fils, comme de la salive, de la bave qui se liaient à mes doigts. Je comprenais alors les paroles de mes copains quand ils disaient qu’une fille mouillait. Je me doutais bien de ce qu’il fallait comprendre maintenant, c’était du concret, ou du moins, du liquide. Je portais mon doigt à ma bouche, et franchement, je n’ai pas trouvé ça bon sur le coup.
- Beurk, toi aussi c’est salé !
Elle me repoussa en gloussant et baissa enfin sa petite culotte qu’elle lança vers moi. Je l’attrapais au vol pour la poser sur mon visage, tout en regardant ce petit triangle de mousse blond qui s’offrait à moi, un vrai spectacle. Je ne sais pas ce qu’il m’a pris, mais je ne pus m’empêcher de porter la partie humide à mon nez pour la sentir, respirant les yeux fermés cette petite odeur animale comme devaient le faire les vieux cochons et pas moi ! Je ne me reconnaissais plus. Ces filles avaient décidemment une très mauvaise influence sur moi. Ça ne sentait pas bon, mais ça m’excitait au point que je passai maintenant toute ma langue dessus, tout en lui lançant un regard de défi !
- Tu as vu ? la petite tâche sur ton slip augmente ! Me dit-elle.
- Oui, répondis-je en baissant la tête, c’est parce que je suis excité et que maintenant mon gland est complètement découvert.
Je regardais sa culotte entre mes mains.
- Ce n’est pas mieux pour toi visiblement.
- On va comparer.
Elle s’approcha nue et baissa enfin mon petit slip, prenant soin de frotter le dos de sa main sur mon sexe bien dur, libérant ce pénis qu’elle attendait tant ! Avant de se relever, elle passa sa main dans mes poils, à la manière d’un peigne.
- Ils sont drôlement épais les tiens, mais y’en a pas beaucoup.
Elle mit nos culottes côte-à-côte. Je crois que c’était un match nul, moi la tâche était ronde, et la sienne plutôt allongée. Elle frotta la face intérieure de mon slip sur son sexe avant de me le rendre tout humide de nos sécrétions mêlées. Comme il y avait des serments du sang, nous nous prêtions à un serment de je ne sais pas trop quoi d’ailleurs.
- Tiens, maintenant tu auras un souvenir de moi ! Ne le lave jamais.
Je fis de même avec sa petite culotte en dentelle, en essuyant mon gland luisant et poisseux, puis je la lui rendis. Elle la frotta sur les lèvres de sa bouche, cela nous provoqua un fou rire à tous les deux. Je sentais monter entre nous une grande complicité de jeu, plus grande que lorsque nous étions enfants, et même si j’étais plus jeune qu’elle.
Avec prudence et délicatesse, elle se permit d’attraper mes deux testicules qui pendouillaient, et les fit rouler dans sa main. Ces deux petites billes oblongues la fascinaient, puis elle tritura la grosse veine qui courait sur mon pénis, la déplaçant avec son index de droite à gauche, puis de gauche à droite. Enfin ce fut le tour du sexe tout entier qu’elle saisit et serra entre ses doigts, tentant une masturbation maladroite, comme je la leur avais montrée quelques jours auparavant.
D’une main ferme et décidée, elle poussa sur ma poitrine pour me faire tomber à la renverse sur son lit. J’avais les pieds qui pendouillait dans le vide et mon sexe dressé comme un petit mat, légèrement courbé vers mon abdomen.
Elle resta debout, regardant ce corps nu à sa merci. Ses jambes étaient écartées, et je voyais les petites lèvres très courtes qui dépassaient à peine de sa petite fourrure blonde. C’était amusant de voir ses poils bouclés se regrouper par petits paquets sous l’effet de l’humidité.
Je me décidai à écarter mes jambes le plus possible pour lui donner de quoi mater. Mes testicules pendaient dans le vide et mon sexe toujours dressé, avec trônant triomphalement à son sommet, ce gland tout rose et fendu que je lui offrais.
Enfin elle se décida et se mit à genoux par terre entre mes jambes. Je compris la manœuvre, et je me rapprochai du bord du lit pour que sa tête soit au plus près de mon sexe, et qu’elle puisse me regarder et pourquoi pas s’amuser un peu. J’espère qu’elle en fera autant pour moi après. Je n’existais plus, elle n’avait d’yeux que pour mes trésors.
