J’ai ainsi nommé ce récit en me rappelant un film dans lequel un petit groupe de jeunes gens découvrait les premiers émois. Il y a du fantasme, mais beaucoup de vécu et surtout de très bons souvenirs, ceux que l’on ne peut oublier.
Proposée le 27/11/2016 par alain06
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman
Dans une petite ville du Nord de la France et dans la chaleur du mois d’août, André se promène à l’orée du bois qui se trouve non loin de chez lui, les mains dans les poches.
Il a dix sept ans, lycéen et en vacances. Son meilleur ami, Alain, ainsi que la plupart de ses copains, sont partis en vacances, dans leur famille ou à la mer.
Lui est resté là, chez ses parents et sa sœur de dix huit ans, Nadine.
En fait sa demi sœur. Son père est mort dans un accident de la mine et sa mère s’est remariée il y a une dizaine d’années avec un veuf qui lui avait perdu sa femme victime d’un cancer. Cet homme avait une fille, Nadine.
André est encore puceau, mais depuis quelque temps sa sexualité le travaille de plus en plus. Avant il se branlait le soir avant de s’endormir, mais à présent il est souvent obligé de se soulager dans la journée.
Il met ça sur le compte du désoeuvrement, n’ayant rien d’autre à quoi penser. En ce moment sa bite est de nouveau dressée. Il est vrai qu’il la caresse de la main gauche, la poche de celle ci étant décousue. Pas par hasard, il l’a décousue lui-même et se caresse d’une manière qu’il espère discrète. Il ne porte pas de slip pour rendre la chose plus facile. Un tee shirt long et ample tombant bas sur son short cache la protubérance et le mouvement de ses doigts.
Il arrive dans un endroit ou derrière un fourré très touffu se cache une petite clairière qu’il connaît bien. Avant d’y pénétrer, il s’arrête, regarde autour de lui et, n’apercevant personne, il s’engage dans l’épais taillis qui la camoufle.
Le soleil n’y pénètre jamais et le sol est tapissé d’une mousse épaisse. Prestement il se débarrasse du tee shirt, le jette par terre puis défait la ceinture de son short qui tombe sur ses baskets. Une bite impressionnante, dressée pratiquement à la verticale se dévoile.
Il étale le short par terre au pied d’un arbre et s’assoit dessus.
Se mettant en position à demi allongé, il pose son regard sur son sexe, un sourire vicieux aux lèvres. C’est vrai qu’il a lieu d’être satisfait. Sa queue est énorme, il l’a mesurée et elle fait vingt deux centimètres en érection, d’une grosseur de plus de six centimètres à la base, diminuant peu à peu au bout. Le gland, complètement décalotté en ce moment est gros comme une belle prune et de même couleur à cause de l’excitation.
Il commence à se branler tout en évoquant des images de sexe et de grosses poitrines.
Il va lentement tout d’abord, essayant de faire durer le plaisir le plus longtemps possible.
Très vite il n’y tient plus et il accélère la cadence, le désir étant le plus fort.
A présent il se branle à deux mains, le souffle court, les yeux fixés sur le dard turgescent qui continue d’enfler sous la montée du désir.
Il râle de bonheur, tout en accélérant la cadence. Soudain, un jet puissant jaillit et va atterrir sur le tronc de l’arbre sur lequel il est appuyé. Il continue de s’activer tandis qu’un deuxième jet va atterrir un peu plus bas. La troisième giclée lui explose sur la figure, les dernières retombent sur son ventre. Enfin les dernières gouttes qui semblent sortir de la tige comme à regret, lentement, forment un filet blanchâtre qui macule ses doigts.
Il se caresse encore un petit moment, ses doigts crispés sur la tige qu’il sent ramollir doucement, puis enfin il libère le membre qui s’incurve mollement vers le bas.
André continue de regarder son sexe qui a repris une taille presque normale, reposant sur les grosses couilles maintenant vides. Il prend un mouchoir dans son short et s’essuie la figure et le reste, se débarrassant des dernières gouttes de sperme puis se relève en empoignant son short.
Toujours nu, la queue à présent pendante, mais toujours d’une taille impressionnante, il se regarde pisser. A la fin le gland est presque disparu sous la peau du prépuce.
Il secoue sa bite pour bien éliminer les dernières gouttes et remet son short et sort du fourré.
Apaisé, André continue de se promener sans but précis, se demandant ce qu’il pourrait bien faire, quand soudain, au détour d’un sentier, il se retrouve nez à nez avec Eliane.
