Histoire Erotique

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Charles et Sylvie, suite

La suite des aventures de Sylvie avec Charles, père déclaré de Sylvie mais non biologique.

Proposée le 20/03/2017 par alain06

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Ce lundi Sylvie n’a cours qu’à partir de dix heures et elle fait donc la grasse matinée, se souvenant vaguement que son père est venu lui dire au revoir très tôt ce matin. Elle s’étire dans son lit, se remémorant les évènements avec émotion, puis enfin se lève, prend un petit déjeuner rapide, une bonne douche et s’apprête à partir lorsque le téléphone sonne.
C’est son amie Brigitte, qui lui demande comment s’était passé le week end. Surprise, elle entend Sylvie lui dire que c’était formidable. Sylvie se rend compte de l’étonnement de son amie et réalise au même moment que l’enterrement de sa mère était vendredi. Elle coupe court aux questions de Brigitte.
-Je t’expliquerai, je ne peux rien te dire au téléphone. A tout de suite. Et elle raccroche, laissant Brigitte interloquée.
Elles se retrouvent devant l’entrée du lycée et s’embrassent. Sylvie et Brigitte sont deux vraies amies, ne se cachant rien, ni de leurs aventures, ni de leurs états d’âme et Brigitte la regarde du coin de l’œil. Elle s’attendait à trouver son amie triste, s’était même demandé comment lui faire oublier ce deuil et voila qu’elle retrouve celle-ci en pleine forme, comme une personne qui aurait passé un merveilleux week-end d’amour. Car c’est bien de ça qu’il s’agit, elle en est sure. Ce genre de choses, les femmes le sentent, le devinent, on ne peut pas le cacher.
Elles sont en retard et elles entrent, Brigitte reste sur sa faim durant tout le cours qui se termine à midi.
Elles ont un break jusqu’à quatorze heures et sortent du lycée pour aller manger un sandwich dans un bistrot tranquille un peu plus loin. Le lieu est assez chic et donc relativement cher, ce qui explique qu’il n’y ait pas foule bien que près du lycée.
Elles commandent et Sylvie, voyant l’impatience de son amie, vient se placer à coté d’elle pour lui faire ses confidences. Elle a pleine confiance en Brigitte et n’hésite pas à lui raconter les évènements du week-end sans oublier le plus petit détail.
Brigitte, émoustillée n’en croit pas ses oreilles. Toutes les deux pouffent de rire très souvent, excitées au possible. Brigitte est aussi blonde que Sylvie est brune. Elle est très belle également, de taille identique, la poitrine est volumineuse, plus importante que celle de Sylvie mais très ferme malgré tout et la plupart des garçons louchent dessus. Les hanches sont très arrondies avec des fesses bien rebondies. Chacune connaît bien le corps de l’autre car Sylvie prend souvent la douche chez son amie en sa compagnie après s’être baignées dans la piscine. Bref, Brigitte c’est Sylvie en blonde avec un corps plus potelé.
Brigitte, tout comme son amie n’a jamais rencontré de garçon capable de la faire parvenir à la jouissance dont toutes les filles rêvent et demande des détails à Sylvie qui ne se prive pas de lui donner. Brigitte est un peu sceptique lorsqu’elle évoque le sexe de son père. Certes elle connaît bien Sylvie et celle ci n’a pas l’habitude de lui raconter n’importe quoi, mais cette fois elle a l’impression qu’elle est en plein délire.
-Je t’assure, elle fait plus de vingt centimètres et d’une grosseur incroyable. Tiens, regarde, tu vois ma main, je n’arrive pas à en faire le tour.
Et Sylvie, mettant sa main comme si elle y tenait un sexe, montre le diamètre.
-Tiens, oui comme ça, tu te rends compte !
Et les questions repartent. A la fin il faut quand même partir et toujours en parlant du même sujet, bras dessus, bras dessous, ils repartent vers le lycée.
A dix sept heures les cours sont terminés et les deux amies repartent.
-Tu viens chez moi comme d’habitude faire les devoirs ?
Brigitte ne veut pas lâcher son amie, Sylvie le sent bien et puis, elle non plus n’a pas envie de rester seule.
-OK, on y va.
Brigitte, heureuse, accélère le pas. La villa de sa mère se trouve à moins d’un kilomètre du lycée et ils y parviennent vite. Pour l’instant la maison est vide, la maman de Brigitte, cadre dans une grande banque travaille souvent très tard le soir. Les parents de Brigitte ont divorcé il y a très longtemps et son père a refait sa vie, elle ne le voit pratiquement plus. La pension alimentaire qu’elle reçoit régulièrement plus son salaire permet à sa mère et elle de vivre confortablement dans cette grande maison. Elles montent immédiatement à l’étage ou se trouve la chambre de Brigitte. Celle ci est très grande et confortable et elles jettent leurs sacs dans un coin. Sylvie s’affale sur un fauteuil et regarde son amie. Celle-ci lui propose d’aller se baigner. Sylvie acquiesce. Passant la plupart de ses loisirs chez Brigitte, elle a depuis longtemps ses habitudes et entre autre elle y laisse en permanence quelques affaires dont un maillot de bain.
Elle se lève et enlève sa robe légère qu’elle passe par-dessus ses épaules. En dessous elle ne porte qu’un léger soutien gorge et un string. Se dépêtrant de sa robe, elle s’aperçoit que Brigitte lorgne sur son entre jambes. Celle ci voit que Sylvie s’en est rendu compte et rougit un peu. Sylvie est un peu troublée, d’abord par le regard nouveau de son amie et le fait qu’elle rougisse. A son tour elle regarde Brigitte qui se déshabille également. Son amie est en sous vêtements et elle peut contempler ses formes généreuses.
Les seins volumineux ressortent du soutien gorge. Brigitte est un peu complexée par ses formes, se trouvant trop grosse. Toujours rougissante, elle demande :
-Tu ne trouves pas que je grossis ?
Sylvie est attendrie par cette question qu’elle a entendu des dizaines de fois sans y prêter vraiment attention. Mais cette fois elle se sent troublée. Ses yeux ne quittent pas le corps exposé, Brigitte attendant le verdict avec inquiétude. Elle se rapproche de son amie.
