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Une belle rencontre

Une soirée chez des amis, pleine de danse et de désirs. Une belle rencontre fortuite et nous deux qui devenons trois, pour la première fois, pour une fin de soirée ...

Proposée le 23/04/2025 par Jegame

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Thème: Première fois
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Nous sommes arrivés au début de soirée dans cette maison située non loin de chez nous. Invités par des amis récents, nous ne savions pas trop quoi espérer de cette fête, si ce n'est passer un bon moment de musique et de détente et peut être faire connaissance avec quelques personnes.

La musique couvrait à peine les discussions de plus en plus animées dans cette grande pièce aux lumières tamisées. La pièce était bondée, et les petits groupes de discussions se calaient dans tous les recoins de cet étage, de la cuisine aux couloirs.
Il était difficile de circuler et la température semblait monter aussi rapidement que le volume sonore.

Nous étions avec ma compagne dans une période heureuse de notre relation. Ensemble depuis plusieurs années, nous avions construit avec le temps une complicité amoureuse et amicale. Sexuellement, notre relation était épanouie, riche et inventive, faite de jeux, de désirs exprimés, de découvertes à deux que nous apportions chacun avec patience et douceur. Cette relation intime, nous en savions l'importance dans l'équilibre de notre couple et nous nous attachions à la préserver.
Toutefois, nous savions tous les deux, sans nous le dire vraiment, que le temps userait sans doute cette relation et qu'il nous faudrait être inventifs et ouverts aux désirs de l'autre même si cela devait modifier notre équilibre. Vivre à deux est un long et parfois chaotique chemin, sur lequel il faut parfois savoir lâcher prise et écouter, tout en accordant la confiance et l'amour.

Plus la soirée avançait, plus le volume sonore montait, démultipliant les effets de l'alcool et de la chaleur dans cet espace confié. Nous circulions difficilement entre quelques groupes d'amis, principalement des connaissances mutuelles ou des rencontres fortuites créées par l'ivresse et la gaieté du moment.
Ma compagne était bien plus douée que moi pour ces discussions mondaines. J'avais facilement besoin de m'isoler de la foule, la ou elle pouvait discuter une soirée entière avec de parfaits inconnus.

Les hasards des discussions et des rencontres nous avaient séparés dans cet espace surchauffé. Je te devinais occasionnellement, à l'autre bout de cette grande pièce, dans la pénombre et le mouvement des danseurs qui avaient commencé à envahir la piste.
Tu étais belle avec cette tenue qui dévoilait tes formes. Tu avais décidé de porter une tunique qui moulait ton corps souple, ton cul rond et ferme, tes hanches fines, jusqu'à tes petits seins désirables et tes épaules si bien faites. Tu flattait ma vue et excitait mes sens, et je savais ne pas être le seul à profiter de ce moment.
En te suivant des yeux, je remarquais que, tout en parlant avec une autre femme, tu te tournais régulièrement vers un autre angle de la pièce et que ton regard portait dans un recoin où un autre petit groupe de personnes étaient en train de discuter.
En me tournant vers ce groupe, je commençais à comprendre qu'un homme dans ce groupe attirait ton regard. Grand, bel homme, une carrure solide et bien proportionnée. Pas trop « beau gosse », je te savais réticente à ces hommes plein d'assurance, mais assez de prestance et de charme pour que je te sache curieuse et attirée. Cet homme ne semblait pas répondre à tes regards, mais je devinais, comme un homme le sait, qu'il sentait ce regard sur lui et s'en réjouissait discrètement.

Le mouvement des danseurs avait soudainement pris de l'ampleur, porté par les choix musicaux des hôtes de la maison. Les corps commençaient à s'échauffer et je t'ai rapidement perdu de vue. Mon attention s'était portée sur d'autres personnes venues rejoindre ma conversation.
Curieux de te savoir si proche et si loin, j'ai profité de l'arrivée de nouveaux couples dans la soirée pour partir à ta recherche. M'avançant vers la piste de danse, je t'ai aperçu sur la terrasse qui bordait le salon de la fête. Tu fumais une cigarette en pleine conversation avec ce même homme que je t'avais vu regarder un peu plus tôt.
Je m'arrêtais et décidait de ne pas m'approcher. Je voulais te voir, percevoir ce qu'étaient tes sentiments à ce moment.

