L’heure est aux confidences.... mais avant de tout dévoiler une autre salle m’attend, où je vais devoir être souple et endurante et surtout cacher mes craintes et mon grand secret. La fin de l’ histoire approche .
Proposée le 16/07/2018 par Lectra
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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme
Après cette soirée mémorable mon cher maître me ramène à la grotte.
Je suis épuisée et la petite brûlure me fait encore mal. Il me prend par la main, me tire sur le lit où les draps ont été changés. Ils sont doux et soyeux et sentent bon le bois de santal. Il caresse ma peau du bout des doigts, me témoignant de l’affection peut-être même de l’amour.
-Tu as été extraordinaire ce soir. Tu es une femme magnifique, intelligente, forte. Je suis honoré d’être ton maître. Et j’ai peur de te laisser partir. Je ne sais pas si retrouverai une femme comme toi .Mes sentiments pour toi sont bien plus profond.
À ses mots, mon coeur s’emballe, j’ai presque la nausée. Je me mentais à moi-même depuis le début . Ce maître je l’ aime, mais j’ai autre chose à régler et il n’est qu’un pion dans l’histoire.
Il va chercher de la crème et soigne ma plaie. Il est doux et mon corps réagit instantanément à sa tendresse. J’approche ma bouche et je l’embrasse. Il ne me repousse pas entrouvre la bouche, laissant nos langues s’emmêler. Il m’allonge sur le dos, sans menotte, sans attache, sans fouet, juste lui et tout ce qu’il a à me donner. Son sexe à l’entrée de ma fente, se frotte sans y entrer, attendant la permission. Mes mains sur ses hanches, je le pousse au fond de moi, pénétrée cm par cm dans mon antre. Son penis est chez lui dans mon humidité, dans mon intimité. J’aime son gabarit qui m’étire. Je me sens remplie de désir. Mon envie de sexe violent s’est évaporée. Je me sens vivante dans ses yeux, dans ses bras forts. Et je me rends compte à quel point je l’ai dans la peau qu’il ne pourra pas être juste un pion.
Il se redresse, positionnant mes pieds sur son torse dessiné. L’angle est parfait, je me sens trempée de plus en plus, à fur et mesure qu’il se perd en moi. Le balancement de son bassin me rapproche encore de l’extase. Le feu est nourri de sa queue mais aussi de son amour. Il est en train sans le savoir de recoller les morceaux de mon coeur.
Je tangue dangereusement vers l’explosion. Il accélère la cadence, faisant augmenter la pression dans son penis le faisant pulser son sang jusqu’au bout de son gland. Sur cette pensée, la boule de feu explose au fond de mes entrailles, me secouant comme une tornade. Lui s’ empresse de m’accompagner, il gémit et me remplit de son foutre.
Le sexe vanille, je ne me souvenais plus que ça pouvait être aussi puissant.
Nous sommes épuisés, il est bientôt le matin et nous avons fait que de baiser. Sa déclaration m’a chamboulée je suis vraiment perdue.
Un jour, je lui avouerai qui je suis vraiment.
En attendant, il faut que je dorme, car j’imagine que le rythme va s’accélérer et les salles deviennent de plus en plus exigeantes.
On se réveille vers les 14h ... je me suis habituée au tic tac de l’horloge, je me suis familiarisée avec la cascade, je suis soumise à un homme que j’aime ...
-Bonjour ma belle,
À 4 pattes sur le lit, nue ton cul en évidence !!!! j’ai envie de te prendre comme un dominant.
Tes mains, derrière ton dos, tes jambes écartées, je vais te donner un échantillon de la prochaine salle.
-Oui mon maître
Il commence à nouer mes bras derrière le dos à l’aide d’une corde. Il s’applique il y passe du temps. Il tresse, il fait des noeuds depuis mes poignets jusqu’à mes épaules. Bondage japonais.
Il m’observe, armé de son appareil photo. Je sens son regard sur ma peau, il me baise sans me toucher. L’excitation est déjà présente au fond de ma grotte. Je me tortille en attendant ses ordres. Je sais que mon cul ne le laisse pas indifférent. La vue sur mon entrée brillante de cyprine et de ma rondelle contractée va le faire bander comme un taureau.