-Mais non voyons, tu es bête, tu es magnifique au contraire.
-Mes seins grossissent encore, regarde, il va falloir que j’achète la taille au-dessus.
Tout en disant cela, elle a porté ses mains sous ses seins qu’elle soupèse, les faisant remonter, accentuant encore leur volume. Ils semblent prêts à sortir des bonnets ou manifestement ils sont à l’étroit.
Sylvie est de plus en plus troublée. Elle se trouve tout contre Brigitte et a les yeux portés sur les globes majestueux. Sans réfléchir, elle porte les mains dans le dos de sa copine et, prestement dégrafe le soutien gorge. Brigitte ne se formalise pas, elles se sont déjà vues nues, et bien qu’un peu surprise par le geste, elle enlève complètement le léger vêtement. Les globes imposants, totalement libérés à présent, tombent un peu et oscillent doucement sous le nez de Sylvie qui sent son trouble augmenter. Toutes les deux ne disent rien et Brigitte, semblant attendre quelque chose, laisse tomber les bras le long du corps, regardant son amie. Sylvie regarde Brigitte au fond des yeux. Ce qu’elle y lit ressemble sinon à un acquiescement, à un abandon total.
Elle tend les mains vers cette poitrine exposée et les pose dessus. Tout doucement elle les caresse, en faisant lentement le tour. Les pointes durcissent et elle les titille doucement entre ses doigts. Brigitte a ouvert un peu la bouche et respire plus fort. Sylvie accentue sa caresse, elle est surprise de la dureté et de l’élasticité des seins malgré leur volume. Elle reporte son regard sur son amie. Celle-ci, le teint rougi, a les yeux à moitié fermés et respire plus fort. Elle approche sa tête de celle de son amie, lui embrasse les lèvres. Brigitte se laisse faire, répond à son baiser d’une manière qui ne laisse aucun doute sur son émoi. Leurs langues se mélangent et leurs bras enserrent leurs corps. Elles restent ainsi un long moment puis Sylvie, se détachant, regarde Brigitte en souriant d’un air canaille :
-Viens, allons sur ton lit.
Et elle l’entraîne, Brigitte suivant sans difficultés. Arrivées près du lit bas, Sylvie retire son soutien gorge, puis sa culotte. Brigitte la regarde faire puis, après un instant d’hésitation retire elle aussi ce qui lui reste de vêtement. Toutes les deux se jettent sur la couche accueillante.
Elles se contemplent, examinant leurs corps qu’elles connaissaient déjà, mais d’une manière différente cette fois. Toutes les deux sentent que quelque chose est en train de se produire.
Brigitte ne peut détacher son regard de l’entrejambe de son amie. La touffe épaisse qui remonte très haut sur le ventre, s’incruste dans les aines et enfin disparaît dans l’étau des cuisses fermées la subjugue.
-Je n’avais jamais remarqué que tu avais autant de poils, c’est incroyable.
Sylvie sourit. Elle est assez fière de sa toison, surtout depuis que son père lui a dit qu’un cul poilu est un cul chaud, ce qui pour elle semble être vrai au vu de la révélation des derniers jours. Elles sont allongées l’une à coté de l’autre, Brigitte à la gauche de Sylvie qui, tout en souriant d’un air vicieux, plie le genou, remontant sa jambe droite, tout en l’écartant. La raie culière s’expose largement. Les poils sont là aussi abondants et continuent bien au-delà, disparaissant hors du regard incrédule de Brigitte.
-Et ben dis donc ! Jusqu’ou ça va ?
Brigitte se tourne sur le coté, se mettant le corps à quatre vingt dix degrés par rapport à son amie, écarte les deux jambes et s’assoit en arrière sur ses coudes. Dans cette position, son sexe se trouve en face de Brigitte qui continue à fixer les yeux sur cette toison.
-Comme tu es poilue, ça continue dans la raie.
Sylvie, continuant le jeu qui l’excite de plus en plus, s’allonge complètement et, mettant ses mains sous ses cuisses, remonte ses jambes complètement sur sa poitrine, exposant de manière obscène ses fesses bien rondes.
Brigitte a les yeux hors de la tête. L’impudeur de la situation la rend muette. Elle fixe le cul de sa copine, les deux globes bien dessinés, séparés par la raie bien profonde remplie de poils qui remontent derrière, vers la colonne vertébrale. Elle regarde également le sexe qui ressemble à une grosse figue éclatée avec ses deux grosses lèvres en relief, bien visibles malgré la toison.
Elle distingue aussi le petit trou qui l’émeut encore un peu plus.
Sylvie reste comme ça, suivant la transformation du visage de son amie. Elle y voit nettement l’émoi initial se transformer en un désir qu’elle ne peut dissimuler, la bouche ouverte, les yeux troubles.
-Tu aimes voir mon cul on dirait, hein ma petite salope !
Brigitte semble revenir sur terre, rougit un peu plus puis :
-C’est, heu… c’est beau, c’est…
-C’est excitant, c’est ça ?
-Heu oui, c’est la première fois que je vois ton, heu tes…
-C’est la première fois que tu vois mon cul et ça t’excite, c’est ça que tu veux dire ?
Brigitte hésite à peine.
-Oui, ça me fait tout drôle, c’est vrai.
-Alors fais comme moi, moi aussi j’ai envie de voir ton cul.
Brigitte regarde son amie puis, se mettant dans la même position que son amie, expose à son tour ses fesses.
Les poils sont beaucoup plus rares dans la raie, beaucoup plus aérés. Néanmoins elle a, pour une blonde une assez belle toison qui remonte au dessus de l’anus. Les poils blonds ont des reflets couleur champagne. Les deux restent ainsi quelques minutes, admirant la moindre parcelle de peau de l’autre. La chatte de Brigitte est très visible et bien gonflée, les grandes lèvres paraissent très allongées aux yeux de Sylvie. L’anus aux couleurs violettes est lui aussi bien en vue, contrairement à celui de Sylvie qui est en partie caché dans l’épaisse toison.
