Cette suite (longue mais chaude) accompagne les ébats de jeunes gens avides de nouvelles découvertes.
Proposée le 2/02/2017 par alain06
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Roman
Eliane se couche, repensant à cette journée. Les jambes bien écartées, une main sur sa chatoune gonflée par le désir, elle se caresse doucement, effleurant à peine son clitoris dur érigé. De l’autre, elle se caresse la poitrine.
Tout en se caressant, elle repense à sa journée et ce qu’elle a raconté à André, ou plutôt à ce qu’elle n’a pas raconté.
A peine Eliane avait elle quitté son amant pour la dernière fois, et tandis qu’elle se dirigeait tranquillement vers la maison, elle se retrouve soudain face à face avec sa mère au détour d’un sentier. Stupéfaite, elle s’apprêtait à lui demander ce qu’elle faisait là mais n’en eut le temps.
Deux baffes magistrales, deux baffes comme jamais elle n’en avait reçu, la laisse sans voix.
-Salope ! T’es une vraie salope ! J’ai tout vu, je t’ai vu avec ce type ! Je t’ai vue te faire baiser comme la dernière des trainées.
Eliane ne réagit pas, sonnée. Ses joues la brulent, et elle pleure. Tout le long du chemin elle reçoit des gifles.
Arrivées à la maison sa mère la prévient qu’elle va en parler avec son père.
-C’est l’école de correction qui t’attend ma petite !
Devant cette menace, Eliane réagit enfin.
-Et toi ? C’est bien beau de me traiter de tous les noms ! Dis-moi, comment on appelle une femme qui reçoit un homme tous les jours dans son lit et qui s’envoie en l’air pendant que son mari travaille ? Hein ? Dis le moi !
Monique, la mère d’Eliane recule, regardant sa fille, la bouche ouverte, assommée par ce qu’elle vient d’entendre.
Reculant encore, ses jambes heurtent un siège et elle s’écroule dessus. Les coudes sur ses genoux, elle met les mains sur son visage, se met à pleurer à gros sanglots.
Eliane reprend du poil de la tête. Elle ajoute :
-C’est vrai, je me suis envoyé en l’air avec un type, et alors ? Je ne suis pas mariée moi ! Je n’ai trompé personne ! Et toi tu veux me donner des leçons ? Ah non alors !
Sa mère pleure de plus belle. Eliane sentant qu’elle a pris le contrôle de la situation décide de donner le coup de grâce.
-Tu veux tout dire à papa ? D’accord ! Moi aussi je vais tout lui dire ! Comment crois-tu qu’il va réagir quand je vais lui raconter de quelle façon tu t’envoies en l’air, et dans son lit en plus ! Attends un peu !
Elle n’a pas le temps de finir, sa mère se lève, se laisse tomber à genoux devant sa fille et, s’accrochant à sa jupe, la supplie.
-Non ! Non, ne dis rien ! Je t’en prie ! Je t’en supplie ! Je ne le verrais plus je te le promets !
Eliane sait qu’elle a gagné la partie. Que son père soit cocu lui importe peu, elle ne s’entend pas trop bien avec lui mais elle veut juste être libre de faire ce qu’elle veut et l’occasion est trop belle.
Elle laisse sa mère s’avilir un peu plus, savourant sa victoire, puis :
-D’accord, je ne dirais rien, mais je veux que tu fasses tout ce que je te dirais d’accord ?
Entrevoyant une porte de salut, la mère accepte.
-Tout ce que tu veux ma chérie ! Je ne le verrais plus je te le jure, je ferai tout ce que tu me demanderas, je te le promets !
-Vraiment tout ? C’est sur ? Au moindre refus je raconte tout ! D’accord ?
La mère jure tout ce qu’elle sait. Eliane veut la tester.
-Très bien ! Tout d’abord je veux que tu continues à recevoir ton amant comme auparavant.
Monique ne comprend pas, elle demande :
-Mais… pourquoi ?
-Parce que j’aime bien vous regarder faire l’amour maman.
Et devant l’incompréhension de sa mère elle ajoute :
-J’ai découvert que j’aime ça regarder un couple faire l’amour, ça m’excite. Tu peux pas savoir combien de fois j’ai pu jouir en te voyant faire l’amour. Il y a un mois que je vous regarde baiser et ça m’excite ! Je sais, je suis une salope, tu me l’as dit, mais je ne suis pas ta fille pour rien non plus n’est ce pas ?
Monique supplie, sa fille reste intraitable.
-Si tu ne le vois plus, je dis tout. Si tu continues comme avant, je ne dis rien. C’est toi qui décides.
Et, se radoucissant :
-De toute façon, si tu vas baiser avec quelqu’un, c’est parce que t’es pas satisfaite, que t’en as besoin, que tu en as envie.
Et ajoutant :
-Avec tout ce que j’ai vu depuis un mois tu aimes vraiment ça non ? Si tu ne le vois plus ça va te manquer, tu vas être malheureuse, donc autant continuer et moi je pourrai continuer à me rincer l’œil.
Monique tente de réfléchir. Elle ne peut rien faire, elle est prisonnière de sa fille.
Eliane veut la rassurer.
-Allons maman, on oublie tout. On va être très heureuses comme ça ! J’oublie les gifles, tu continues à te faire baiser par qui tu veux et tu n’auras même plus à te cacher de moi, que veux tu de plus ?
Monique regarde sa fille, s’aperçoit qu’elle ne connaissait pas, bluffée par le vice qui l’habite.
Elle essaye encore :
-J’aime pas que tu regardes.
-Et toi quand tu m’as vue maman, pourquoi es tu restée sans rien dire au fait ? Pourquoi t’es pas intervenue ? Pour te rincer l’œil ? Je veux faire pareil. J’ai découvert que j’aimais ça, mater. Je suis une vicieuse c’est vrai, tu peux me traiter de salope si tu veux mais moi j’assume.
Sa mère ne trouve plus rien à dire. Vaincue, elle acquiesce. Eliane ajoute :
-Tu sais maman, je voudrais prendre la pilule, pouvoir faire comme toi, baiser sans craindre de tomber enceinte. Bon ben… je te laisse, le type va bientôt venir non ? Vas te refaire une beauté, sinon il va se demander ce qui t’es arrivé.
Et elle s’en va, laissant sa mère en plein désarroi. Arrivée dans sa chambre elle s’allonge sur son lit, heureuse de s’en être si bien sortie. Elle se régale en avance de voir sa mère baiser. Elle se demande si se sachant observée elle va se freiner dans ses élans, si elle va se lâcher comme d’habitude. Elle a hâte de savoir son comportement.
Elle l’entend qui se rend dans la salle de bains et qui en ressort quelque temps après pour descendre l’escalier.
Au bout d’un moment elle entend les pas de deux personnes qui montent. Elle attend un moment puis ouvre la porte et se dirige sans bruit vers sa cachette.
Le type est déjà en train de baiser sa mère en levrette. Il donne de grands coups de bélier, repoussant Monique à chaque fois contre le mur. Celle ci a les yeux à demi fermés, fixant la porte ou se trouve Eliane, la bouche ouverte, en plein bonheur. Elle commence à crier, relève le buste, s’appuyant sur ses avants bras.
-Oui ! Oui je vais jouir ! Oui ! Oui !!!!
Eliane n’en revient pas de l’impudeur de sa mère. Et elle qui vient juste de lui dire qu’elle ne veut pas être regardée ! Qu’elle se sentirait gênée ! Et la voilà qui montre son visage défiguré par le plaisir au lieu de se tourner de l’autre côté ! Rien qu’à voir la façon dont elle fixe l’endroit ou elle sait que sa fille se trouve, elle a la confirmation que sa mère est une vraie salope.
Elle est pire que moi se dit Eliane tout en se masturbant comme une folle, elle fait tout pour m’exciter.
L’homme est sur le point de jouir.
-Oui ! Oui, tiens ! Tiens ! Prends salope ! Prends ! Ahhhh !
Il se vide dans la chatte de Monique qui regarde toujours vers la porte, les yeux mourants.
L’homme se retire, sa queue complètement souillée par le sperme et la mouille. Restant à genoux, il dit :
-Viens me la nettoyer.
