Les lendemains de fêtes sont parfois difficiles, parfois non, comme celle-ci qui réserve de belles surprises sensuelles et érotiques.
Proposée le 26/02/2015 par VittoDee
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Les lendemains de soirée sont souvent douloureux mais pas toujours bien heureusement...
Pourtant ce dimanche matin commence assez mal. Je me lève dans une obscurité que je ne reconnais pas. Je suis nu, dans un lit qui n\'est pas le mien, j\'ai mal au crâne et j\'ai soif. Bon je rassemble mes souvenirs tant que je peux mais il semblerait bien qu\'il en manque une partie. Vu ma position et celle de mes vêtements sur le sol, je suis rentré avec une fille, ça s\'est bien terminé mais je n\'en ai aucun souvenir. J\'ai passé la soirée dans un appartement et j\'ai beaucoup bu. Le visage d\'une fille avec qui j\'ai parlé, qui m\'a plu me revient... mais pas son prénom. Elle était brune aux yeux foncés, cheveux un peu courts en bataille... jolie. C\'est sûrement elle. Je me réjouis... puis déprime un peu de ne pas me souvenir de ma nuit. Je me lève pour boire un coup, et sors de la pénombre de la chambre.
Dans le couloir éclairé par le jour déjà bien avancé, je constate deux choses : cet appartement est grand et ce n\'est pas celui où j\'ai passé la soirée. Cette soirée je ne connaissais pas grand monde. Anniversaire d\'un collègue de travail... je devais passer faire un coucou et pas plus. Il semblerait que je sois resté plus longtemps en fin de compte... Nu au milieu du couloir je me dis qu\'il faut que je trouve la salle de bain. Je pousse une porte, bingo. Un épais brouillard de vapeur émane de la pièce. Quelqu\'un prend une douche. Je suppose que c\'est la fille avec qui je suis rentré, qu\'on est chez elle. La cabine de douche est constitué de cloisons opaques et de portes vitrées mais qui ne donne pas sur la porte d\'entrée de la pièce. Avec le bruit de la douche, elle n\'a pas remarqué ma présence. Je ne peux moi-même pas dire s\'il s\'agit bien de cette fille. Je me rince la figure, boit un coup. Je me redresse un peu plus au clair dans ma tête. Je me retourne pour sortir de la pièce avec l\'idée de rentré chez moi avant qu\'elle ne sorte de la douche. Puis je vois une petite culotte rose de dentelle. Le genre de sous-vêtement sexy malgré que personne ne la porte. Je ne me souviens pas non plus de cette culotte, mais elle a été portée il y a quelques instants, il n\'en faut pas plus pour que je me redresse d\'une autre manière cette fois. Je me dirige alors vers la cabine de douche, je passe la tête et essaye de deviner à travers la porte vitre embuée s\'il s\'agit de la fille de mon « souvenir ».
Je distingue une forme fine et une tache noire dessine une tête, une silhouette de dos, des cheveux noirs et courts. Alors j\'ouvre la porte et pendant que j\'entre dans la douche, elle se retourne surprise. Son visage doux me reviens c\'est bien elle. Néanmoins elle paraît inquiète, elle me regarde de haut en bas et s\'arrête sur mon sexe qui se tend à vu d\'oeil. Sa mâchoire est décollée, puis elle me regarde maintenant dans les yeux, toujours circonspecte. L\'eau coule sur tout son corps depuis sa nuque sur laquelle le jet d\'eau s\'échoue avec puissance. Pour la rassurer je passe ma main sur cette nuque et dépose mes lèvres sur les siennes et nous ouvrons nos bouches pour entrelacer nos langues. Mes bras l\'enlace alors toute entière, ses mains reste contre son corps. Je tiens bientôt ses fesses et les malaxe. Ma queue durcit contre son ventre. Je suis bien plus grand qu\'elle et ses mains n\'ont que peu à faire pour venir m\'empoigner ce qu\'elles vont faire timidement d\'abord. Puis elle me branle soudain des deux mains en continuant à m\'embrasser. Nous sommes bouche contre bouche depuis un moment et mes bras sont maintenant ballant le long de mon corps, elle me secoue énergiquement le sexe et je bande dur pour ça. Notre baiser s’interrompt lorsqu\'elle s\'agenouille.
Elle fixe du regard ma bite tendue ou alors elle se concentre sur le geste dont elle me gratifie. Puis ouvre la bouche, ferme les yeux et m\'engloutis au meilleurs de ma virilité. Une main sur la parois de la douche l\'autre dans ses cheveux, je ferme alors à mon tour les yeux pour savourer la chaleur de la douche et son jet discontinue d\'eau frémissante, celle qui de sa respiration qui m\'envahit entre les jambes, la douceur de sa langue sur mon gland et celle de ses mains contre mes testicules. Elle fait une fellation divine et je suis heureux de me dire que je me souviendrais de cela. J\'ouvre les yeux et je la regarde tellement concentré, je l\'entend gémir alors je comprend qu\'elle prend beaucoup de plaisir. Je n\'ai pas parlé de ses seins encore. Une des images les plus excitantes qui m\'aient été donné de voir durant ma vie d\'homme c\'est celle d\'une femme à genou et la perspective qui s\'offre à notre vu : au premier plan mon sexe dur cerclé de ses lèvres, aspiré et sucé consciencieusement puis au second les seins de cette fée qui pointent d\'excitation et qui descendent de ses épaules lisses, ses seins sont une merveille, petits mais fermes et arrondis et au dernier plan la forme de ses hanches posé sur ses talons et entre ses fesses, l\'eau vient s\'agglomérer et prendre forme du corps sublime de cette femme. Je lui donne 25 ans, j\'en ai 29. Je me sens à ma place dans sa douche, dans sa bouche. Je coupe l\'eau, lui fait signe de se lever, ce qu\'elle fait. Je sens dans son regard qu\'elle est très excitée, que je pourrait faire à peu près ce que je veux. Nous sortons de la douche, se tenant maintenant au milieu de la pièce emplie de vapeur opaque.