Sylvie est la première à bouger. En se relevant elle effectue une rotation, elle vient mettre sa tête près des fesses de son amie qui ne bouge pas, toujours dans la même position semblant attendre le bon vouloir de son amie, comme si, tacitement elle laissait entièrement l’initiative à celle-ci.
C’est la première fois que Sylvie, elle aussi, voit un sexe de femme exposé à sa vue, livré à son bon vouloir et son excitation redouble. Elle pose ses doigts sur la vulve gonflée. Doucement elle les promène, effectuant une rotation lente. Elle jette un coup d’œil à son amie. Celle-ci a fermé les yeux, semblant apprécier la caresse. Les jambes s’écartent un peu plus et le sexe s’ouvre lui aussi, découvrant des muqueuses nacrées enduites de rosée en même temps qu’une bonne odeur de femelle vient lui chatouiller les narines. Brigitte ronronne comme une chatte à présent et Sylvie n’y tient plus. Elle s’allonge complètement et approche son visage du sexe de Brigitte. Une odeur forte sort du con entrouvert. Enivrée par ce parfum qu’elle respire pour la première fois, elle pose ses lèvres sur cette chatte qui la rend folle de désir.
-Ah que c’est bon ! Ah oui ! Ah oui continue ! C’est si bon ! Ahhhh !
Des petits cris de plaisir sortent de la gorge de Brigitte qui le souffle de plus en plus court sent une jouissance qu’elle ne connaissait pas monter en elle.
-Ah oui, c’est trop fort ! C’est trop bon ! Je vais jouir ! Tu vas me faire jouir ! Oui ! Oui ça vient ! Oh oui ! Ah ça y est ! Tiens ! Tiens ! Prends ! Ahhhh !
Et Sylvie se libère avec des cris de plaisir tandis que sa copine recueille la mouille dont elle se régale. Elle ne cesse sa caresse buccale que lorsque les cris se sont arrêtés. Elle relève alors un peu la tête, regarde la belle vulve qu’elle vient de porter à la jouissance, ouverte montrant un clitoris bien dressé sur le haut des petites lèvres à présent bien en vue.
Elle rampe sur le lit pour se rapprocher de la tête de son amie qui a toujours les yeux clos. Elle l’embrasse sur la bouche tendrement, Brigitte répond à son baiser, mélangeant leurs langues.
Elles se détachent et se regardent en riant. Les yeux de Brigitte sont cernés de mauve.
-Alors ma petite salope, t’as aimé ?
-C’était fou ! Dingue ! Jamais j’aurais pensé que c’était si bon !
-On te l’a pourtant déjà fait non ?
-Oui, mais jamais comme ça, rien à voir ! Et toi on te l’a déjà fait ?
-Oui, mais jamais par une fille ! C’est la première fois, tu sais bien qu’on se dit tout non ? Tu le saurais.
Elle accompagne cette déclaration d’un regard vicieux sans équivoque. Brigitte comprend immédiatement.
-Allonge toi, je vais essayer de te faire autant de bien que tu m’en as fait.
Sylvie s’allonge, remonte les jambes très haut tandis que Brigitte s’allonge devant la chatte velue.
-Vas-y suce moi bien, écarte les poils que je sente bien ta langue.
Et elle même écarte les poils, ouvrant largement de ce fait ses grandes lèvres qui exposent des muqueuses déjà largement lubrifiées. Brigitte contemple un instant cette chatte pleine de mouille odorante, puis pose ses lèvres, goûtant ce jus exquis. Brigitte n’a jamais bouffé le con d’une femme de sa vie mais elle adore sucer ses doigts poisseux de mouille après s’être bien branlée. Elle se branle tous les soirs, elle ne peut s’en empêcher, c’est comme ça, et même si avec Sylvie elles se font des confidences et avouent se branler de temps en temps, elle n’a jamais osé dire qu’elle est folle de cette pratique, la préférant à la baise qui l’a jusqu’alors laissée insatisfaite. Sa langue se promène à l’intérieur des grandes lèvres depuis quelques secondes à peine que Sylvie montre son plaisir.
-Oui ! Ah oui, comme ça ! Ah que tu le fais bien ! Ah oui !
Brigitte continue de sucer les grandes lèvres, puis ses lèvres viennent se poser sur le clitoris bandé qu’elle trouve énorme par rapport au sien. Celui-ci est dressé, gros comme un haricot de bonne taille. Elle le prend entre ses lèvres et lui imprime un mouvement de va et vient, comme si elle faisait une pipe. Sylvie se démène dans tous les sens, criant son bonheur.
-Ah oui ! Continue comme ça ! Ah la salope ! Ah ouiii !
Une mouille de plus en plus abondante et odorante suinte du con et Brigitte n’en laisse pas échapper une goutte, le buvant avant qu’il coule dans la raie largement ouverte. Les bras de Sylvie sont passés à l’intérieur de ses jambes et elle les écarte et les tire en arrière, comme si elle voulait s’écarteler elle-même, essayant de s’ouvrir le plus qu’elle peut sous la caresse qui la rend folle de bonheur.
-Ah je sens que ça vient ! Oui je n’en peux plus ! Tu me tues ! Ah oui ! Ah oui ! Tiens ! Tiens prends ! Ahhhh !
Les derniers mots sont hurlés, la jouissance est trop forte. Elle se vide littéralement, remplissant la bouche de la belle vicieuse qui se régale. La sensation est trop forte également pour Brigitte. La jouissance de son amie, le jus qui coule dans sa bouche dont elle se rassasie, l’odeur de femelle en rut la rend dingue. C’est la première fois mais elle en retire un bonheur si intense qu’elle est elle aussi tout près de la jouissance lorsqu’elle s’arrête sur l’injonction de son amie qui le lui demande, la sensation étant trop forte.
Brigitte relève la tête, regarde le visage de son ami, visage ravagé par le plaisir.
Sylvie tourne un visage fatigué mais radieux vers son amie qui l’a si bien sucée.
-C’était super, ça n’a jamais été aussi bon, je te jure. Et toi tu as aimé me bouffer la chatte ? Sois franche.