Ma tête sur le coussin, mes cheveux recouvrant mon visage, je me languis de me sentir pénétrer.
Je ne l’ai pas vu venir, le coup a sifflé dans l’air et le cuir a giflé ma fesse droite. Je n’ai pas le temps de reprendre mes esprits que ma fesse gauche pleure sous la morsure du fouet. Je serre les dents, il frappe encore . Mon cul est zébré, chaud et douloureux. Je ne supporterai pas plus longtemps, pas de mots de secours entre nous. Il est à l’affût du moindre signe de ma part, il me pousse dans mes retranchements.
-C’est bien mignonne. Tu es tellement belle et tellement excitante. Écarte tes jambes au maximum. Je vais te faire mouiller de plaisir. Tu l’as mérité.
Il enfonce un puis deux doigts, il commence à crocheter mon point g, son autre main appuyée sur mon bas ventre, augmentant les sensations, la pression sur ce petit bouton. Il stimule, change de rythme, accélère je sens l’orgasme gonflé au fond de mon bas ventre. Il appuie plus fort .... la contracture de mes muscles encercle ses doigts, je sens mon plaisir chaud couler sur ses doigts, sur les draps. Ça gicle même sur ses cuisses. Je me déhanche recherchant plus de pression. L’orgasme ravage mon corps. Je hurle, le plaisir intensifié par la douleur, je perds presque connaissance.
-C’était un échantillon mignonne, tu vas adorer cette salle prochaine.
Hélas je connais le maître du shibari de la ville, je suis venue exprès pour lui, je me suis laisser dominer par ce bel homme, mon maître, afin de retrouver le dominant suprême pour me venger.
Mon plan était de l’enfermer de le torturer et d’en finir car je sais ce qu’il fait subir aux femmes. Il n’est pas digne de porter ce titre.
Je regarde ma main, la marque de l’alliance est encore profondément marquée.
Je veux devenir une nouvelle femme. Mais mon coeur s’est enflammé pour cet homme. Pourrais-je partir sans me retourner ?
Quand il apprendra que je l’ai manipulé, il me détestera et me quittera.
-Puis-je parler?
-Bien sûr
-J’aimerai que ce soit toi et juste toi dans cette salle ce soir.
-Il y aura un maître, le maître suprême un guide dans cet art. Tu l’apprécieras.
Il va me reconnaître il n’y a pas de doute. Soit il le criera haut et fort et mon maître l’apprendra de cette manière cruelle soit je dois lui avouer. Ou alors !
-Mon cher maître, je désire ne rien voir, me laisser surprendre par tes mains expertes, par ton sexe dans ma chatte. Mettez-moi une belle cagoule en latex.
-Mmmm j’hésite. J’adore voir ton visage pendant la jouissance . Bon j’accepte et tu vas être surprise. Il est l’heure d’ailleurs. Apprête-toi rapidement. Juste un string noir, pas besoin de plus ta peau est parfaite, tes seins sont sublimes et tes fesses rebondies. J’ai beaucoup de chance d’avoir une aussi belle créature.
On arrive au bar. L’odeur d’alcool, de sexe règne dans tous les étages. Je me trémousse, comme demandé. La laisse à mon cou, la cagoule dans une main. Mon coeur est en panique . Je respire péniblement .
La porte s’ouvre sur une salle au décoration japonaise. Des bambous recouvrent les murs et le plafond. Une petite table avec une théière et 3 tasses.
Et des cordes par centaine reposent sur des crochets.
Ça sent le jasmin et il y’a une musique zen dans les haut-parleurs. J’enfile la cagoule et me voilà plongé dans l’ambiance.
Une porte s’ouvre. Le voilà ...
-La séance peut commencer. Comment se nomme ta soumise?
-Elle se nomme Mignonne
-Très bien montre-moi ce que tu as fait de cette chose.