Docilement Monique se tourne et vient happer le sexe toujours un peu tendu. Eliane constate qu’elle se met de telle façon que sa fille puisse tout voir.
Sa façon de sucer est très lascive, très pute se dit Eliane. Au bout d’un moment, la queue se redresse à nouveau. Monique caresse les couilles de l’homme qui grogne de satisfaction.
Quand la bite est bien dure, elle s’allonge en travers du lit, les jambes repliées et donc le sexe largement ouvert et trempé tourné vers la porte derrière laquelle se trouve Eliane.
-Viens, j’ai encore envie de ta queue.
La salope ! Quelle salope se dit Eliane qui peut admirer la chatte ouverte et prête à recevoir à nouveau la queue bandée de son amant. Et dire qu’elle veut me faire croire qu’elle n’aime pas être vue !
L’homme vient entre les jambes et rentre sa bite d’un grand coup de reins. Eliane a une vue superbe sur le cul poilu et le sexe qui perfore la chatte de sa mère. Les couilles velues se balancent de façon impudique devant ses yeux.
La copulation dure beaucoup plus longtemps.
Les gémissements, puis les cris de Monique se font crescendo. Eliane sait que la jouissance est proche. Soudain Monique se met à crier pour de bon et se met à jouir. Jamais Eliane n’a entendu sa mère crier aussi fort.
-Ah ! Ah oui ! Oui ! Vas-y ! Encore ! Ah oui ! Oui ça vient ! Ahhhhh !
L’homme se met à jouir lui aussi. Il se couche sur Monique et ils restent soudés un moment, récupérant leur souffle. Enfin il se retire et se rhabille.
Monique met une robe de chambre, accompagne son amant jusqu’à la porte puis remonte et se rend dans la salle de bains.
Elle y trouve Eliane entièrement nue, en train de se sécher. Elle aussi est venue faire un brin de toilette. Monique est surprise puis, devant l’air coquin de sa fille, elle retire sa robe de chambre. Elle est entièrement nue. Elle demande :
-Alors ma fille, tu t’es bien régalée ?
Eliane ne répond pas de suite, les yeux fixés sur l’entrejambe de sa mère qui se trouve face à elle. Entre les jambes légèrement écartées, elle distingue nettement les traces de mouille et de sperme mêlés.
Suivant le regard de sa fille, Monique regarde sa chatte puis sa fille qu’elle regarde d’un air salace. Aucune gêne, aucune honte. Eliane est sidérée devant tant d’impudeur. Elle dit :
-Oui maman, en effet! Et vous m’avez bien faite jouir. Je sais maintenant pourquoi je suis une salope ! Ce doit être génétique non ?
Monique ne répond et commence à se doucher.
Liliane se rhabille puis s’en va.
La cloche retentit, les ouvriers sortent de l’usine de matières plastiques.
La sœur d’André discute un moment avec quelques copines puis leurs routes divergeant, elles se disent au revoir.
Tout comme son frère, la sexualité de Nadine la démange de plus en plus.
Sous une apparence très calme, elle cache un tempérament de feu. Sans être réellement belle, elle a beaucoup d’atouts. Brune aux yeux bleus, son visage dissimule parfaitement ses sentiments. A l’usine, tous lorgnent sur son corps bien formé.
Sa poitrine est attachée assez haut. Ses hanches un peu fortes mais pas trop se déhanchent d’une façon naturellement lascive et ses fesses rebondies font se retourner tous les males. Néanmoins elle passe pour une fille sérieuse et les garçons n’osent pas aller plus loin que les commentaires graveleux.
Sa seule amie est Eliane. Elle sait que celle ci a sauté le pas récemment et qu’elle se fait baiser par un bûcheron. Eliane lui a raconté tous les détails et quand elle y pense, le rouge lui monte aux joues.
Elle doit aller voir le gynéco dans quelques jours et l’idée de montrer son sexe à quelqu’un la perturbe. C’est sa mère qui en a décidé ainsi, elle est en âge dit elle de prendre la pilule.
Toute à ses pensées, elle arrive chez elle. Elle salue sa mère et son frère.
Elle monte dans sa chambre, prend sa robe de chambre et va dans la salle de bains.
La douche lui fait du bien. Elle se savonne abondamment et ses mains parcourent son corps un long moment.
Elle se trouve trop grosse, ses seins surtout. Elle pense à tous les garçons qui ont les yeux rivés sur eux dès qu’ils la croisent. De temps en temps elle entend les commentaires à ce sujet qui la font rougir.
Ses tétons durcissent sous la caresse. Les bouts, très gros et très longs pointent. Elle les pince, les fait rouler sous ses doigts. Elle gémit, sent son entre jambes qui mouille.
Elle n’y tient plus. S’asseyant sur le bord de baignoire, elle écarte largement les jambes et commence à se caresser.
Avec l’index de sa main gauche, elle imprime une légère rotation sur son bouton érigé, tandis que deux doigts de sa main droite pénètrent sa motte trempée.
Le plaisir vient très vite. Elle jouit en mouillant abondamment, retenant ses cris.
Elle se relève, se rince et s’essuie tout en se regardant dans la glace.
Elle descend rejoindre sa mère et son frère. Ils dînent tous les trois.
Le lendemain André retrouve Eliane. Ils se sont donné rendez vous dans leur petit coin.
Depuis quelques jours elle prend la pillule, sa mère l’a amenée chez le gynéco qui lui a prescrit à sa demande et elle peut enfin faire l’amour sans crainte.
Ils s’enlacent aussitôt et se retrouvent très vite allongés par terre. André commence à la peloter et très vite les seins se retrouvent à l’air.
Il s’attaque au bas, passant la main sous la jupe. Elle ne porte pas de culotte. Avec un sourire salace elle lui dit :
-C’est pas mieux comme ça ? Tu n’as pas à te battre pour l’enlever au moins !
Et elle ajoute :
-Et puis j’aime ça, ça m’excite de me promener sans culotte.
André bande comme un cerf, le contact de sa main sur un sexe déjà trempé le rend fou de désir.
Il s’écarte, lève les fesses, se débarasse prestement de son short. Eliane a les yeux fixés sur la grosse bite qui s’agite.
André s’allonge tout à fait, attire la fille sur lui. Elle vient, empoignant la tige durcie, la prend en mains, admirative.
Elle ne peut attendre plus longtemps, elle le chevauche, s’introduit la queue dans une chatte brulante et déjà largement lubrifiée. Avec un grand soupir qui ressemble à un sanglot, elle s’empale à fond et s’écroule sur son jeune amant.
-Ahhhhh ! Ah qu’elle est bonne ! Ah oui !
Et elle commence des mouvements de va et vient. Ses soupirs montent, de plus en plus haut. André malaxe les nichons qui dansent devant ses yeux.
La fille ne tarde pas à jouir.
-Ah oui ! Oui ! Je vais jouir ! Je vais jouir ! Oui ! Oui ! ! ! Ahhh !
Et elle s’écroule sur André. Empoignant les deux beaux globes de ses fesses, il les écarte et, du bout des doigts, vient titiller la petite rosace qu’il sent palpiter.
Descendant plus bas, il trempe ses doigts dans la mouille qui s’écoule abondamment, revient sur le petit orifice.
Doucement il introduit la première phalange de son majeur. Devant l’acceptation muette, il accentue la pénétration. La fille grogne de satisfaction. Il enfonce son doigt à fond et le fait doucement tourner à l’intérieur.
Eliane relève la tête, le regarde, les yeux troubles.
-T’es vraiment un vicieux toi !
André fait à présent coulisser son doigt, branlant le cul. Il voit la fille qui respire de plus en plus vite. Ingénuement il demande :
-T’aimes pas ?
Elle suffoque presque.
-Si, j’aime ! Continue salaud ! J’adore !
Et elle recommence à s’empaler sur la bite dressée. Bientôt André commence à accompagner Eliane dans ses rales. Il est tout près de la jouissance à présent.
-Ah que c’est bon ! Ah que ta chatte est bonne ! Je vais jouir bientôt, je le sens.
La fille s’affole, elle veut le rattrapper, elle veut jouir encore.
-Non, attends ! Attends moi ! Je viens oui ! Oui ! Ah ouiiii ! ! ! Ahhhh !
André se vide au même moment.