-Oui, ah oui ! J’ai tellement aimé que j’ai failli jouir moi aussi. J’ai adoré.
-C’était si bon que ça ? Montre ta chatte que je vois si tu mouilles vraiment.
Brigitte s’assoit et, écartant les jambes, elle expose un sexe ruisselant aux yeux de Sylvie.
-C’est vrai ! Viens sur moi, je vais te sucer à mon tour et te boire ton jus.
Sylvie guide son amie qui vient s’asseoir sur le haut de la poitrine de Sylvie, complètement accroupie, ce qui met lui ouvre la chatte, l’exposant au regard lubrique de son amie.
Celle ci lui écarte le con déjà bien ouvert de ses deux mains, ouvrant le con de manière obscène, se régalant de la vue de cet endroit magique.
-Tu as un con super ma petite salope adorée, c’est bien vrai que tu mouilles. Je vais te le sucer, je vais me régaler de ta mouille, je veux que tu m’inondes la bouche.
-Oui ! Oui ! Ah oui vas-y, je n’en peux plus d’attendre ! J’ai trop envie que tu me suces ! Suces moi ! Suces moi !
Les derniers mots sont comme une supplique. Il est clair que la belle est toute prête à jouir et elle rentre dans un délire érotique qui ravit Sylvie.
Enfin elle pose sa bouche vorace sur ce sexe qui n’attend que ça.
Aussitôt Brigitte se met à crier de bonheur. Son buste se balance dans tous les sens, folle de bonheur.
-Ah enfin ! Ah comme c’est bon ! Oui ! Oui je n’en peux plus, j’ai trop envie ! Je vais jouir ! Je viens ! Je viens ! Tiens ! Tiens ! Ahhhh !
Et s’accroupissant encore, elle écrase sa chatte baveuse sur la figure de la belle salope qui continue de se régaler de ce divin nectar.
Brigitte s’écroule enfin sur la couche auprès de Sylvie qui la regarde avec des yeux émerveillés de belle salope.
Toutes les deux s’étreignent, Brigitte récupérant à son tour un peu de sa mouille sur le visage de son amie qu’elle nettoie à fond.
-Alors tu as aimé ?
-Non, j’ai adoré, tu as raison, c’était divin. En plus je te signale que pour moi c’était vraiment une première. Aucun des idiots que j’ai connus n’a osé me faire ça.
-On va rattraper le temps perdu ma chérie. Pour l’instant, malgré tout le liquide avec lequel tu m’as abreuvé, je boirai bien un peu d’eau moi.
Toutes les deux se dirigent vers la cuisine ou elles vont se rafraîchir. Brigitte regarde l’heure, il est dix neuf heures
-Bon on va prendre un bain quand même, mais attention, sage, ma mère ne va pas tarder à arriver.
Elles retournent dans la chambre, se mettent en maillot et vont plonger dans la grande piscine. Elles sont en train de s’asperger d’eau joyeusement quand la mère de Brigitte arrive. Elle va ranger sa voiture sous l’auvent et vient saluer les filles qui sont sorties de l’eau. Tout le monde s’embrasse. La mère de Brigitte, Nadine, adore sa fille et aime beaucoup Sylvie qu’elle reçoit très souvent chez elle, heureuse que Brigitte ait trouvé une amie avec laquelle elle s’entend aussi bien.
-Alors les filles, c’était comment le lycée aujourd’hui ?
Elles bavardent un instant, puis, les politesses terminées, Nadine monte se changer en disant :
-Tu restes dîner avec nous Sylvie ?
-Oui, si ça ne vous dérange pas bien sur
-Tu sais bien que non. Bon, ben à tout à l’heure, je vais faire un brin de toilette.
Et Nadine monte sous le regard des deux jeunes filles.
Nadine est restée très jeune de caractère et de corps. Sa démarche est élastique, ses hanches roulent pendant la montée des marches. Son allure est féline. Son corps est assez mince, et de derrière elle ressemble plus à une jeune fille qu’à une maman de quarante ans. Quand elle a disparu en haut de l’escalier, Sylvie dit :
-Tu as de la chance d’avoir une maman aussi jeune.
-Plains-toi ! Que devrai-je dire au sujet de ton père ?
Toutes les deux pouffent et elles se dirigent vers la chambre de Brigitte pour prendre une douche.
La douche est prise en commun, ce qui est prétexte aux attouchements, mais elles ne succombent pas à la tentation de reprendre leurs ébats, sachant que une fois commencées, certaines choses ne peuvent plus s’arrêter et la maman de Brigitte pourrait les surprendre.
Elles se sèchent, s’habillent et vont rejoindre Nadine qui est à la cuisine, préparant le repas.
Ensemble, elles s’affairent sous la direction de Nadine et se mettent à table.
La conversation tourne rapidement sur le décès de la mère de Sylvie. Celle-ci la met au courant en gros des relations qui existaient entre ses parents, ce que d’ailleurs Nadine savait. Rassurée sur le fait que la mort de sa mère ne la perturbe pas, la conversation tourne vite sur des sujets plus frivoles. Bien que l’atmosphère soit agréable, les deux filles sont heureuses lorsque la maman de Brigitte décide d’aller se coucher.
Après un dernier bonsoir, elles montent à l’étage. Il a été convenu que Sylvie dormira dans la chambre d’amis tout le temps que son père sera absent.
Brigitte s’arrête devant la porte de sa chambre, celle de Sylvie se trouve plus loin. Elle ne sait quelle attitude adopter, se dire bonsoir comme ça sur le palier ? Inviter sa copine à discuter un peu ? Cette dernière idée la tente mais elle n’ose pas, sachant au fond d’elle même comment cela se terminera. C’est Sylvie qui prend l’initiative une fois de plus.
-J’ai pas sommeil, et toi ?
La question est une invite à peine déguisée. Brigitte saute sur l’occasion.
-Moi non plus à vrai dire. Il faut que j’aille voir dans ta chambre si tu as tout ce qu’il te faut.