Il faut le préciser à ce stade, nous avons toujours été fidèles l'un pour l'autre. Nous en avions parlé, la franchise, aussi difficile soit elle lorsque l'on parle du désir et du couple, était un ciment de notre confiance. J'avais confiance en toi et je l'espère celle-ci était réciproque.
Bien sur nous avions parfois parlé de cela et je t'avais fait comprendre que je n'aurais pas le sentiment d'une trahison définitive si ce désir était partagé et assumé. Il m'a toujours été difficile de considérer que je puisse être le seul et unique objet de désir sexuel dans mon couple et je préfère cette honnêteté au mensonge de l'exclusivité.

L'homme te parlait avec une voix que je devinais ferme et un regard direct. Je voyais ton visage, ton sourire et ton corps répondre à son attitude et il y avait là quelque chose de troublant que je ne pouvais mettre sur le compte de l'alcool et de la chaleur de cet espace bondé. Si je te sentais garder quelques distances, on sentait le désir, que tu ne savais vraiment cacher, de se rapprocher de lui.

Après quelques minutes, je décidais de m'approcher de vous.
Lorsque ton regard est tombé sur moi, je devinais une réaction partagée : d'un côté le dépit de me voir interrompre ce moment et de l'autre une sorte de soulagement de te sortir de cette situation troublante.
L'homme ne semblait pas déçu de mon interruption ou, dans tous les cas, il avait l'élégance de ne pas le manifester. Je décidais de mon côté d'écarter tout réflexe possessif vis à vis de toi. J'étais curieux de ce trouble et je voulais ce soir que nous jouions ensemble.
Très vite, la discussion est devenue joyeuse entre nous. L'homme était curieux, intelligent et il souhaitait manifestement se lier d'amitié avec nous. Nous avons très vite appris qu'il était en couple mais que sa compagne n'avait pu venir ce soir. Connaissant peu de monde, il avait envie de profiter de cette soirée pour faire connaissance et passer un moment agréable.
La soirée se déroulait merveilleusement et nous aurions pu rester comme cela jusqu'au bout de la nuit.

Je profitais d'un moment ou notre nouvel ami s'était absenté pour te demander « il te plait ? »
Devant ton silence, que je devinais étonné, je répétais ma question sur un ton plus affirmatif. « il te plait ? ».
Je m'attendais à un dénégation, plus ou moins habile, peut être une blague ou bien une réplique un peu plus ferme pour réfuter cette affirmation.
Mais peut être l'alcool, la situation, avait elle contribué à ce que cette soirée soit différente.
Tu m'as regardé et répondu, avec un grand sourire : « oui, je ne peux pas te le cacher, c'est un bel homme ».
Entrainé par cette réponse franche, je lui proposais alors ce que je n'avais pas osé jusqu'alors.
«  que dirais tu si je lui proposais de rentrer avec nous ce soir ? »
Après un long moment, tu m'as regardé droit dans les yeux et répondu «  je sais que c'est un de tes désirs. Je suis prêt à le réaliser ». « Donc pourquoi pas, oui », ajouta t'elle.
- « Mais toi, en as tu envie ? As tu ce désir ? » je lui répondis.
- Après un court silence, tu as répondu « oui, on a qu'une vie et j'ai envie de connaître cela ».

Cet homme revenu auprès de nous, je profitais d'un moment ou tu t'étais lancé dans une danse que je devinais pleine de tension pour lui parler directement.
« Nous aimerions, ma compagne et moi, te proposer de venir chez nous passer le reste de la soirée »
D'abord étonné, l'homme nous regarda longuement l'un et l'autre et acquiesça. « Si c'est quelque chose que vous voulez tous les deux, pourquoi pas ? ».

Le retour chez nous fut rapide et plein de joie impatiente. Nous avions envie, nous le sentions tous les trois, que le moment qui allait venir contienne la légèreté qui avait amené notre rencontre.
Marchant dans la rue, tu passais de l'homme à moi, nous frôlant dans un jeu sensuel.

Arrivés chez nous, tu nous as proposé à tous les deux de nous asseoir dans le canapé, puis tu t'es placée entre nous. Tu m'as donné un long baiser puis tu t'es tournée vers l'homme et tu l'as également longuement embrassé.
Tu attendais, nous le sentions, que nos mains parcourent ton corps.
Doucement, nous avons chacun commencé à glisser nos mains sur toi. Sur tes épaules, ton cou, puis glissant nos mains sous ta robe et doucement poser chacun une main sur tes cuisses. Pendant ce temps, tes mains se posaient sur nos cuisses et on devinait que la tension sexuelle devenait insupportable pour toi.

