Histoire Erotique

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Réchappé belle

Où je me remémore une expérience à la fois jouissive et plus qu'étrange par certains côtés.

Proposée le 10/09/2017 par Korn

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Toilettes
Type: Histoire vraie


Il y a quelques jours, ma femme m'a demandé quelle avait été mon expérience sexuelle la plus insolite. C'est sans hésiter que je lui ai raconté celle qui suit, avec moins de détails cela dit.

J'étais en troisième année de licence lorsque c'est arrivé. Les partiels approchant à grands pas, je m'étais installé dans une salle d'étude réservée aux étudiants de mon cursus et située au 5ème (et dernier) étage de la fac. Autant dire qu'il n'y avait jamais plus de deux personnes là-bas et que j'étais le plus souvent le seul occupant des lieux.

Qu'elle ne fut donc pas ma surprise lorsque je sentis une main me tapoter l'épaule ! Il faut dire que j'avais pris l'habitude de travailler avec un casque et de la musique, aussi ne risquai-je pas d'entendre quelqu'un entrer, d'autant plus que je ne m'attendais certainement pas à voir quelqu'un débarquer dans cette salle.

Je retirai mon casque et fit face à la nouvelle venue. C'était une première année, tout sourire, arabe, pas très jolie avec de l'acné plein le visage, des cheveux noirs noués en queue de cheval, pratiquement pas de formes en dehors de ses hanches très larges, trop vu sa minceur générale. Je la regardai quelques secondes, avant de briser la glace.

« Je peux t'aider ? » demandai-je.

Elle acquiesça sans se départir de son sourire.

« Ouais, en fait j'ai fait un pari avec ma copine, tu vois. En gros, j'ai parié qu'il y avait personne dans cette pièce, et elle elle a dit qu'il y aurait sûrement des troisièmes années en train de bosser, tu vois ? »

Je hochai la tête, sans vraiment savoir où elle voulait en venir.

« Apparemment, tu as perdu » fis-je. « Donc j'imagine que tu vas me demander d'aller faire un tour aux toilettes, histoire de gagner ton pari, l'air de rien ? »

« Hein ? » répliqua-t-elle « T'es fou ou quoi ? J'suis pas comme ça moi, je tiens parole. Enfin du coup, le truc du pari, c'était que s'il y avait un gars dans la salle, bah je devais le sucer, tu vois ? »

Je songeai à cet instant que dans le genre pari débile, ça se posait là. Ceci étant, la perspective d'une fellation gratuite ne me déplaisait pas et je décidai d'entrer dans le jeu de cette jeune fille.

« Et s'il y avait eu plusieurs mecs, tu aurais fait quoi ? » fis-je en rigolant.

Elle haussa les épaules en faisant une moue contrariée.

« Bah je les aurais tous sucés, tu crois que quoi ? » contra-t-elle.

J'émis un petit sifflement d'admiration.

« T'es du genre motivée » fis-je.

« Ouais, bah du coup, je peux te sucer, là vite fait ? Comme ça ma pote me fera pas chier. »

« Ça ne me dérange pas » répondis-je. « Mais comment elle va savoir que tu t'es pas défilée ? »

« Bah j'avale pas tout de suite et je lui montre ton foutre en sortant » dit-elle comme si c'était l'évidence même.

« Vous avez vraiment de drôles de paris » conclus-je en reculant ma chaise.

La fille s'agenouilla devant moi et m'aida à descendre jean et boxer à mi-cuisse pour libérer mon membre d'ores et déjà fièrement dressé. Une seconde plus tard, ses doigts et ses lèvres se refermaient sur ma hampe et s'activaient frénétiquement. Son objectif était clair : elle ne voulait pas me donner de plaisir, mais me faire jouir le plus rapidement possible. Et vu comment elle s'y prenait, la coquine arriverait facilement à ses fins.

« Tu veux me faire plaisir ? » demandai-je en lui caressant les cheveux. « Roule une grosse pelle à ta pote en sortant, plutôt que de lui montrer. »

« Grave ! Elle va trop pas aimer, c'est excellent ! » fit-elle avant de retourner s'occuper de moi.

Quelques instants plus tard, j'explosai dans la bouche de la fille, lui aspergeant le palais et la langue de ma semence. Elle se releva en me faisant un « thumb up » tandis que je me rhabillai et nous sortîmes ensemble de la pièce, je ne voulais pour rien au monde rater la tête de sa copine lorsqu'elle se retrouverai avec le sperme d'un inconnu dans la bouche.

La copine en question était une espèce de petite poupée blonde aux cheveux longs et bouclés, aux yeux bleu océan, plantureuse, tout à fait mon genre. Je la saluai d'un signe de tête tandis que sa pote l'embrassait à pleine bouche. Elle eut un mouvement de recul et une substance blanche, visqueuse, s'échappa de leurs lèvres et se répandit sur le décolleté de la blonde et le sol.

« C'est dégueulasse ! » éructa la poupée. « Tu devais me montrer, pas me faire goûter. »

La brune éclata de rire.

« T'aurais du voir ta tête, c'était terrible ! » fit-elle entre deux hoquets.

Les deux filles s'éloignèrent en continuant de se chamailler, m'ignorant royalement. Je retournai à mes révisions, bien content de cette petite pause, sans savoir que la suite n'allait pas être piquée des vers.

Deux jours plus tard, je discutais avec deux amis en sortant d'amphi lorsque je vis la brune passer dans le couloir bondé sans m'adresser un regard. Pourtant, je sentis qu'elle me glissait quelque chose dans la poche lorsqu'elle me frôla pour éviter un petit groupe. Je vérifiai immédiatement ce qu'elle y avait déposé, sans le sortir. Aucun doute possible, il s'agissait d'un préservatif, ce qui ne pouvait signifier qu'une chose, et pas des plus déplaisantes.