Elle commença par poser une de ses mains sur mes testicules et recommença à les palper, l’autre s’égarant dans ma petite forêt noire.
- Je te fais pas mal ?
- Non ça va, mais pas de geste brusque, c’est très sensible, sinon tu peux jouer avec.
- Oui je sais, tu veux bien alors ?
- Oui bien sûr, je te laisse faire tout ce que tu veux, mais après, ça sera mon tour.
- D’accord, répondit-elle tout simplement.
Elle commença par les faire rouler sous sa main, et même les sépara pour comparer leur taille.
- C’est drôle, elles sont exactement pareilles.
- « Ils », répondis-je, on dit un testicule, c’est un mâle !
- Oui, mais on dit « une » couille, non ?
Elle n’arrêtait pas de leur faire des petits baisers, tout doucement, de les soupeser, de les bouger, de tirer avec douceur la peau de ma bourse, mais ce qu’elle aimait par-dessous tout, c’était de les faire rouler sous la paume de sa main. Elle remarqua enfin la petite couture qui rejoignait mon anus.
- Tu as été opéré ? Me demanda-t-elle, il y a une cicatrice sur tes couilles ? Juste au milieu, et ça va jusqu’en bas en plus !
- Non, tous les garçons sont comme ça, regarde, ça commence là, sur le frein, et ça se termine juste avant mon petit trou.
- C’est marrant.
Je ne voyais vraiment pas ce qu’il y avait de drôle. On aurait dit qu’elle cherchait à me ridiculiser.
Elle posa la pointe de sa langue sur le frein, puis longea la cicatrice jusqu’à son autre extrémité.
- Relève un peu tes fesses, je voudrais voir ton petit trou. Je voudrais qu’aucun endroit ne reste secret !
Je m’exécutai. Je sentis qu’elle contournait mon anus de son index, puis descendit, descendit, descendit pour atteindre le fond. Elle mouilla son doigt et chercha à forcer le passage. Je me raidis, me contractai pour en verrouiller l’accès !
- Tu n’aimes pas ? Pourtant, on m’a raconté de drôles de choses sur toi Damien !
- Ah bon ?!
- Détends-toi s’il te plaît, ce que je fis.
Elle profita de ce moment pour humidifier son doigt, l’enfonça aussi rapidement qu’un suppositoire, et Ô miracle, le doigt glissa dans l’antre magique.
Quand je pense que dans l’esprit de certains, ça coûte un pognon de dingue de se faire sodomiser !
Quelques vas-et-viens, puis elle arrêta, et se décida à revenir à ses classiques et de s’attaquer au corps du délit, saisissant mon sexe pour mieux l’explorer. Je la trouvais assez maladroite, n’osant pas toucher encore le gland. J’avoue que là, ça me plaisait beaucoup plus. Je commençais à éprouver des sensations physiques avec sa main qui bougeait partout. Elle le frotta contre sa joue, et regarda la tête de ce sexe encore mystérieux pour elle. Elle comprit après démonstration qu’on pouvait s’amuser à remettre le petit chapeau en place. Elle commença alors à s’amuser. En le décalottant, elle tira un peu trop fort. J’ai même eu peur qu’elle ne me le déchire, comme c’était arrivé à l’un de mes camarades, quand il se soulageait lui-même avec trop d’ardeur.
- Il a bien changé depuis qu’on était petit !
- Vas-y doucement, lui lançais-je, là c’est très sensible, tu pourrais me faire mal facilement.
- Ah bon ? ok je vais faire attention.
Ses gestes devinrent plus prudents. Malgré mon érection, mon gland pouvait rester calotté, j’avais encore un prépuce de jeune ado, bien long, le genre petit bout de chewing-gum qui dépassait bien, à mâchouiller délicatement. C’était un petit jeu auquel nous nous livrions avec quelques camarades intimes de l’internat, et j’avoue que je préférais de loin les prépuces qui laissaient encore de la place à l’imagination, plutôt qu’un gland déjà découvert et desséché. Il y avait toujours matière aux petits jeux.
