La suite des aventures de Charles et Sylvie quqi ne s'arrête pas de découvrir de nouvelles façon de jouir
Proposée le 27/03/2017 par alain06
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
Nadine, née dans une famille bourgeoise a eu une enfance sans histoires jusqu’à l’age de 13 ans. A cette époque son père, militaire de haut rang, fut muté en Allemagne. Estimant que Nadine était à présent apte à aller en pension, ils la mirent dans un établissement huppé pour filles de bonne famille.
Ce lundi de septembre semblait bien triste à Nadine. Tôt le matin sa mère l’avait accompagnée au pensionnat, et après les formalités d’usage, l’avait laissée aux soins du personnel de l’établissement.
Les cours ne commencent que le mardi car ce jour est consacré à la rentrée de toutes les filles qui doivent intégrer ou réintégrer la pension. L’établissement ouvert aux pensionnaires de 12 à 18 ans environ est situé dans un endroit calme et n’est pas dirigé comme la plupart d’entre eux par des bonnes sœurs.
Son paquetage, comportant son uniforme et les affaires nécessaires à son séjour sous le bras, elle est dirigée vers le dortoir qui comprend une douzaine de lits, six de chaque coté de la travée centrale. Le sien qu’on lui indique se trouve être l’avant dernier sur la rangée de droite. Elle range ses affaires dans son armoire, imitée par plusieurs filles qui s’installent également.
Le rangement fait, elle s’assoit, ne sachant que faire, observant les filles alentour.
La fille du dernier lit termine de ranger ses affaires elle aussi, referme la porte de son armoire et croisant le regard de Nadine, lui adresse un sourire.
-Bonjour, je m’appelle Annie et toi ?
-Nadine, bonjour.
Nadine est contente de l’accueil. Cette fille a l’air moins timide qu’elle, apparemment habituée au pensionnat. Elle est grande, les cheveux courts sur un visage fin, un corps élancé de femme, mais avec quelque chose de masculin en elle.
-C’est la première fois que tu viens en pension ?
-Oui.
-Je m’en doutais. N’aie crainte. C’est ma deuxième année ici et on est pas mal. Les surveillantes te laissent tranquille si tu ne les cherche pas.
Nadine est rassurée et adresse son plus joli sourire à Annie. Elles devisent un peu, parlant de choses et d’autres et bientôt la confiance s’installe entre les deux filles.
La cloche sonne, c’est l’heure du déjeuner.
-Viens, suis moi.
Elles se dirigent vers le réfectoire, Annie devant. Croisant la plupart des filles, Nadine s’aperçoit que sa nouvelle copine semble avoir un certain ascendant sur elles. La plupart l’embrassent avec des grands sourires.
Le repas terminé, elles sortent dans la cour, devisant tranquillement sous le beau soleil de cette fin d’été.
Elles s’assoient dans un coin tranquille, un peu à l’écart des autres.
-Raconte moi tout, j’aime bien savoir d’où viennent mes amies.
Nadine est flattée de l’intérêt que lui porte Annie, elle qui appréhendait cette rentrée, lui raconte sa vie, en fait pas grand chose.
-Et tu dis que tu n’es jamais sortie ? Tu n’as pas de petit ami, ni de petite amie ?
Le sourire s’est accentué en disant ces dernières paroles.
-Moi j’ai 14 ans et la plupart des filles ici ont un petit ami dehors et pour certaines une petite amie ici.
Les paroles d’Annie ne troublent pas Nadine. Elle a été élevée de façon stricte, nous l’avons déjà vue et elle ne trouve rien de choquant dans ce qu’elle entend. Pour elle une petite amie est une amie tout court, point. Elle n’est donc pas choquée par les regards insistants qu’Annie porte sur son corps.
Elles continuent à deviser ainsi. La plupart des autres élèves sont comme elles par groupes de deux.
L’après midi se passe en distribution de livres et fournitures.
Les professeurs réunissent les élèves par groupes, se présentent et expliquent le règlement de l’établissement.
Le soir arrive et toutes se retrouvent pour le dîner. Une salle de réunion avec jeux et télévision rassemble la plupart des pensionnaires, puis peu à peu les filles se dirigent vers leur chambre par petits groupes, continuant à deviser et révéler leurs petits secrets.
Annie et Nadine s’assoient sur le lit d’Annie, tournés vers le mur, tournant ainsi le dos aux autres copines.
Tout en continuant à discuter, Annie se déshabille. Elle enlève son uniforme qu’elle porte depuis le début de l’après midi comme toutes les autres pensionnaires. Dessous elle ne porte que son soutien gorge, bien renflé par des rondeurs qu’on ne peut plus qualifier de juvéniles, et sa culotte. Portant les mains derrière son dos, elle dégrafe le soutien gorge tout en regardant Nadine d’un regard complice. Elle ramène les mains, révélant du même coup sa poitrine à sa nouvelle amie. Les seins se balancent légèrement, libérés de leur entrave. Nadine admire cette poitrine qui se dresse, fièrement devant ses yeux éberlués. C’est la première fois qu’elle aperçoit les seins dénudés d’une autre fille et elle les détaille d’un air envieux. Annie, amusée la regarde faire. Après quelques secondes elle demande :
-Tu as l’air étonnée, pourquoi ? C’est la première fois que tu aperçois une paire de seins ?
Nadine rougit et répond :
-Oui, c’est la première fois. En tous cas ils sont très beaux.
-Merci, mais je suis sure que les tiens sont très beaux aussi.
-Oh non ! Ils sont beaucoup plus petits.
-Fais voir, on va comparer.
Nadine, surprise, hésite puis, sous le regard d’Annie enlève à son tour son uniforme puis son soutien gorge tout en lançant un regard anxieux à son amie.
Ses seins, plus petits en effet que ceux d’Annie supportent aisément la comparaison en beauté. Annie les regarde intensément, une lueur trouble dans les yeux que Nadine ne peut voir dans la pénombre.
-Ils sont très beaux ! Et durs en plus !
Annie, a posé une main douce sur un sein, l’englobant tendrement et pinçant légèrement le bout qui durcit.
Nadine, troublée se laisse faire, soudain habitée par une étrange langueur.
Libérant comme à regret le sein, Annie endosse la veste de pyjama puis, se lève et enlève sa petite culotte puis enfile le bas du pyjama.
-Tu dors sans culotte ?
Nadine, étonnée, n’a pu s’empêcher de poser cette question.
-Bien sur, on se sent plus à l’aise. Tu devrais te déshabiller toi aussi, il est presque vingt et une heures et on va bientôt éteindre les lumières.
Nadine fait le tour du lit, va s’asseoir sur le sien. Elle hésite avant de retirer sa culotte après avoir revêtu son haut de pyjama puis, encouragée par le regard d’Annie qui l’observe, elle franchit le pas. Un large sourire récompense ce premier pas de celle qui a décidé de faire l’éducation de la petite provinciale qu’elle est.
Juste à cet instant les lumières s’éteignent, saluées par un murmure des pensionnaires. A cet instant toutes les filles sont sensées être couchées et les retardataires se dépêchent.
Nadine lui dit tout bas :
-Mets-toi sous les couvertures, la surveillante ne va pas tarder à venir faire sa ronde.
Nadine se glisse dans les draps. Les lits sont séparés par un étroit espace de quarante centimètres environ, ce qui permet de chuchoter sans avoir besoin d’élever la voix. Le grand bâtiment ancien comporte des fenêtres en demi-lune dans le haut des murs apportent une lumière en clair-obscur qui fait distinguer les ombres après que les yeux se soient acclimates.
Annie est couchée sur le dos, mais a le visage tourné vers Nadine, la fixant. Ce qui attire immédiatement son attention est le fait qu’elle a relevé légèrement ses genoux qui pointent sous les couvertures. La position la surprend mais ne l’étonne pas outre mesure. Nadine n’ose pas parler, attendant que sa copine fasse le premier pas.
Tout à coup Annie allonge ses jambes brutalement tandis qu’elle entend la porte du dortoir s’ouvrir. Une surveillante s’avance doucement une lampe à la main et regarde tour à tour les lits, s’assurant qu’ils sont tous occupés. Arrivée au fond, elle fait demi tour et sort de la chambrée. Aussitôt on entend des froissements de draps. Bien que distinguant mal, il semble à Nadine que des mouvements furtifs s’opèrent, des filles se lèvent et se déplacent dans le dortoir.
Elle reporte son attention sur Annie. Celle-ci a repris sa position initiale, les genoux repliés et constate que celle ci la regarde. Il semble que ses yeux brillent dans la nuit, tandis qu’elle peut entendre une forte respiration.