Ils jouissent en ralant de bonheur, Eliane s’écroule sur le corps de son jeune amant, vidée, ivre de jouissance.
Ils restent longtemps ainsi, savourant cet instant merveilleux d’après l’amour quand les deux partenaires ont bien joui.
Doucement leur respiration redevient normale.
Eliane manifeste sa reconnaissance par un baiser appuyé.
André, le doigt toujours fiché dans le cul de la fille demande :
-Dis moi, tu voudrais pas essayer par là ?
Eliane est horrifiée.
-T’es fou ? Tu veux me tuer ! Non je veux pas.
André n’insiste pas.
Eliane essaye de consoler le garçon.
-Je t’en prie, tout ce que tu voudras mais pas ça !
La bite ramollit dans le con de la fille. Elle se relève, libère le sexe qui retombe sur le ventre d’André avec un bruit mou.
S’asseyant à coté, elle écarte les jambes avec une totale impudeur, regardant le sperme qui coule hors de sa chatte.
-Qu’est-ce tu m’as mis dis donc !
Tous les deux admirent le jus qui continue à couler puis se tarit enfin.
Eliane reporte son regard sur le sexe flasque, bien que toujours conséquent. De nouveau elle s’extasie.
La queue est pleine de foutre et de mouille. André se rappelle les propos de la fille.
-Tu veux bien me la sucer ?
Devant l’hésitation il dit :
-Tu m’as dit que je pouvais tout te demander.
Elle s’incline, mais n’abandonne pas.
-D’accord, mais tu vas me bouffer la chatte.
André n’y voit aucun inconvénient.
La fille vient sur lui, tête bêche.
André se rassasie d’abord du spectacle. La chatte gluante ne le repousse pas, au contraire. Ses doigts explorent l’anus qui palpite.
Eliane n’est pas en reste. Elle nettoie d’abord les grosses couilles, tout en empoignant le sexe gluant de foutre et de mouille dans une main.
Très vite elle sent que le vit se remet à grossir dans ses doigts. Quand elle a terminé de nettoyer les couilles, la queue a repris une consistance dure. Elle se met à la sucer.
André s’est lui aussi attaqué aux points sensibles. Sa langue, de plus en plus experte se promène entre le bouton dressé qui ressemble à une petite bite. De nouveau il sent le gout de la mouille qui s’en échappe.
Les deux amants poussent des grognements de plaisir.
C’est Eliane qui est la première à se sentir partir. Avec un grand cri, elle abandonne le membre qui lui déformait la bouche.
-Oui ! Oui salaud de cochon, continue comme ça ! Oui ! Oui, je vais jouir ! Je vais jouirrrr ! ! !Ahhhhh !
Ses cris de bonheur ressemblent à des sanglots tellement le plaisir est intense. André voit l’intérieur du sexe se contracter de façon spasmodique. Le débit de mouille odorante qu’il avale se fait plus important et la fille jouit tout en lâchant un pet sonore, incapable de controler ses sphincters.
La jouissance est longue et intense. André ne s’arrête que lorsque la tête de la fille est retombée, apaisée, sur ses cuisses.
Les contractions internes diminuent d’intensité. Il lèche le plus doucement possible la mouille qui continue de couler du sexe, se régalant de ce qu’il considère comme un véritable nectar.
Eliane pouse un grand soupir, murmure d’une voix à peine audible :
-J’ai cru que j’allais m’évanouir tellement c’était bon.
André est flatté, mais il aimerait bien qu’elle s’occupe à nouveau de lui. Sa bite est agitée de contractions. Doucement, il caresse les belles fesses rebondies, ses doigts s’arrêtant furtivement sur la petite rosace qui se met alors à vibrer.
-Ah oui, j’aime bien que tu caresses mes fesses ! Tu les aimes ?
André ne peut qu’aquiescer.
-Bien sur, elles sont super, bien fermes, bien galbées.
Et il ajoute :
-Et le petit trou au milieu est bien tentant.
Disant cela, sa caresse se fait plus précise. Du bout de ses doigts mouillés il titille le petit hublot, introduit doucement la première phalange.
-Oui, j’aime comme ça, c’est bon ! Branle moi le cul j’adore mon cochon.
-Je le vois bien que tu adores ça cochonne !
Elle rit nerveusement puis :
-Continue comme ça, je vais te sucer pendant ce temps.
Elle gobe la queue, déclenchant des soupirs de satisfaction de la part d’André.
-Oui ! Ah oui ! Ah comme tu suces bien ! Ah la salope ! Oui !
Le souffle court, il sent le plaisir le submerger. Il enfonce deux doigts dans le cul de la belle qui le suce de plus belle tout en ronronnant de satisfaction. Il sent qu’il va jouir.
-Oui ! Oui ça vient ! Oui je vais jouir ! Je vais jouir ! Tiens ! Tiens ! Prends ! Bouffe mon jus salope ! Ahhhhh ! ! ! !
Les doigts fichés dans l’anus de la fille, il se vide copieusement dans la bouche de la belle suceuse.
Peu à peu les jets se tarissent, André s’apaise doucement. Il murmure :
-N’avale pas tout, je veux que tu viennes m’embrasser la bouche pleine.
Elle libère doucement le membre apaisé, se contorsionne pour venir s’allonger sur André, lui tend sa bouche. André l’attire brusquement, ils s’embrassent furieusement durant un long moment.
Eliane se relève, les yeux pleins d’admiration pour son jeune amant. Non seulement il est membré de façon incroyable mais il est au moins aussi vicieux qu’elle. Souriante elle demande :
-Tu aimes bien ton sperme ?
-Oui, j’en ai pris l’habitude car comme j’avais peur de laisser trainer des mouchoirs pleins de sperme et que ma mère tombe dessus, je me suis mis à le récupérer avec mes doigts sur mon ventre et à l’avaler ensuite. Et puis ça m’excite, je suis vicieux tu le sais.
Eliane approuve.
-Oui, mais il n’y a pas plus vicieuse que moi alors je te comprends.
André veut justement prêt à la mettre à l’épreuve.
-Prouve le.
Eliane, le regard plus vicieux que jamais lui rétorque :
-Je ne sais moi. Demande.
André la regarde, puis, se lâchant :
-Je voudrai te voir pisser.
-C’est tout ?
Elle se lève et vient s’accroupir tout près et bien en face de sa figure et, écartant les jambes au maximum elle se met à pisser.
-Regarde bien salaud.
Un jet mordoré sort de l’entre-jambes, arrosant l’herbe tout près d’André.
Eliane regarde le visage d’André. Celui-ci, les yeux exorbités, regarde le jet qui sort avec ce bruit caractéristique que font les filles quand elles pissent.
Le jet se tarit, Eliane est excitée par le plaisir ressenti de la part d’André à la voir se vider la vessie. Enhardie, elle demande :
-Tu veux m’essuyer ? Avec ta bouche bien sur.
-Viens !
Se relevant, elle vient mettre ses pieds de chaque coté du visage de son amant. Descendant très doucement, elle vient coller sa chatte humide et odorante sur le visage d’André, ses fesses s’appuyant sur le torse de celui-ci.
André lèche avec délectation, enlèvant toute trace d’urine. L’odeur le rend fou de désir.
A nouveau elle vient s’allonger à coté du jeune homme, ils s’étreignent comme des fous.
Ils se pelotent un bon moment puis se rhabillent, il est temps de rentrer pour Eliane.
Quelque temps après Eliane rencontre Nadine. Les deux amies ne se sont pas vues depuis quelques jours et elles sont heureuses de se retrouver.
Elles papotent joyeusement, bras dessus, bras dessous. Elles arrivent bientôt à la maison d’Eliane.
Elles boivent un verre et continuent à discuter.
Eliane se montre sous son meilleur jour, car elle a un plan bien précis.
Il est vendredi et demain Nadine ne travaille pas. Eliane lui fait promettre de venir la voir demain matin. Elle sera seule, sa mère doit aller chez le coiffeur et elle en a pour toute la matinée.
Le lendemain Eliane voit apparaitre son amie. Elles s’étreignent et s’embrassent affectueusement.
Nadine est habillée d’un corsage léger assez ample, comme souvent, dans une tentative, vaine d’ailleurs, de dissimuler l’importance de sa poitrine. Une robe légère d’été assez large également dissimule ses fesses. Il fait déjà chaud en ce jour d’été et la journée promet d’être belle et ensoleillée.
