Julie a enfin retrouvé son sex-friend Nicolas. Sauf qu'ils se trouvent tous les deux entre deux rayons de la B.U. et hésitent à passer à l'action.
Proposée le 8/02/2017 par go123
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Depuis plusieurs jours, mon copain m’agace. Je suis omnibulée par Nicolas, le nouveau qui travaille à la B.U. de ma Fac. Du coup, je n’ai plus trop envie de m’investir dans une relation avec Alex. Je repousse nos rendez-vous. Ce week-end, j’ai même prétexté une angine pour ne pas le voir. J’étais surtout épuisée de mes ébats avec ma copine Marine. Nous avions promis de ne plus en reparler mais j’y pensais encore lorsqu’arriva le lundi. Ce devait être le retour de Nicolas.
Ce matin-là, je passais un soin tout particulier à me préparer dans la salle de bain. Je vérifiais mon épilation et me maquillais avec délicatesse. Sur mon visage où pétillaient des petites tâches de rousseur, je ne passais qu’un peu de bleu sur mes paupières. Mes lèvres ne nécessitaient de rien pour être bien rouges et charnues. Je passais un petit débardeur qui laissait voir mes épaules mouchetées elles-aussi de tâches de rousseur. Ma jupe noire m’arrivait à mi-cuisse et je pris bien garde de ne rien mettre dessous. Il fallait se préparer à tout. Mes cheveux tombaient le long de mon cou et dissimulaient mes boucles d’oreilles. Je passais mes pieds dans des petites ballerines blanches et partais pour la fac.
La littérature grecque classique… Je devais rendre un devoir pour la fin de la semaine. Le second niveau de la B.U. était consacré aux lettres et aux langues. Je trouvais le rayon propre à la Grèce Antique. Plusieurs ouvrages avaient l’air intéressant. Toutefois, je m’arrêtais sur un titre provocateur et attirant : “La sexualité en Grèce antique, le genre en question”. Je sorti le petit livre du rayonnage et commençais à le parcourir. Il était question de la bisexualité des grecs et de leurs liaisons extra-conjugales avec des adolescents. M’étant moi-même rendu compte de ma bi-sexualité, je me plongeais complètement dans cette lecture captivante. Accoudée au rayonnage, je n’entendis pas les roues du chariot qui glissait derrière moi. Je laissais mes yeux divaguais sur les mots qui formaient de longues lignes envoûtantes. Je crois que la première chose qui se manifesta à mes sens fut son odeur. Il portait un parfum délicat et très masculin. Aussitôt, je me retournai, laissant mon livre sur les rayonnages, n’importe où. Il était là.
Je ne sais pas quelle tête je devais faire mais à mon avis, je dus rougir en un éclair car mes joues s’embrasèrent. Il me sourit en silence. Nos regards se croisèrent et je me penchai d’un coup tout près de lui, en me mordillant les dents :
Mais où étais-tu passé ? chuchotais-je.
Nicolas sourit et haussa les sourcils :
J’ai une vie !
Eh bien, il faudra la compter avec moi dedans…
Dedans je demande qu’à y être.
T’es vraiment un cochon !
A ce moment-là, deux filles nous frôlèrent et s’intéressèrent aux rayonnages qui nous faisaient face.
Rejoins-moi en bas, devant la réserve, chuchota Nicolas avant de pousser son chariot vers le bout de la travée.
Rien qu’à sa façon de marcher et de bouger ses belles fesses musclées, je sentis des fourmillement dans le bas-ventre. En gardant le livre que je tenais à la main, je descendis les escaliers et me retrouvai devant les grandes portes blanches de la réserve. Nicolas ouvrit la porte quelques minutes plus tard. Il me demande quel livres je voulais. Je lui présentais un papier avec un cote : “Je veux ta queue !” Il sourit et me dit de le suivre, sous le regard endormis de son collègue assis à l’accueil.
Nous pénétrâmes dans le magasin. Des rayonnages et des rayonnages s’étiraient sur toute la surface souterraine. Un éclairage blanc provenant des néons crachait sa lumière blafarde sur les piles de livres. Il marchait devant moi, son petit cul moulé dans son jean. Je me sentais de plus en plus excitée. Au bout d’un moment, il bifurqua dans une allée et je le suivis. Là, il me saisit par la taille et m’embrassa avec force, son corps musclé se pressant contre moi. Une chaleur m’envahie. Ses mains longues et épaisses se glissèrent sous ma jupe sans attendre. Lorsqu’il toucha mes cuisses et remonta vers ma chatte, il comprit que je ne portais rien. Son regard s’illumina. D’un bond, il me souleva et m’assit sur une petite table où trônait une lampe de bureau. Je me renversais en arrière, les jambes écartées. Il retroussa ma jupe et ouvrit largement mes cuisses. Ma chatte rose puait la mouille. Il jubilait.
Son visage s’approcha de moi. Il embrassa mes mollets, puis mes genoux, puis mes cuisses. Il se mit à lécher l’intérieur des cuisses et remonta jusqu’au pubis. Je frémissais d’envie. Il embrassa mon nombril percé d’un petit pressing. Puis, après avoir joué avec, il redescendit et se concentra sur mes grandes lèvres. Lorsqu’il pressa la première fois sa langue sur mon clito, je ne pus retenir un petit cris. Il était si doux. Sa bouche gourmande s’occupa de mon sexe en léchant mes lèvres et en tournant autour de mon clito. Je glissais en arrière sur la table progressivement en gémissant, en soufflant. Bientôt, je fus complètement couchée, mes jambes repliées et largement écartées pour lui laisser la place nécessaire.