La bouche d’Annie s’ouvre comme pour chercher de l’air. Nadine se met sur le bord du lit, murmure :
-Tu ne te sens pas bien ?
Annie sourit faiblement, puis :
-Mais non idiote, ça va très bien au contraire.
Devant son air ébahi, elle lui dit :
-Viens dans mon lit, je vais t’expliquer.
Nadine hésite, regarde autour d’elle et se rend compte que certains lits ne contiennent pas qu’une personne, d’ailleurs celui à sa gauche est vide. Elle reporte son regard sur Annie, celle ci se pousse et l’invite de nouveau d’une voix impatiente à venir la rejoindre.
-Allons, sois pas sotte ! Viens !
Nadine se lève et se glisse sous les couvertures à coté d’Annie. Le lit étroit fait qu’elles sont collées l’une à l’autre. Elle se met légèrement sur son côté droit, face à sa copine qui s’est mise sur son côté gauche. Elles se retrouvent donc face à face, se touchant.
En se glissant dans le lit, elle s’est rendu compte que ses pieds touchent une peau nue à partir de la taille. Annie a abaissé sa culotte de pyjama sur ses chevilles, sa veste est remontée vers sa poitrine.
Annie remonte sa jambe droite tandis que la gauche reste allongée. Elles ne disent rien pendant quelques secondes puis, Annie dit en le regardant :
-Tu ne te caresse jamais?
Nadine, ébahie la regarde sans comprendre.
-D’accord, j’ai compris. Fais comme moi, regarde.
Annie lève un peu les draps, et toutes les deux se retrouvent la tête sous la literie. Annie lui murmure :
-C’est bon, fais comme moi, caresse toi la chatte.
Nadine surprise ne sait que faire. Devant cette inexpérience, Annie lui dit :
-Attends, laisse toi faire, tu vas voir comme c’est agréable. Abaisse ton pantalon, il gène.
Nadine fait ce qu’elle dit, sa culotte de pyjama descend vers ses chevilles.
-Remonte ta jambe gauche, mets-toi comme moi.
Remontant sa jambe, elle sent la main d’Annie se poser doucement sur son intimité. Elle caresse d’abord lentement, comme pour reconnaître le terrain, tâte les poils rares, puis s’incruste sur la fente qui s’ouvre légèrement sous l’action des doigts habiles. Nadine, de plus en plus étonnée se laisse faire. Au bout d’un moment elle ouvre les jambes un peu plus d’elle même, s’offrant complètement aux caresses d’Annie.
Celle ci l’épie du coin de l’œil et constate bientôt un changement dans l’attitude de la belle innocente. Sa respiration s’accélère, sa poitrine se soulève à un rythme plus rapide. Elle demande :
-Alors ma petite chérie, comment tu trouves ça ? C’est bon ?
Nadine n’a jamais ressenti pareille sensation. La caresse est de plus en plus agréable, il lui semble qu’un liquide mouille son entre jambes.
-C’est…, C’est bon, c’est bon ! Continue !
-Tu vois que tu aimes ! Dire que tu ne connaissais pas ça ! On appelle ça se masturber, se branler. C’est ce que je faisais tout à l’heure.
Et Annie, qui a à présent les doigts poissés de mouille accentue sa caresse, se posant sur le petit clitoris qu’elle sent durcir, pour l’abandonner puis revenir quand elle sent que Nadine va bientôt jouir.
-Oui ma chérie tu vas bientôt jouir. Tu vas voir comme c’est bon, c’est divin. Ferme la bouche surtout ne crie pas, il ne faut pas déranger les autres qui font pareil en ce moment.
Des gémissements sortent des lèvres fermées de Nadine. Elle ne sait pas ce qui lui arrive, tout ce qu’elle comprend c’est que c’est bon, divin comme dit Annie. A un moment elle ne sait plus ce qu’elle fait, son corps se cambre elle cherche sa respiration tandis qu’une tornade la dévore, la secoue et elle aurait sans doute crié si elle ne se mordait pas les lèvres.
Annie continue à la branler pendant tout le temps que dure la jouissance, la première de sa vie. Elle s’arrête enfin, regarde sa nouvelle amie et lui dit :
-Pour une innocente tu jouis bien, regarde mes doigts. En disant cela, elle porte ceux ci juste sous le nez de Nadine. Elle lui dit. :
-On appelle ça de la mouille, du jus, ça sent bon.
Une odeur que Nadine n’a jamais sentie flatte ses narines.
-Moi j’aime bien goûter, tiens regarde.
Et devant les yeux encore émerveillés par la jouissance Annie porte les doigts poissés à sa bouche, suce la mouille jusqu’à ce qu’ils soient débarrassés de toute trace de mouille.
-Alors ? Tu m’as pas répondu, comment c’était ?
-C’était super, j’ai jamais rien ressenti de pareil.
-En effet, il n’y a rien de comparable au monde.
Elle prend la main de Nadine et la posant sur son propre sexe lui dit :
-En tous cas moi je n’ai toujours pas joui. Regarde comme j’ai envie, tu vois comme je mouille ?
Nadine découvre pour la première fois un sexe autre que le sien. Le sexe d’Annie est plus velu que le sien. L’endroit est trempé en effet, les poils collés entourent des grandes lèvres très proéminentes, grandes ouvertes, appelant la caresse.
-Oui, caresse moi ! Caresse moi je t’en prie ! Tu m’as excitée à mort avec ta jouissance ! Vas-y !
Devant l’inexpérience et l’hésitation de Nadine, Annie pose sa main sur celle de Nadine et la guide, lui montrant comment faire. Elle est toute prête à jouir et sa respiration s’accélère de plus en plus.
-Comme c’est bon ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Tu me fais jouir avec tes doigts salope ! Ah oui ! Oui ! Tiens prends ! Prends ! Ahhhh !
Et Annie enfonce son visage dans la poitrine de Nadine pour ne pas crier, tout le temps que la masturbation dure.
A la fin elle relève la tête, souriante et heureuse.
-Quelle journée pour toi n’est ce pas ? Tu découvres le plaisir, la masturbation et en même temps tu branles une autre fille, pas mal pour un début non ?
En riant elle embrasse Nadine sur les lèvres qui ne se défend pas, ouvrant les lèvres sous la poussée de la langue expérimentée qui la fouille longtemps.
A la fin elles se séparent, se regardent heureuses, repues. Désignant le reste du dortoir, Annie lui confie :
-Tu vois, regarde bien les copines, toutes font la même chose. Ceci au cas où tu aurais des états d’âme. Comme on dit il n’y a pas de mal à se faire du bien.
Nadine promène son regard sur les lits. En effet elle peut distinguer ça et là des mouvements sous les draps qui sont curieusement gonflés pour des minces jeunes filles
-Tu as raison, je suis vraiment gourde.
-T’en fais pas, on va faire ton éducation. Et puis ici les surveillantes ne sont pas chiantes, elles ne viennent jamais au cours de la nuit. D’ailleurs, elles sont occupées elles aussi.
-Tu crois qu’elles aussi …
-Bien sur ! Tu es vraiment innocente tu sais ! Enfin un peu moins maintenant non ?
-Oui, grâce à toi.
Et d’un geste spontané, Nadine embrasse sa nouvelle amie maladroitement mais fougueusement. Un long baiser les unit tandis que les jambes d’Annie se resserrent sur celles de Nadine. Sa jambe droite s’insinue entre les jambes se son amie et avec un mouvement de bas en haut, elle branle consciencieusement le sexe ouvert de Nadine. Celle ci est aux anges, elle sent à nouveau le désir qui monte, la submerge. Annie frotte de même son sexe qu’elle a plaqué contre la jambe droite de Nadine. Tout en continuant cette branlette commune particulière, Annie détache les lèvres et lui parlant tout près :
-Tu sens comme c’est bon ! Dis le que c’est bon ! Ah oui tu aimes hein ? Quelle salope tu fais pour quelqu’un qui ne connaissait rien il y a quelques instants ! Laisse toi aller ma chérie, je vois que tu vas partir ! Moi aussi je vais jouir, je me branle contre ta jambe. Tu sens ma chatte qui te mouille ? Oui ! Vas-y ! Ah que c’est bon !
C’est encore meilleur en effet pour Nadine, elle sent que le plaisir monte, mais en même temps elle sait quel bonheur elle va ressentir dans quelques secondes et cela la rend folle de bonheur. La jouissance proche, Annie lui prend les lèvres pour étouffer ses gémissements qui montent.
Enfin la belle jouit, serrant très fort le dos de sa partenaire qui continue à la branler avec sa jambe à présent inondée de mouille, tandis qu’elle aussi sent la jouissance arriver.
-Ah je viens ! Oui ça y est ! Je jouis ! Je jouis ! Ahhhhh !