Elles boivent un soda puis Eliane invite son amie à la suivre dehors.
La maison du garde forestier est complètement isolée, c’est la seule dans la forêt. Le devant donne sur la route, peu passante, les autres cotés sont entourés d’un rideau de broussailles impossible à franchir, protégeant l’intimité de ce terrain.
A travers ces ronces, un passage caché permet d’accéder à une sorte de petite clairière complètement isolée des regards.
Ce petit endroit est un peu le jardin secret d’Eliane. Toutes les deux arrivent dans le petit enclos et elles s’assoient sur une couverture qu’Eliane a pris soin d’amener avec elle.
Le soleil tombe droit dessus et l’endroit est très agréable.
Elles papotent un petit moment puis Eliane a chaud tout à coup. Il faut dire que le soleil tape fort.
-J’en peux plus moi.
Et d’un geste naturel elle se débarasse de son tee shirt en le passant par dessus la tête.
S’allongeant sur la couverture elle tourne la tête vers sa copine.
-C’est super, on va bronzer. Tu devrais faire pareil t’as chaud, regarde comme tu transpires !
C’est la vérité en plus. Eliane se dit que le ciel est avec elle. Après une petite hésitation, la fille défait les boutons de son corsage et le léger vêtement se retrouve par terre. Eliane regarde du coin de l’œil la volumineuse poitrine de son amie. Il est évident que le soutien gorge est très serré, trop, sans doute une ou deux tailles en dessous.
Nadine s’allonge à son tour, les filles se touchent presque.
Eliane décide d’aller plus loin. Se relevant elle dégrafe les bretelles dans son dos, les ramène devant, passe l’encolure autour de sa tête et jette le soutien gorge à ses cotés puis se rallonge à nouveau.
Nadine l’a regardée faire sans rien dire.
Eliane tourne la tête vers elle, constate que ses joues sont légèrement empourprées.
-Tu devrais faire pareil, on se sent si bien. Et puis ça évite les marques.
Nadine ne dit rien, visiblement troublée par la vue de la poitrine de son amie.
Eliane décide de la bousculer un peu.
-Vas-y, enlève le, tu te sentiras mieux. Je t’ai dit que personne ne peut venir ici, regarde c’est inacessible.
Visiblement la fille est tentée mais hésite encore. Eliane décide d’enfoncer le clou.
-Et puis je trouve que tu es trop serrée dans ton soutien gorge. Allez !
Avec un pauvre sourire timide qui émeut son amie, Nadine se relève, passe ses mains dans les dos, se met à batailler avec les agrafes. Le soutien gorge est tellement serré qu’elle a du mal. Eliane s’empresse.
-Attends je vais t’aider.
Se relevant elle a du mal a liberer l’attache.
-Qu’est-ce que tu es serrée !
Enfin Eliane vient à bout du fermoir.
-Voilà ! Bon dieu les marques que ça te fait ! Comment peux-tu supporter d’être aussi serrée ?
Nadine ne dit rien, passe l’encolure au dessus de sa tête et les seins libérés apparaissent enfin aux yeux ébahis d’Eliane.
Il faut dire que la poitrine est imposante. Les gros nichons tombent un peu, entraînés par leur poids, mais se tiennent bien malgré tout.
Nadine regarde son amie, inquiète du jugement qu’elle semble attendre. Eliane la rassure.
-Qu’ils sont beaux ! Comme j’aimerai avoir une poitrine comme ça.
Nadine se demande si Eliane ne se fiche pas d’elle.
-Ils sont trop gros.
-Mais non, ils sont super. Mais pourquoi tu te serres comme ça ! Regarde ta peau !
En effet les attaches et les bordures du soutien gorge ont laissé des zébrures profondes dans la peau.
Eliane passe doucement le bout de ses doigts sur les marques dans le dos. Nadine la laisse faire. Enhardie, Eliane s’approche du nichon droit qui est à sa portée. Ses doigts glissent sur le sein, très ferme pour un nichon aussi gros.
Eliane est à demi couchée sur le côté, sa tête reposant sur son bras gauche.
-Allonge toi sur le dos.
Nadine s’éxécute. Sa poitrine s’écarte un peu sur le coté mais beaucoup moins qu’Eliane pensait.
-Tu sais qu’ils tiennent drôlement bien?
Tout en lui parlant doucement, elle continue sa caresse. Nadine la laisse faire. Eliane constate que les joues de son amie sont rouges écarlate et sa poitrine se soulève à un rythme accéléré.
S’enhardissant un peu plus, sa paume vient caresser le téton. Elle sent celui ci durcir.
-Tu as des bouts énormes dis donc. Comme c’est beau ! Tiens regarde les miens. A coté, ils sont minus !
Nadine tourne la tête vers son amie. Sa respiration s’est encore accélérée. Eliane qui a laché le sein de sa copine se caresse le sein droit, effleurant le bout turgescend qui durcit. C’est vrai qu’il est beaucoup plus petit que celui de sa copine.
-Tiens touche, regarde, il est petit mais il est dur.
Nadine se tourne sur le coté, faisant face à Eliane. Ses seins roulent et viennent presque au contact des seins de son amie. Voyant qu’elle hésite, Eliane lui prend la main gauche et la pose sur son propre sein.
-Là tu sens comme il est dur ?
Elle abandonne la main qui continue de tater son sein et repose à nouveau ses doigts sur le gros sein de son amie. Elle caresse doucement, en faisant le tour avec des gestes doux, allant de temps en temps sur le bout gros et dur.
Nadine s’est prise au jeu. Elle aussi caresse le sein d’Eliane. Les souffles se font courts. Le visage de Nadine est de plus en plus rouge, Eliane ne sait si c’est de honte, d’excitation, de désir enfin. Sans doute un mélange des trois. Eliane est de plus en plus excitée, elle demande doucement :
-Tu aimes qu’on te caresse les seins ?
Après une hésitation Nadine rétorque :
-Oui. Mais c’est la première fois qu’on me le fait.
-Moi c’est la première fois que c’est une fille qui me les caresse! Mais tu te les caresses bien de temps en temps non ?
Nadine ne répond pas. Eliane insiste gentiment, voulant éviter de la brusquer.
-Moi je me les caresse souvent et j’adore. Mais c’est mieux quand c’est fait par quelqu’un d’autre non ? Qu’en penses tu ?
Nadine hésite puis :
-Oui, c’est vrai, c’est meilleur.
Eliane est heureuse, sa copine se libère. Lentement, mais enfin elle se libère. Pour la remercier elle l’embrasse sur le coin des lèvres, plutôt sur les lèvres même.
-Et bien tu vois que tu es comme tout le monde. Tout le monde se caresse, les seins et autre chose. Vas-y, continue j’aime ta façon de me caresser.
La caresse est un peu timide et de ce fait maladroite mais elle veut l’encourager.
Eliane augmente l’intensité de sa caresse. Elle s’occupe de plus en plus des tétons bandés, les faisant rouler entre ses doigts.
Elle se rend compte de l’émoi grandissant chez son amie car elle aussi accentue sa caresse, et elle sent que sa motte se mouille de plus en plus.
Elles continuent ainsi, Nadine est de plus en plus hardie dans sa façon de caresser.
-Ah oui, comme tu me caresse bien ! Continue comme ça. Tu es en train de
m’exciter ! Dis moi, tu aimes mes caresses ?
Cette fois ci Nadine répond spontanément d’une voix grave, sourde qui trahit son excitation.
-Oui ! Oh oui c’est bon !
Super heureuse de la réponse elle continue :
-Tu te sens bien ma chérie ? Moi je me sens toute mouillée pas toi ?
Cette fois ci l’attaque est directe. Pour la première fois, Nadine regarde son amie dans les yeux mais ne dit rien. Eliane insiste.
-Allons ! Vas-y ! Réponds moi !
Nadine, houspillée par son amie, répond enfin :
-Oui ! Oui je suis mouillée moi aussi.
Et elle se mord la lèvre inférieure, contrite. Eliane sent qu’elle est en train de gagner la partie, d’arriver à son but : dessaler sa meilleure amie.
Elle prend la main de Nadine et vient la poser sur sa motte trempée sous sa jupe qu’elle porte toujours. Celle ci a un geste d’étonnement.