Eliane est la meilleure amie de sa sœur Nadine. Elle est âgée de dix huit ans aussi et elle est la fille du garde forestier. Elle habite non loin de là, avec son père et sa mère dans une maison isolée, sur la route qui traverse le bois sur toute sa longueur
Celle ci semble aussi surprise que lui et surtout heureuse de le voir.
Ils s’embrassent sur les joues. Ils marchent ensemble, côte à côte, discutant de tout et de rien, chacun plongé dans ses pensées.
Quand André a pénétré dans la clairière pour se branler de belle manière comme on vient de le voir, Eliane y était déjà depuis quelques minutes. La clairière se divise en deux en fait. Tout au fond se trouve un endroit plus petit que celui qu’on trouve en arrivant. André n’y a jamais prêté attention.
Accroupie dans le fond, elle était en train de se masturber quand elle a entendu du bruit.
Affolée, le cœur battant, elle a vu entrer André à travers l’épais buisson, l’a vu se déshabiller et assisté à toute la scène.
Rassurée par le fait qu’il ne vienne pas au fond du fourré et surtout estomaquée par le spectacle, elle a repris sa branlette tout en matant le frère de son amie. Très vite elle s’est mise à jouir une première fois, se mordant les lèvres. Avec une envie de crier sa jouissance elle a arrêté sa caresse un instant tandis que ses yeux ne perdaient pas une miette du spectacle.
Entendant les gémissements de plaisir monter de la poitrine du garçon, elle a repris sa caresse. Sa chatte coule comme une fontaine.
Elle a vu les giclées sortir de la tige branlée de façon furieuse. Médusée devant ce qu’elle découvre elle s’est mise elle aussi a jouir et se mordant les lèvres elle a attendu son départ pour se libérer en gémissant de bonheur tout en revoyant la queue énorme giclant son jus devant les yeux.
Quant à André il se demande comment s’y prendre pour l’amener dans un coin désert.
Il lui semble que la fille s’intéresse à lui depuis quelque temps mais il n’a jamais osé l’entreprendre, un refus l’aurait mis dans une position plutôt gênante puisque celle ci vient régulièrement à la maison voir sa demi soeur.
Sans s’en rendre compte, André se laisse guider par la fille qui connaît le bois comme sa poche.
Bientôt ils se retrouvent dans un coin tranquille. Il y a de l’herbe par terre et l’endroit paraît isolé. Eliane demande :
-On s’assoie ici ? Tu veux bien ?
André acquiesce avec joie. Il se dit qu’elle va au devant de ses désirs.
Ils se retrouvent assis côte à côte et, se regardant, se sourient.
Sans savoir qui a fait le premier pas, ils se retrouvent les lèvres soudées. André l’entraîne vers le sol et elle ne fait aucune difficulté, passant ses bras autour du corps et de la nuque d’André.
Allongés, André pose sa main droite sur le sein droit de la fille, commence à le peloter. Il sent sous sa paume une dureté qu’il ne soupçonnait pas. En même temps le nichon est élastique et il le malaxe plutôt maladroitement et surtout brutalement.
Bien qu’étant puceau, il a eu l’occasion de peloter plusieurs filles mais c’est la première fois qu’il a l’occasion d’explorer une aussi belle poitrine.
Très vite sa main impatiente s’introduit sous le léger corsage, puis sous le bonnet du soutien gorge entrant en contact avec la peau souple et agréable.
Gêné par les vêtements, il se débat avec, tirant le corsage vers le haut. Il bande de nouveau et son sexe est coincé dans une position peu agréable. Il bouge un peu et le replace de façon plus confortable.
La fille s’est aperçue du manège. Sa main vient se poser sur la grosse bosse du short. Elle descend puis remonte le long de la protubérance. Ses doigts serrent à présent la hampe majestueuse.
Libérant sa bouche, elle se met un peu en arrière, regarde André dans les yeux puis :
-C’est pas vrai !
André ne sait que répondre. Souriant niaisement il demande :
-Quoi ?
La fille a les yeux rivés sur le short déformé. André regarde. En effet une bosse énorme est bien visible, déformant le vêtement.
-T’es drôlement bien monté dis donc !
Et, un sourire vicieux au fond des yeux :
-Tu veux bien me la montrer ?
Devant l’hésitation du garçon, désarçonné par une telle hardiesse, elle s’assoit et défait l’attache du short. Le tee shirt gène Eliane, elle le remonte et écarte les pans de la culotte, la bite énorme apparaît aux yeux de la fille. Enfin presque, une bonne partie de la tige est toujours cachée.
Bien qu’elle l’ait aperçue, de l’endroit ou elle se trouvait, elle ne pouvait pas se rendre compte exactement de la taille. Maintenant elle s’en rend compte avec les yeux, avec sa main.