Elle s’arrête enfin de bouger, et reste inerte, repue.
Elles restent ainsi sans bouger quelques secondes, heureuses, savourant leur bien être après la jouissance.
Annie relève la tête, sourit à sa nouvelle amante, l’embrasse rapidement sur les lèvres et chuchote :
-Bon maintenant, il faudrait mieux que tu retournes dans ton lit. Bonne nuit ma petite salope, dors bien.
Nadine remonte sa culotte de pyjama et, se levant le plus discrètement possible, regagne son lit. Bien calée sous les draps, elle s’étire, pose sa main sur sa motte, la découvrant complètement trempée. Elle s’endort ainsi, heureuse et satisfaite.
Le lendemain les filles se lèvent à six heures trente au son de la cloche. Au cours de la journée, observant ses collègues, elle peut voir des visages fatigués, observer des conciliabules, s’apercevoir enfin que son cas n’était pas unique, mais quasi général.
La nuit suivante le même manège recommença, Nadine vint s’installer dans le lit d’Annie après le passage de la surveillante et une nouvelle nuit de caresses se passa.
Si Nadine était destinée à rester au pensionnat jusqu’aux vacances scolaires, il n’en était pas de même avec Annie qui rentrait tout les week-end chez elle, habitant à quatre vingt kilomètres de là dans un petit village. Annie proposa à Nadine de l’emmener avec elle lorsque son père viendrait la chercher.
-Mais, tu es sure que tes parents vont accepter ?
-Sure, ils font tout ce que je leur demande, enfin presque, tant que ça me fait plaisir et que ça reste dans le domaine du raisonnable. L’année dernière j’avais une amie qui venait passer tous les week-end chez moi. De toute façon je vais leur téléphoner demain pour leur demander. Il y a juste une formalité à accomplir, il faudra l’autorisation écrite de tes parents, sinon on ne te laissera pas sortir.
La mère de Nadine devait venir justement ce vendredi pour saluer sa fille avant de rejoindre son mari en Allemagne et s’assurer que tout se passait bien. Nadine se promit de lui arracher la permission de sortie.
Lorsque la mère fut mise au courant, elle prit d’abord des renseignements auprès de la directrice de l’établissement au sujet de la famille d’Annie. Devant les renseignements élogieux concernant celle ci, elle accepta et signa l’acceptation de sortie pour sa fille. Nadine embrassa sa mère et celle s’en alla, lui promettant de venir la chercher pour les vacances de Noël.
Le lendemain samedi, les filles qui étaient autorisées à sortir pouvaient quitter l’internat à onze heures. Annie et Nadine firent rapidement leur petite valise et se rendirent à la salle d’attente ou quelques autres jeunes filles se trouvaient déjà.
Le père d’Annie arriva, sa fille se jetta dans ses bras. Annie présenta ensuite Nadine et son père l’embrassa sur les deux joues.
Ils roulent à présent sur les routes tranquilles, le père et la fille devisant de choses et d’autres, faisant participer Nadine à leur conversation, tant et si bien que celle ci se sentit parfaitement à l’aise avant d’arriver devant une grande maison entourée d’un beau parc bien entretenu et bordé d’une petite rivière. L’endroit semble enchanteur et Nadine est heureuse de se trouver là.
La mère d’Annie entendant la voiture est sortie sur le perron pour accueillir les deux jeunes filles. Embrassades, paroles de circonstance et Annie entraîne son amie vers le grand escalier qui dessert les chambres. Annie lui montre la sienne, agréable et équipée de son propre cabinet de toilette.
-Je vais me changer, je reviens dans cinq minutes.
Nadine jette un coup d’œil sur le parc et installe ses petites affaires dans l’armoire. Elle a à peine terminé qu’Annie revient et elles descendent toutes les deux.
Le déjeuner se passe agréablement, les parents de sa nouvelle amie sont vraiment des gens charmants, désireux avant tout de faire le bonheur de leur enfant unique.
Elles quittent la table juste après le dessert et partent faire le tour du parc immense qui se trouve en lisière d’une petite foret, ce qui donne l’impression à la maison d’être parfaitement à l’écart du monde.
En bas coule un rivière tranquille. Elles la longe, bras dessus, bras dessous, jusqu’à arriver à une espèce de cul de sac. Il semble impossible d’aller plus loin. Nadine retire ses chaussures et fait signe à Nadine d’en faire autant.
Elles marchent dans l’eau un peu fraiche pendant une vingtaine de mètres environ avant d’arriver dans une espèce de petite crique en forme arrondie entourée d’arbres.
L’endroit est parfaitement indécelable pour une personne non avertie. Le sol recouvert de mousse semble une invite à s’allonger. L’endroit est superbe, complètement caché du monde extérieur.
-Voilà mon petit paradis à moi. Même mes parents ne connaissent pas cet endroit.
Nadine s’émerveille devant la beauté du site, tandis que sa copine se déshabille tranquillement. Debout et lui tournant le dos, Annie fait passer par dessus ses épaules son tee shirt. Son soutien gorge, rapidement dégrafé atterrit par terre tandis qu’elle déboucle la ceinture de son short. Il ne lui reste plus qu’à se débarrasser de sa culotte. Ses deux mains font glisser le tissu léger le long de ses fesses, puis de ses cuisses. Levant une jambe après l’autre, elle se débarrasse enfin du dernier vêtement qui va rejoindre le tas par terre.
Il semble à Nadine que la fille a pris son temps, parfaitement consciente que son amie regarde.
Annie se retourne enfin, les yeux brillants.
-Alors comment tu me trouves ?
Disant cela, elle prend la pose, posant les mains sur ses hanches, puis les levant au dessus de sa tête, ce qui met sa belle poitrine en valeur.. Nadine la regarde admirative. Les seins d’Annie sont vraiment très beaux. Très volumineux pour une fille de quatorze ans, ils sont fièrement dressés, avec des bouts fins et très allongés. Le mont de vénus renflé, ou on distingue nettement les grandes lèvres sous les poils. Nadine est impressionnée par le pelage luisant de son amie, qui se trouve à hauteur de ses yeux.
La position de la fille par rapport à Nadine qui est assise, met en relief cette poitrine agressive qu’elle connaît déjà de par leurs caresses à l’internat. Mais de les voir, ainsi exposés sans pudeur l’émeut tellement qu’elle ne sait que répondre.
-Alors ? J’attends. Déçue ?
-Tu es folle, tu es magnifique, tu le sais bien d’ailleurs.
-Oui, mais j’aime bien qu’on me le dise. Qu’attends-tu pour en faire autant ?
-Tu es sure que… ?
-Personne ne vient jamais ici. Allons fais moi plaisir, je veux te voir nue toi aussi.
Nadine se lève et, fixant son amie dans les yeux, se déshabille à son tour.
Les yeux brillants d’Annie ne perdent rien du déshabillage. Son regard a du mal à quitter le bas ventre de Nadine lorsque celle-ci se retrouve nue à son tour. Annie relève la tête, fixe son amie dans les yeux et lui dit, admirative :
-Je savais que tu étais bien faite, mais là je dois dire tu es vraiment bandante!
Nadine est ravie de ce compliment, Annie se rapproche et les deux filles s’enlacent. Leurs lèvres se soudent tandis qu’elles se caressent. Annie les entraîne vers le sol et elles se retrouvent allongées sur le lit de mousse.
Annie pose ses lèvres sur un sein tendu, aspirant le bout qui durcit sous sa langue. Nadine porte sa tête en arrière en gémissant sous la caresse, crispant ses doigts sur les reins d’Annie.
Annie libère le sein dressé. Sa bouche se pose sur le ventre de son amie, descendant insidieusement vers le bas ventre. Descendant encore elle atteint enfin son but : l’entre jambe dont elle rêve de se régaler depuis qu’elle a fait de Nadine son amante. Cette dernière, sous l’injonction des mains de son amie, ouvre le compas de ses jambes au maximum, présentant aux yeux de celle ci un sexe déjà largement humide. Une mouille abondante s’est déjà agglutinée entre les grandes lèvres.
Annie marque un temps d’arrêt, décide d’abord de se régaler les yeux de cette belle motte bien dessinée et bien visible car à peine entourée de poils.
-Tu as une chatte superbe ma chérie. Je sens que je vais me régaler.
Elle plonge la tête vers cette chatte qui l’attire comme un aimant.
Le résultat ne se fait pas attendre. Nadine pousse un cri qui est à la fois un cri d’étonnement, de surprise, de bonheur enfin tout en donnant des coups de reins instinctifs, ruant comme une folle sous la caresse de la langue sur son sexe.
Annie s’applique de son mieux à rester en contact avec cette chatte en folie en lui passant les bras sous les fesses qu’elle malaxe.