Directement, elle attrapa donc ce petit lambeau de chair qui dépassait, mon carpaccio à moi, le tritura entre ses deux doigts, s’amusa un peu à le pétrir, le saisit délicatement avec ses lèvres, puis avec ses dents, j’avoue que j’ai eu peur, mais en le mordillant je découvris un certain plaisir. Elle finit enfin par y enfoncer son index qui butta sur le haut de mon gland. L’intérieur était très humide. Elle aimait tourner et retourner son petit index dedans, sans se rendre compte que le frottement me rendait instable. Elle eut alors ce geste admirable de descendre ce doigt beaucoup plus bas, en butée, tout en laissant mon prépuce en place. Et là ! C’était magique pour moi, surtout quand elle frotta sur le dessus de mon gland dans le prépuce. Je n’y tenais plus tellement c’était trop fort. Elle ne comprenait pas que je lui demandai d’arrêter, à tout moment je pouvais craquer.
- Arrête !!! C’est trop fort lui dis-je !
- Ah bon ?
Elle cessa et me laissa deux minutes pour reprendre mes esprits, respirer un grand coup et surtout regagner un état plus stable. Pour une fille qui prétendait n’avoir jamais rien fait, je trouvais au contraire qu’elle savait très bien s’y prendre.
La pression redescendue, elle remit de nouveau son doigt dans ce prépuce qui recouvrait toujours mon gland, de nouveau jusqu’au fond, et s’amusa à le faire tourner à l’intérieur, sans se rendre compte de l’effet intense que cela produisait. Quel bonheur !
- J’aime bien me dit-elle ! J’aimerais bien lui faire un baiser !
- Ne te gène pas, si tu veux, tu peux même le mettre dans ta bouche aussi.
- Beurk ! C’est dégueu ça !
C’était tellement « dégueu » comme elle disait, qu’elle me décalotta en partie, puis posa ses lèvres dessus et le sussota tout doucement, puis repoussa le reste de ce prépuce avec ses lèvres, pour le dégager complètement et venir les caler derrière la collerette.
Uhmmm !!! Quelle sensation nouvelle et exaltante ! Ce n’était pas possible, elle avait une parfaite connaissance du sexe des hommes, il ne pouvait en être autrement. Je sentis sa langue voyager sur mon frein, racler le col de mon gland, mais le plus exaltant et terrifiant, était le passage sur le dessus qui déclenchait en moi des gémissements nouveaux.
- A mon tour maintenant ! Lui dis-je.
- Tu es sûr ? Comme tu veux alors !
Je ne voulais que ça finisse là, j’avais une autre idée derrière la tête, et je craignais qu’elle ne fût pas réceptive.
Nous inversâmes nos places et elle se retrouva sur le dos, les jambes écartées, pendant dans le vide, et moi à genoux entre ses cuisses contemplant ce petit minou. Ses poils étaient plus doux que les miens, soyeux, plus fins, mais aussi plus abondants. Tendu comme j’étais, d’instinct j’avais envie de la pénétrer, sans savoir véritablement comment m’y prendre. J’étais si excité, qu’il me semblait qu’un invisible fil attirait irrésistiblement mon pénis vers cette vulve humide, brillante, écarlate et légèrement entrouverte, me voyant déjà dedans, m’allongeant délicatement sur son ventre et donnant des petits coups de reins, les fesses à l’air. Il me fallait pourtant résister à cet instinct qui me commandait, au risque d’une catastrophe familiale indescriptible. Tout en ayant ses pensées, mon bassin commençait à donner de petites secousses incontrôlables dans le vide, ces mêmes secousses que nous avions à l’internat entre garçons dans la même situation. Mais là, il n’y avait pas de risque avec Dimitri, Fabrice, les autres et surtout François.
Je commençais donc mon exploration en écartant un peu plus ses lèvres, les grandes, pour regarder à l’intérieur de la petite grotte. Les petites s’écartaient aussi. Au fond, il y avait comme une petite peau toute flétrie, au centre de laquelle il y avait un petit trou, et dont j’appris plus tard que c’était son hymen. Un ami me confirma qu’elle était donc vierge.
- Je peux toucher ? Lui demandais-je.
- Je crois que c’est déjà fait non ?
- Je veux dire je peux mettre mes doigts dedans ?
- C’est fait pour, après tout toi tu m’as laissé faire alors… et tu peux aussi mettre ta bouche !
Cette remarque me fit sourire et je lui lançai une petite plaisanterie qui la fit sourire aussi.
- Beurk ! c’est dégueu !
