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Les Collocs - la suite

Maeva et Martin, jeunes colocataires, entretiennent une relation à trois avec Jeanne leur propriétaire, une superbe quadra (lire le 1er tome : « les Collocs »). Maeva et Jeanne sentent Martin distant et décident de le réveiller. Maeva nous raconte ce réveil charnel. (Histoire écrite sur commande)

Proposée le 1/01/2023 par hannibaal

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Pourquoi m’ignores tu comme cela Martin, mon coloc adoré ? Après notre partie avec Jeanne, notre loueuse, à la fin des vacances (Lire « La Colocation » le 1er Opus), depuis notre retour à Paris, plus rien … Tu n’as pas aimé faire l’amour à trois ? Pourtant tu m’as prises sans retenue, presque sauvagement, et nous avons joui violemment tous les deux ensembles. Je suis malheureuse Martin ! J’ai envie de toi, de tes mains sur mon corps, de ta bouche qui en explore les moindres recoins.

En cette fin de matinée dominicale radieuse, nous prenons notre petit déjeuner avec Jeanne. Henri, son mari, est parti faire son tour de vélo avec ses copains et Martin n’est pas encore levé. Je suis vêtue de ma toute petite nuisette ultra courte et transparente et Jeanne est visiblement nue sous son petit peignoir blanc qui laisse voir ses belles longues jambes. Elle est vraiment très sexy et super bien conservée pour ses 44 ans.

Moi : « Jeanne ! Je suis malheureuse, Martin me regarde à peine depuis que nous sommes rentrés de vacances ! Il m’ignore comme s’il avait honte de ce que nous avons fait tous les trois ensembles »
Jeanne : « Maeva, ma chérie ! Peut être n’est ce pas simple pour lui que d’accepter ses pulsions sexuelles envers toi et moi. Avec moi aussi, il évite les moments d’intimité comme nous les avons pourtant partagés »

Elle se place dans mon dos. Tendrement, elle ébouriffe mes longs cheveux avant que ses mains douces se posent sur mes épaules dénudées et ne s’égarent vers mes petits seins dressés. Une agréable caresse qui m’éveille les sens aux repos depuis de longues semaines. Mes tétons durcissent lorsque j’appose mes mains sur les siennes pour l’accompagner alors qu’une douce chaleur monte dans mon ventre …

Passant un main dans mon dos, je n’ai aucun mal à trouver l'échancrure de son peignoir, pas plus que le chemin pour remonter jusqu’à son jardin secret. D’ailleurs elle écarte légèrement les jambes pour faciliter ma progression le long de sa cuisse. Je retrouve la douceur lisse et humide de son intimité qui s’anime sous la pression de mes doigts. Sa joue s’appuie tendrement sur ma tête dans un tendre élan de complicité.

Moi : «Martin, il n’a plus de petite copine, je le sais bien »
Elle: « il a sans doute de l’appréhension à accepter cette situation entre nous. Ce n’est pas forcément simple pour lui »
Moi : « il faut que nous l’aidions soit à l’admettre, soit à y mettre un terme définitivement. Tu viens avec moi le réveiller, je ne voudrais pas y aller seule ?»
Elle : « Oui ! Viens on va lui offrir un réveil coquin ».
Il semble encore endormi lorsque nous nous agenouillons de chaque côté de son lit. Dans la pénombre, on peut distinguer le haut de son corps nu qui émerge et vers son bassin le léger drap soulevé par une superbe érection. Son souffle court révèle son demi sommeil et qu’il a senti notre présence. Lentement, en partant du pied, nous effleurons avec légèreté ses jambes dans un même mouvement remontant, vers son phallus dressé.

Pas de réaction pour nous repousser, au contraire son souffle s’accélère ! Je suis la première à me saisir délicatement de son sexe que je parcours du bout des doigts au travers du drap qui le recouvre. Jeanne copie mon geste et le beau sceptre de Martin tressaute sous l’effet de nos caresses insistantes. Doucement, nous tirons le drap pour dévoiler son corps nu que nous parcourons de lentes et habiles caresses.

Bientôt nos lèvres remplacent nos mains pour explorer sa peau légèrement sucrée. Martin, maintenant parfaitement réveillé, nous prodigue ses encouragements à poursuivre des ses doigts qui s’emmêlent dans nos cheveux. De ma langue, je parcoure à plusieurs reprises sa belle tige fièrement dressée avant de l’avaler goulûment. Jeanne, elle, s’occupe délicatement de ses parties jusqu’à les sucer comme de gros bonbons.

