Curieuse, je me rejouis d’aller expérimenter une nouvelle salle. Mais je ne m’attendais pas à cette univers. Cette salle est glaciale.... Je vais devoir faire monter la température et prouver à mon maître que je suis plus douée qu il ne le pense.
Proposée le 12/06/2018 par Lectra
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Thème: Femme dominée
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme
Assez dormi l’horloge sonne 22h ...je me tourne vers mon bel homme, un doux baiser déposé sur ses lèvres pour le réveiller mais je vais être plus gourmande et je descends directe vers son sexe encore endormi .
Je le caresse délicatement des bouts des doigts, y dépose des petits baisers autour de son phallus doux qui gentiment se durcit, réagit sous mes caresses, tout contre mes lèvres. Je me positionne à califourchon sur ce bel homme, je me frotte de tout mon corps. Mes longs cheveux balayent son torse pendant que je stimule mon clito contre son sexe dur.
Il se réveille enfin, pose ses mains sur mes hanches et m’empale. Je chevauche mon bel étalon. J’ondule. Tout mon être vibre. Il est en dessous de moi, je serre mes cuisses autour de ses hanches, qu’il sente à quel point il m’appartient. Je le baise sans relâche. Ses yeux fixés sur mes seins, une lueur dans ses yeux qui me rappelle la fougue de l’après baffe. Cette pulsion me démange la main. Et sans réfléchir la gifle s’écrase sur sa joue. Il jouit instantanément dans un beau râle animal, en me fixant de son regard noir rempli de défi et il se retire, se libère.
-Non!!!! Tu peux pas me faire ça
-oh si mignonne ... reste encore et encore sur le fil. Une gifle? ça mérite frustration.
Je m’empare d’un coussin du lit et je le lui envoie en pleine tête. Commence alors une bataille de polochon le sperme dégoulinant le long de mes jambes . On rigole comme des gamins .
L’horloge sonne la fin du jeu.
-Prépare toi on va au bar . Voilà les vêtements que tu porteras. Tu as 30 min. Mignonne.
Un sourire anime sa bouche en me donnant le sac. Et il sort.
Mais qu’est-ce que c’est?
De la fourrure de renard, des peaux de bêtes je n’y comprends rien ... ce ne sont pas des vêtements. Il veut que je sois un animal.
Je dépose tout sur le lit et commence a m’apprêter. Une fourrure rousse recouvre mes épaules, s’arrêtant au-dessus de mes seins. Un string et des jarretelles en cuir noir embellirent mes jambes et pour finir de belles bottes en peau de bête. Il reste encore au fond du sac, une belle fourrure pour recouvrir mes cheveux.
Je me regarde dans la glace. Je dépose mes doigts contre le mur humide imprégnant de vase et je dessine sur mes joues deux lignes. Voilà je suis prête telle une guerrière viking.
Je l’attends à genou à l’entrée de la grotte.
Il arrive enfin, passe un long manteau autour de mes épaules pour cacher ma nudité et on sort.
-On y va ma mignonne. Je t’emmène dans une pièce qui va jouer avec ta résistance aux températures. À toi de la faire monter...
On arrive au bar. Les regards se posent sur nous. Ils sourient tous, devinant où il m emmène et ce qui va m’arriver. Mon maître accroche le collier et la laisse, me promenant fièrement devant les autres.
-Pavane-toi. Maille ton cul. Fais mourir d’envi les hommes et femmes de ce bar. Tu es mienne.
Je redoute un peu mais j’ai confiance en sa folie.
Je me déhanche avec grâce et féminité. Je suis reine.
Il me tire jusqu’aux escaliers .
-À quatre pattes mignonne. Tu monteras les escaliers comme ma chienne. J’adore ta soumission, je bande déjà.
On arrive enfin devant une porte, une grosse porte en aluminium, ressemblant à celle d’une chambre froide. Je ravale ma salive et mes pensées. Ça va aller ...
Il ouvre la porte, entre en premier et tire fermement sur ma laisse.
-Oh mon dieu!
Une pièce où règne une température proche de 0 degrés. Un muret est couvert de glace avec des trous de différentes tailles. Au dessus de moi, une barre de fer avec 3 crochets de boucher. Au fond de la pièce se dresse un trône de glace et de neige sur lequel un énorme god est planté tel l’épée du roi Arthur.
Évidemment une armoire en fer où se logent les instruments, les accessoires de jouissance futur.
Un grand lit recouvert de peaux de bêtes, de couvertures apporte un peu de chaleur à ce lieu glacial.
-Ça te plaît mignonne ? C’est moi qui me chargera de ton dressage dans cette pièce. Et je verrai combien de temps tu résisteras avant l’hypothermie.
Enlève ton manteau ! Tu peux garder les bottes et tout le reste pour l’instant.
Ma peau frissonne, mes dents claquent. Je vais pas tenir longtemps. J’ai vraiment froid. C’est dans la tête, que je dois être forte.
Il va ouvrir l’armoire, en sort des menottes en peau de serpent et une corde.
-Tes mains au-dessus de ta tête. Reste comme ça.
Il me passe les menottes. La corde il me la passe autour des chevilles. Je me réfugie dans ses bras pour avoir un peu de chaleur. Il m’embrasse, marquant mes lèvres de sa fougue. Puis me soulève et m’accroche au crochet . Je ne touche même plus le sol.