-Mais tu…, heu…
-Non je ne porte pas de culotte ma chérie. Et toi, es tu aussi excitée que moi ? Fais moi voir ma chérie.
Et sans hésiter, elle introduit sa main sous la robe de Nadine qui n’a pas le temps de réagir.
Le bas de la culotte est trempé. Les doigts d’Eliane forcent l’étau des jambes. La main s’insinue plus profondément dans la raie culière. Tout l’entre jambes de la fille est trempé, la culotte, le haut des cuisses.
-Toi aussi tu es trempée.
Nadine se met à soupirer et respirer de plus en plus fort. Elle sent qu’elle aussi lui caresse la motte.
Eliane couche son amie sur le dos et l’embrasse sur la bouche. Sa caresse se fait plus insistante sur le sexe de son amie, mais le slip la gène.
-Tu veux bien enlever ta culotte ma chérie ? Ce sera meilleur pour toi, et plus facile pour moi.
Nadine se contorsionne et enlève sa culotte trempée qu’elle jette à coté d’elle. Aussitôt, Eliane lui remonte sa robe, exposant la chatte de son amie. Elle admire le spectacle. Les poils collés sont abondants et remontent assez haut sur le ventre. Son sexe est bien en relief avec des grosses lèvres proéminentes.
Descendant un peu, elle met deux doigts dans la fente, sans aller trop profond et se met à la branler à toute vitesse. Un clapotis obscène se fait entendre.
Nadine se met à gémir, écarte les jambes. La chatte dégage une odeur forte qui enivre la branleuse. Nadine se met à crier maintenant.
-Ah qu’est-ce que tu me fais ! Ah que c’est bon ! Tu me rends folle ! Ah ! Ah oui ! Oui ! Ahhhh !
Soudain elle jouit, sa main vient se poser sur celle qui la branle et lui imprime un rythme plus fort.
-Oui ! Oui ! Ahhhh ! ! !
Elle retombe, vidée, la tête tournée de l’autre coté.
Eliane se rapproche d’elle, lui prend le menton pour qu’elle la regarde. Elle a les yeux à demi fermés, sa respiration est courte. Elle l’embrasse, son amie répond à son baiser.
Elles restent enlacées quelques minutes puis Eliane lui murmure dans le creux de l’oreille :
-Alors ma chérie comment c’était ?
L’autre hésite un moment puis :
-C’était, je ne sais pas comment dire, c’était… super !
-Dis moi, c’est la première fois qu’on te le fait ?
-Tu le sais bien, je te l’aurais dit.
Eliane a elle aussi une furieuse envie de jouir. Elle murmure à nouveau :
-Tu veux me faire pareil ? J’ai une envie folle de jouir moi aussi tu sais.
Disant cela elle s’allonge sur le dos, enlève sa jupe, écarte les jambes, remonte les genoux et, avec une totale impudeur expose son sexe trempé aux yeux de son amie.
Celle ci se relève, comtemple le sexe, comme pour comparer avec le sien. Eliane est impatiente.
-Viens ma chérie, viens me branler, comme je t’ai fait. N’aie pas peur d’enfoncer tes doigts, mon pucelage est parti tu le sais.
Nadine se rapproche, s’installe confortablement et commence à branler son amie. Pas assez énergiquement à son avis.
-N’aie pas peur, j’aime qu’on me branle fort. Mets deux doigts, c’est meilleur !
Alors, se jetant à l’eau, Nadine se met à la branler le plus vite qu’elle peut. Ses doigts sont trempés. La belle salope se met à crier son bonheur.
-Oui ! Oui comme ça c’est bien ! Oui ! Oui vas-y ! Continue ! Continue tu vas me faire jouir ! Oui ! Oui encore ! Encore ! ! ! Ah oui ! Oui ! Tiens ! Tiens ! Ahhhhh ! ! !
Nadine s’arrête haletante. Eliane récupère un peu puis tend les bras vers son amie et l’étreint.
-Tu m’a super bien branlée ma chérie. Tu as aimé me branler ?
-Oh oui, j’ai adoré ! C’est vrai que c’était bon pour toi?
-C’était super bon ma chérie.
Elles s’embrassent de nouveau. Puis le temps ayant passé, Nadine a regret dit :
-Il faudrait peut-être que je m’en aille non ?
Il y a des regrets dans la voix de la fille. Eliane, fière d’elle sait qu’elle a trouvé une amante servile, et prête à tout pour renouveler l’expérience qu’elle vient de vivre.
-Il est presque midi en effet.
C’est Nadine qui demande :
-On peut se voir cet après midi ?
Cet après midi Eliane a rendez vous avec André.
-Cet après midi je ne peux pas ma chérie.
Devant l’air déçu de Nadine elle ajoute :
-Cet après midi j’ai rendez vous avec un garçon.
Immédiatement l’œil de Nadine se met à briller.
-Et.., il va…, vous allez…
Les joues rouges, elle ne sait comment poser la question. Eliane l’aide, lui caressant la poitrine, elle lui murmure au creux de l’oreille :
-Oui, il va me faire l’amour. On va baiser, faire plein de choses.
Puis devant le silence de son amie, elle s’écarte, la regarde.
-Dis moi, tu vas pas être jalouse non ? On recommencera, j’ai beaucoup aimé mais un homme c’est bien aussi tu sais !
Elle sourit et ajoute :
-Non au fait c’est vrai, tu sais pas. Mais je te jure que c’est fabuleux. Il faudrait que t’essaye toi aussi. L’amour c’est bien avec une fille, mais c’est bien aussi avec un garçon. Ils ont une chose que nous n’avons pas.
Nadine la regarde, répond :
-Oui, mais pour l’instant je ne vois pas avec qui.
-Et tes copains d’usine ?
-Non, si je fais l’amour avec quelqu’un de l’usine, ça va se savoir et après tout le monde va m’embeter.
Eliane est d’accord avec elle. Elle avance sur des œufs.
-Tu sais le garçon avec qui je fais l’amour est prêt à faire l’amour avec n’importe quelle fille jolie et sexy. Et je ne suis pas jalouse tu sais. Si tu veux il sera d’accord pour te dépuceler. Et puis au moins je suis sur qu’avec lui tu seras heureuse.
Nadine semble intéressée, l’œil brillant elle demande :
-Tu veux dire que je pourrai heu…
Encore une fois elle bloque.
-Si tu veux tu peux m’accompagner cet après midi et si tu veux franchir le pas il n’y aura pas de problème.
Nadine a peur de comprendre.
-Tu veux dire que je peux venir avec toi et… rester, regarder ?
-Bien sur, tu es ma meilleure amie. Et puis ça va m’exciter d’être regardée. Je suis sur que mon ami sera d’accord aussi.
Nadine est excitée mais demande :
-Et…, c’est qui ? Je le connais ?
Bon elle est au moins d’accord sur le principe.
-Oui, tu le connais très bien.
Et après une dernière hésitation, sous le regard insistant de son amie :
-C’est ton frère, André.
La bouche ouverte, Nadine ne sait quoi dire. La chose lui semble énorme, impensable.
Sans lui laisser le loisir de refuser, Eliane insiste :
-Ecoute, André est un garçon comme moi, super vicieux. Il me parle tout le temps de tes seins. Il en est fou, je t’assure. La dernière fois je lui ai fait remarquer que tu étais sa sœur, il m’a rétorqué :
-Au cas où tu l’aurais oublié, Nadine est ma demi-sœur, il n’y a aucun lien du sang entre nous. Et il a ajouté :
-Sa poitrine me rend dingue tu ne peux pas savoir combien de fois je me suis branlé en voyant ses seins en rêve.
Nadine a écouté sa copine, le rouge aux joues. Pour Eliane qui l’observe attentivement, il est clair que sa vision des choses est en train de changer. Elle n’a plus sur son visage cet air scandalisé. Ses yeux brillent à nouveau.
Eliane continue.
-Oui ça le rend malade de ne pas pouvoir te peloter les seins.
Disant cela, elle continue à triturer le bout des nichons de son amie. Celle-ci, complètement déboussolée, n’arrive plus à réflêchir. Depuis ce matin trop de choses sont arrivées. Eliane ajoute :
-Et puis ton frère, euh…André on va dire, est monté comme un ane, tu peux pas savoir la bite qu’il a !
