Un bel après-midi d’été...

Il fait chaud. C'est l'été. C'est un après-midi à faire l'amour. Nous ne sommes que deux, mais des rêves, des inconnus se mêlent à nos jeux erotiques..,

Proposée le 12/04/2023 par Maximin

Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme

Il faisait chaud.
A travers les persiennes il y avait du soleil qui percait dans la chambre.
Cet après-midi d’été donnait des idées salaces.

Cela faisait déjà près de dix minutes que tu me bouffait la queue.
C'était vraiment bon.

De voir ta bouche, tes lèvres glisser sur mon pieu luisant de ta salive c'était très très excitant...
Au début ça avait été des petits coups de langue sur mon gland. Puis tu l'avais pris en bouche délicatement. Puis franchement. Maintenant tu étais déchaînée. Tu avalais ma queue. Tu bavais sur mes cuisses et mes couilles que tu léchais. Et d'une main tu me branlais à faire mal. Puis de nouveau tu te jetais sur mon barreau à pleine bouche avant de retourner t’enfouir entre mes cuisses.

J’adorais ce que tu me faisais, je t’adorais, je m’abandonnais complètement à la sensualité de ta bouche et de tes mains.

Derrière ta chevelure et ta nuque fine je voyais ton cul blanc relevé, offert, ta raie dessinant deux très jolies fesses. Je voyais tes reins arqués, ton corps qui ondulait. C’était superbe, la plus belle chose que j'ai jamais vu.

A ce moment là je rêvais qu'une fille me donnait sa bouche, que nous mélangions nos langues, nos salives, que nous devenions fous et que ça excitait ma chérie qui acceptait ça et même qui le voulait.

En contrepartie et pour donner plus de plaisir à mon amour j'espérais qu'un mec bien bâti et bien membré, se présente nu, la queue relevée et le gland bien dessiné. Il serait derrière toi et enfournerait son chibbre épais et nervuré dans ta vulve, l'écartant de son épaisseur. Puis il s'enfoncerait profondement dans ta chatte. Et tu ralerais de plaisir prise et partagée entre moi et cet inconnu.

Je me disais que sans doute ça te donnerait du plaisir d'être baisée devant moi, de te montrer salope et pute, de me provoquer. En tous les cas, moi, cette idée m’excitait...

Et pendant que tu me mangerais, que nos bouches se melangerait avec cette fille, ce salaud te défoncerait le cul.

Ça serait beau. Ces corps qui s'emmêlent et ces esprits ivres et fous, cet abandon total, ce bonheur de se sentir libre de gouter toutes les folies, rendus à nos instincts, à notre seul plaisir.

Je te verrais tendres tes fesses, rechercher le maximum de plaisir. Je t'imagine les prendre, les écarter à deux mains pour être mieux penetrée par cet inconnu. Pour mieux sentir cette queue chaude et impatiente, que tu espérais sans le demander et qui maintenant te laboure sauvagement la chatte.

Et te voilà qui me grimpe dessus, pour me chevaucher. Écartant d'une main tes fesses tu me guide dans ton con. Tu t'enfonces lentement sur mon pieu dressé. Je vois mon chibbre disparaître entre tes cuisses, écarter tes lèvres gonflées, pénétrer ta chatte.

En prenant appui sur mes poignets tu montes et tu descends, tu glisses sur ma tige tendue à l'extrême. Je suis ton prisonnier, ta chose, ton gode. Tu te penches pour regarder tes lèvres avaler ma queue. Ca t'excite. Tu accélères le rythme, la cadence. J’écartes les jambes, les cuisses, je pousse mon bassin vers ton sexe. J'ai la queue en feu. Dure à faire mal.

Tu te penches sur moi. Je vois et je sens tes bouts de seins appuyés contre moi. Tu me donnes ta bouche. Tu prend ma bouche. Tout est chaud et liquide. Nos sexes, nos bouches qui se mélangent...

Au moment où tu te releves et que m’arqueboutant je t'envoie mon barreau bien fort et bien profond tu te mets à trembler et tu jouis violemment. Cette violence m'arrache du plaisir et je craque. Je t'envoie des giclées de foutre bien profond.

Maintenant tu es abandonnée sur moi. Ta mouille et mon foutre dégoulinent de ta chatte le long de mon sexe. Nous nous embrassons tendrement.

Tu me chuchotes gentiment dans l'oreille que pendant que nous faisions l'amour tu imaginais qu'un mec s'était joint à nous, qu'il t'avait donné sa grosse queue à sucer, et que tu avais pris du plaisir à m'imaginer entrain de ramoner à grands coups de reins et devant toi, comme un salaud, une fille blonde et salope, que je faisais jouir.

Ah mon cœur comme je t'aime. Je te caresse doucement du bout des doigts. Je t’effleure. Mes doigts courrent le long de ton corps doux et chaud. Sous tes cheveux j'embrasse ta nuque.
Tu es mon adorable coquine...

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