Et Brigitte suit son amie vers sa chambre. Arrivées dans celle-ci, Brigitte regarde l’état du lit, découvre qu’il est prêt à être utilisé, va dans la salle de bains, vérifie que serviettes et savon sont disponibles. Elle continue à regarder dans tous les coins, ne sachant quelle attitude adopter pour retarder l’échéance de la séparation, quand la lumière s’éteint. Surprise elle se retourne et ne distingue d’abord rien. Seule la clarté de la pleine lune éclaire à présent la chambre par la fenêtre ouverte. Elle sent une présence derrière elle, deux bras se referment sur son corps, les mains grandes ouvertes se posant sur ses seins, tandis que le corps de son amie se plaque sur son dos. Elles ne disent rien, Brigitte ne bouge pas. Les mains caressent un court instant ses globes majestueux, puis les abandonnent pour se poser sur ses épaules, faisant glisser les petites bretelles. D’un geste lent la robe est tirée vers le bas, mettant sa poitrine à nu. Les mains reviennent et se posent en conque sous les seins, remontent en un lent mouvement tournant, effleurant au passage les bouts déjà bandés. Les prenant entre ses pouces et index, Sylvie les étire doucement tout en les triturant. Brigitte relève la tête en fermant les yeux, et celle ci vient se caler sur l’épaule de son amie. Un doux murmure sort de sa gorge. Les bras de Brigitte se portent en arrière, ses mains viennent se poser sur les hanches de Sylvie, puis, glissent et enfin se posent sur des fesses bien fermes. Ses doigts se crispent, montrant son émoi à Sylvie qui accentue sa caresse. En même temps sa bouche se pose sur le bas du coup de Brigitte, là où la peau est si réceptive. Brigitte respire de plus en plus fort sous cette double caresse, ses doigts se crispent un peu plus sur les fesses de son amie.
Aucune des deux ne parle, comme si elles avaient peur de rompre le charme de cet instant magique. Sylvie n’arrête pas d’embrasser la nuque de son amie, la mordillant doucement par instants.
Un ronronnement de chatte en chaleur sort de la gorge de Brigitte. Sylvie a le bas du ventre collé sur le cul de son amie et exerce un mouvement tournant.
Lâchant le cul de Sylvie, Brigitte lui remonte la robe bien au dessus de la légère culotte. Ses mains s’incrustent à l’intérieur de celle-ci. C’est au tour de Brigitte d’entendre les soupirs de Sylvie. Les deux filles sont véritablement en chaleur, les caresses sont plus nerveuses, plus impatientes. Sylvie libère les deux gros seins tendus de désir, descend la robe de Brigitte, se décollant un peu pour faire tomber la robe par terre. Ses doigts se glissent à l’intérieur de la culotte, se posent sur la chatte. Le médius trouve très vite le clitoris depuis longtemps sorti de sa conque, bandant comme une véritable petite bite. Les ronronnements augmentent d’intensité, Brigitte ne peut plus contenir ses cris de plaisir qui sortent à présent de la bouche grande ouverte, tandis que sa tête ballotte de gauche à droite.
Sylvie a les doigts poissés de mouille, elle sent aussi son propre jus souiller sa mince culotte. L’instant est d’un érotisme rare. Toutes les deux sont à l’orée de la jouissance, une odeur forte de filles en chaleur se fait sentir.
Les jambes de Brigitte flageolent, elle n’en peut plus, c’est la première fois qu’elle va jouir debout et ses forces sont concentrées sur cette nouvelle jouissance qu’elle sent monter à toute vitesse, la faisant tituber.
Sylvie qui s’en est rendu compte la tient fermement de sa main gauche entourant le ventre de son amie et accélère son mouvement circulaire sur le clitoris. Elle aussi est toute prête de jouir mais elle veut amener Brigitte à se libérer d’abord. Tout en continuant sa branlette, elle lui murmure à l’oreille :
-Vas-y ma belle salope, jouis ! Je sais que tu es tout près.
-Oui ! Oh oui ! Que c’est bon ! Ne t’arrête pas ! Ne t’arrête pas je t’en supplie ! Ah oui ! Ah ça y est ! Ça y est ! Oui ! Oui ! Ahhhh !
Et Brigitte jouit, soutenue par son amie qui la mord dans le cou au même moment. Les jambes de Brigitte la lâche et elle se laisse tomber à genoux, toujours maintenue par la branleuse qui l’accompagne dans sa chute, lui évitant de se faire mal. Les doigts de Sylvie sont toujours en train de caresser la motte trempée de mouille. Doucement la jouissance arrive à son terme, Brigitte s’allonge de tout son long sur le sol, essayant de reprendre ses sens.
Sylvie, folle de désir se sent un peu frustrée. Elle se relève, se débarasse de sa culotte qu’elle jette au loin, s’accroupit sur le visage de Brigitte qui ouvre à peine les yeux.
-Tiens ! Moi aussi j’ai envie de jouir ! Tiens !
Et, se branlant à toute vitesse, la chatte grande ouverte tout près de son amie libère des petits jets de mouille comme un homme qui décharge.
-Tiens ! Prends ! C’est pour toi ! Je jouis ! Je jouis ! Ahhhh !
Et elle s’assoit complètement sur le visage de Brigitte qui boit le jus abondant, s’en mettant plein le visage.
Enfin Sylvie arrête sa masturbation, essoufflée. Brigitte continue de se rassasier avec le liquide odorant qu’elle a appris à aimer et dont elle se régale.
-Nettoie moi bien la chatte ma petite salope ! Tu aimes mon jus ?
Brigitte continue d’avaler la mouille qui coule toujours du sexe béant de son amie. Enfin, elle s’arrête.
-Oui ! Oui j’aime, et toi ?
-Moi aussi tu le sais bien ma petite chatte, écarte les jambes que je me régale à mon tour.
Et s’allongeant, elle s’affaire à nettoyer le con barbouillé de Brigitte qui soupire de plaisir sous les coups de langue de son amie.
A la fin elles se lèvent toutes les deux, plus ou moins titubantes et vont dans le cabinet de toilette. Elles procèdent, chacune à leur tour, et sous l’œil intéressé et luisant de stupre à leur toilette intime, comparant leur chatte, la grandeur de leurs lèvres intimes, leurs poils.