Je la porte sur le lavabo, je passe la main entre ses jambes, elle mouille abondamment aussi je lui prend les jambes, qu\'elle met autour de ma taille et j\'enfonce mon sexe en elle. Elle s\'agrippe à moi et respire dans mon épaule, la chaleur qui se dégage de sa respiration est enivrante comme celle qui se dégage d\'entre ses jambes. Elle s\'empêche de crier en me mordant, ça me fait un peu mal lors je la repousse et s\'adosse contre le miroir, j\'attrape ses seins et les malaxe et elle me dit dans une respiration mal contrôlé, « empêche-moi de crier ». Je n\'en ai aucune envie, de plus je viens d\'entendre sa voix pour la première fois de la matinée. Me voyant ne rien faire, elle attrape ma main et place mes doigts dans sa bouche, elle les suce puis les mord, je la laisse faire et la baise de plus en plus fort. Elle serre sa mâchoire contre mes doigts, mais ça ne fait aucun mal au contraire puis se tord, si bien que j\'ai du mal à garder l\'étreinte. Finalement ma bite sort et elle me demande alors de jouir « Vas-y jouis sur moi » en me branlant énergiquement. Elle place mes doigts sur sa chatte pour que je la masturbe à mon tour et par mouvements des ses fesses désordonnés je n\'ai rien à faire, simplement profité de la douceur de son intimité entre mes doigts, de sa main qui pompe sur ma verge pour retiré la semence. Elle commence à jouir encore, et encore pour éviter le bruit, elle m\'embrasse à plein bouche et je sens les vibration de sa voix en moi. Enfin une décharge électrique me traverse la queue, mes genoux faiblissent, et mon sperme gicle alors contre nos deux corps. Nous ne nous embrassons plus mais nous chuchotons bouche contre bouche. Moi : « c\'est bon » et elle : « vas-y, vas-y, jouis sur moi », puis nous nous relâchons en posant nos regards hagards sur nos corps respectifs qui viennent d\'exulter.
Elle retourne dans la douche lors moi je m\'essuie au lavabo. Je sort de la salle de bain plus que satisfait et retourne dans la chambre. Traversant le couloir, je constate encore mieux combien l\'appartement est grand. Une fois dans la pénombre de la chambre que je constate artificiel du fait que les rideaux sont clos. Je m\'avance vers la fenêtre pour les ouvrir, une fois fait j’entends une voix râler... elle provient du lit, où une jeune femme y est allongée. Une blonde aux cheveux long qui n\'a a priori rien en commun avec la brune de la douche émerge de sa torpeur. C\'est en voyant ses yeux que je comprend le lien de parenté...
Elle, me voyant nu : « Tu es sorti à poil de la chambre, tu aurai pu tomber sur ma soeur ou son mec... » Le tableau se reconstitue alors un peu plus. Cette petite brune avait dû refuser mes avances car elle était maquée et j\'avais dû me rabattre sur sa soeur. Elle est par ailleurs très jolie mais je crois que je préfère les brunes. Je m\'assois à côté d\'elle et réalise que j\'ai baisé sa soeur. L\'idée m\'excite autant qu\'elle me trouble. Je ne connais par ailleurs pas non plus son nom. Alors qu\'elle se rendort, je soulève le drap et regarde son corps. Elle est nue aussi, j\'en déduit qu\'il y a eu rapport... je n\'en suis pas sûr mais si c\'est le cas, je suis en plein fantasme. C\'est pourtant un fantasme un peu malsain. Je me sens excité, elle rouvre les yeux et rit. « Tu es plus en forme qu\'hier... » Sa main se pose alors sur mon sexe, je remarque que je bande à nouveau. Moi : « Tu veux dire qu\'on n\'a pas ». Elle rit encore puis dit « tu ne t\'en souviens pas hein ? », je fais non de la tête... elle : « tu étais trop ivre... » Elle me lâche puis se tourne. Elle est allongée sur le ventre, la tête tournée vers l\'extérieur du lit.
Je suis un peu déçu... Mais alors qu\'elle se rendort à côté de moi, je m\'assois sur le bord du lit avec l\'idée de prendre mes affaires et de rentrer rapidement. Puis elle dit depuis son côté du lit : « Si tu veux te rattraper avant de partir n\'hésite pas, j\'adore qu\'on me prenne au réveil... » Je regarde ma bite comme si c\'est elle qui décidait... et en fait à ce moment là, c\'est en effet elle qui décide.
Je soulève le drap, dévoile ses formes qui me sont familière ainsi qu\'à elle. Elle ne bouge pas de sa position allongée sur le vente. Je l\'embrasse le long de son dos, et rejoint rapidement se fesses arrondit et superbe, pour y coller entre elles d\'abord ma bouche, puis ma langue. Elle se cambre d\'elle-même pour dévoiler sa vulve. Je respire l\'odeur de sa chatte en chaleur, et après délectation je la pénètre en m\'allongeant sur elle. Elle passe sa main sous elle pour joindre se clitoris et se le titiller pendant que je la baise lentement puis elle me dit « une belle queue comme la tienne de bon matin, rien que pour moi... quelle chance ». Quant à moi je pense « deux sublimes soeurs de bon matin rien que pour moi... »
C\'est ainsi que je veux terminer ce récit, au beau milieu d\'un coït car le plus bel endroit au monde c\'est bien là, au fond... entre les cuisses d\'une femme qui jouit... enfin c\'est mon avis d\'homme.
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