Quand elle pouffa de rire, elle expulsa un petit vent de son antre. Là oui c’était dégueu mais ça ne m’arrêta pas pour autant. Je mis donc mon doigt pour commencer. C’était chaud et doux dedans et je me disais que l’on devait être bien à l’intérieur. Je suis passé doucement à travers l’hymen sans le rompre, et derrière c’était vraiment bien. Je connaissais l’existence de l’hymen chez les filles, sans savoir à quoi ça ressemblait : eh bien, c’était bien. Derrière, c’était doux ! Comme mon doigt s’ennuyait tout seul, il fut rejoint par mon autre index qui voulait aussi s’amuser, et Dieu sait qu’ils s’amusaient !
Maintenant que j’avais carte blanche, j’explorais d’abord le terrain d’un œil disons… anatomique. J’étais comme en repérage de tout ce que j’avais lu sur les livres de bio, et surtout les magazines que nous nous échangions au lycée. Je découvrais le fameux clitoris que je n’avais pas reconnu dans la pénombre de la cabane, avec juste mes doigts pour le sentir, le fameux petit pois ! Dans cette position, effectivement, je fis immédiatement le rapprochement. Je compris les petits cris, j’allais de nouveau m’amuser avec, quand je sentis que des secousses agitaient de nouveaux mon bas-ventre, signe qu’une éjaculation menaçait. Je pris de nouveau quelques minutes le temps que ça passe. La petite vulve s’était refermée.
Ma tête s’avança, puis ma langue sortit de ma bouche. Je fermai les yeux jusqu’au moment où elle entra en contact avec la fente de ma cousine, et là, instinctivement, sans ne l’avoir jamais appris, je me mis à lécher de bas en haut, puis de haut en bas cette vulve humide qui ne m’écœurait plus. Plus je le faisais, plus je m’enfonçais profondément avec ma langue, parfois en aspirant comme une ventouse. Plusieurs fois, elle s’égara même plus bas, sur cette petite couronne toute rouge qui ne s’ouvrait jamais et pour cause, il fallait la rompre avec autre chose. Elle géniait de plaisir.
Quand j’eus terminé de m’amuser, je m’occupai de la petite rondelle du bas, qui m’attirait aussi ! Quelques baisers, quelques coups de langues, et j’explorais le petit chemin boueux.
Elle me demanda de me rendre sa place. Elle dominatrice, et moi allongé, ce que je fis sans sourciller. De nouveau sur le dos, le petit mât dressé, elle sortit un petit flacon d’huile d’amande douce et en versa sur mon sexe et mes testicules. Commença alors le massage spectaculaire de mon membre. A de nombreuses reprises nous dûmes nous arrêter.
- J’ai envie, lui dis-je
- Envie ?
- De te pénétrer je n’en peux plus.
- Tu as des préservatifs. Me demanda-telle ?
- Non.
- Alors non, ce n’est pas la peine de demander, une autre fois.
- J’ai une autre idée.
- Laquelle ?
- Je la mets dans l’autre trou !
- Quoi ? T’es dingue toi !
- Bin quoi, là tu risques rien, et puis toi t’as mis ton doigt non !?
Elle parut hésiter dans le bon sens, si je puis dire. L’idée faisait son chemin, et pour elle comme pour moi la situation était inédite. Du reste, tout était une première.
Elle monta sur le lit pour se mettre à quatre pattes et me dit :
- Vas-y, je suis prête.
Elle m’offrit le spectacle que j’attendais, elle a genoux, la tête sur son lit, la croupe luisante relevée, moi debout à genoux derrière elle, regardant d’au-dessus ce p’tit trou qui s’offrait à moi. Enfin le moment était venu d’entrer dans un nouveau monde de plaisir.
Je saisis la petite bouteille d’huile et versai un filet sur le bas de son dos. Lentement, l’huile ruissela dans la raie de ses fesses bien entrouvertes, jusqu’à atteindre le puits magique. C’est alors que je décidai d’approcher mon gland, telle une fusée à tête chercheuse qui pointait sur son objectif. En l’occurrence ici, c’était Objectif lune pour les bijoux de la Castafiotte !
Mon gland luisant et huileux se colla comme une fléchette au centre de la cible, sur cette petite rondelle qui suintait d’huile, avant que la petite cascade ne se décida à repartir de l’endroit pour descendre plus bas.