Un bâton de glace qu’il promène le long de mon dos qui fond et coule entre mes fesses. Il se met face à moi, plongeant son regard sombre, son regard de folie. Il s’ approche et embrasse mes seins, les pelotant puis les pinçant fortement avec le froid ils sont hyper sensible et il le sait . Il se donne à cœur joie puis redevient tendre, tournant sa langue sur mes mamelons. Il descend sur mon ventre faisant fondre son bâton de glace, léchant l’eau qui dégouline. Sa bouche s’arrête à la frontière de mon string . Il prend une poignée de neige et me la glisse dans le string. C’est trop froid. Tout mes muscles se contractent. Il descend mon string et me lèche avidement. Sa langue est un régal et ses mains continuent à me caresser les seins. Je pourrai mourir tellement c’est bon. Je gémis et dans un élan je soulève mes jambes les passant par dessus sa tête. Le voilà prisonnier de mon entre jambes, sa tête contre mon sexe.
-vilaine. !
Il se libère aisément, tire le cordage de mes chevilles et me suspend à l’autre crochet.
Me voilà planant au dessus du sol, ça me tire de partout. Je dois faire appel au gainage pour avoir moins mal.
-tu vas compter ma mignonne. Ici je te dresse donc pas de tentative d’ évasion de provocation ....
Un fouet .
La morsure du cuir s’abat sur mon ventre . Le deuxième sur mes cuisses et un troisième sur mes côtés.
-Ne me défie plus.
Il passe de la neige sur ma peau rougit par le fouet .je tremble .
Il prend son éternel appareil photo , immortalise son chef d’œuvre.
Puis il me détache et me prend dans ses bras. Me réchauffant de tout son être . Une fois calmée, il me pousse vers le petit muret de neige .
-tes seins dans les trous, dans la neige. Ton cul remonte que je puisse m’occuper de toi . Appuyée sur le muret mes seins congelés dans la glace, il commence à me doigter.
Oh ! il est terrible .Ses doigts se glisse en moi et trouve directement le point g. Il le stimule sans répit. Jusqu’à ce que je me transforme en femme fontaine. Je coule et gicle contre ses cuisses le long de ses mains. Il en a partout laissant des traces dans la neige.Je suis à deux doigts de jouir .... mais non il s’arrête, Profitant pour goûter mon liquide il lèche ses doigts et partage. Ses doigts dans ma bouche je me délecte de mon nectar. Son sexe a pris la place de ses doigts. Il me baise comme un animal. Son membre dur au fond de ma chatte. J’aime le sentir cogner au fond de ma caverne .
Je suis gelée de l’extérieur et bouillante de l’intérieur.
Il me tire par la laisse qui est toujours à mon cou , m’obligeant à me relever. Il m’entraîne vers le lit.
Je m’y couche heureuse de trouver un peu de chaleur. Je ne sens plus mes seins, mes mains sont congelés. Il se colle à moi, me réconfortant, me câlinant ...je veux qu’il me baise je veux jouir. Ça fait assez longtemps qu’il me laisse sur le fil. Il me glisse à l’oreille.
-Je vais partir mignonne. Tu vois la monstre bite de glace là-bas? À l’intérieur se cache la clé de la porte, si tu veux sortir va falloir astiquer le manche ma jolie....tes mains, ta bouche, ta chatte, ton cul tout ton corps jusqu’à se que tout soit fondu et que tu récupères la clé. je t’ai laissé sur le fil exprès , comme ça tu va chevaucher cette bite de glace et tu seras vite dehors.
J’y crois pas mes oreilles. Il est fou je vais avoir des soucis d’engelures.
Mais il est sérieux il se lève, sort et m’enferme dans cette prison de glace.
Il faut que je fasse vite. Sinon je n’y arriverai jamais. Je crache sur ce gros truc gelé et cm par cm je m’écarte, m’étire . C’est froid et je suis surprise de la sensation que ça me procure . Il est de la bonne taille, juste bien pour m’amener vers l’orgasme. Je monte et descends avalant et faisant fondre ce glaive entre mes cuisses. Je fais une pause laissant mon sexe se réchauffer. J’y vais à la main, puis je commence à sucer et lécher comme un bâton de glace. J’ aperçois déjà la clé à travers la paroi. Je place une dernière fois à l’entrée de ma fente et je m’enfonce . Mes mains vont stimuler ma petite fleure. Que je jouisse au moins pour la peine. Mais je n’ y arrive pas.
Je suis sur mon trône de glace un glaive dans la chatte. La reine des neiges avec entre ses cuisse la clé de la sortie ...
Je me redresse, libérée. Je me dirige vers la porte. Il n y a pas de serrure . Mais c’est quoi ce gag?
Je regarde autour de moi. Et trouve enfin un trou de serrure à mes pieds sous le lit. Cette clé ouvre une trappe . J’ouvre et je suis le couloir illuminé par de belles bougies blanches. J’entends de la musique . J’arrive dans une belle pièce. Au centre une grande table avec du vin et plein de bonne choses à manger. Mon homme m’ attend il est ravi de me voir aussi rapidement . Il fait couler son verre de vin dans ma bouche et m’embrasse tendrement.
Tu es incroyable ma mignonne .
-vient t’assoir sur mes genoux que je te donne ce que tu mérites. Je vais te réchauffer et te faire crier de plaisir. Tous tes muscles sont contractés par le froid. Tu verras comment cela va intensifier ton orgasme.
Un verre de vin à la main, je m’offre à mon maître. J’ai besoin d’être réchauffée, d’être récompensée. Il me fait l’amour avec tendresse . Je me déhanche sur sa bite chaude. Mon cerveau s’éteint, je suis que sensation, j’explose violemment en hurlant son nom.
Il avait raison. Mon sexe s’est contracté tellement fort autour de sa queue que j’ai cru que j’allais le broyer. C’était intense et surprenant. Mon corps s’est renversé en arrière m’étalant sur la table, renversant les verres et les assiettes.
Un orgasme violent , un séisme a ravagé tout mon intérieur.
A quand les autres pièces?
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