Elle essaie de baisser complètement le short, André l’aide enfin. Se tortillant, il l’abaisse sur ses cuisses. Le tee shirt retombe, cachant le membre. La fille s’énerve.
-Enlève-le !
Il s’exécute.
-Enlève le short aussi, je veux la voir complètement !
André s’exécute. Il est tout nu à présent, assis en face de la fille qui regarde entre ses jambes, les yeux exorbités.
-Mon dieu qu’elle est belle ! C’est pas vrai !
André s’incline en arrière en s’appuyant sur ses bras et, les jambes légèrement remontées et largement écartées, il se laisse complaisamment admirer.
La bite, dressée est agitée de violents soubresauts, révélant une excitation intense.
Eliane pose à nouveau la main dessus, doucement, comme intimidée par un tel chibre. Ses doigts entourent la hampe mais sans parvenir à en faire complètement le tour. Insidieusement, sa main descend jusqu’à arriver en bout de course. La bite est complètement décalottée.
Elle reste ainsi un petit moment, admirant la peau rougeâtre et la grosse veine sous le frein puis sa main remonte. A nouveau elle redescend, André respire plus fort, la bouche ouverte, ses yeux rivés sur son membre.
C’est la première fois qu’une fille le branle et la sensation est fabuleuse. Eliane demande à mi-voix :
-Tu aimes ?
André la regarde, ses yeux sont à demi fermés, sa respiration s’est encore accélérée.
-Oui ! Ah oui, continue comme ça c’est bon !
Eliane demande encore :
-On te l’a déjà fait, ou c’est la première fois ?
André hésite un peu, comprend qu’il ne peut pas tricher. Doucement il acquiesce d’un mouvement de tête.
-Tu es puceau alors ?
André rougit un peu plus et avoue d’une petite voix, honteux :
-Oui.
Eliane est aux anges. C’est son premier puceau, et en plus quel puceau ! Monté comme un âne et doux comme un agneau ! Elle ne pouvait espérer mieux. Excitée et folle de joie elle dit :
-T’as pas à avoir honte tu sais ! Et puis, je vais m’en occuper moi de ton pucelage, tu veux bien ?
André est on ne peut plus d’accord. La branlette que la fille continue de lui faire le rend fou. Il pousse des petits soupirs de contentement, sa poitrine se soulève de plus en plus fort.
Eliane s’est assise en tailleur devant lui, ses cuisses sont exposées au regard d’André mais il ne peut voir ce qu’il y a sous la jupe.
Eliane s’est aperçue du regard rivé sur son entre-jambes. Avec un sourire vicieux, elle demande doucement :
-Tu veux voir ?
André ne répond pas mais ses yeux parlent pour lui. De sa main libre Eliane remonte doucement sa robe tout en soulevant une fesse après l’autre.
Elle ne porte pas de culotte. Sous le regard d’André apparaît une toison épaisse, brune et bouclée.
Eliane passe sa main sur son sexe velu. Elle demande :
-Tu aimes mon petit chat ?
Disant cela, elle écarte les jambes, se mettant dans la position du lotus, la main branlant toujours la grosse bite qu’elle sent vibrer de plus en plus fort.
Elle a enlevé sa main de sa chatte, exposant ainsi à la vue d’André un sexe déjà largement ouvert.
Les grandes lèvres sont très proéminentes et bien écartées de par la position des jambes.
André a les yeux qui lui sortent littéralement de la tête. Eliane est excitée aussi. Excitée par la bite qu’elle sent au bord de l’explosion et par l’émoi d’André qui voit pour la première fois un sexe de femme. Elle se retient de ne pas se branler, se concentrant au maximum sur le plaisir d’André. Elle demande encore :
-Tu aimes voir ma chatte ? Tu l’aimes ?
Sa voix tremblante de désir, trahit son excitation.
André a le visage déformé par le plaisir qu’il sent monter. Il respire de plus en plus vite. Il articule d’une voix sourde :
-Oui ! Ah oui ! Oui elle est belle ta chatte ! Ecarte plus les jambes, je veux mieux voir.
Eliane est en équilibre instable. Elle pose sa main gauche derrière la nuque du jeune homme et, s’y agrippant, elle arrondit le dos, poussant sa chatte en avant, l’exposant encore plus à la vue d’André tout en continuant de le branler.
Il peut voir à présent les grandes lèvres qui se rejoindrent plus bas dans la raie culière. Le spectacle est trop beau, trop fort. Il n’en peut plus, sa bite durcit et semble grossir encore entre les doigts de la fille qui sent que l’éjaculation est proche.