Tu as commencé à écarter tes cuisses et nos mains se sont lentement avancées vers ton sexe. L'homme a glissé son doigt sur ta chatte, qui était déjà particulièrement humide et ouverte. Je sentais le plaisir qui accélérait ta respiration, ton corps se cabrant, tout à l'écoute du lent va et vient de l'homme sur ton clitoris.
Après quelques minutes de ces caresses où nous te sentions déjà prête à jouir, j'ai senti ta main se poser sur mon sexe, raide et compressé par notre pantalon. Ton autre main en faisait de même sur le sexe de l'homme. Tu pressais avec lenteur nos queues, glissant tes doigts sur nos verges tendues sous la toile.
« Ouvrez tout cela, je veux vous sentir » as tu soufflé rapidement.

Chacun de nous s'est exécuté et a ouvert son pantalon pour délivrer nos verges très raides et épaisses. Tu t'es alors redressée et, sans nous regarder, tu as pris nos queues dans chacune de tes mains, imprimant un lent et ferme va et vient. Tu regardais nos queues l'une après l'autre, avec un grand sourire sur ton visage. Je devinais le plaisir qui était le tien de sentir ce désir énorme pour toi.

Tu t'es alors retournée devant nous et nous regardant dans les yeux, tu t'es penchée vers l'homme et a pris son sexe dans ta bouche avec avidité. Ta langue parcourait son gland tout en malaxant ses couilles et l'homme était déjà prêt à éclater de la volupté de tes gestes. Après quelques minutes de ce jeu, tu t'es tournée vers moi et, à mon tour, j'ai pu ressentir ta bouche happer ma bite et me sucer.
Tu as continué cet aller-retour sur nos bites pendant un long moment, jusqu'à ce que tu décides qu'il était temps de prendre ton plaisir.

Tu as pris l'homme par la main, t'es redressée et tu lui as tendu ton cul en lui disant « viens, je veux que tu viennes en moi ». Tu m'as regardée longuement dans les yeux, t'es mise à genou sur le canapé face à moi, prenant ma queue dans ta main et tendant ton cul en arrière devant lui.
Au râle qui est sorti de toi, j'ai senti que la queue de cet homme venait de te remplir. Je sentais à la pression de ta main sur ma bite que les solides coups de rein que te donnais cet homme te donnaient énormément de plaisir. Usant habilement de sa longue queue, il venait de plus en plus fortement et rapidement en toi et il n'a pas fallu longtemps pour tu jouisses avec un grand cri de plaisir. Au même moment, n'y tenant plus, l'homme sorti de toi et un joli jet de sperme, suivi de quelques autres, s'est répandu sur la naissance de ton dos.

Tu semblait comblée et ravie de ce plaisir pris et donné, mais après quelques secondes, tu t'es approchée et tu es montée sur moi en te plantant sur ma queue. Je sentais ta chatte tout chaude et ouverte de la queue de cet homme et le plaisir en était pour moi décuplé. Le jus de cet homme coulait de ton dos entre tes fesses et venait lubrifier ma queue qui venait en toi. Tu venais sur moi avec beaucoup de force et de désir et tes râles de plaisir étaient maintenant sans retenue.

A mon tour, je me suis retiré rapidement de toi au bout de quelques minutes. N'y tenant plus, je t'ai demandé de prendre ma queue dans ta main et de me faire jouir, comme tu sais si bien le faire. Mon sperme a jailli à son tour, venant s'ajouter à la semence de cet homme.

Tu étais belle ainsi nue, vibrante de sexe et de plaisir. Ton visage était éclairé et nous n'avions pas envie d'interrompre ce moment.

Après un long moment près de nous, l'homme s'est finalement levé et s'est rhabillé.
« Ce moment était merveilleux et je vous en remercie » a t-il dit.
Après lui avoir donné un baiser, tu lui as alors dit « oui, c'est vrai » puis se tournant vers moi « j'ai adoré cette soirée mon amour ! ».

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Commentaires de l'histoire :

dirce
Très beau récit, merci de l'avoir partagé.
Posté le 25/04/2025


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