La découverte de cette caresse qu’elle n’avait jamais soupçonnée rend folle de désir Nadine. Sa tête dodeline de droite à gauche tandis que ses mains se crispent sur la nuque d’Annie.
Le plaisir monte à toute vitesse et elle se met à crier son bonheur sous l’action de la langue qui lui fouille la chatte.
-Ahhh ! Ahhhh ! Ah oui ! Oui, mon dieu que c’est bon ! Oui continues ! Je n’en peux plus ! Je viens ! Oui ! Tiens ! Tiens ! Ahhhh !
Et Nadine jouit, une jouissance qui lui fait libérer un flot de mouille dans la bouche d’Annie. Les cris s’atténuent. Annie continue de sucer la motte écartelée de plaisir.
Elle relève la tête, effectue une reptation jusqu’à atteindre le visage ravagé par le plaisir de son amie qui halète, récupérant de la jouissance.
Un baiser englué de mouille les unit, Nadine enserre le corps de celle qui lui a fait découvrir ce plaisir merveilleux et elles restent ainsi longtemps.
Enfin elles s’écartent l’une de l’autre, se regardent en souriant.
-Tu as aimé ma petite gâterie on dirait ?
-C’est fou ! Ah comme c’était bon ! Jamais je n’aurai imaginé une pareille jouissance. Dire que je ne connaissais pas ça !
-Tu as joui merveilleusement c’est vrai. Tu ruais dans tous les sens, j’arrivais plus à te tenir.
-Je ne savais plus ce que je faisais, c’est vrai, tu m’as rendue folle de bonheur.
-Moi aussi j’étais heureuse de te donner tant de plaisir. Tiens, regarde ma chatte, elle est trempée. Le fait de te faire jouir m’a presque fait jouir moi aussi.
Et joignant le geste à la parole, elle écarte sa jambe droite tout en pliant le genou, présentant aux yeux de son amie, une chatte trempée.
-Tu vois comme tu me fais mouiller ?
Nadine regarde le sexe offert avec des yeux brillants. Les poils abondants qui entourent cette chatte de femme sont complètement trempés. L’invite est évidente, d’ailleurs Annie s’allonge de tout son long auprès de son amie tout en la regardant d’un regard luisant de désir.
Nadine a son tour s’allonge entre les jambes largement écartées d’Annie. Pour faciliter le travail de son amie, elle écarte ses poils, les lissant de chaque coté de ses grandes lèvres. Une odeur forte de femelle en chaleur sort de cette vallée humide. Nadine approche les lèvres de cet endroit merveilleux, source de tant de plaisirs.
-Vas y ma chérie, suce moi à ton tour, donne moi du plaisir. Ah j’ai une de ces envies ! Vas y je te guiderais.
La voix d’Annie est rauque, l’envie de se faire sucer est intense, et elle meurt d’impatience.
Enfin, d’abord maladroitement la bouche de Nadine vient se poser sur sa motte mouillée. Elle pousse un soupir de satisfaction.
-Oui, comme ça ! Oui c’est bon, continue ! Fais ta langue plus molle. Oui, promène-la tout autour de ma chatte ! Oui ! Comme ça, continue ! Oui, entre la maintenant ! Ah je sens que je vais bientôt jouir ! Je vais jouir ! Ah oui ! Oui ! Oui ! Ahhhh !
Et Annie inonde le visage collé à son sexe d’un jus odorant dont Nadine se régale. Elle en connaissait déjà un peu le goût, mais là, le buvant directement à la source la rend folle. Elle enfonce sa langue, elle ouvre sa bouche, ne voulant pas laisser échapper une goutte du précieux nectar qu’elle découvre. Elle en est ivre de plaisir, comme si cette mouille avait les qualités de l’alcool.
Annie jouit sans discontinuer sous la succion effrénée de son amie. Elle a joui très vite, excitée par l’intense jouissance de Nadine et la satisfaction d’être la première à faire cette caresse à son amie, puis la jouissance s’est d’abord apaisée, puis a repris sous l’ardente caresse de celle qui veut rendre la pareille. Ses cris s’amplifient, diminuent pour enfin reprendre. Le bonheur de faire jouir son amie, la surprise que la jouissance reparte si vite, l’envie de se repaître se cette mouille qui sort sans discontinuer encourage Nadine à poursuivre sa succion. De temps en temps Annie supplie d’arrêter, que c’est trop fort, mais il semble que Nadine est collée au sexe, ne veut plus le lâcher. En même temps, elle sent elle aussi sa propre jouissance monter. Elle respire de plus en plus fort, sa chatte relâche une mouille qu’elle sent dégouliner le long et tremper la mousse. Elle frotte son clitoris dressé sur la mousse tendre ce qui la porte au paroxysme de l’excitation. Elle suce avec frénésie ce sexe qui continue à relâcher son jus, puis jouit, tandis qu'elle recueille la dernière jouissance de son amie.
Les deux sont vannées, restent ainsi allongées, cuvant leur bonheur.
Tout doucement, elles émergent enfin de leur torpeur. Elles se serrent l’une contre l’autre. C’est Annie qui parle la première :
-Pour la première fois que tu suces une fille t’as fait fort ! J’ai cru que tu allais me faire mourir de plaisir. J’ai joui je ne sais pas combien de fois ?
-Oui tu jouissais sans arrêt, et moi je voulais te faire jouir encore et encore. Et plus tu jouissais, plus j’avais envie de te faire jouir, et plus je sentais ma propre jouissance monter. A la fin j’ai joui moi aussi et c’était fabuleux de jouir sans me toucher, rien que le frottement de mon petit bouton sur la mousse.
-Super ! Tu deviens une vraie petite salope toi aussi.
Et Annie l’embrasse, baiser auquel répond Nadine. Ils se séparent et, prenant conscience de l’heure :
-Bon, c’est pas tout mais il va falloir rentrer, et j’espère que nous ne croiserons pas ma mère car on a des têtes j’te dis pas !
Les deux filles se rhabillent et se rafraîchissent la figure en s’aspergeant d’eau fraîche.
-Est-ce que ça ira comme ça ?
-A condition de ne pas y regarder de trop près oui.
Elles s’engagent sur le chemin du retour, regardant bien si personne ne se trouve à l’horizon lorsqu’elles sortent de la petite crique.
Rentrant dans la grande maison, elles sont bien aise de ne rencontrer personne. Elles vont chacune dans leur chambre pour y prendre une douche réparatrice.
Après s’être changées, toutes les deux descendent, s’installent devant la télévision. Bientôt la mère d’Annie rentre, suivi de son mari. La soirée se passe le plus agréablement possible et les deux filles vont se coucher très tôt, sous les yeux attendris des parents d’Annie qui trouvent que le lycée est très fatigant.
Le lendemain dimanche, les parents bien que n’étant pas des fervents catholiques se rendent à la messe, imitant en cela la plupart des familles à la campagne. Les deux amies ne peuvent guère faire autrement que les accompagner. Le reste de la journée se passe entre le déjeuner qui s’éternise et ensuite le retour au pensionnat ou les jeunes filles doivent être de retour avant dix huit heures.
Toute l’année se passa ainsi, environ un week-end sur deux Nadine accompagna Annie chez elle. La plupart des soirées au lycée, à quelques exceptions près se passa en caresses dans le lit d’Annie.
Ainsi Nadine devint une experte en relations lesbiennes et ne connut que cela pendant longtemps.
Puis, l’année suivante, Annie ne revint pas, ses parents ayant déménagé. Ce fut au tour de Nadine de dévergonder une nouvelle élève qui comme elle l’année d’avant était complètement innocente, mais elle ne ressentit plus jamais pareille intensité dans le plaisir.
Elle quitta l’internat après le baccalauréat, se maria quelques années après avec un jeune homme plein d’avenir, mariage plus ou moins arrangé par la mère de Nadine.
Le mariage fut un échec, le mari fut vite fatigué de baiser une femme qu’il qualifia de frigide, et le divorce eut lieu quelques années après la naissance de Brigitte.
Depuis, ayant rangé sa sexualité au fond de sa mémoire, elle consacrait toute sa vie à sa fille et à son travail.
Nadine arrête la valse de ses doigts sur son sexe. Le souvenir de ces années d’internat, qui restent parmi ses plus beaux souvenirs de sa vie l’a mis dans un état indescriptible. Il y a très longtemps qu’elle ne s’est pas trouvée aussi excitée. Elle s’est masturbée comme une folle, se faisant jouir plusieurs fois. Le drap sous ses fesses est trempé. Elle reprend sa respiration, repensant à Brigitte et Sylvie en train de se gouiner.
