Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 9

Léo passe lui aussi à la casserole dont Evann représente la queue qu'il doit empoigner, sucer, et la prendre dans le cul. Delphine surprends ses filles faire l'article à leurs copines, elles ne peuvent qu'observer les deux sœurs s'occuper de la poutre infatigable d'Evann.

Proposée le 12/12/2024 par mlkjhg39

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: Groupes
Lieu: Mer, piscine, plage
Type: Fantasme


Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 9


Rappel : Delphine : Lana, Ninon et Léo ses enfants adoptés : Evann, fils de son deuxième mari.

Ma main d’homme arrive à peine à l’encercler. Je n’ai plus que le majeur qui arrive à frotter sur le bout de mon pouce. Quel engin ! Il a déjà joui trois fois pendant la nuit, et pourtant en dominateur, il s’amuse avec les formes de maman, se penchant pour lui sucer le téton érigé de son sein droit et malaxant l’autre entre ses doigts.

Suite :
De mon autre main, je saisis ma propre queue qui a enfin rebandée pour tenter une comparaison. Je suis ridicule comparé à lui, surtout par la grosseur de sa poutre qui m’effraie plus que sa longueur. Après quelques secondes, il me force à prendre en bouche son gland de même proportion que j'essaie pour la première fois de sucer et je commence à le pomper lentement, procédant au nettoyage du matériel qui a trainé dans les entrailles de ma mère. Je passe ma langue le long de cette énorme sexe au diamètre si impressionnant avec ce goût unique qui, à ma grande surprise, a repris une rigidité incroyable comme si ses nombreuses copulations antérieures n’avaient aucune emprise dessus. J’essaie tout ce que je peux pour qu’il jouisse avant de subir le supplice du pal, mais rien n’y fait. Je ne vais pas y couper.
Evann décide de passer à la deuxième phase, et me couche sur lit, m’écarte les jambes et s’encastre entre mes cuisses. Sa bite n’a pas baissé d’un pouce, toujours en érection. Il me presse la tête de son bélier sans effort sur mon anus, et prêt à me défoncer, il n’y a pas d’autre mot. Maman s’est allongée à côté de moi et me dit que maintenant j’allais jouir comme jamais par mon petit trou. Elle me graisse le fion, m’huile dans le derrière et fait de même sur le mât dressé, prêt à fondre dans mon fondement.
-J’ai peur tu sais maman… Tu me promets que si j’ai mal, tu lui diras d’arrêter.
- Promis/juré, poursuit-elle. Je vais bien te lubrifier avec ma mouille et son sperme pour que ça glisse tout seul.

Je sens le gland contre mon petit trou, qui sous la pression, se dilate un peu et cède sous la formidable poussée. Il commence à introduire son engin dans mon anus, le gland rencontre de la résistance. Il pousse sa bite doucement mais puissamment, J’émets des cris de douleur.
- Attention ! tu m’as défoncé, arrête !
-Ça va aller ! Ce sont ses seuls mots de réconfort. Il continue pousser son défonce-cul, c’est le cas de le dire, d’abord doucement et d’un coup brusque, enfile son engin dans mon cul jusqu'à la garde. J’hurle de douleur, il ne bouge plus, attendant que mes boyaux s’acclimatent à un étron qui entre au lieu de sortir. Je dérouille salement mais quand il commence à ramoner mon trou avec son engin, mon rectum finit par accepter sa poutre à l’intérieur. Doucement, je me détends et lui dit :
-Maintenant c’est bon, mais vas-y doucement.