Parlant des poils et lui faisant remarquer l’importance de sa toison, Brigitte avoue :
-C’est vrai que ces poils, ça fait obscène et ça ne me dérange pas, c’est excitant. Mais j’avoue que pour te manger la chatte, c’est pas pratique, ça se met dans le nez, partout.
Brigitte a dit ça en riant, mais Sylvie reconnaît qu’il y en a beaucoup.
-Tu as raison, je vais me les tailler ou plutôt tu vas me le faire. Tu veux bien ?
-D’accord, mais si on remettait ça à demain ? Et puis ça nous fera un programme de démarrage non ?
Toutes les deux se mettent d’accord pour reporter l’opération à demain et elles vont se coucher, chacune dans sa chambre en se souhaitant bonne nuit d’un tendre baiser.
























Le lendemain elles prennent le petit déjeuner vite fait car elles sont presque en retard, la mère de Brigitte est partie depuis longtemps à son travail.
La journée se passe comme d’habitude, cours, breaks avec les amis, déjeuner à la cantine pour enfin se terminer à seize heures. Elles rentrent à pied et se rendent chez Brigitte.
Sérieuses tout de même dans leur travail elles font leurs devoirs, s’aidant mutuellement, puis se rendent à la piscine ou elles font quelques longueurs.
Enfin elles sortent de l’eau et se sèchent au soleil chacune sur un transat.
Elles décident de rentrer à l’intérieur, prendre une douche. Elles se lavent consciencieusement, faisant glisser avec volupté l’eau chaude sur leurs corps magnifiques.
Elles sortent de la douche, se sèchent et se retrouvent toutes les deux, un peu idiotes à savoir qui ferait le premier pas. C’est Sylvie qui entame le sujet abordé la veille.
-Tu te rappelles ce dont on a parlé hier ?
Brigitte ne répond pas mais son regard se porte instantanément sur le sexe velu de son amie.
-Je vois que tu te rappelles. Viens !
Sylvie se dirige vers la salle de bains, suivie de Brigitte.
-Tu as de la crème à épiler ?
-Oui, bien sur, dans ma chambre, j’y vais.
Tandis que Brigitte va dans sa chambre chercher le tube, Sylvie s’assoit sur le bidet, les fesses posées sur l’extrême rebord.
Brigitte revient, un tube de crème à la main, se dirige vers son amie. Ses yeux deviennent brillants à la vue de la position de son amie sur le bidet.
Celle-ci qui ne manque pas une occasion de s’exhiber, a écarté les jambes au maximum. Le bidet étant très bas, elle a ainsi la chatte crûment exposée, la raie du cul également.
Sylvie s’aperçoit de son trouble et en bonne vicieuse, en rajoute :
-Tu aimes la position ? Il faut bien que je me mette comme ça, car il faut m’épiler également la raie. Allez, au boulot ma petite !
Et, s’appuyant sur ses bras derrière elle, elle relève le buste, attendant que Brigitte opère.
Celle-ci s’est agenouillée devant son amie, dévisse le bouchon du tube. S’aidant d’une spatule, elle commence à tartiner les poils abondants avec la pâte. Sylvie la regarde faire avec intérêt, admirant sa belle poitrine et, plus bas le pubis.
Enfin Brigitte a fini, elles doivent attendre dix minutes comme indiqué sur le tube.
Sylvie est excitée. Elle regarde le sexe de son amie mais trop caché à son goût.
-Asseye toi et ouvre tes jambes, j’ai envie de voir ta moule.
Brigitte fait comme elle dit, elle s’assoit par terre et, s’appuyant en arrière sur ses deux bras, les jambes largement écartées, elle exhibe sa chatte au regard de Sylvie qui la regarde, les yeux brillants.
-Tu mouilles non ? Je vois que tu es toute humide, salope !
Brigitte ne dit rien, excitée, attendant la suite.
-Lève toi !
Brigitte se lève et s’approche de Sylvie sur son invite.
-Ecarte les jambes, j’ai envie de te sucer.
Brigitte, collée contre le visage de son amie, écarte les jambes au maximum, présentant son sexe humide à la bouche vicieuse de Sylvie. La langue de celle-ci entre en action, déclenchant aussitôt les soupirs de Brigitte. Celle-ci a posé ses mains sur la tête de la belle suceuse, avançant le bassin au maximum pour que la langue puisse bien lui fouiller la chatte.
Brigitte ne tarde pas à gémir. Son plaisir monte de plus en plus vite, elle sent qu’elle va jouir.
-Ah comme tu le fais bien ! Comme c’est bon ! Ah oui ! Toute la journée j’en ai eu envie ! Oui suce moi bien !
Sylvie sent le plaisir monter chez son amie. Elle a une autre idée. Elle lâche le con qu’elle est en train de régaler sous le regard réprobateur de Brigitte.
-Tourne toi, je vais te bouffer le cul. Vas-y !
Sylvie est impatiente devant l’hésitation de Brigitte.
-Vas-y, tourne toi et incline toi en avant, tu vas voir comme ça va être bon.
Brigitte fait comme elle dit, se penche en avant, mettant ses avants bras sur le porte serviette qui se trouve là à point nommé, posant sa tête dessus.
-Voilà, oui, comme ça, mets ton cul bien en arrière, cambre toi que je vois bien ta petite fleur.
La petite rosace est en évidence devant le regard vicieux de Sylvie. Humectant ses doigts, elle commence à en caresser le tour, insistant de plus en plus. Le cul de Brigitte s’approche de son visage, montrant son accord. Sylvie approche alors ses lèvres et sa langue durcie se pose sur l’anus qui se relâche.
-Ah que tu es salope ! Ah oui ! Ah oui bouffe moi le cul ! Ah oui !
Sylvie écarte de plus en plus le petit orifice à l’aide de ses pouces, rentrant l’extrémité de sa langue, fouillant le conduit de la belle qui commence à ruer de plaisir.
-Ah oui ! Ah oui ! Continue ! Rentre ta langue salope !