Agrippée à son sexe que je branle avec ferveur, mes va-et-vient buccaux ont vite raison de sa retenue. Son bassin s’anime pour accompagner le mouvement et je sens sa sève monter le long de sa colonne. Dans un grognement, il se libère et son jaillissement abondant s’écoule sur nos visages.
Nous pouffons de rire tous les trois lorsqu’il nous serre tendrement dans ses bras.

Lui : « je vous espérais comme cela depuis longtemps. Notre première fois tous les trois était divine, mais je n’osais pas vous demander ».
Jeanne : « Je sais que cette situation est compliquée pour chacun de nous et c’est difficile à comprendre et à accepter. Il faut énormément de tendresse et d’amour pour cela. Des personnes extérieures ne pourraient ni le comprendre, ni l’admettre ».

Ma main continue à jouer distraitement avec sa queue. Je serre délicatement le bout de son gland luisant en le pressant doucement dans le creux de ma paume. Mon sexe est en feu et je suis trempée. Ma liqueur s’écoule entre mes cuisses enroulées autour de sa jambe. Je frotte mon petit bouton contre lui d’une lente houle du bassin. Je lui susurre à l’oreille : « j’ai très envie ... ».
« Viens ! » me répond il.

Je m’agenouille à califourchon au dessus de son ventre, bien décidée à m’empaler sur sa hampe turgescente. Je l’empoigne d’une main ferme pour la frotter dans le sillon de mes lèvres ouvertes et l’enduire de ma mouille. La sensation de son gland contre mon clitoris tout gonflé et sensible m’électrise le ventre et décuple la coulée de ma cyprine de mon antre. Mes hanches s’affolent et dans un feulement que je ne peux contenir, je jouis violemment une première fois. Un plaisir trop longtemps contenu malgré mes séances solo, parfois plusieurs fois par jour.

Jeanne s’est installée à genoux dos à moi, offrant son sexe à la bouche de Martin. Aux bruits de clapotis, je comprends que sa langue doit s’activer à la fouiller et la dévorer avec ardeur. Les gémissements et le petit tremblement de ses fesses confirment qu’elle s’embrase elle aussi. « Ouiiii ! Martiiiin ! Ouiiii ! Fouille moiiii ! Dévore moiiii ! Ouiiiiii ! ….. ».

Je présente la queue de Martin à l’orée de mon antre et je me laisse descendre sur lui. J’ai envie de le sentir me pénétrer lentement et m’investir au plus profond de mon ventre. Sa hampe me brûle au fur et à mesure qu’elle s’enfonce en moi. Sous l’effet de l’excitation intense, les parois de mon vagin se resserrent et l’emprisonne. Ses hanches s’animent et il me pilonne la chatte de rapides allées venues.

Entre deux coups de langues dans la fente luisante et grande ouverte de Jeanne, Martin se laisse aller à de chauds commentaires : « Tu la sens bien ma pine ? Le velours de ton conduit me brûle le gland ! Je veux te défoncer ! Je vais gicler mon foutre dans ton vagin et te faire jouir comme jamais ! Dis moi que c’est ce que tu veux ! Dis moi que tu aimes ça ! ».

Le langage feutré a laissé place à celui du sexe sans retenue, un peu vulgaire, mais si excitant dans ces circonstances. Moi, me caressant vigoureusement le clito gonflé par le désir : « Ouiiiiii ! Martin ! J’aime que tu me pilonnes ! Plus fooort !!! Plus viiiite !!! Plus profoooond !!! Enfonce moi ta bite jusqu’au fond ! Éjacule ta liqueur qu’elle se mélange à ma mouille qui coule comme une rivière de ma grotte en feu ! Fais moi jouiiiiir Martin ! ».

Le bassin de Jeanne s’agite de plus en plus et elle pousse de petits geignements : « Suces moi le clito ! Aspires le ! Branles le avec tes lèvres ! Sens comme il est gros et dressé comme une petite queue ! Excite le de la pointe de ta langue ! Ouiiiii ! Comme çà ! C’est boooooon ! Tu vas me faire jouiiiiir ! Doigtes moi ! Mets moi deux doigts dans la chatte et branles moi ! Vois comme je coule ! Je suis trempée ! Enfonces tes doigts plus profond ! Tu me rends folle ! Je vais exploser !!!! ».