Là c’est le coup de grâce. Nadine demande, le regard de plus en plus brillant.
-Comment il…, comment est heu…,.
-Tu veux savoir comment est sa queue ? C’est ça ?
-Oui, dis moi !
Eliane, émoustillée sait que la partie est gagnée. Tout doucement elle lui parle à l’oreille, lui décrit le sexe d’André, montre avec ses mains écartées la longueur, avec ses doigts en forme de cercle elle lui explique son diamètre, lui raconte ce qu’ils font. Eliane sent la respiration de son amie s’accélérer.
Elle est sure qu’elle en train de s’imaginer faire l’amour avec André. Eliane comprend les scrupules de sa copine, ses réticences. Une idée vient très vite à son esprit.
-Si tu veux on peut faire autrement. Je te fais voir ou on se rencontre. Tu te caches à côte et tu nous regardes, André n’en saura rien, et tu pourras te régaler à nous regarder faire l’amour. C’est comme tu veux ma chérie.
Eliane est aux anges, quoi que son amie décide, elle est assurée de prendre un super pied cet après midi. Elle a un tempérament de voyeuse, elle adore voir sa mère, mais elle a aussi un tempérament d’exhibitionniste et se faire baiser et faire l’amour en étant vue, ce qu’elle n’a pas encore fait, cela la rend malade de désir.
Nadine ne répond toujours pas. Eliane demande :
-Alors ? Que décides tu ?
Elle regarde son amie. Nadine est rouge de confusion.
-OK, viens je vais te faire voir ou on se rencontre, tu décideras ensuite.
Ils se rhabillent, se dirigent vers la forêt.
Eliane lui montre l’endroit, pas très éloigné de l’endroit ou ils se trouvaient.
-Si tu veux venir tu peux te mettre là, tu verras tout.
Elle regarde son amie, ajoute :
-Tu viendras dis ?
Nadine la regarde, le regard plein de convoitise, se mordant les lèvres, elle hoche la tête en signe d’acquiècement.
Eliane la remercie d’un baiser, puis :
-Super ! Bon je m’en vais, tu viens après quinze heures heures, on sera là.
Elles s’embrassent et Eliane s’éloigne.
Nadine rentre chez elle, ils se mettent à table. Durant tout le déjeuner elle ne peut s’empêcher de lorgner du coté de son frère, les paroles de son amie, les explications complaisantes à propos de ses mensurations et de ses performances lui reviennent sans cesse à l’esprit.
Le temps lui semble une éternité.
Vers 14h30, son frère sort, elle le voit se diriger vers le bois. Le sang lui cogne à la tête, l’idée de ce qu’elle va faire, va découvrir, la rend folle de désir.
Elle monte à sa chambre, ouvre son armoire, inspecte l’intérieur tout en se déshabillant.
Elle enlève tout, se retrouve à poil, s’admire devant la grande glace qui recouvre tout un devant de porte.
Elle soupèse ses seins, sa poitrine que son amie a si bien caressé tout à l’heure. Rien qu’à ce souvenir elle se sent couler.
Ses tétons pointent superbement. Rassurée par ce que lui a dit Eliane, elle se trouve belle, excitante. Elle se souvient des paroles de son amie « André est fou de tes nichons, souvent il y pense en se branlant»
Elle s’ébroue, choisit un corsage grenat, ample et le revêt directement sur sa poitrine. L’absence de soutien gorge ne se voit pas si on ne regarde pas de trop près et elle apprécie le toucher de ses tétons sur le tissu soyeux. L’impression est nouvelle, très agréable.
Elle choisit une jupe noire assez large la met directement sans mettre de culotte et se regarde d’un air critique. Le contact de la robe sur ses fesses nues l’excite.
C’est bien la première fois qu’elle va sortir ainsi dans la rue et son sang circule plus vite dans ses veines. Elle n’en revient pas de son audace.
Un passage dans la salle de bains pour un dernier coup de peigne et elle sort.
Elle a l’impression que les passants s’aperçoivent de sa nudité sous ses vêtements et elle découvre que cela l’excite beaucoup. Elle réalise que quelque chose est en train de changer inexorablement en elle, quelque chose qui la ravit et lui fait peur à la fois.
Elle arrive à l’entrée du bois. Regardant si personne ne la voit, elle se rapproche du coin ou doivent se trouver les deux amants. Elle redouble de précautions pour ne pas faire de bruit.
Elle est toute proche, seul une frondaison de broussaille épaisse la sépare de l’endroit.
Elle tend l’oreille, le cœur battant.
D’abord elle n’entend rien, elle s’approche encore, entend tout d’abord des murmures, puis comme une plainte lancinante.
Elle reconnaît enfin des rales, des rales de bonheur. S’approchant encore elle arrive à l’endroit repéré ce midi ou elle pourra voir tout ce qui se passe.
Eliane est nue, allongée sur le dos. Ses mains crispées sur sa poitrine qu’elle malaxe fébrilement, André, allongé entre ses jambes est en train de lui brouter le minou.
Nadine se trouve à deux mètres à peine derrière la tête de son amie qui ballotte de droite à gauche sur l’herbe. André se trouve en face, allongé sur le ventre, la tête s’agitant entre les jambes écartées et relevées. André est nu lui aussi, mais elle ne voit que ses fesses potelées. Nadine en haletant demande en murmurant :
-Ah oui ! C’est trop bon ! Viens ! Viens maintenant ! J’ai besoin de ta queue ! Viens !
Et, l’agrippant par les cheveux, elle le tire vers elle.
André abandonne la chatte, se relève et se met à genoux.
Nadine étouffe un cri. Sa copine ne lui a pas menti. Le sexe qu’elle découvre est incroyable. Elle avait pensé qu’Eliane exagérait mais non, pas du tout. C’est bien une véritable bite d’ane qu’elle voit. Elle compare mentalement avec le baudet qui pâture chez un voisin et dont toutes les filles regardent en ricanant nerveusement le vit énorme qui parfois pend hors de sa gaine ou qui est dressé horizontalement sous son ventre lorsqu’ il est en forme.
André agrippe sa bite monstrueuse et, s’abaissant, il la rentre d’un coup dans le con offert. Un véritable cri se fait entendre.
-Ouiiii ! Ah qu’elle est bonne ! Ah oui ! Vas-y ! Baise moi ! Baise moi fort ! Ouiiii !
André la pénètre à grands coups de reins, observant sur le visage de son amante la montée du plaisir.
Les cris se font de plus en plus forts, la jouissance est toute proche.
-Oui ! Oui ! Plus fort ! Ah oui ! Oui je vais jouir ! Je vais jouir mon chéri ! Oui, oui, ah oui ! Ouiiiii !
Et elle explose en hurlant presque sous les assauts répétés d’André.
Celui-ci continue à la pistonner puis, s’arrête quand les cris de la fille s’apaisent.
Il lui embrasse la bouche et le cou tandis que la fille, passant ses bras autour du corps de son jeune amant, tente de reprendre son souffle.
Eliane rouvre les yeux, sourit à André lui dit :
-Tu m’as fait jouir de façon incroyable ! Ah que c’était bon ! Et toi, t’as pas joui ? T’étais loin, ou tout près de jouir ?
Les paroles sont parfaitement audibles par Nadine qui est folle de désir. Depuis longtemps elle a passé une main sous sa jupe, la deuxième est glissée dans son corsage dégraffé.
-Je suis tout près de jouir.
-Viens, je vais te sucer.
André se redresse, sort son chibre de la chatte trempée et reste à genoux devant Eliane qui se redresse. Elle se met à genoux également et, se penchant elle empoigne la bite luisante de mouille et le prend dans sa bouche.
Eliane s’est légèrement décalée, pour que son amie puisse profiter pleinement du spectacle. Lentement sa bouche descend, amenant le gland au fond de sa gorge jusqu’à s’étrangler. De sa main gauche, elle malaxe doucement les couilles, avec la droite encerclant le bas de la hampe, elle le branle . André grogne de satisfaction, crispant sa main sur la tête de la belle suceuse.
Elle entame un lent et doux va et vient, à chaque fois le gland ressort presque de ses lèvres, André grimace de plaisir sous la fabuleuse caresse.