Sylvie s’interrompt un instant pour lui dire :
-Branle toi ma chérie ! Branle toi pendant que je te bouffe le cul.
Et Brigitte se branle tandis que Sylvie a repris sa caresse. Elle se grise du fumet qui se dégage de cet endroit, si agréable à bouffer.
Très vite les gémissements montent. Brigitte est toute prête de la jouissance maintenant.
-Oui ça y est ! Oui ça vient ! Ah c’est trop bon ! C’est trop bon ! Ouiiii ! Ahhhhh !
Et Brigitte jouit comme une folle, libérant un pet puissant dans le nez de son amie qui s’arrête de respirer pendant quelques secondes, ne s’attendant pas à ça, mais lui pardonnant instantanément, seule une superbe jouissance a pu déclencher cet abandon total.
Elle continue à lui bouffer le cul jusqu’à ce qu’elle s’aperçoive que la belle a cessé de se branler.
Péniblement, Brigitte se redresse, se retourne et regardant son amie d’un air émerveillé, elle se rapproche et l’embrasse. Les deux amies s’étreignent puis Sylvie lui rappelle :
-Bon, si on s’occupait de mes poils maintenant ?
Elles remplissent le bidet d’eau tiède. Sylvie est toujours installée sur le bidet, jambes largement écartées, attendant. Brigitte a compris que c’est à elle d’opérer. Empoignant la spatule, elle retire les poils et la mousse abondante. Quand le plus gros est parti, elle asperge le sexe et la raie du cul de son amie qui se laisse faire avec complaisance.
-Oui, lave moi bien ma salope. Lave moi, le cul. Oui ! Comme ça ! Ta main est douce. J’ai une de ces envies que tu me suces ! Tu peux pas savoir !
Brigitte asperge l’entre jambe de son amie, retirant les poils brûlés par le produit. Enfin le produit est complètement parti et toutes les deux admirent le résultat.
-Il en reste encore pas mal non ?
En effet, la raie est encore noire de poils.
-Bon on va recommencer. Attends je vais me mettre autrement.
Sylvie se lève, puis, se couchant à plat ventre sur le bidet, elle remonte bien haut ses fesses opulentes, exposant la raie velue et en bas, les lèvres charnues de sa chatte, enfin dégagées des poils qui l’encombraient.
-Vas-y, recommence, enlèves moi tout ce qui est dans la raie. Tu pourras bien me sucer après ma chérie.
Emoustillée à l’idée de lui bouffer le fion bientôt, Brigitte recommence son manège, mettant le reste du tube dans la raie. Elles attendent toutes les deux, Sylvie maintenant sa pose obscène, exposant ses deux hémisphères bien dessinés aux yeux plein de désir de son amie.
Le temps écoulé, Sylvie se rassoit.
-Allez, on y va ! Nettoie moi tout ça !
Brigitte, recommence l’opération précédente, retirant les poils qui s’accumulent dans l’eau à présent souillée. Après quelque temps, la main glisse librement sur le périnée, libre de tout poil.
Sylvie se lève alors, se sèche et, tournant le dos à son amie, fléchit le buste, exposant son cul sans gène aucune à Brigitte.
-Alors dis moi, comment il est mon cul ? Il reste quelque chose à enlever ?
Brigitte regarde ce cul qu’elle redécouvre. La raie est vierge de toute toison. Comme un cul de bébé, avec une peau lisse qu’on a envie de toucher. Ce qu’elle fait immédiatement, instinctivement, sans réfléchir. La peau est en effet douce au toucher et ses doigts s’attardent, allant du bas de la chatte dont on distingue maintenant très nettement les grandes lèvres renflées qui paraissent encore plus obscènes qu’auparavant, en remontant jusqu’au petit orifice bien en vue lui aussi sur lequel on a envie de s’attarder.
Sylvie s’impatiente. Son envie grandit, les doigts de son amie qui se promènent entre ses fesses nues l’excitent au maximum. Elle demande d’une voix de plus en plus impatiente :
-Alors, réponds moi ! Comment tu trouves mon cul ?
Enfin Brigitte semble un peu revenir sur terre, bien qu’elle ait joui récemment, ce spectacle la ravit et l’excite profondément.
-Je crois que c’est bon, il n’y a plus aucun poil, d’ailleurs tu dois te rendre compte avec mes doigts non ?
-Oui, c’est vrai, je veux voir par moi même, tu as un miroir ?
-Oui, attends.
Et elle va prendre un miroir dans un tiroir, le lui tend.
Sylvie pose le miroir par terre et, s’accroupissant juste dessus, elle l’oriente pour se regarder le cul. Elle semble ravie par ce qu’elle voit, se relève.
-Super, le terrain est prêt pour toi.
Ravie, Sylvie essaie entraîne son amie vers le lit, impatiente. Brigitte la retient.
-Attends, t’as vu l’heure ? Ma mère ne va pas tarder à rentrer.
Sylvie est déçue, mais Brigitte a raison, il faut être raisonnable. Les deux amies se mettent en maillot de bain et vont s’allonger près de la piscine.
Nadine ne tarde pas à arriver. Elle vient embrasser les filles et entre dans la villa.
Plus tard, après avoir préparé ensemble le repas, elles dînent toutes les trois.
Sylvie et Brigitte aident Nadine à débarrasser puis montent se coucher.
Arrivées en haut, Sylvie n’y tient plus. Arrivées dans la chambre de Brigitte elles se déshabillent prestement, s’admirant mutuellement puis Sylvie dit :
-Viens ma petite salope, maintenant tu peux me bouffer le cul sans être gênée par
ces vilains poils.
Elle se jette sur le lit, tendant les bras à Brigitte qui la suit et va se jeter dans ses bras.
Elles s’embrassent tendrement, puis :
-Vite, j’en peux plus
Elle s’allonge, prend un oreiller qu’elle glisse sous ses fesses, relève les jambes sur son corps. Brigitte s’allonge sur le lit, embrasse d’abord le con suintant de son amie. Une mouille épaisse s’est nichée entre les lymphes et ses narines sont tout de suite excitées par le fumet qui se dégage dès que les grandes lèvres s’ouvrent sous l’effet de l’écartement des jambes. Brigitte se régale d’abord de ce liquide. Bien vite ses lèvres descendent vers cette vallée nue à la peau si douce et si réceptive. Sylvie gémit de bonheur.