Que faire se demande t’elle ? Elle n’a pas de réponse et de toute façon, difficile de fustiger la conduite de sa fille alors qu’elle même a fait les même choses bien plus jeune, à l’âge de treize ans.
Elle se lève, va faire un brin de toilette et se recouche, ne tardant pas à tomber dans un sommeil de plomb.
Le lendemain, le réveil sonne pour tout le monde. Et pour toutes les trois, le réveil est difficile pour cause d’abus sexuels.
Il se trouve que les deux filles doivent être au cours à neuf heures, la même heure que Nadine et elles prennent donc leur petit déj en même temps.
Nadine donne de coups d’œil furtifs à Sylvie et Brigitte, découvrant des cernes sous les yeux fatigués. Elle trouve également beaucoup de complicité dans les regards qui se croisent.
Brigitte soudain dit à sa mère :
-Maman, je te trouve fatiguée ce matin. Tu as mal dormi ?
La question est innocente mais quand on connaît la raison pour laquelle Nadine est fatiguée ça prête plutôt à sourire.
-En effet je me suis endormie assez tard. Mais il me semble que toi aussi tu as du mal à émerger non ? Et je parle aussi pour Sylvie.
Les deux jeunes filles rougissent tout en s’esclaffant, gênées. La conversation tourne court pour le bien être de toutes.
Nadine dépose les deux filles au lycée, et s’en va au travail.
Dans la journée, les deux copines reviennent sur la remarque de la mère de Brigitte, remarque qui, en réfléchissant ne semble pas si anodine que cela. Après discussion, elles décident de rester tranquilles, du moins chez Brigitte.
Le soir donc elles font un tour chez Sylvie et se gouinent copieusement dans la grande villa vide avant de rentrer souper et dormir chez Brigitte.
Vendredi arrive enfin pour Sylvie qui, bien qu’appréciant les charmes de son amie, se sent frustrée. Elle pense très souvent à la grosse queue de son père, c’est même le sujet favori des deux filles.
Brigitte, elle, voit arriver ce jour avec un peu de tristesse.
-Je ne te verrais plus le soir à partir de maintenant.
Sylvie veut rassurer son amie, surtout qu’elle a un projet en tête dont elle ne veut pas parler pour l’instant, mais dont elle espère la réalisation.
-Mais si on se verra, je te le promets.
Et, sans vouloir en dire plus, passe à autre chose.
Ce vendredi soir donc, Sylvie embrasse son amie, et lui dit au revoir.
Elle rentre chez elle et s’aperçoit que la porte n’est pas fermée à clef. Son père serait il déjà rentré ?
Le cœur battant elle entre au salon, voit l’attaché case de son père posé sur un fauteuil. Heureuse elle le cherche, ne le trouve pas en bas et monte l’escalier quatre à quatre. Se dirigeant vers la chambre de Charles, elle ouvre la porte doucement et entend aussitôt le bruit de la douche. Elle décide de l’attendre et s’assoit sur le fauteuil.
Enfin le bruit de l’eau s’arrête et bientôt elle voit son père arriver tout en finissant de s’essuyer.
Surpris, il sourit en apercevant Sylvie qui se lève. Charles lâche sa serviette et lui tend les bras. Sylvie vient s’y jeter. Ils s’embrassent passionnément pendant un long moment, puis, se détachant :
-Je ne savais pas que tu arrivais si tôt.
-J’ai pu prendre un avion plus tôt que prévu, j’avais hâte de te retrouver.
Sylvie abaisse son regard vers le braquemart qui bande superbement.
-En effet, je vois.
Et sa main vient étreindre le membre monstrueux dont elle a été privée toute la semaine. A nouveau elle s’extasie devant la dureté mais en même temps la douceur de cette bite. Cette bite qu’elle désire, qu’elle veut dans sa chatte qui elle le sent, se met à couler rien qu’à l’idée des instants magiques qu’elle va revivre.
Elle lâche le membre et en un tour de main se déshabille sous les yeux de Charles qui n’en perd pas une miette.
Elle se retrouve nue et à nouveau se jette dans les bras musclés qui l’accueillent. Mettant une main sous les belles fesses, il l’emmène sur le grand lit accueillant. Ils roulent dessus, les mains touchent, caressent le corps de l’autre. Charles qui a posé une main en conque dans l’entre jambe de Sylvie s’aperçoit qu’elle est trempée.
Sylvie meurt d’impatience de recevoir ce chibre qui vibre dans sa main. Elle le branle avec furie.
-Je la veux ! Mets la moi, je t’en prie ! J’ai trop envie ! Baise moi !
Charles ne peut résister à autant de fougue. Se mettant en position entre les jambes déjà largement ouvertes et relevées de Sylvie, il vient d’abord exciter le clitoris dressé avec son gland violet de désir.
La fille est folle de désir, elle veut qu’il rentre.
-Vas-y ! Pénètre moi, enfonces toi !
Et prenant la bite dans sa main elle présente celle ci devant son trou humide et largement ouvert. Son autre main, posée sur les reins de Charles attirent celui ci qui se retrouve planté dans le con largement lubrifié. Les talons de Sylvie martèlent les fesses de celui qui commence à la pistonner.
Les cris de Sylvie s’élèvent et s’amplifient très vite.
-Ah oui ! Ah comme c’est bon ! Ah oui ! Oui ! Ah comme elle m’a manquée ! Ah oui ! Je viens, je viens ! Ahhhh !
Et Sylvie jouit comme une folle sous les coups de boutoirs de son père qui lui aussi se déchaîne. Il sent la jouissance arriver à toute vitesse et il se vide en poussant des Ahhhh de plaisir lorsque les cris de Sylvie se sont presque tus.
-Moi aussi ! Tiens ! Tiens prends salope ! Oui encore ! Tiens ! Tu sens mon jus qui te remplit ?
-Oui ! Ah oui ! Ah je sens bien ! Ah mon dieu quelles giclées ! Ah ouiiii ! Ouiiii !
Enfin les deux amants se calment, reprenant lentement leur souffle, heureux.
Toujours soudés par la queue magnifique en train de ramollir, ils continuent à s’étreindre, leur respiration se calmant peu à peu.
-Tu t’es rasé les poils ma chérie. Pourquoi donc ?
Sylvie est prise au dépourvu, hésite à répondre. Charles s’aperçoit de son trouble.
-C’était juste une question, ça n’a pas beaucoup d’importance.
Sylvie décide de lui raconter.
-Je vais tout te dire. Mais d’abord tu te rappelles notre conversation avant ton départ au sujet que nous étions libres d’avoir des amis, je veux dire des, heu …, disons des partenaires ?
-Bien sur ! Alors tu as trouvé un petit ami, formidable ! Raconte-moi, tu veux bien ? J’adore.
-Heu, ce n’est pas un petit ami, mais…. une petite amie.
Sylvie regarde fixement Charles en disant cela, un peu inquiète de la réaction.
-Une petite amie ! Super ma chérie, c’est encore plus excitant ! Vas y raconte moi je t’en prie.
Rassurée et excitée à la fois par la réaction de Charles et par les souvenirs, elle raconte tout du début à la fin.
Charles l’écoute avidement, les yeux brillants tout en caressant doucement le corps de sa fille. Le récit des turpitudes des deux amies l’excite terriblement, et il bande de nouveau comme un âne, prenant garde à ne pas l’exciter trop par ses caresses. A la fin elle aussi est terriblement excitée par les caresses et la vue du membre exposé complaisamment à sa vue.
-Et voilà, je t’ai tout dit, absolument tout. On dirait que ça t’a plu dis donc !
Cela dit en reportant les yeux sur la hampe magnifique.
-Et comment ! Je n’en espérais pas tant quand je t’ai proposé de faire ta vie. Mais je ne la connais pas, comment se fait il ?
-Tu sais bien, avec l’ambiance qui régnait ici, je passais tous mes loisirs chez elle, je t’en ai parlé avant que tu partes. Tu as du la voir une ou deux fois mais sans t’en rendre compte.
Et tout en fixant son père intensément :
-Veux tu que je te la présente ?
Le regard de Charles répond pour lui. Il la fixe au fond des yeux, puis :
-Qu’en penses tu ?
Reportant une fois de plus son regard sur le chibre qui palpite intensément, elle dit :
-Je pense que tu es d’accord pour la rencontrer, je me trompe ?
Il semble que la queue de Charles gonfle encore à l’idée qui trotte dans sa tête, surtout qu’il est sur que sa fille désire la même chose.
Il la prend dans ses bras, lui demandant :
-Qui a le plus envie que je la voie, toi ou moi ?
Avec un grand sourire vicieux, Sylvie répond tout en se serrant encore plus dans les bras de son père.
-Disons que j’en ai autant envie que toi je pense.