-Ah oui ! Ah comme tu me suces bien ! Ah la salope ! Oui ! Ah vas-y ! Je vais bientot jouir !
Ah oui ! Tu sens ma bite qui gonfle ? Oui ! Ah ouiiii ! Ah je viens ! Je viens ! Tiens ! Tiens ! Prends ! Ahhhh ! ! ! !
Et André se déverse dans la bouche accueillante tandis qu’Eliane continue de le sucer et de le branler furieusement.
Nadine n’en peut plus. Le spectacle l’a rendue folle, ne se contrôle plus. Ses jambes emprisonnent sa main trempée. Elle jouit en se mordant les lèvres pour ne pas crier tout en ne perdant pas une miette de ce qu’elle voit.
Eliane libère la queue qui lentement s’incurve vers le bas. Levant la tête, elle quête le regard d’André. Celui-ci se baisse, sa bouche vient au contact de celle qui l’a si bien sucé.
Nadine ne voit que la bite qui continue de retomber mollement. Elle est encore à l’horizontale et est toujours d’une taille incroyable.
Les deux amants s’allongent côte à côte, leurs têtes du coté de la belle voyeuse. Ils se font des calins, se parlent doucement, récupérant des instants merveilleux qu’ils viennent de vivre.
André caresse doucement le sein à sa portée.
Eliane se laisse faire. Au bout d’un moment elle dit :
-Ils sont un peu petits tu ne trouves pas ? J’aimerai bien qu’ils soient plus gros.
André ne répond tout de suite, lui aussi est d’accord, mais il ne veut pas vexer la fille.
-Pourquoi tu dis ça ? Moi je trouve qu’ils sont très beaux.
-C’est vrai ? Moi j’aimerai bien quand même qu’ils soient plus gros.
Et elle ajoute d’un air détaché :
-Comme ceux de ta sœur par exemple.
André répond sans hésiter à peine :
-Oui, c’est vrai que Nadine a des seins super.
Et il ajoute :
-Comme j’aimerai les toucher ! Ils me font bander tu peux pas savoir !
Eliane est aux anges. Elle l’a amené exactement là ou elle voulait.
-Oui je sais. Tu m’as déjà dit que tu te branles en y pensant.
-Exact ! Je m’imagine en train de les toucher et je jouis de façon incroyable.
Eliane continue à sourire de son sourire le plus vicieux. Elle demande :
-C’est tout ? Tu ne rêves pas à autre chose ? A la baiser par exemple ?
-Si bien sur ! Mais je n’ai jamais osé lui faire des avances.
-Qui te dit qu’elle refuserait ?
André se tourne vers elle. Il demande :
-Tu crois qu’elle accepterait ?
Il réfléchit, ajoute :
-C’est ta meilleure amie, elle t’a fait des confidences ?
Eliane continue de le regarder, amusée.
-C’est sur que si elle voulait, ce serait formidable. Dis, tu peux voir ? Tu peux lui demander en douce ? Moi je n’ose pas, j’ai peur qu’elle fasse un scandale. Imagine qu’elle en parle aux parents !
Eliane tarde un peu à répondre. Elle sait que Nadine a entendu et se demande ce qu’elle en pense.
-Je te promets. En attendant j’aimerai bien que l’on s’occupe un peu de moi.
André l’embrasse et elle répond à son baiser. Leur désir revient, André est excité à l’idée qu’il pourrait baiser sa sœur, Eliane aussi à l’idée de savoir que son amie est fixée maintenant.
-A toi de décider maintenant se dit-elle.
Bientôt les deux amants se retrouvent tête-bêche, André allongé dessous Eliane qui s’est arrangée pour se retrouver la figure du coté de l’endroit ou elle sait que se trouve Nadine.
Assise le cul sur la figure d’André qui lui bouffe l’anus, elle fait face à son amie. D’abord elle ne la voit pas, puis enfin elle l’aperçoit et l’appelle de la main. Nadine fait des signes de dénégation désespérés mais Eliane insiste.
Pendant ce temps, André qui s’étonne qu’elle ne s’occupe pas de lui, la rappelle à l’ordre.
-Suce-moi ! Qu’est-ce tu fais ?
C’est vrai que la bite à nouveau tendue demande qu’on s’occupe d’elle.
Eliane commence par branler le gros membre tout en regardant vers le fourré. Elle procède de façon à exciter son amie au maximum. Enfin elle se penche et gobe le sexe qu’elle continue de branler tout en faisant rouler les couilles.
Les deux amants continuent leur soixante neuf.
Nadine est au supplice. Elle est partagée entre son désir d’y aller et la peur du pas à franchir.
Elle coule littéralement, ses cuisses sont trempées par le jus qui s’écoule de son sexe.
Eliane se redresse, abandonnant sa succion, tout en continuant de branler le sexe tendu. Elle adresse une demande muette de nouveau vers son amie, se demandant si elle ne devrait pas aller la chercher.
Nadine, les yeux exhorbités, fixe son regard sur le vit énorme, qui paraît encore plus gros de par sa position.
Soudain, sans l’avoir vraiment décidé, comme si une main invisible la poussait, elle se redresse, Eliane la voit faire le tour du fourré et se diriger vers eux. Folle de joie elle l’encourage avec un grand sourire et lui tend la main.
André ne peut rien voir de par sa position, tout occupé à sucer la chatte de la belle.
Nadine vient s’agenouiller devant Eliane, la queue de son frère entre eux.
Eliane lui prend le poignet et lui pose la main sur la grosse bite. Nadine ne bouge pas, son amie pose la main sur la sienne et la force à branler André.
Lâchant la main de son amie qui branle André, elle ouvre complètement le corsage déjà largement échancré. La belle poitrine apparaît aux yeux d’Eliane. Prenant les bouts érigés entre ses doigts, elle les triture doucement mais de façon ferme. Elle entend la respiration hachée de son amie.
Eliane se penche à nouveau, faisant signe à Nadine de faire de même.
Eliane suce doucement la bite tendue quelques instants puis, la lâchant de nouveau, fait signe à son amie de sucer à son tour.
Nadine hésite, André, frustré, demande à Eliane de continuer à le sucer. Nadine se penche et ouvrant en grand sa bouche, elle commence à avaler la bite de son frère. Comme elle l’a vue faire, elle imite son amie, descendant et montant sur le membre énorme qui lui déforme la bouche.
André grogne de satisfaction.
-Oui ! Oui c’est bon ! Vas plus vite ! Oui ! Ah que c’est bon ! Ah je vais jouir ! Ahhhh !
Pour la première fois de sa vie, Nadine voit le sperme jaillir et atterrir sur son visage, sa bouche.
Décontenancée, elle lâche la bite qui continue de gicler, bite aussitôt empoignée par Eliane qui le suce à nouveau.
André a fini de se vider. Heureux, remercie Eliane.
-Ouf ! Quel pied ! Ah oui tu m’as bien sucée !
Personne ne répond. Voilà le moment de vérité arrivé. Les deux filles se regardent les yeux dans les yeux.
Eliane se déplace en se retournant, se met sur le coté, dévoilant Nadine, la bouche et le visage tachés par le sperme, toujours à genoux, le buste dénudé et exposant au regard d’André sa fabuleuse poitrine.
-C’est elle qu’il faut remercier. C’est elle qui t’a sucé. Regarde ce que tu lui a mis !
André est sidéré. Il se redresse, s’appuyant sur ses bras et regarde Nadine, bouche ouverte, sans voix.
Eliane éclate d’un rire nerveux en les voyant. André réagit enfin.
-C’est Nadine qui m’a…, heu … , sucé ?
Nadine acquiesce en hochant la tête. André se relève, se met à genoux devant sa demi-soeur et l’embrasse sur la figure, léchant son sperme. Très vite ses mains viennent se poser sur les seins fabuleux qui le font rêver depuis un bon bout de temps. Il en bave presque de désir. Enfin il dit :
-Fabuleux ! Enfin je les vois ! Enfin je peux les toucher ! Ah ces nichons !
Ses caresses se font plus précises. Sa bouche vient se coller sur un téton durci tandis qu’il continue de malaxer l’autre. Eliane passe une main sous la jupe de son amie, son sexe est un vrai marécage. Nadine, allongée soulève ses fesses et l’aide à descendre sa jupe.