Sa langue s'introduisit dans ma grotte chaude et humide. A ce moment-là, un petit râle monta de ma poitrine et je plongeais ma mains dans sa chevelure pour lui indiquer ce qui me faisait le plus vibrer. Il enfonça sa langue si profond que je sentais son frein chatouillais l’entrée. Je plantais mes ongles dans ses cheveux et gémissais doucement de plaisir. A mesure qu’il me léchais, je mouillais de plus en plus. Je sentais qu’il buvait à grosse lapée ma cyprine, ce qui m’excita encore plus. Je ruisselais. Il me donna des petites claques sur les cuisses et revint titiller mon clito. Ce que c’était bon ! Je sentais des vagues de plaisir m’envahir, me prendre et me soulever. Mes seins se durcirent aussi et je sortis mes tétons pointus pour les caresser pendant ce cuni magique.
Sans cesser cette offrande, il m’enfonça son index dans le vagin qui pressa ce doigt fin. Il testa des mouvements lents et doux, puis affirma plus sa cadence. Je soufflais de plus en plus et gémissais sans parvenir à me retenir. Bientôt, de me sentir limer comme ça, je poussais mes petits cris de jouissance.
Ah, ah ! Hin, hin, hin !.... hmmmmmm Hin, hin, oui oui, ah ah… Hmmmmm ouuuuui !
Sentant que j’adorais, il me plongea trois doigts, le majeur et le pouce avec son index. Je jubilais. Cela me remplissait bien mais rien à voir avec sa queue donc tout rentra et je sentis mon vagin se contracter à plusieurs reprises ! Allais-je déjà jouir ? Il me plaqua son autre main sur la poitrine pour m’obliger à rester coucher. Cette domination soudaine finit de me faire chavirer. Mes spasmes furent violent et je sentis une décharge de plaisir m’envahir depuis le fond de mon vagin.
aaaaaaaAHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !
Mes cheveux m’aveuglait et mon regard glissa tant je prenais du plaisir. Cambrée, il mit fin à ma jouissance. Je restais essoufflée sur la table mais il en me laissa pas répis. Il déboutonna son jean qui tomba sur ses cuisses et sortit sa grosse queue bien dure de son boxer bleu nuit. Son gland était encore plus gros que la dernière fois. A croire que ce cuni l’avait excité comme jamais !
Sans autre préliminaire, il m’enfonça sa queue dans la chatte par un grand coup de rein qui me fit gueuler une fois encore sans retenu. Il tapa violemment au fond sans me ménager. Son deuxième coup fut plus fort encore et je fus projetée vers le bord de la table. Je m’accrochais alors à un pied, la tête en bas tandis qu’il me bourrait, excité comme une bête. Ses mains serraient mes chevilles et la table secouait en rythme. Je me maintenais difficilement tant il me prenait avec violence. Je sentais cette grosse bite se frayer un passage en moi et dévaster ma chatte à chaque coup. Je laissai monter des râles de plaisirs tant cette façon de me dominer était sauvage et jouissante. Il se foutait de moi à ce moment-là et il prenait son pied après m’avoir fait monter au septième ciel. J’adorais.
Ah ! Ah ! Ah ! Ah ! C’est… ça ! Prend…. moiiiiii ! Ah ! Ah Ah !
Nicolas lâcha ma jambe gauche et s'agrippa à ma droite la levant vers son visage. Tenant fermement ce cap, il me bourra encore plus vite. Son souffle se faisait de plus en plus fort. Il grognait et je comprenais que sa semence montait à vitesse grand V dans sa bite.
Noie-moi sous ton sperme ! Vas-y !!!
Il me regarda et fit non de la tête. Je ne comprenais pas. Il ne me laissa pas le temps de réfléchir. De ses deux mains, il attrapa ma taille, me retourna et me força à cambrer mes fesses en l’air.
Attends, qu’est-ce que ?..... AHHHHHH !
Je n’eus pas le temps de l’arrêter, il venait de rentrer sa bite énorme dans mon petit cul étroit. Bien qu’elle soit ruisselante de mouille, la douleur fut violente.
J’ai mal ! Ah ! AHHHH !
Il n’écoutait pas et pressait son sexe dans mon cul. Jamais je n’avais ressentis une telle sensation d’être remplie dans tous les sens. La douleur se partageait avec le plaisir de la soumission. Étonnant mais enchanteur. Cette étape ne dura pas longtemps malgré tout car il déchargea son gros calibre entre mes fesses après quelques coups bien placés. Il n’attendait que ça pour se lâcher. Ses mains attrapèrent mes fesses fermes au moment où il jouit. Je sentis son jus remplir mon cul. Une sensation étrange et agréable. En se finissant complètement, il me gratifia d’une claque et se retira. Je restais abasourdie par cette baise rapide et violente, le regard lointain. J’entendis qu’il remontait son jean et le refermait. Ses pas s’éloignaient et je réalisais qu’il me laissait là comme une salope usée jusqu’à la corde. Partagée entre humiliation et jouissance, je me relevais doucement pour m’asseoir sur la table. Un des pieds avait lâché avant la fin et elle tenait en appuie instable contre le mur. Je me sentais dévastée et épuisée. En mordillant ma lèvre, je me dis que jamais je n’avais autant pris mon pied en étant maltraitée. Hmm, à quand la prochaine fois ?
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