Les bruits de succion de la bouche de Martin dans la chatte de Jeanne m’excitent terriblement. Son beau corps de quadra est agité de soubresauts. Ses magnifiques seins se balancent me laissant entrevoir les pointes de ses tétons dressés. Les doigts de Martin vont et viennent dans sa grotte entre les lèvres rosées largement écartées. Ils luisent de sa cyprine qui s’écoule abondante sur sa main. Ses belles fesses blanches ouvertes offrent à ma vue son petit trou délicat … et si j’osais maintenant ce que je n’ai jamais fait !

Je me penche vers l’avant et ma main s’insinue dans la raie de ses fesses pour titiller son anus. Jeanne : « Ooooooh ! Maeva ! Oooooo! Ma chérie ! J’adore çà ! Tu es merveilleuse ! Tu oses tout pour moi ! Vous allez me faire jouir comme une folle ! ».
Les coups de reins de Martin se font plus rageurs et plus rapides. Sa queue me brûle le vagin et son ventre percute mon cul dans des claquements secs.

Oooooh ! Martin ! Mon Martin ! Comme je t’aime ! J’ai tant besoin de toi ! De te sentir en moi ! Que tu me possèdes !
Je me triture le clito pour que mon plaisir soit encore plus dévastateur. Je le pince, je le tire, je le branle. Mon doigt tourbillonne sur son extrémité et sa base. Je le regarde pointer, tout rouge, de dessous le petit replis de chair. Les yeux exorbités de Martin le fixent intensément lorsque j’écarte largement mes lèvres pour lui offrir totalement mon jeu de doigt indécent. Sans doute adore-t-il me regarder me masturber en même temps que sa hampe me pilonne ...

La chambre ne résonne plus que de nos halètements saccadés et de nos gémissements de plaisir qui se fait imminent. Corps brillants de sueurs, agités d’irrépressibles spasmes, prêts à lâcher la rampe. Nos nudités emmêlées dans un corps à corps totalement impudique où le sexe a ses raisons que seule notre déraison connaît. Tout n’est plus que queue dressée, chattes liquoreuses, bourses gonflées, clitos érigés. Bouches qui se tordent et geignent, mains qui explorent et triturent tous les recoins du plaisir.

Jeanne est la première à franchir le point de non retour. Ses fesses s’agitent d’un tremblement annonciateur d’un orgasmes violent. Sa main se crispe sur celle de Martin pour enfoncer et maintenir les doigts au plus profond de son vagin. J’appuie un peu plus fort mon pouce à l’entrée de son petit trou jusqu’à la pénétrer légèrement. Un jet de liqueur s’échappe de son antre lorsqu’elle s’effondre sur l’oreiller dans un cri, la chatte collée à la bouche de Martin : « Ouiiiiiiiiiiii ! Ouiiiiiiiiiiii ! Je jouiiiiiiiiiiis ! Ouiiiiiiiiiii ! Ça ne s’arrêeeeeete pas ! C’est trop foooooooooort ! » ….

Mon ventre brûle de mille feux et vrille de plaisir lorsque, d’une dernière poussée, Martin explose en moi, lâchant sa liqueur qui remplit mon vagin pour se mélanger à ma cyprine. Mon corps se tend, s’arqueboute sous l’effet du puissant orgasme qui me dévaste. Je ne maîtrise plus rien. J’explose. Je pince mon petit bouton encore plus fort, ajoutant une pincée de délicieuse sensation de douleur à l’effet de la jouissance qui me tétanise. Le temps semble s’être arrêté, je ne suis plus sur terre mais quelque part là-haut, dans la constellation du plaisir ...

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Hannibaal
Initialement, il s’agissait d’une histoire incestueuse « commandée » par une jeune fille (majeure) qui fantasmait sur son frère jumeau sans oser lui avouer. Mais devant les « foudres » que m’ont valu la parution de la version originale, je l’ai transformée en histoire de Collocation. J’espère que vous en tirerez du plaisir à sa lecture, surtout en ayant lu le premier épisode « la colloc » publié il y a quelques temps
Posté le 2/01/2023

Hannibaal
Initialement, il s’agissait d’une histoire incestueuse « commandée » par une jeune fille (majeure) qui fantasmait sur son frère jumeau sans oser lui avouer. Mais devant les « foudres » que m’ont valu la parution de la version originale, je l’ai transformée en histoire de Collocation. J’espère que vous en tirerez du plaisir à sa lecture, surtout en ayant lu le premier épisode « la colloc » publié il y a quelques temps
Posté le 2/01/2023


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