Un baiser passionné leur ferme la bouche. Les mains caressent le corps de l’autre.
Se séparant, il lui demande :
-Mais elle, elle est au courant ? Je veux dire elle est d’accord pour faire des folies à trois ?
-Je ne lui ai pas posé exactement la question, mais crois moi elle en a envie. Il fallait voir son visage quand je lui ai parlé de ta queue. Elle m’a demandé une foule de détails, non je suis sure qu’elle en meurt d’envie.
-Super ma chérie, en attendant tu as remarqué l’état de ma bite, elle n’en peut plus d’attendre. Suce moi, j’en ai une envie folle, elle n’a pas été sucée depuis mon départ.
Sylvie s’allonge sur le lit, et prend le membre dans sa bouche. Elle retrouve avec plaisir l’odeur qui se dégage de cet endroit. Odeur d’homme qui l’excite encore un peu plus. Charles ronronne de plaisir, il plie les genoux pour remonter les jambes bien haut, jambes qu’il a largement écartées. Se soulevant un peu, il glisse un oreiller sous ses fesses, exposant ainsi non seulement ses couilles énormes mais également son anus.
Sylvie, appuyée sur les coudes, malaxe les grosses boules une à une, griffant le scrotum de ses ongles.
-Ah oui ! Ah tu as fait des progrès. Oui caresse moi bien sous les couilles. Oui comme ça ! Descend encore, j’adore.
Sylvie caresse de plus en plus bas. Ses doigts descendent jusqu’à l’anus dont elle distingue très bien la rosace froncée. Elle laisse un doigt courir autour du petit trou, déclenchant une réaction de plaisir chez Charles.
-Oui, caresse moi là ! Oui, comme ça ! Plus fort ! Rentre ton doigt un petit peu !
Sylvie obéit. Son majeur d’introduit doucement dans le trou qui s’ouvre sans problèmes. Charles respire de plus en plus fort. Visiblement il adore cette caresse.
-Oui, plus profond ! Encore ! Branle moi avec ton doigt !
Le doigt s’enfonce et se retire dans le cul qui apprécie. Charles respire de plus en plus fort sous la double caresse.
-Ah que c’est bon ! Que c’est bon ! Ah je sens que je vais bientôt remplir ta bouche de salope ! Plus fort ! Branle ! Branle ! Ah oui ! Ah oui, ça y est ! Tiens ! Tiens ! Prends ! Prends ! Ahhhh !
Et il se déverse dans la bouche accueillante en poussant des rougissements de plaisir. En même temps il a pris sa bite en main, trouvant que Sylvie n’allait pas assez vite, continuant à se vider les couilles. Sylvie qui a du mal à suivre, dégurgite le plus vite qu’elle peut mais le sperme coule à la commissure de ses lèvres, allant jusqu’au menton. Enfin Charles arrête sa branlette effrénée. Prenant le visage de sa fille entre ses deux mains, il l’attire vers lui. Elle lâche le membre luisant de salive et de sperme mélangés, retire son doigt du cul et se jette vers son père. Un baiser les réunit, Sylvie s’empressant de refouler de sa bouche le jus qu’elle n’a pas avalé.
Le baiser dure longtemps. Charles est heureux, satisfait du plaisir que sa fille lui a donné, alors que celle ci, au contraire est dans un état d’excitation intense.
-Tu m’as bien caressé tu sais ! Tu es une vraie petite salope maintenant !
-Oui, mais la petite salope a envie de jouir, regarde !
Et portant ses deux bras en arrière sur le lit, elle soulève son cul, exhibant sa chatte trempée aux yeux de Charles qui est ravie de cette vue. Les jambes largement écartées ont ouvert les grandes lèvres, le clitoris bandé est bien visible en haut des nymphes.
-Approche toi, viens t’asseoir sur ma poitrine.
Se levant, comme il lui a demandé elle vient s’assoir sur le torse de Charles. Celui ci se régale du parfum qu’exhale la chatte de la fille en rut, assoiffée de caresse.
-En effet, il faut faire quelque chose. Quelle fontaine ! Je sens que je vais me régaler !
Et joignant le geste à la parole, il pose ses lèvres sur le con trempé, déclenchant des rugissements de bonheur de la part de Sylvie.
La belle rue dans tous les sens, fouillée en profondeur par la langue experte de Charles. Elle jouit à répétition et de temps en temps, son père relâche un peu la caresse. Sa langue se promène alors autour des lèvres gonflées de désir, attendant que la jouissance se calme pour ne pas irriter les zones sensibles, puis doucement il revient et sait qu’il peut continuer lorsqu’il s’aperçoit que les cris de plaisir redoublent d’intensité.
Cela dure longtemps. Plusieurs fois Sylvie l’a supplié d’arrêter, que c’était trop fort, qu’elle devenait folle de plaisir, qu’elle allait s’évanouir, mais Charles a continué. La chatte de Sylvie, tout au moins les grosses lèvres déjà proéminentes en temps normal ont doublé de volume, c’est du moins l’impression de Charles qui ne peut se résoudre à la lâcher. La mouille qui en sort est toujours aussi bonne et par moments, quand elle jouit, des petites giclées atterrissent dans sa bouche, le récompensant de ses efforts.
Par moments il prend le clitoris dressé, violet, entre ses lèvres et le branle doucement, tout en lui donnant des petits coups de langue.
A un moment, elle n’y tient plus, ne se contrôle plus, elle ne contrôle plus son corps et à la énième jouissance, au moment ou sa vulve irritée par les décharges à répétition délivre une mouille épaisse et odorante, ses sphincters se relâchent. Sa vessie se libère et Charles reçoit sur la figure et dans la bouche un jet d’urine tiède et odorante.
Surpris, il arrête tout doucement sa caresse, laissant le liquide mordoré continuer à lui arroser la figure.
Les cris de la belle jouisseuse s’arrêtent enfin. Charles la repousse et la laisse tomber sur le lit ou elle s’écroule, morte de plaisir. Les draps, leurs corps sont souillés par la pisse de Sylvie, vidée au propre et au figuré.
Il la regarde tendrement. Les yeux sont fermés, les traits tirés et sa respiration courte. Il lui caresse doucement la joue, la laissant récupérer. Après un long moment elle ouvre un œil, regarde son père.
-Jamais j’aurai imaginé que c’était possible de jouir autant. Tu m’as tuée, littéralement.
Elle bouge un peu, fait une grimace.
-Aie, j’ai la chatoune en feu.
Elle s’assoit péniblement, écarte les jambes et regarde son sexe. Les grandes lèvres sont enflées démesurément. Les muqueuses, apparentes sont de couleur violette.
Elle y porte la main, pousse un petit cri.
-Je ne peux plus y toucher.
Charles est embêté, mais se veut rassurant.
-Demain il n’y paraitra plus. Tu as trop joui, c’est de ma faute, tu m’en veux ?
-Tu sais bien que non. C’était trop bon. En attendant je vais me faire une toilette.
Sylvie se lève et se dirige vers la salle de bains, avançant avec difficulté, les jambes écartées, ce qui fait bien rire Charles.
-Moque toi de moi en plus !
Charles l’accompagne, elle s’assoit avec précautions sur le bidet et s’asperge d’eau tiède après avoir rempli la cuvette. Elle s’enduit d’une crème douce après s’être séchée et ils reviennent dans la chambre.
Ils se rhabillent et descendent préparer le dîner.
Le dîner terminé, ils ne tardent pas à aller se coucher, chacun dans sa chambre comme le suggère Sylvie.
-Tu comprends, je crois que j’en ai eu assez pour aujourd’hui et si je vais avec toi, je ne suis pas sure de ne pas être tentée.
Après un tendre bonsoir, ils vont dormir.
Le lendemain, samedi, Charles se lève, prépare le petit déjeuner et va faire quelques brasses à son habitude.
Sylvie se lève bien après et vient lui dire bonjour.
-Comment tu vas aujourd’hui ?
-Tu parles de moi en général ou de ma petite chatoune ?
-Des deux ma chérie.
-Mieux, je ne sens presque plus rien. Bon, ben je vais prendre mon petit déj.
Charles prend le journal et s’installe sur un transat. Sylvie vient le rejoindre et tous les deux restent alanguis sous le beau soleil. Au bout d’un moment elle se lève, se dirige vers la villa.
Elle revient au bout d’un certain temps, s’allonge à nouveau près de son père.
-Tu n’as rien contre le fait que Brigitte vienne déjeuner avec nous ? C’était ça ou elle allait chez sa grand mère en compagnie de sa mère.
Charles, souriant se tourne vers sa fille et lui répond :
-Non, tu sais bien que non. Par contre il va falloir préparer le repas.
