Julie ne quitte plus la B.U. afin de retrouver son amant mystérieux. Dans sa quête inassouvie, elle va tomber sur une surprise des plus agréable.
Proposée le 18/05/2016 par go123
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Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme
Voilà quinze jours que je n’ai plus vu Nicolas à la B.U. A croire qu’il était un rêve, une sorte de magnifique fantasme devenu réalité l’instant d’un battement de cils. Ces derniers jours, j’étais hanté par notre rencontre. Elle m’avait apporté tellement de joie et de plénitude que je voulais à tout prix recommencer. Mes rapports avec Alex, mon copain, étaient plus distants du coup. J’évitais un peu les rapprochements physiques, comme pour me garder - c’est fou ce que je vais dire - “pure” pour mon homme de la B.U. Alex étant très demandeur, je dus pourtant une ou deux fois le soulager en songeant à Nicolas.
Cette situation devenait de plus en plus intenable. D’abord parce que je ne prenais plus vraiment de plaisir au lit et puis parce que je ne parvenais plus à me concentrer sur mes révisions et mes cours. Bien que je passais beaucoup plus de temps à la B.U. qu’à l’ordinaire, je ne mettais pas vraiment à profit ces moments-là. Même avec les filles, je devenais distante, la tête ailleurs. Marine, une jolie brune aux yeux bleu, avec qui j’étais le plus proche, me demanda s’il s’agissait d’un gars. Je niais en bloc, prétextant le stress des examens (pourtant déjà passés). Je savais qu’elle n’était pas dupe. D’autant plus qu’elle savait que mes plans C avec Alex n’étaient pas exceptionnels. A force de trop en dire, il devient difficile de dissimuler quelque chose !
Ce Jeudi soir, pourtant, ma frustration et mon agacement allaient pouvoir trouvé un motif pour se décharger. J’étais véritablement énervée que Nicolas ne se soit plus manifesté et ait tout simplement disparu. J’en étais là de mes réflexions lorsque j’arrivais devant la porte du local des photocopieurs de la B.U. au quatrième étage. La porte était fermée à clef et la lumière éteinte. Exceptionnellement, la B.U. restait ouverte en soirée et ça m’étonnait qu’on ne puisse pas accéder aux photocopieurs. Je songeais à appeler un bibliothécaire de garde lorsque j’entendis des bruits provenant de la pièce close. Je collais alors mon oreille contre la porte et entendit nettement des souffles et des gémissements. Intriguée et amusée, je fis le tour du mur pour me rapprocher de la vitre teinté à mi hauteur. Des ombres semblaient bouger au travers. De plus en plus curieuse, j’attrapais un tabouret et montais dessus. A ce niveau, je pouvais voir ce qu’il se passait, le haut de la vitre n’étant pas voilée.
Quelle ne fut pas ma surprise en voyant qu’une fille se tapait un beau black sur la photocopieuse ! Dans la pénombre, je ne voyais pas tout, seulement le dos et les fesses du black qui se contractaient en rythme. Il n’y avait pas à dire, quel beau spectacle ! Je sentais un léger effet monter dans ma poitrine : une chaleur. Le couple bougea et je pus mieux voir le gars. C’était un troisième année que je connaissais de vu. Son torse musclé était magnifique : tablette de chocolat et pectoraux bien dessinés. Il faut dire qu’il me faisait vraiment de l’effet. Dans ma culotte en dentelle, ma petite chatte s'échauffait. Je m’étais épilée la veille, voulant me préparer au cas où je retrouverai Nicolas et de ce fait, je n’avais qu’un fin ticket de métro très clair.
Lorsque je vis enfin les fesses toutes blanches de la fille et distinguais le gros membre du gars y pénétrant, mon humidité se fit sentir. La frustration de quinze jours surgit et une bonne dose d’excitation brûla ma chatte. En glissant un doigt dans ma culotte, je touchais la cyprine qui glissait sur mes grandes lèvres. Sans lever les yeux du spectacle, je caressais délicatement mon clitoris qui gonflait doucement. Personne aux environs : je me calais bien contre le mur et dégustais le spectacle en tournant autour de mon clito du bout de l’index.