Je pris rapidement congé de mes amis et emboîtait le pas de la brune. Je la retrouvai au pied des escaliers, au milieu de la cohue. Elle me regardait dans les yeux avec un sourire des plus coquins. Puis, toujours sans dire un mot, elle m’entraîna jusqu'au 5ème étage, dans les toilettes les plus spacieuses de la fac. Toilettes réputées pour accueillir régulièrement les ébats d'étudiants ennuyés par les cours. Une convention tacite faisait que personne ne s'y rendait, sauf pour baiser ; moi-même je n'y dérogeais pas et descendais au 4ème lorsque je révisais en salle d'étude et devait faire une pause W.C.

« T'es une grande malade » fis-je lorsque ma partenaire eut refermé la porte sur nous.

« Si tu veux pas, c'est pas grave » répliqua-t-elle « je baiserai avec un autre. »

Tout en parlant, elle s'était jetée sur moi pour défaire ma ceinture.

« Non, ça va » répondis-je « je veux bien être celui qui baisera avec toi aujourd'hui. »

Le temps que je finisse ma phrase, mon jean et mon boxer étaient sur mes chevilles. La brune dont j'ignorai toujours le prénom se retourna tout en baissant son propre jean pour me dévoiler un superbe shorty en dentelle turquoise. Elle avait vraiment de très belles fesses, sur lesquelles je promenai un instant ma main, avant qu'elle ne me rappelle à l'ordre en dressant sa croupe et en écartant le tissu qui me cachait sa fente humide et glabre.

« Mets la capote et baise-moi » fit-elle. « Je veux que ça soit sale et brutal ! »

« Pas de soucis » répliquai-je en enfilant le bout de caoutchouc et en écartant les parois de sa grotte.

Fidèle à sa demande, je ne fis montre d'aucune tendresse. Chaque claquement de mes hanches contre ses fesses, de mes bourses contre son bouton, de mon sabre contre le fond de son fourreau lui arrachait des « oh » et des « ah » de satisfaction. Je me cramponnais à sa taille fine, donnais de violents coups de reins qui lui faisaient décoller les talons pour m'accompagner. Elle se tenait d'une main au mur de la cabine, se caressait le clitoris de l'autre. Une baise brutale, animale, une volonté absolue de jouir pour tous les deux, au détriment du plaisir de l'autre.

Je fus le premier à venir. Je me retirai, enlevai le préservatif et éjaculai dans la raie de ses fesses. Je remis ensuite le shorty en place tandis qu'elle continuait de se masturber, ajoutant mon jus au sien, mêlant nos nectars sur le bouton qu'elle tripotait frénétiquement. Son orgasme à elle fut violent, elle en tomba à genoux et il lui fallut deux bonnes minutes pour se lever. Nous nous rhabillâmes et sortîmes comme nous étions entrés, sans tendresse ni discussion.

Nous remîmes le couvert le lendemain, quasiment à l'identique. Seules différences : elle jouit avant moi et me finit à la main au-dessus de ses seins inexistants, sur lesquels j'expédiai trois puissants jets de sperme.

Le week-end passa et le lundi, c'est la poupée blonde qui glissa un préservatif dans ma poche et m’entraîna au 5ème. Ce fut beaucoup plus doux avec elle, déjà parce qu'elle me faisait face et que je pouvais l'embrasser autant que la peloter, mais aussi parce qu'il n'y avait pas ce besoin frénétique de jouir, mais bien de prendre et donner du plaisir. L'orgasme ne vint pour aucun de nous deux et après une heure d'ébats nous décidâmes d'un commun accord d'arrêter là et d'aller boire un verre au bar en face de la fac.

Elle m'y apprit que sa pote n'allait presque jamais en cours et faisait des excursions au 5ème trois à quatre fois par jour. Elle-même y allait de temps en temps, une fois ou deux par semaine, mais seulement avec deux partenaires précis, contrairement à la brune qui couchait avec la moitié de leur promo et investissait des sommes folles en capotes.

Tout le reste de la semaine, je passai une fois par jour aux toilettes du 5ème pour m'envoyer en l'air avec la du duo. Chaque fois ce fut brutal, sauvage, chaque fois j'éjaculai sur ses tous petits seins ou dans la raie de ses fesses. Le vendredi, je me laissai aller à mes fantasmes et passai par derrière après avoir abondamment lubrifié son petit trou. La coquine était habituée et je n'eus aucun mal à la pénétrer par là, ni à la faire jouir deux fois avant de moi-même me répandre sur cet accueillant orifice.

La semaine suivante, je n'eus plus aucune nouvelle de la brune qui s'était pourtant montrée fort hospitalière et entreprenante. Le vendredi, je croisais la blonde, qui m'expliqua que sa copine avait pété les plombs et agressé physiquement un étudiant qui avait refusé de coucher avec elle. Le pauvre gars avait failli perdre un œil dans l'histoire et ce fut l'occasion pour tout le monde d'apprendre que cette jeune femme très ouverte n'était en réalité pas inscrite à la fac et avait déjà fait plusieurs séjours dans des cliniques spécialisées pour les troubles psychiatriques.

Le genre de nouvelle qui vous fait mettre les choses en perspective. Même maintenant, je ne peux m'empêcher de me demander ce qu'il se serait passé si, dans cette petite salle isolée du 5ème étage, j'avais refusé la fellation proposée par une fille que je n'avais encore jamais vu. Souvent, je me dis qu'il ne serait rien advenu de fâcheux. Parfois, je me dis que je l'ai échappée belle.

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