Il fait des va et vient. Je gémis, cette fois-ci de plaisir. Petit à petit, la queue coulisse dans mes entrailles, jusqu’à ce que ses grosses couilles cognent contre mes fesses. Il y est arrivé ce salaud, il a enculé la dernière personne sous ce toit qui n’y avait pas encore eu droit… Il est parvenu à obtenir ce qu’il voulait. Mais pour moi, c’est plutôt hard et pas sans douleur, aussi bien physique que psychique. Je suis empalé par Evann, il me sodomise à grand coups de reins et horreur ! Ça me fait bander comme jamais !
Maman, qui ne perd pas le nord embouche ma pine. Ce n’est pas aussi facile que dans les films X et je sens qu’elle a des difficultés pour suivre le rythme d’Evann au creux de mes reins. Je n’en reviens pas de ressentir autant de plaisir, sens l’orgasme venir et je n’en reviens pas de lui gueuler que j’en veux plus. A un moment, je sens sa queue bien au fond de moi et jouis dans la bouche de ma mère, toujours en train de me sucer. Je suis tellement excité que j’ai éjaculé au bout de trente secondes dans sa bouche et sur son visage.
Evann lui aussi est arrivé au point de non-retour mais ne veut pas se vider dans mes boyaux. Il se retire et m’ordonne :
-Viens me sucer !

Je n’ai plus aucune volonté ni amour propre. Je pose ma main sur son bas-ventre puis atteins la verge dressée, la saisissant à la base. Mes doigts suivent cette peau si fine qui l’habille et remontent jusqu'à son sommet. Je décalotte le gland massif, et du bout de ma langue en fais le tour avant de la pointer dans le méat. J’excite le frein entre mes lèvres comme le fourreau d’un poignard qui l'englobe. Après cet arrêt sous la couronne de son gland, mes lèvres coulissent pour absorber la verge et ma langue titille l’extrémité si sensible. Je commence à pomper avec un délice coupable cette tige pharaonique qui il y a si peu me procurait tant de plaisir en me défonçant le fion. Ça saveur m'enivre, mélange de tant de sécrétions dont il vaut mieux ne pas tenir compte. Evann pose ses mains derrière ma nuque et me donne le rythme
J’engloutis le maximum de son gros dard mais ça ne satisfait pas. Ses mains appuient sur ma tête pour que j'en absorbe plus jusqu’à ce que ça me donne la nausée. Il arrête un instant mais persévère en s’emportant :
-Tu ne vas quand même pas me dire que tu ne peux-pas échouer là où ta mère y arrive, bordel !

Je reprends la fellation et une fois de plus son gland massif heurte ma luette mais cette fois, il donne un coup de reins et ma fellation se transforme en une gorge profonde dont je ne me serais jamais cru capable avec un tel bâton crémeux. Son excitation est à son comble et un ultime gonflement de sa lance annonce les grandes eaux. Une première giclée jaillit directement dans mon œsophage et avec un effort monstrueux, j’arrive à retirer suffisamment la tête en arrière pour ne pas m’étouffer et reçois les autres expulsions de sperme sur la langue. Je me retrouve la bouche empâtée d'une deuxième giclée de sperme chaud. Un peu déstabilisé, je décide sans trop y réfléchir d'avaler encore le liquide. A peine ai-je dégluti qu'une nouvelle giclée de son meilleur miel toujours aussi chaud m'inonde de nouveau la bouche. Je continue à le masturber en avalant à mesure la liqueur séminale de cet étalon reproducteur, j'ai l'impression qu'il laisse partir des quantités phénoménales et pourtant c’est la quatrième fois qu’il se vide les burnes ! Je n'ai pas le temps de déglutir qu'une nouvelle vague vient se mêler à la précédente. Pour la première fois de ma vie, je déguste la sève d’un homme qui grogne son plaisir, les yeux fixés sur mon regard, savourant son emprise sur moi. Elle a un goût plus sucrée que la mienne et je comprends pourquoi toutes les filles de cette maison veulent leur ration de crème.
J’ai bien conscience que je ne fais pas le poids face à lui mais je me contenterai largement de ses restes.