Brigitte, insidieusement descend de plus en plus bas, jusqu’à atteindre la petite rosace qu’elle voit distinctement palpiter, agitée d’une vie propre. Sa langue s’est fixée sur cet endroit sensible s’il en est
-Ah comme c’est bon ! Ah oui ! Ah oui comme ça !
Sylvie se pâme de bonheur sous la caresse. Jamais elle n’a ressenti pareille sensation, elle rue littéralement, ses jambes viennent frapper le dos de son amie qui accentue sa caresse. A l’aide de ses pouces elle écarte doucement la rosace. Faisant une langue pointue au possible, elle la vrille dans ce conduit. Sylvie est folle de bonheur. Elle crie littéralement, sa respiration se fait de plus en plus hachée, sa tête dodeline dans tous les sens sur le lit dévasté.
-Ah oui ! Ah oui ! Rentre ta langue ! Rentre ta langue ! Plus loin ! Plus loin ! Encore ! Ah j’en peux plus ! J’en peux plus ! Je jouis ! Je jouis ! Ouiiii ! Ahhhh !
Et dans un véritable hurlement, Sylvie jouit sous la caresse de son amie qui se régale de la mouille abondante. Tout le temps que le liquide sort de la chatte en folie, Brigitte suce, lèche, se régale de cette boisson naturelle qu’elle adore. Elle s’arrête enfin de lécher alors que Sylvie s’est arrêtée de crier depuis un moment déjà. Elle libère ce cul rassasié et redressant le buste, elle se porte au niveau du visage encore déformé par la formidable jouissance qu’elle a ressentie. Entrouvrant les yeux, elle attire cette bouche qui l’a si bien satisfaite pour l’embrasser.
Un long baiser les unit, qui dure longtemps. Les bouches se séparent, des petits baisers d’amour se pressent sur les visages, sur les yeux.
-Tu m’as fait jouir comme jamais ! Incroyable, démentiel, je te jure !
Puis, un soupçon lui vient à l’esprit.
-Dis moi, je n’ai pas trop crié ?
-Heu, je crois que si, mais n’aie crainte, ma mère dort de l’autre coté de la villa.
En fait Brigitte est un peu inquiète elle aussi, mais n’ose pas le montrer. Toutes les deux restent coites un moment, épiant le moindre bruit. Après un moment, rassurées de ne rien entendre, elles reprennent leurs caresses.
Brigitte, qui n’a pas joui s’allonge et Sylvie lui rend la pareille. La blonde ne tarde pas à jouir bruyamment.
-Oui ! Oui ! Je viens ! Je vais jouir ! Ah que c’est bon ! Ah que c’est bon ! Ahhhh ! Ahhhh !
Sylvie continue de lui bouffer la chatte qui déverse une mouille abondante jusqu’à ce que les cris s’arrêtent enfin.
Elles s’étreignent ensuite un long moment puis décident de dormir. Sylvie embrasse son amie sort de la chambre.
Elle se guide sans difficultés jusqu’à sa chambre sans allumer la lumière du couloir. Elle ouvre la porte de sa chambre et la referme sans faire de bruit, rassurée par le calme qui règne dans la maison.
Elle n’a pas vu que la porte de la deuxième chambre d’amis qui se trouve juste à coté de celle ou repos Sylvie était entrouverte.
Après un petit moment, cette porte s’ouvre et la mère de Brigitte regagne sa propre chambre.



Nadine referme la porte de sa chambre sans faire de bruit, rallume la lumière et se dirige vers son lit, songeuse et préoccupée. Tout en marchant elle se débarrasse de son pyjama qu’elle avait endossé lorsqu’elle avait entendu du bruit. Elle aime dormir complètement nue, ce léger vêtement ne lui sert que pour se déplacer dans la maison.
Retirant sa veste, son torse apparaît, ses seins ne sont pas très volumineux mais bien dessinés, plantés haut et en forme de pomme avec des bouts fins et très allongés. Son ventre est plat, une vie saine sans tabac ni alcool, ou si peu dans les grandes occasions, la fréquentation régulière d’une salle de sports lui a permis de conserver un corps élancé de jeune fille malgré ses trente neuf ans. Le bas du corps est très beau lui aussi. Des fesses bien rondes sans la moindre trace de cellulite, des jambes élancées. Elle se regarde dans la glace, se trouve belle et désirable. Son entre jambes est complètement épilé. Elle n’a jamais pu souffrir la présence de poils à cet endroit et une épilation définitive dans un institut spécialisé l’a débarrassée des séances régulières pénibles dont sont astreintes la plupart des femmes. Elle écarte légèrement les jambes devant la glace dont elle s’est rapprochée et admire cet endroit lisse comme une peau de nouveau né. De deux doigts de la main gauche elle écarte les grandes lèvres qu’elles a très proéminentes, bien en relief. Un clitoris énorme, bien dégagé de sa gangue de chair apparaît, fièrement bandé. Celui-ci fait bien deux centimètres, gorgé de sang par le désir. Doucement ses doigts le caressent, lui attirant des soupirs de bonheur. Elle l’abandonne et sa main descend, se barbouillant de mouille épaisse.
Les deux filles, tout à leurs ébats ne se sont pas rendu compte à quel point les bruits portent loin dans une maison calme et normalement endormie et Nadine se trouvait depuis le début à écouter des bruits dont elle pouvait imaginer sans peine la signification.
Cette situation de voyeuse, et qui plus est de voyeuse des ébats de sa fille avec sa meilleure amie l’a mise dans état d’excitation incroyable.
Elle se couche enfin, éteint la lumière et, écartant les jambes largement, ses mains s’affairent sur le clitoris qu’elle pince entre deux de ses doigts, le branlant comme une petite bite tout en se remémorant.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
bien écrit, bien relaté
Posté le 21/05/2017

Anonyme
très bon
Posté le 21/03/2017


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