-Oui ! Oui ! Vas-y, jouis ! Jouis avec ma main ! Viens !
André crie un grand coup et se vide.
-Ahhhh ! Ah oui ! Oui ! Tiens ! Tiens ! Ahhhh !
Il se répand à grandes giclées. La première jaillit verticalement, passe au dessus de la tête de la fille, retombant derrière son dos, la deuxième atterrit sur son visage, la troisième éclabousse la poitrine de la fille.
Eliane est bluffée. L’ayant vu se vider il y a moins d’une heure elle n’aurait jamais cru voir une telle quantité de sperme sortir d’une bite.
Elle continue à le branler, souillant ses doigts. La bite diminue de volume, elle presse fort pour faire sortir les dernières gouttes du liquide laiteux.
André reprend sa respiration, Eliane le regarde dans les yeux, heureuse de l’avoir fait jouir, et surtout d’être la première fille à le faire jouir.
Ils se sourient. Eliane arrête la branlette, libère le membre comme à regret. Celui-ci est à moitié dégonflé et se retrouve à l’horizontale. Doucement il continue de fléchir, agité de petits soubresauts sous le regard d’Eliane et d’André.
Ils ne disent rien jusqu’à ce que le membre vienne reposer sur les couilles imposantes et à nouveau vides tandis que le gland épais, à présent recouvert par le prépuce, repose sur l’herbe épaisse.
Eliane reporte son regard sur le visage d’André. Elle est très excitée, et sent que sa chatte coule doucement dans la raie. Elle aussi a très envie de jouir.
-Alors comment c’était ? T’as aimé ma petite branlette ?
André finit de reprendre sa respiration. Soulagé, il sent superbement bien et heureux.
-C’était…, c’était super ! Super je te jure. Ah que c’était bon !
Eliane défait les boutons de son corsage qu’elle porte toujours. Elle s’aperçoit qu’il est taché.
-Zut, tu m’as bien arrosé dis donc !
Elle se débarrasse du vêtement, se retrouve en soutien gorge. Les seins sont comprimés et les gros bouts ressortent en relief à travers le léger tissu. Avec un sourire vicieux, Eliane porte ses mains dans le dos, se bat quelques secondes avec les attaches, les yeux fixés sur André qui attend avec impatience.
Enfin elle ramène les pans du soutien gorge devant elle et s’en débarrasse.
André admire les deux beaux globes qui se balancent doucement devant lui.
André a les yeux de hors de la tête. C’est la première fois qu’il peut admirer une poitrine de femme. Elle le laisse admirer ses seins qu’elle fait rouler en donnant des coups de torse à droite et à gauche.
A bout d’un moment, devant son silence, elle demande :
-Alors ? Comment tu les trouves ?
-Heu…, c’est beau ! Ils sont magnifiques vraiment.
Eliane a posé ses mains sous ses seins, les fait gonfler en les remontant doucement, faisant au passage rouler les tétons entre le pouce et l’index. André assiste à cette caresse sans rien dire, se régale de ce spectacle.
Eliane est de plus en plus excitée. Les yeux mi-clos, elle gémit doucement tout en observant la réaction d’André. Elle continue encore un peu, demande :
-Tu veux me les caresser ? J’adore !
Disant cela elle libère ses seins, pose sa main gauche derrière elle pour maintenir son équilibre, tandis que sa main droite vient se poser à plat entre ses jambes largement écartées.
André pose ses mains sur les beaux nichons durs et moelleux à la fois. Il les caresse de son mieux, imitant ce qu’elle faisait. Il pince les bouts durs et bandés.
-Oui ! Pince les comme ça ! Pas trop fort ! Oui comme ça, c’est bon !
Pendant ce temps, La main d’Eliane caresse sa motte trempée. Des soupirs de satisfaction sortent de ses lèvres à demi ouvertes. Les yeux mi-clos observent la montée du désir chez le jeune homme.
La bite est en train de se tendre à nouveau, a déjà dépassé l’horizontale et est en train de se dresser vers le ciel. Cela ajoute encore à l’excitation de la fille.
-Ah oui ! Ah que c’est bon ! Ah je coule, je coule André ! Je coule, regarde !
Le désir d’Eliane monte et elle commence à entrer dans un délire érotique. Elle s’allonge sur le dos, les jambes écartées au maximum, se branlant de plus en plus vite.
-Regarde bien ! Regarde, regarde bien ! Ah j’aime qu’on me regarde !
André ne fait que ça, regarder.
La respiration de la fille de plus en plus forte. André, appuyé sur ses avant bras a la figure juste au-dessus du sexe de la fille. Il peut sentir les effluves forts qui s’en dégagent. Eliane est tout près de la jouissance à présent.