Delphine :
J’éprouve un sacré dilemme… Poursuivre sur cette pente glissante ou bien mettre le holà dans cette famille de débauchés. Je me rends vite compte que bien que je sois la personne la plus responsable sous ce toit, je n’ai plus aucune autorité sur la troupe.
En quelques mois, le souffre-douleur de mes enfants est devenu un dieu vivant, Priape !!!
Il en a l’organe, la résistance, et des capacités peu communes chez les hommes. La principale étant pour la gente féminine de pouvoir « couvrir » plusieurs juments dans la même débauche.
Comme il n’y a plus grand-chose à cacher désormais entre nous, les filles ont le culot de venir plonger dans notre piscine avec comme seul vêtement un string qui tient plus de la ficelle à gigot. Elles ont même forcé le trait à acheter à Evann plusieurs maillots de teinte claire et d’une taille trop petite. C’est un défilé chez nous depuis quelques temps car elles invitent leurs copines pour qu’elles admirent la « bête » quand il sort de la piscine et que le tissu est presque transparent. J’ai même surpris leurs conversations.
-Alors ? Vous nous croyez maintenant ? Quand on vous disait qu’il en a dans le slip ! Et là, il ne bande même pas, un sacré coup !
-Vous vous foutez de nous, répond l’une des filles. Vous voulez nous faire croire qu’il est monté comme un cheval alors qu’il bande déjà à mort en vous voyant quasiment à poil sous son nez à l’exciter comme pas possible… Et à vous écouter, il vous aurait aussi sautées ? Vous prenez vos désirs pour des réalités.
-Ah oui ? l’apostrophe Lana. Attendez…

Je la vois prendre son portable et pianoter dessus et quelques instants après, leurs copines se penchent sur leur smartphone.
-Ouvrez la vidéo et regardez avant de nous prendre pour des nymphomanes ! Ordonne Ninon.
Les filles pianotent, quelques secondes de silence avant une averse de commentaires plus élogieux les uns que les autre :
« Oh putain ! », « quelle queue », « jamais vu ça », « et en plus vous acceptez de vous faire enculer par une telle poutre ? », « mais c’est pas possible, il vient de jouir comme Peter NORTH et pourtant il ne débande même pas ! ». Et j’en passe et des meilleurs.
-Chasse gardée les filles ! Réservé aux membres de la famille. A la rigueur, vous pourrez vous rincer l’œil et caresser « la Bête ». Toutes à l’eau ! Et toi Evann, assieds-toi sur la margelle, les pieds dans la piscine.
Plusieurs « plouf » plus tard, elle se mettent à la queue leu-leu, mais la seule queue qui les intéressent, c’est celle d’Evann. Elles se bousculent l’une après l’autre entre ses cuisses pour tâter la marchandise, certaines avec appréhension ou alors avec avidité.
-Léo ! Ordonne Lana, viens t’asseoir toi aussi à côté d’Evann !

Les deux garçons ne résistent pas longtemps aux papouillages de leur entrejambe par toutes ces filles déchainées et la nature fait le reste. La couleuvre et l’anaconda se transforment de plus en plus en un bâton pour Léo et en pieu massif pour Evann que son slip ne peut plus contenir. Son gland massif et plusieurs centimètres de sa hampe font surface pour prendre leur respiration pour le plus grand bonheur de toutes ces petites dévergondées qui y vont de leurs commentaires.
-Quel chibre ! – ça c’est de la queue ! – Trop gros pour moi ! – Suffit pas d’en avoir une grosse, mais moi, je suis comme saint-Thomas, je ne crois que ce que je peux tester – Dommage que Léo en ait une si petite ! – Pas si petite que ça, la comparaison avec Evann ne lui rend pas service !
-Eh les filles ! grogne Ninon, la fête est finie, mais on n’est pas des garces, vous êtes autorisés à regarder la suite !

Chacune de mes filles prend place entre les cuisses des garçons et entreprennent une fellation sur les verges dressées pour le plus grand plaisir de Léo qui pour la première fois se fait pogner par une de ses sœurs. En moins de deux minutes, il grogne, ne pouvant plus résister et Lana sort la verge de sa bouche pour en faire profiter l’assistance. Deux jets de spermes se succèdent avant que le suivant ne suinte sur le gland qui ne tarde pas à dégonfler. Et les commentaires reprennent.
-Pas mal, mais un peu court ! – Tu avales-pas ? Il lui faut combien de temps pour remettre le couvert ? J’en ferais bien mon 4 heures ! Etc… Etc…

A suivre…

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Anonyme
aucune ne lui résiste
Posté le 14/12/2024


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 10
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir…
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 2
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 8
Famille recomposée, famille de dépravés ? Va savoir… 7