Délicieuse après midi d'une femme délaissée

Petite coquine après-midi de Marie et de son voisin.

Proposée le 9/07/2017 par pour votre plaisir

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

En une belle après-midi de mai Marie femme mariée approchant la quarantaine revient de déposer ces enfants à l’école. Elle fait un bout de chemin avec Pascal son voisin fraîchement séparé de la mère de ses enfants.
Arrivés devant la porte de Marie celle-ci propose un café à son voisin. Pascal accepte. Ils rentrent et s’installent dans le salon. La mère de famille habillée d’une petite robe d’été toute simple s’affaire dans la cuisine. Elle revient avec un plateau qu’elle pose sur la table du salon et s’assied sur le canapé au coté de son hôte.
Ils discutent de choses et d’autres comme le feraient n’importe quels voisins. Puis la conversation devient plus intime. Marie confie à Pascal que son mari est plus souvent préoccupé par les copains, le foot et la chasse que par sa femme, ses enfants et sa maison. Quelle a du mal avec les trois enfants et la tenue du foyer. Pascal essaie autant qu’il peut de la réconforter. A bout de nerfs elle s’effondre dans ses bras en larmes. Un peu mal à l’aise avec cette situation il essaye de la consoler « merci tu es gentil je souffre tellement »lui dit-elle.
Marie relève la tête les yeux embués de larmes, elle regarde son voisin si attentif et à l’écoute pour elle. Il sort un mouchoir de sa poche et essuie le regard humide de sa voisine. Le trouble s’installe, Marie approche doucement son visage et embrasse une fois puis deux Pascal. Après un instant d’étonnement il rend les baisers, serre un peu plus le corps de Marie. Les langues se tutoient et s’entremêlent. La main de Pascal caresse le dos de Marie puis descend sur ses fesses rebondies. Il relève doucement la robe pour mieux sentir sa peau. Leurs respirations se fait plus profonde. Elle déboutonne la chemise pour découvrir le torse lisse qui a recueilli son chagrin de tout à l’heure. Pascal descend la fermeture éclair de la petite robe obstacle à leur corps à corps. Marie se relève pour l’enlever ainsi que le petit soutien gorge blanc qui cache sa petite poitrine. Pascal se lève, retire sa chemise, prend Marie dans contre lui et l‘embrasse tendrement puis l’installe délicatement sur le canapé. Il se place au dessus d’elle et commence à parcourir le corps de baisers, de coups de langues qui ont pour effets de faire gémir et tressaillir sa petite voisine. Des «oooooooooohhhhhh »des «aaaaaahhhhhhhhhh » et des « muuuummmmmmmm » commencent à se faire entendre. Pascal lui aussi en peine de cœur et sevré de moments tendres met un point d’honneur à donner le maximum de plaisir à celle qui lui a exposée ses tourments. Il sent dans son boxer une tension qu’il n’avait pas ressentie depuis longtemps.
Il s’arrête au niveau de la petite culotte déjà trempée de Marie. Il la prend délicatement de chaque côté et la fait descendre lentement le long de ses jambes. Puis il lui desserre les cuisses puis plonge sa tête vers son sexe. « ouuuuuuuuuuuuuuhhhhhhh » fait elle de plaisir. La langue de Pascal explore cette forêt chaude et humide si peu souvent explorée. Un « ouiiiiiiiiiiiii laaaaaaaaaa »plus fort que les autres accompagnés de mouvements de hanches prononcés lui indique qu’il a atteint l’endroit qui fera monter le désir de Marie.
Il s’évertue à donner a cette femme visiblement en manque un maximum de bonheur. Il hasarde sa langue dans son vagin ouvert dégoulinant de mouille. Marie est d’un coup prise de soubresauts des « oohhhhhhhhh ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii » des « tu me fais jouiiiiiiiiiir » sortent de sa bouche. Ses mains ce crispent dans les cheveux de celui qui lui fais redécouvrir une jouissance presque oubliée.
Pascal se relève en embrassant tendrement le corps brulant et sensible de Marie. Elle reprend doucement ses esprits un large sourire éclairant son visage. Elle se relève et fait signe à Pascal de s’assoir sur le canapé. Elle retire le boxer qui a pour effet de libérer un pénis raide de désir. Elle se glisse entre les cuisses de Pascal en s’agenouillant. Elle attrape le membre tendu pour elle comme une offrande. Elle le glisse lentement dans sa bouche, le ressort puis le remet plus profondément ce qui a pour effet de contracté Pascal et de lui faire pousser des « aaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh » de plaisir. Elle suce cette verge avec une douceur et tendresse telle que Pascal gémit de plus en plus fort et profondément. Son sexe est gonflé à l extrême entre les lèvres de Marie. « muuuuuuuuuuuuummmmm » il accompagne de petit coup de rein la divine fellation. « Va y lâche toi dans ma bouche si tu veux» lui dit elle. Il prend alors la tête de Marie entre ses mains et en la regardant dans les yeux il lui dit « non pas comme ça ». Ils se relèvent s’embrassent tendrement puis l’allonge sur le canapé, se place sur elle leurs deux sexes se trouvent presque instinctivement et dans un petit et doux mouvement de bassin il pénètre dans le vagin humide et serré par le manque de visite de sa petite voisine. « ooooooooooooooouuuuhhhhhhhhhhh » gémit elle en sentant cette queue gonflée de désir entrer en elle. Pascal va et vient avec douceur, par de petit coup de rein et lent il fait monter leurs plaisirs. Il veut faire jouir cette femme délaissée, qu’elle prenne un maximum son pied. Des petits cris s’échappent de sa bouche « vaa yyyyyyyyyy » « c’est boooooooon » « ohhhhh ouiiiiiiiiiiiiii » ce font de plus en plus fort ce qui a pour effet d’exciter Pascal de l’encourager.
Tout à coup Marie s’exclame « prend moi en levrette j’adore ca ». Pascal tout à son envie de faire que se moment soit le plus exquis pour eux il se retire, se relève et laisse Marie se mettre en position tendant sa croupe à son voisin « prend moi » lui dit elle. Il se place derrière, attrape ses hanches puis glisse son sexe plein de cyprine dans la petite chatte ouverte. « muuuuuuuummmmmmmmmm » le corps de Marie s’électrise. Les yeux mi clos elle déguste chaque coup de rein de son amant d’un jour avec délice. Leurs respirations se coordonnent les mouvements de leurs corps brulants s’accordent « ouiiiiiiiiiiii », « va y plus fort ». Pascal s’exécute, ces coups de boutoirs sont plus secs, plus profonds. Il sent monter dans sa verge le jus que Marie lui réclamait tout à l’heure. « Continu baise moi » lui crie t’elle. Pascal accélère encore un peu sentant Marie au bord de l’extase. Les fesses de Marie se plaque d’un coup sur le pubis de Pascal leurs corps sont en feu « viennnnnnnnnnns je jouiiiiiiie » hurle t’elle. Il se bloque alors contre elle et lâche de puissants jets de liquide chaud dans le vagin de celle qui c’est offerte à lui sans retenu. « oouuuuuuuuuuuiiiiiiiiii c’est trop boonnnnnn chéri » « vide toi bien en moi ». Les deux amants restent ainsi comme cela quelques instants le temps de reprendre leurs souffles puis se détachent pour s’ assoir dans ce canapé lieu de leurs premiers ébats pour se câliner un peu avant de retourner presque l’air de rien rechercher les enfants à l’école.

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