Le sexe trempé attire la bouche d’Eliane. Ecartant les jambes, elle vient coller ses lèvres sur l’endroit odorant. Le bouton est dressé comme une vraie petite bite.
On entend les grognements de plaisir de Nadine.
André se relève, voit Nadine en train de se faire brouter le minou. Il s’assoit à coté d’elle, la queue de nouveau bandée. Il demande :
-Branle moi !
La bite se trouve à quelques centimètres de son visage. Sa main se pose sur le vit qu’elle sent vibrer d’émotion.
André est fou de joie, ses yeux vont de son sexe branlé par Nadine à la poitrine fabuleuse dont il a tant rêvé. Les seins sont écartés, entraînés par leur poids. Les bouts sont longs, bruns et très allongés. En fait ils semblent bander. Il pose une main tremblante d’émoi sur le sein à sa portée.
-Ah bon dieu qu’ils sont beaux !
Il les caresse, les malaxe plutôt tant il est excité. Il les trouve durs. La fille râle de bonheur sous la double caresse de son amie qui lui broute le minou et d’André frère qui lui triture les seins.
-Ah oui ! Oui c’est bon ! Ah oui ! Elle tourne la tête vers André qui la regarde aussi.
-Alors dis moi ! Tu aimes ?
Sa respiration est de plus en plus saccadée. Elle parvient à répondre :
-Oui ! Ah oui c’est bon ! Suce moi les bouts, je t’en prie ! J’adore !
André se penche, sa bouche vient happer le téton à sa portée. Les gémissements de la fille augmentent.
-Ah oui ! Oui comme ça ! Mords les ! Ah oui ! Oui j’adore !
La tête de la fille s’agite de droite à gauche. Elle serre la bite durcie dans sa main et la branle de plus en plus fort. André sent qu’elle va bientôt jouir et il veut voir son visage. Il se redresse, admirant le masque de désir inscrit sur le visage de sa sœur.
Soudain elle se met à crier, la jouissance est là.
-Oui ! Ah oui ! Oui je vais jouir ! Je viens ! Je viens ! Ahhhh ! Tiens ! Tiens ! Ahhhhh !
Et elle déverse un flot de mouille dans la bouche d’Eliane qui se régale.
André voit Nadine se tordre de plaisir tandis qu’il sent la main qui l’étreint se crisper violemment sur sa queue. Il a du mal à se retenir mais y parvient néanmoins.
Enfin Nadine s’apaise. Elle ouvre les yeux tandis qu’Eliane et André la regardent, heureux du plaisir qu’ils lui ont donné.
Nadine sourit, sa poitrine continuant à se soulever à toute allure. Elle regarde la bite tendue et demande :
-Viens ! Viens me la mettre ! Je veux la sentir dans ma chatte.
André ne demande que ça. Il vient se placer entre les jambes largement écartées tandis que Liliane vient s’installer derrière son amie. Lui soulevant la tête, elle vient mettre ses jambes repliées dessous et la tête vient reposer sur les cuisses de son amie.
-Tiens, comme ça tu vas pouvoir te régaler du spectacle pendant qu’il va te dépuceler.
André présente sa queue à l’orée du sexe largement ouvert et pousse doucement.
Nadine se met à gueuler de souffrance.
André s’arrête, attend qu’elle se calme. Il regarde sa queue, le gland n’est même pas encore entré dans la chatte.
La fille se calme. Regardant toujours, elle dit.
-Bon dieu qu’elle est grosse ! Vas doucement s’il te plait !
André acquiesce, s’enfonce lentement. Nadine grimace. Il continue néanmoins jusqu’à sentir une résistance, il a atteint l’hymen. D’un coup de reins il perfore celui ci. La fille pousse un hurlement de douleur. André ne bouge plus.
Eliane dit doucement :
-Respire fort ma chérie, ça va passer. Tu n’es plus vierge maintenant.
Nadine respire très fort. Eliane lui caresse les nichons pour l’apaiser. André continue doucement sa progression, très vite sa queue vient buter au fond du vagin. Doucement André ressort sa queue jusqu’à apercevoir son gland réapparaitre puis la pénètre à nouveau très doucement. Le visage de Nadine est toujours crispé. Eliane a les yeux fixés sur le visage de son amie tout en lui caressant les seins. De nouveau la bite d’André vient buter au fond du vagin, il se retire à nouveau. Lui aussi observe le visage de Nadine. Il continue son mouvement de va et vient en accélérant légèrement le rythme. La belle bite d’André bite glisse de plus en plus facilement dans la chatte dilatée et le visage de Nadine se transfigure. Ce ne sont plus des grimaces de douleur à présent mais plutôt de bonheur.
André et Eliane se rendent compte du changement. Cette dernière murmure doucement :
-C’est bon maintenant ?
Nadine tarde à répondre puis elle dit dans un murmure :
-Oui, ah oui ! Mon dieu comme c’est bon !
André accélère encore la cadence. Sa bite serrée dans la chatte juste dépucelée, il a du mal à se retenir.
Nadine à présent est tout près de la jouissance, sa tête qui repose toujours sur les genoux de son amie dodeline de droite à gauche de plus en plus vite.
Eliane l’encourage doucement :
-Laisse toi aller ma chérie, laisse toi envahir par le plaisir, par la jouissance.
Nadine respire de plus en plus vite, sa poitrine fabuleuse monte et descend de plus en plus vite sous la montée du plaisir.
-Ouiii ! Ah oui ! Ah mon dieu que c’est bon ! Ouiiii !
Eliane est super excitée elle aussi. La vue de son amie en train de se faire baiser par André, de voir la belle bite de celui-ci, enduite de sang et de mouille entrer et sortir du con ensanglanté la met dans un état incroyable. Elle sent que sa chatte coule et se répand sur ses cuisses. Elle murmure à l’oreille de son amie :
-Que c’est beau de vous voir faire l’amour ! Je jouis presque.
Nadine est quand à elle tout près de la jouissance, ses cris sont de plus en plus fort.
-Ouii ! Ouiiii ! Ah ouiiiii ! Ahhhhh !!!
Elle n’arrête plus de crier sous la jouissance qui la prend, elle se raidit, cambre les reins tout en gueulant littéralement sous les coups de boutoirs d’André.
Enfin les cris s’apaisent, Nadine respire difficilement, les yeux fermés sous les yeux admiratifs d’Eliane et d’André.
Ce dernier n’en peut plus.
-Oui ! Oui ! Moi aussi !
Il se retire précipitamment et empoignant sa bite souillée de ses deux mains, il la branle furieusement et de longues et importantes giclées viennent atterrir sur le visage et la poitrine d’Eliane en premier, les jets suivants atterrissant sur le visage et le ventre de Nadine.
André gémit et secoue sa bite bien après que les dernières giclées se soient écrasées sur le corps alangui et épuisé de Nadine.
Relâchant sa queue qui se dégonfle doucement, André, repu et toujours à genoux se penche affectueusement sur le corps de Nadine qu’il embrasse à pleine bouche.
Leurs restent soudées longtemps sous le regard d’Eliane qui les regarde avec amour.
Ils se désunissent enfin, André se redresse après un dernier baiser. A genoux il constate l’étendue des dégâts. Tout l’entrecuisse de Nadine est souillé par le sang et la mouille mélangés.
Eliane ne peut s’empêcher de dire :
-Et bien dis donc ! Il va falloir nettoyer tout ça !
Ils la nettoient tant bien que mal, avec de l’herbe d’abord, puis utilisent leurs mouchoirs. Enfin, même si elle a besoin d’une bonne douche, le plus gros est parti et elle ne risque plus de tacher sa robe. Eliane nettoie également le sexe d’André.
Nadine se relève en grimaçant, elle sent une douleur dans le bas ventre. Eliane la rassure.
-T’en fais pas, demain il n’y paraîtra plus.
Nadine et André disent au revoir à Eliane, prenant rendez-vous pour le lendemain et se dirigent vers leur maison.
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Commentaires de l'histoire :
alain06
Merci à malin pour ce commentaire sympa
Posté le 15/02/2017
malin
Bravo pour ce récit et le précedent, J'ai bandé du début à la fin m imaginant spectateur
Posté le 6/02/2017
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