Sans encore l’avoir pénétré, il épousait parfaitement ce petit cône dont je ne forçais pas l’entrée, je me contentai juste de le frotter, dominateur alors que jusqu’à présente je n’avais fait que subir. Catherine gloussait de plaisir, et moi, j’avoue qu’au contact de ce petit trou, j’étais au bord de la suffocation orgasmique, prêt à lâcher tout ce sperme qui se massait à la porte de sortie. Pensez-donc ! A l’âge que j’avais, et pour une première fois, c’était rencontre du troisième et même du quatrième et cinquième type ! Voyage au trou de l’enfer, full anal craquette ! À tout moment le barrage risquait de rompre et de déverser cette cataracte de semence devenue incontrôlable et de plus en plus instable, comme de la nitro. Je me faisais violence. Sur mon sexe en contact avec ce charmant petit anneau, je déversai encore un peu d’huile d’amande douce, puis je me lançais.
Je saisis mon pénis dans la main pour assurer sa rigidité durant le passage du goulot. Bien qu’elle fut consentante et désireuse de vivre cette expérience, la tension resserrait le petit anus magique tant et si bien que c’était à peine si mon foutu gland parvenait à se frayer un passage.
Finalement, la porte céda, elle avait désormais l’anus grand ouvert comme la Porte des Etoiles, et je vis mon gland gluant entrer tout doucement et disparaitre complètement comme le Palomino dans le petit Trou noir. La tête passée, le reste ne fut qu’une formalité et j’enfonçai ce dard, tel un poignard : d’un seul coup. Elle poussa un petit cri et gémissait de bonheur, et moi aussi, ma tête en arrière, les yeux révulsés. Je savais que je ne tiendrai plus très longtemps. Je m’allongeai sur son dos, et attrapai ses seins tout en continuant mes mouvements et en les malaxant.
Je me sentais bien dedans, tout mon sexe était entouré d’une chaleur soyeuse au toucher, et fort heureusement, la place était vide. Je parvenais maintenant à exercer de petit vas-et-viens au son de ses petit couinements. Mon bas ventre tapait sur ses fesses gélatineuses, au point de créer une petite vaguelette à chaque rentrée, et à chaque coup, elle émettait un petit gloussement aigu, et moi un râle de plaisir. Plus il ressortait, plus il était humide et re-rentrait facilement.
Mon corps se raidit d’un coup quand je sentis ma semence jaillir hors de moi dans le petit trou de ma cousine. Je n’ai pas dû faire plus de quatre allers-retours avant de cracher mon venin.
- C’est chaud, me dit-elle, en gémissant.
- Quand j’éjaculai, je sentis cet anus se contracter lui aussi, comme une guillotine à cigare.
Elle aussi était en extase. Elle eut un cri plus fort, une sorte de Hiiiiiii de jouissance, et moi qui n’arrêtait pas de me vider. Mes secousses se prolongeaient au point de m’inquiéter, six, sept, puis dix, dix contractions d’éjaculation.
Son épine dorsale était humide, et moi je sentais des gouttes de sueurs qui perlaient le long de la mienne. Je me retirai pour m’écrouler à ses côtés, nous nous regardâmes. Puis comme pour nous détendre, je me mis dans l’autre sens pour lui lécher la vulve de nouveau et elle de me sucer le gland devenu flasque et mou, comme pour le nettoyer.
Nous étions épuisés, enfin je ne me considérai plus comme vierge, même si j’avais emprunté un sens interdit, quant à elle, elle me proposa de trouver des préservatifs, pour qu’une autre fois, je puisse lui rendre ce même service.
On était bien, mais il fallait faire vite et ne pas se laisser surprendre par le retour des autres. Quant à moi, je devinai dès lors qu’avec les deux autres, et surtout les grandes cousines, j’avais du pain sur la planche cette été ! Il me fallait absolument trouver des capotes !
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Commentaires de l'histoire :
MarcOrca
Superbement écrit. Jolis jeux de mots. Bien détaillé sans vulgarité. Et la suite des vacances ? Avez vous trouvé des préservatifs ?
Posté le 25/07/2020
Shinghouz
Très bien, g bcp aimé les clins d'oeil humoristiques
Posté le 7/03/2019
fandu21
J'ai beaucoup aimé vous lire. Merci d'enchanter mes nuits.
Posté le 6/03/2019
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