Marie a repris la lecture du journal d'Agathe, son arrière grand mère, "pensionnaire" de la maison close, le Chabanais. la vie d'une fille de joie des années 1920 avec ses clients "réguliers"
Proposée le 22/05/2020 par ELECTRA
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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: Inclassable
Type: Roman
Marie s’est installée confortablement dans son lit et , le journal d’Agathe entre les mains, elle entame la lecture du quatrième récit écrit par son arrière grand-mère
Monsieur Charles
Voilà bien un de mes fidèles « réguliers »monsieur Charles, le docteur, la cinquantaine, dégarni et un peu bedonnant. Avec lui tout est réglé comme du papier a musique. Tous les mardi , comme sa bourgeoise est partie chez sa mère,il est la a 15 heures tapante.Je connais ses habitudes par cœur, madame Louise m’appelle, il commande du champagne et assis sur un canapé , il me parle, en caressant mes cuisses, de ses petits tracas quotidien.
Pour la gaudriole aussi , c’est toujours la même chose, la même chambre, et ...les mêmes positions. Un missionnaire et une levrette, sans oublié que je dois lui crier qu’il baise comme un étalon et voila il est content !
Mais un jour il a fait a madame Louise une demande un peu particulière, m’invitez au restaurant et passer l’après midi chez lui, sa femme étant absente plusieurs jours.
Ce n’est pas courant que nous nous déplacions chez un client, mais comme monsieur Charles est un vieil habitué, elle a accepté moyennant finance évidement.
Madame Louise ma prêté une robe de sa garde robe, une robe très belle, mais très classique, car ici au Chabanais, nous sommes plutôt en petite tenue !
11h30 Je suis a l’heure et lui aussi. Il est venu en voiture ! On n’en voit pas beaucoup.
C’est une Citroën Type B2 décapotable ( j’aime ce nouveau mode de déplacement) jaune pétante ! Il est un peu surpris et ravi que je m’y connaisse un peu en véhicules automobile, c’est rare en 1923.
Monsieur Charles ne s’est pas foutu de ma tronche, il a réservé dans le meilleur restaurant de la ville !
Ça fait tout drôle que l’on m’appelle « Madame » et que l’on ait de égards pour moi. Je découvre aussi un autre visage de Monsieur Charles, un vrai Gentleman ! Au petit soin et très gentil.
Après cet excellent repas, Monsieur Charles ma conduite chez lui, Je me suis dit , ça va être comme d’habitude, un coup ou deux puis fini ! Mais je me trompais !
Elle est superbe la baraque, au fond d’une allée dans un grand parc, stationnées devant quelques voitures, mais comme je suis un peu pompette, je n’y prête pas attention. Monsieur Charles m’invite a entrer.
Mazette, Monsieur Charles a du goût et de l’argent !Je le suis, au fond du couloir une grande double porte, il l’ouvre et toujours aussi courtois, me fait entrer.
La pièce n’est éclairée que par quelques chandeliers. Dans la pénombre, je distingue une croix de st André dressée au milieu de la pièce et plus loin un chevalet. Sur les murs de nombreux râteliers garnis d’ « objets » bizarres.
Monsieur Charles a refermé la porte a clé derrière moi ! Mais je ne suis pas seule, deux hommes , torses nus, habillés de pantalons de cuir et cagoulés apparaissent dans la faible lumière.
Je n’ai pas le temps de réagir et crier ne sert a rien, les volets sont fermés, me voila a leur merci ! Ils m’empoignent , me déshabillent brutalement.Les yeux bandés, je suis attachée a la croix. Sans un mot, l’un d’eux s’approche , et accroche une pince a chacun de mes tétons . Ohh ! Quelle drôle de sensation, un peu douloureux mais en même temps ça m’excite ! Un fouet claque sur mon ventre, sur les seins, la chatte, je serre les dents.Je découvre que j’aime ce nouveau plaisir mélange de douleurs et de plaisirs ! Hummm !!
les coups de fouet pleuvent!a chaque fois, un peu plus de plaisir !
Soudain , je ressent une présence devant moi, un souffle sur ma peau, des mains, une bouche, une langue qui me lèche, qui s’ insinue entre mes lèvres trempées. Oh c’est bon !!
Et puis on me pénètre,d’un coup, mon corps tressaute sous les va et vient brutaux de l’homme qui me défonce encore et encore ! il enlève mon bandeau et surprise, celui qui me prend ainsi n’est autre que monsieur Charles !Sacré monsieur Charles, il cachait bien son jeu !
Il m’a reconduite au Chabanais, je lui ai dit avec un regard coquin « A mardi ! » Il m’a sourit « je suis impatient » Et les mardis n’ont plus étés les mêmes !!
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