-Ne t’inquiète pas, elle va venir bientôt et on va le préparer toutes les deux.
Charles ne répond pas, enchanté de la tournure des évènements.
Vers 11h, la sonnette d’entrée retentit, Sylvie se lève.
-Ce doit être Brigitte.
Et elle se dirige vers la porte d’entrée. C’est Brigitte en effet. Sylvie l’accompagne jusqu’au transat de Charles qui se lève en les voyant arriver.
-Voici Brigitte, mon père adoré.
Spontanément, Charles et Brigitte s’embrassent. La détaillant rapidement, Charles se rend compte que la fille est très belle. Son regard se porte rapidement sur les formes généreuses qui s’offrent à ses yeux éblouis. Elle a mis une robe ultra courte, très légère et on voit tout de suite qu’elle ne porte pas de soutien gorge. Charles a toujours aimé les femmes pulpeuses et il est enchanté de ce qu’il voit.
Sylvie le rappelle un peu à l’ordre.
-Bon, on te laisse, on va préparer le repas.
Elles tournent le dos et Charles porte son regard sur les fesses bien rondes, mais apparemment bien fermes. Il est évident qu’elle porte un string (à moins qu’elle ne porte rien du tout ?) car aucune marque n’apparaît sur les rondeurs enserrées par le léger vêtement.
Ses yeux ne quittent pas le beau cul jusqu’à ce qu’il disparaisse dans la villa. Charles s’allonge à nouveau, émoustillé. Son sexe bandé était coincé et il l’installe confortablement dans le short.
Rêveur, il se demande avec intérêt comment les choses vont se passer, puis il se dit qu’il faut faire confiance à Sylvie.
Au bout d’un moment, à moitié assoupi sous les chauds rayons du soleil, des lèvres douces se posent sur les siennes.
-Tu viens mon papa chéri, le déjeuner est prêt.
Il ouvre les yeux, découvre le regard amusé de sa fille. Il la suit et s’installe confortablement à la table disposée à l’intérieur de la tonnelle, à l’ombre.
Les deux amies ont en effet préparé un sympathique repas léger et ils se régalent tout en devisant agréablement. Il découvre une Brigitte d’abord un peu timide, rougissante pour un oui ou un non, puis, en découvrant un homme agréable, disert, elle se libère peu à peu, se mettant à rire à gorge déployée sous les plaisanteries de plus en plus salées que lance Charles.
Le vin rosé, servi à volonté, déride de plus en plus les deux filles qui se mettent elles aussi à lancer des plaisanteries de plus en plus polissonnes.
La fin du repas arrive, les filles débarrassent la table. Charles va s’allonger sur un transat, curieux de connaître la suite des opérations, mais faisant toute confiance à Sylvie pour cela.
Il se laissa caresser par les rayons du soleil, finit par s’assoupir.
Au bout d’un moment il se réveille, réalise que la villa est bien calme. Il dresse l’oreille mais doit se rendre à l’évidence, les filles ne se trouvent plus dans la partie basse de la villa. De là a supposer qu’elles se trouvent en haut il n’y a qu’un pas. Il attend encore un moment, puis se décide d’aller voir.
Pieds nus il rentre à l’intérieur, il ne s’est pas trompé, personne ne s’y trouve. Il monte l’escalier et arrivé sur le palier, se dirige vers la chambre de sa fille. Il n’y est pas encore arrivé qu’il entend des gémissements étouffés.
Il continue, arrive à la porte de Sylvie qui est entrouverte. Il repousse légèrement le battant et a une vue sur le grand lit.
Celui ci est juste dans l’alignement de la porte et Charles a une vue sur un cul superbe dont il sait immédiatement que ce n’est pas celui de sa fille.
Les deux vicieuses sont en train de se brouter le minou en position de 69 et les fesses somptueuses de Brigitte qui se trouve dessus sont fièrement exposées, largement écartées par les mains de Sylvie qui est en train de se régaler. La raie culière de Brigitte est pratiquement vierge de poils et la petite rosace est bien apparente. Charles se débarrasse de son short encombrant et se rapproche du lit. Se positionnant derrière le beau cul écartelé, il ôte doucement les mains de Sylvie qui, relevant les yeux, s’aperçoit de la présence de son père. L’accueillant d’un sourire dans les yeux, elle le laisse faire. C’est au tour de Charles de caresser la petite rosace. La peau est douce comme une peau de bébé, le petit trou réagit à sa manière en poussant vers lui comme si la fille poussait sous l’effet d’une envie naturelle.
Les gémissements de Brigitte s’intensifient. Au bout d’un moment Charles, n’y tenant plus pose ses lèvres sur le petit orifice dont les fronces violettes sentent habitées d’une vie propre. D’abord Brigitte réagit en poussant des gémissements plus forts qui se transforment en cris, ayant lâché apparemment la chatte de Sylvie sous l’intense plaisir puis, réalisant que Sylvie ne possède qu’une langue :
-Que se passe t’il ? C’est trop bon ! Ah mon dieu, c’est trop bon ! Que se passe t’il ?
Sylvie intervient, quittant un instant le sexe qu’elle dévore depuis un moment.
-Laisse toi faire ma chérie, c’est mon papa chéri qui est en train de te bouffer le cul. Dis-nous si tu aimes ma petite salope adorée.
-Oui ! Ah que c’est bon ! Que c’est bon ! Oui, continuez, n’arrêtez pas ! N’arrêtez pas ! Ahhh !
Brigitte est en plein délire érotique, cette double caresse est trop forte, elle ne peut se retenir.
-Oui ! Oui, je viens ! Je jouis ! Oui ! Oui ! Ahhhh !
Et elle jouit comme une folle tout en continuant à être léchée par les deux vicieux, Sylvie récupérant une mouille abondante dans sa bouche. Enfin les deux suceurs arrêtent quand les cris de bonheur ont cessé.
Brigitte roule sur le coté, dégageant Sylvie qui se relève et vient près de son amie, Charles faisant de même.
La belle jouisseuse récupère sous le regard des deux autres. Gênée, Brigitte se réfugie dans les bras de Sylvie, tournant le dos à Charles. Sylvie comprend sa gène.
-Sois pas timide ma chérie, tu savais bien que ça allait finir comme ça non ?
-Oui, bien sur, mais je m’attendais pas à ça.
-C’était bien ou pas ?
-C’était heu…., super.
Enfin elle se tourne vers Charles et son regard tombe automatiquement sur la bite tendue. Celle ci frétille, bandée à mort, excitée par la scène qu’ils viennent de vivre. Ses yeux s’agrandissent d’abord, sa bouche s’ouvre, incapable de dire un mot tout d’abord. Puis :
-C’est…, c’est pas croyable, c’est pas vrai !
Charles et Sylvie, amusés la regarde.
-Tu vois ce que je t’avais dit, tu voulais pas me croire. Vas-y, tu peux la toucher tu sais.
Brigitte a toujours les yeux fixés sur le braquemart monstrueux. Timidement, elle avance la main, enroule ses doigts autour de la tige sans pouvoir en faire le tour. Au bout d’un moment, elle imprime un léger mouvement de va et vient, branlant doucement la bite.
-Qu’elle est dure ! Dure et douce à la fois.
-Tu l’aimes ?
C’est Sylvie qui a parlé. Elle se sent un peu frustrée, s’étant occupée de faire jouir son amie, elle n’a pas joui. Sa chatte est trempée, elle sent la mouille qui dégouline entre ses fesses. Elle s’allonge à coté de Brigitte.
-Viens papa, viens me mettre ta grosse queue, j’ai pas joui moi, toi non plus d’ailleurs.
Disant cela elle écarte largement les jambes, exposant sa cramouille largement lubrifiée aux yeux des deux autres.
-Viens ! Je veux que Brigitte nous voie faire l’amour, ensuite tu la prendras.
Charles qui n’en peut plus lui non plus n’hésite pas, il se place à genoux, la queue près de la vulve ouverte. Prenant son vit dans sa main droite, il commence à en frotter le gland entre les grandes lèvres, le lubrifiant au contact du jus abondant qui continue de couler, s’attardant sur le bouton dressé.
Sylvie est impatiente, crie, supplie son père de la pénétrer. Enfin, jetant un coup d’œil à Brigitte qui regarde la scène avec des yeux exhorbités, il enfonce son membre dans l’orifice qui ne demandait que ça.
-Oui ! Ah enfin ! Enfonce-toi ! Défonce-moi la chatte salaud ! Ah que c’est bon ! Ah oui !
Et Charles, d’abord à coups lents et profonds, puis de plus en plus vite pour ensuite ralentir quand les cris sont trop forts, baise sa fille sous les yeux dilatés de Brigitte. A cause du désir qu’ils avaient tous les deux, augmenté par le fait d’être observés par Brigitte, le plaisir monte très vite. Charles essaye de se retenir, mais il n’en peut plus. Il sent que ses couilles vont se vider très bientôt, d’autant que Sylvie jouit déjà.