Mon maître commence tendrement, je sens sa main sur ma peau. Mmm, les frissons sur mon corps me trahissent. Je suis ensorcelée par cet être. Je me laisse aller dans ses bras. J’exécute. Une corde passe autour de mes poignets au-dessus de la tête. Il tresse le long de mes bras.
Il trouve ma bouche ,la seule ouverture de ma cagoule et me mord la lèvre inférieure avant que sa langue rencontre la mienne.
J’ai chaud, je m’embrase. Une deuxième corde vient s’attacher autour de mon cou et noue autour de ma poitrine.
Il tire fort et m’accroche par les bras au plafond. Mes pieds ne touchent plus le sol. Il prend mes jambes sur ses épaules, mon sexe directement contre sa bouche. Sa langue me dévore, m’aspire et me lèche. Son visage doit être recouvert de mon plaisir.
Ça m’excite tellement.
Il me remonte un peu plus et sa langue se perd dans mon petit trou serré.
Je commence à haleter, le plaisir monte dans mon bas ventre. Mmm son jeu de langue est sensationnel. Il me lèche, me lubrifie.
Il me fait descendre. Je sens quelque chose de froid à l’entrée de mon cul. Il glisse dans mon anus un crochet d’acier. Ohhh! C’est bon. Il relie le crochet le long de mon dos jusqu’à mes cheveux ma tête est jeté en arrière.
Il se positionne en face de moi. Je peux sentir son sexe bandé sous son pantalon. Il se frotte contre mon corps .... il s’agenouille pour s’occuper de mes jambes qu’il lace séparément, vigoureusement jusqu’à mon entrejambe. Il hésite pas à effleurer ma chatte, à la titiller, lui donner l’envie de se faire défoncer. Il souffle sur mon clito, me laissant sur le file du plaisir.
Il tire à nouveau sur les cordages et accroche une de mes jambes au plafond puis l’autre avec un écart digne d’une danseuse. Je suis suspendue par les bras et les pieds, la tête en arrière retenue par le crochet de mon cul.
-bravo, bravo ... une belle pintade je veux la bouffer cette salope.
-Je m’ excuse mais elle est ma soumise, je ne partage pas .
-Tu ne réponds pas au maître de ces lieux. Je veux la dresser 3 coups de fouet.
-Elle n’est pas encore prête pour vous.
-Alors amuse-toi, baise cette chienne et dresse là un peu plus . Sa peau porte que de très anciennes cicatrices. Elle mériterai plus de sévérité.
Il sort enfin. Je peux respirer. Mon maître vient directement vers mon sexe et me masturbe, me doigte directement sur la gâchette qui me fait libérer toute ma mouille. Une fois bien trempée, il positionne son glaive devant ma fente et me baise, son sexe tapant le crochet à travers ma membrane. Je me sens légère, je vole, je m’envoie en l’air. Il relâche le rythme, et reprend son cunnilingus. Je le laisse s’occuper de moi. Je vais jouir.
Mais il s’arrête juste avant. Je l’entends se diriger vers le meuble, il revient avec un bâton de bambou. Je l’ai senti sur ma plante de pied, juste une petite frappe, puis une deuxième. J’entends le bâton tomber au sol.
Et son sexe me pénètre à nouveau. Il va et vient il bandait tellement fort qu’il n’arrivait plus à se retenir . Il me donne tout son foutre dans un râle animal.
Il se retire et ne va pas me laisser sur ma faim. Il va chercher un vibro et commence sa douce torture. Il entre et sort, faisant déborder son sperme sur le sol. Il change les vibrations, je ne tiendrai pas longtemps. Il me connais, cherche le déclencheur d’orgasme au bout de mes seins. Sa caresse me pousse au fond du précipice. Je jouis fortement autour de son vibro . Je suis tremblante. Il le retire et commence lentement à me décrocher. Une corde après l’autre laissant des rougeurs et quelques petits hématomes. Il enlève pour la fin le crochet de mes cheveux et de mon cul.
Il me porte dans ses bras vers la petite table pour savourer un thé.
-Maintenant tu vas me dire ce qui ce passe. J’ai senti la tension et même de la peur ...
-Je te dirai tout . Mais pas tout de suite.
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