A cet instant, la fille glissa du photocopieur et le gars s’assit par terre. Elle s’approcha et décida de le chevaucher. Lorsqu’elle le monta, je la reconnu dans le clair-obscur ! Ludivine ! Une petite blondasse un peu bourgeoise de première année ! Sa peau très blanche tranchait sur celle de son gars. Son visage si dédaigneux, de petite poupée trop gâtée était en ce moment traversé par des spasmes d’excitation. La cochonne ! Eh dire qu’elle m’avait humiliée déjà lors d’un TD que j’avais donné à son groupe. Hmm, je pouvais peut-être me venger…
J’hésitais. Pour l’instant, je décidais de ne rien faire et de prendre mon pieds comme cette petite cochonne. Ses cheveux blond/blanc lui tombèrent sur les yeux tandis qu’elle se penchait pour mieux s’empaler sur ce gros chibre black. Elle était toute nue et seul un collier de perle lui fouettait le visage en rythme.
Hmmm, c’était trop bon ! Je plongeais un doigt dans ma chatte et commençais de doigter mon con.
- Ahhh, hmmmm, vas-y fais-toi prendre, Ludivine, allez, baise-le bien, chuchotais-je, hmmmm, ahhhh oui, comme ça !
Je passais mon autre main sous mon soutien-gorge, pinçant les tétons de mes beaux seins en 90 C. Je mordillais le bouts de mes lèvres et me laissais emporter par les vagues de plaisir qui montaient en moi. Je tournais autour de mon clito et puis appuyais dessus, titillant l’entrée de ma grotte et enfournant deux doigts d’un coup. A chaque instant, je m’imaginais traité comme une chienne par Nicolas. Ma culotte glissa complètement jusqu’à mes chevilles et mes fesses sous la jupe que je portais se frottaient contre le mur avec envie.
- Ohhh, hmm, allez Ludinive, cris un peu que je t’entende te faire baiser comme une chienne ! Ahhh, j’adore ça… Ouiiii, vas-y remue bien sur sa belle grosse bite ! T’es vraiment une salope !
Le black passait ses grandes mains sur les petites seins blanc de Ludivine et je vis son visage qui se contractait de plus en plus. Je me doigtais plus vite, sentant venir la jouissance. Mon regard se fixa sur le gars et je savais qu’il allait venir en elle comme un gros bourrin. Je m’excitais de ça. Ma main droite caressait mon corps et glissait entre mes cuisses. Je me donnais des petites tapes sur les fesses. Mon coeur accélérait et la chaleur envahissait ma tête tout entière. Accroupie, je pliais et dépliais les genoux pour accompagner le rythme des mes doigts. Mon vagin transpirait de mouille et j’en laissais tomber sur le tabouret.
- Hmmm, ouiiii, hmmmm, hin hin hin ! Prends-moi Nicolas, Prends ma chatte !
Je regardais à nouveau la scène. Le gars passait la vitesse supérieure et ne se gênait pas pour gémir. Sa voix roque portait jusqu’à moi. Au moment où il jouit, il cabra sa tête en arrière et je lâchais un râle de plaisir en glissant le long du mur pour me retrouver à croupis sur le tabouret. Je me sentais bien, totalement détendue et les cheveux ébouriffés.
Je remis ma culotte et me redressais pour voir où en étaient les deux amants. Je découvris alors que Ludivine avait enlevé la capote pleine et entamait une belle pipe pour poursuivre l’aventure. Cette garce avait le feu au cul.
- C’est bien, continue, continue, tu vas avoir une surprise.
Je descendis de mon tabouret et descendais à l’étage en-dessous. A la banque de prêt, l’une des bibliothécaires les plus râleuses assurait la permanence. Je lui dis que la porte du photocopieur était fermée. Étonnée, elle attrapa ses clefs et me suivit. Je pensais alors à quelque chose d’évident mais que je n’avais pas osé faire jusqu’alors :
- Excusez-moi, vous sauriez si Nicolas est parti ?
- Il était en stage dans une autre bibliothèque et doit revenir lundi, pourquoi ?
- Pour rien.
A ce moment, nous arrivâmes devant la porte du photocopieur et je pus éviter de trop de me justifier. La bibliothécaire surprise, entra la clef dans la serrure et ouvrit la porte. Nous tombâmes nez à nez avec les fesses de Ludivine qui suçait son homme. Les cris de la Bibliothécaire résonnèrent dans tout l’étage. Je jubilais intérieurement. J’avais eu ma revanche. Le visage de la petite garce apeurée me ravit.
Je sortis de la B.U. en attendant avec impatience le Lundi suivant.
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