-Ah oui ! Je viens ! Enfonce toi plus fort ! Plus fort ! Oui ! Ah oui ! Ahhhh !
Charles se libère lui aussi sous les contractions de la chatte en folie.
-Tiens ! Tiens prends salope ! Tiens encore ! Encore ! Encore ! Ahhhh !
Il se couche enfin sur Sylvie qui reprend sa respiration après le plaisir intense. Ils récupèrent doucement. Tournant la tête vers Brigitte, Sylvie demande :
-Alors, ça t’a plu de jouer les voyeuses ?
Brigitte rougit un peu, mais plus de désir que de gène pense Charles.
-Heu, oui, c’est beau.
-Et je parie que ça t’a donné envie, je me trompe ?
Brigitte ne répond pas, mais son regard parle pour elle.
-Fais voir ta chatte, je veux voir si tu es mouillée.
Aidée par la main impatiente de Sylvie, Brigitte écarte ses jambes, s’assoit face aux deux autres qui, toujours soudés admirent le spectacle. La chatte est en effet bien humide, les muqueuses brillantes de mouille se voient bien dans l’ouverture des grandes lèvres bien ouvertes.
-Regarde cette salope comme elle a envie.
Charles se régale lui aussi, sa bite qui a à peine ramolli se tend de nouveau devant cette vue. Sylvie s’en rend compte.
-Et dis donc tu bandes à nouveau !
-Je n’ai pas de mal, quand je vois une chatoune prête à être baisée, je n’y tiens plus. Surtout quand il s’agit d’une chatte que ma bite ne connaît pas encore.
Disant cela il se retire. La bite monstrueuse, enduite de mouille et de sperme mélangés n’est pas entièrement bandée mais presque.
-Attends, je vais t’aider, et puis j’ai envie de la nettoyer.
Sylvie s’allonge et prenant la bite en bouche, commence à la sucer de belle manière. Le braquemart est bien dressé à nouveau. Sylvie la relâche, admire son travail, puis, regardant son amie :
-Tiens, suce la toi aussi, prends la dans ta bouche avant qu’elle te régale la chatte.
Hésitant à peine, Brigitte s’allonge à son tour, la prend dans sa main et, ouvrant la bouche, l’introduit péniblement entre ses lèvres. Très vite elle la libère sous l’injonction de son amie.
-Vas y allonge toi, qu’il te la mette bien profond, à mon tour de regarder à présent !
Brigitte s’allonge tandis que Charles présente son vit devant le sexe ouvert.
-Faites attention, vous êtes si gros !
-N’aie pas peur, tu vas en redemander ! Et puis tutoies mon père, c’est la première fois que je vois quelqu’un dire vous à quelqu’un qui va la baiser.
Charles caresse comme il l’a fait à Sylvie les nymphes humides. Brigitte se détend, elle pousse de soupirs de plus en plus profonds, tout en ne quittant pas des yeux la belle bite qui va la perforer.
-Vas y baise la maintenant, elle n’attend que ça la petite salope ! Vas-y !
Charles, présentant son gland à l’orée de la chatte, force à petits coups sur les grandes lèvres. Il sent que celles ci s’ouvrent de plus en plus. Il pousse un grand coup, ce qui la fait pénétrer de quelques centimètres, se retire.
Brigitte crie un grand coup, surprise par la taille du petit monstre qui la pénètre.
-Ahhh ! Mon dieu qu’elle est grosse ! Doucement ! Ah non ! Oui ! Non ! Ahhh ! Encore.
Charles la perfore à petits coups, attendant qu’elle ait bien accepté son membre.
Brigitte crie à gorge déployée à présent.
-Ah oui ! Ah que c’est bon ! Que c’est bon ! plus fort ! Plus profond ! Baise moi ! Oui ! Oui !
Charles la pénètre à grands coups de boutoir à présent. Brigitte, folle de plaisir jouit déjà.
-Oui ! Oui ça y est ! Oui ! Je viens ! Je jouis ! Je jouis ! Ahhhh !
Charles a du mal à la tenir tellement elle rue sous le plaisir intense. Il ralentit sa cadence jusqu’à ce qu’elle émerge partiellement de sa jouissance, puis reprend une allure plus forte, ralentissant de temps en temps, l’amenant une deuxième fois au paroxysme du bonheur.
-Mon dieu que c’est bon ! Que c’est bon ! Je vais jouir encore ! Je vais jouir ! Ahhhh !
Et Brigitte jouit en criant sous le regard émerveillé de Charles et Sylvie.
-Regarde comme elle prend bien son pied ! Vas-y papa, continue, fais la jouir encore ! Regarde comme elle aime ta queue.
Sylvie se penche sur son amie, happe un sein dont les tétons sont dressés et commence à le mordiller. Une main prend l’autre et le malaxe, roulant entre son pouce et l’index le bout très dur. Brigitte repart une fois de plus sous ces caresses qui la rendent folle. Charles sent le plaisir arriver à grande vitesse et regarde le visage de Brigitte, suivant la montée de la jouissance. Il pistonne la belle de plus en plus vite et de plus en plus fort. De nouveau elle est prête à partir une fois de plus.
-Ah mon dieu ! Ah oui ! Ah oui ! Ah que c’est bon ! ah oui ! Oui ! Prends ! Prends ! Ahhh !
Elle jouit pour la troisième fois, roulant sa tête de droite à gauche, ne sachant plus ou elle est, ce qu’elle fait, hurlant à pleins poumons son plaisir.
Charles ahane de plus en plus, il n’en peut plus de se retenir.
-Ah ! Oui ! Tiens prends ! Prends salope ! Prends ! Je te remplis la chatte ! Ahhhh ! Ahhhh !
Et Charles se répand à grandes giclées dans le con trempé qui fait des bruits de succion obscènes en sortant tandis que des bruits comme des pets se font entendre quand il s’enfonce dans ce puits accueillant.
Enfin il s’arrête, les couilles vides, restant planté bien au fond de ce réceptacle, laissant dépasser une dizaine de centimètres de queue luisante de mouille.
Sylvie regarde les deux baiseurs, émerveillée.
-Que c’était beau ! Comme tu l’a bien baisée ! Et quel pied elle a pris la salope !
Et elle embrasse son amie qui tente de reprendre ses esprits, d’un baiser profond sur les lèvres. Brigitte ouvre des yeux cernés de mauve et sourit, d’un sourire épuisé mais heureux. Elle regarde Charles, puis son amie, puis :
-Mon dieu ! C’était bon ! Jamais j’aurai cru que l’on pouvait jouir autant !
Sa poitrine aux seins dardés vers le plafond se soulève à un rythme accéléré. Charles sort son sexe gluant de la chatte pleine de mouille et de sperme mélangé. Le braquemart, bien que ramolli est encore impressionnant et Brigitte le regarde d’un air émerveillé.
-Mon dieu qu’elle est belle !
-Et qu’elle est bonne non ?
C’est Sylvie qui a parlé. La séance de baise entre son père et son amie et surtout son rôle de voyeuse l’excitée au possible et la vue de la bite dégoulinante sortant du con détrempé lui a donné des idées de luxure.
-Nettoie lui la bite ma chérie, il adore ça, tu vas voir !
Et, empoignant le vit encore agité de pulsations, elle attire Charles vers Brigitte. Celui ci se met à genoux, portant son corps en avant, présentant son braquemart
aux lèvres de Brigitte toujours allongée. Le sexe qui ramollit s’incurve assez pour que celui ci puisse se présenter devant la bouche qui le happe.
Sylvie les regarde faire un petit moment puis, passant derrière les fesses de son père, elle vient s’allonger entre les jambes de son amie et, lui remontant les jambes bien haut, elle commence à se régaler avec le jus qui coule de la cramouille grande ouverte.
Sylvie se régale à la source jusqu’à la nettoyer complètement, puis abandonne sa position. Son père a lui aussi changé de position et se trouve allongé auprès de Brigitte qu’il caresse tendrement. Brigitte reste ainsi, alanguie, les jambes écartées impudiquement, offrant à ses partenaires le spectacle d’une fille repue qui savoure la plénitude de son corps offert aux deux voyeurs qui admirent l’abandon de ce corps merveilleux.
Ils décident d’aller se rafraîchir à la piscine après avoir bu une boisson fraîche. Ils plongent et nagent, appréciant le contact de l’eau sur la peau nue. Remontant, ils s’écroulent chacun sur un transat, se faisant sécher par les derniers rayons du soleil couchant.
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