-Je viens ! Je viens ! Oui ! Ouiii ! Ahhhh !
Et en criant, elle jouit en criant sous les yeux d’André fou de désir.
Le rythme de la masturbation diminue doucement tandis que les cris se calment. Enfin elle s’arrête, écarte ses mains, laissant sa chatte exposée grande ouverte. André voit palpiter le sexe sous ses yeux et c’est un spectacle unique.
La fille ouvre les yeux, regarde en souriant le visage d’André qui se trouve a à peine à vingt centimètres de son sexe. Totalement impudique, elle demande :
-Alors tu t’es bien régalé ? A me voir me branler je veux dire.
Il ne sait que répondre, regarde toujours, fasciné.
Eliane sourit encore plus. Elle attend la suite.
Doucement, timidement, André avance sa main et la pose sur le sexe trempé. Il déplace ses doigts sur la motte, les poils. De nouveau Eliane s’est mise à caresser ses nichons. Ceux ci, malgré la position allongée de la fille restent bien droits.
Le manège dure quelque temps puis, Eliane chez qui le désir monte, se redresse. Elle décide de hâter les choses.
-Allonge toi sur le dos.
Il s’exécute immédiatement. Elle reste encore un moment à admirer le sexe tendu qui repose sur le ventre plat, dissimulant le nombril.
Elle rampe à genoux et vient s’assoir sur les cuisses musclées. André, les mains croisées derrière la tête regarde, attendant la suite avec impatience tout en admirant le corps de la fille. Elle le regarde lui demande :
-Tu es bien ?
-Oui, très bien.
Elle accentue son sourire, lui dit doucement :
-Je vais m’occuper de ton pucelage. Laisse toi faire.
Il ne demande que cela, son excitation est à son comble.
Eliane passe la main sous la bite qu’elle sent vibrer, l’attire vers elle
Elle essaie de la redresser vers elle, de la mettre en position verticale mais elle se rend compte que cela ne va pas être possible tellement il bande dur. Admirative elle lui dit :
-Maintenant je vais te faire l’amour, je vais faire de toi un homme. Tu veux ?
-Oui ! Oui ! Vas-y !
Liliane le prévient :
-Attention, tu ne jouis pas dans ma chatte compris ? Je ne prends pas encore la pilule.
André est d’accord.
Elle vient coller son corps sur celui d’André. La main droite tenant toujours fermement la bite raidie, elle se recule doucement. Eliane respire fort, elle meurt d’envie de l’avoir au fond de sa chatte. Se mordant les lèvres sous l’effet du désir et aussi à cause de la taille du membre, elle se l’introduit enfin dans sa chatte parfaitement lubrifiée.
André est aux anges, la sensation est formidable. Eliane sent le désir monter de plus en plus fort en elle. Elle creuse les reins le plus qu’elle peut, les nichons se mettent à bouger au dessus d’André.
Enfin il avance les mains, se saisit des deux mamelles, les caresse tout en pinçant les bouts tendus par le désir de la fille.
-Oui ! Oui caresse moi les nichons ! Ah que c’est bon ! Ahhh !
André a les yeux hors de la tête tellement le désir est fort. L’instant qu’il attendait depuis longtemps, celui dont il n’arrêtait pas de rêver depuis des mois arrivait enfin !
Eliane lâche alors la bite qui a trouvé son chemin. Posant ses deux mains de chaque côté du corps de son jeune amant, elle reste ainsi, tourne son regard noyé de désir vers André.
-Regarde ! Regarde, je vais te faire l’amour, je vais me l’enfoncer à fond ta grosse bite ! Regarde mon salaud !
La respiration de la fille est hachée, la bouche ouverte, elle est folle de désir. La bite s’enfonce peu à peu dans le con bien lubrifié, Eliane fait la grimace.
-Bon dieu qu’elle est grosse ! Ah oui ! Ah qu’elle est bonne ! Ah oui tu m’éclates la chatte !
André est fou de joie. La sensation est merveilleuse. Il sent son chibre comprimé qui s’enfonce dans le fourreau trempé et la sensation est merveilleuse. Très vite la bite abute au fond du vagin.
Eliane redresse la tête, regarde André de ses yeux mourants de plaisir.
-Oui ! Ah qu’elle est bonne ! C’est bon pour toi ?
-Oui ! Oui c’est bon ! C’est merveilleux !
Alors Eliane commence un mouvement de reptation, les gémissements de plaisir s’amplifient, les nichons dansent de plus en plus vite. André est fou de joie, de plaisir.
Eliane, le visage déformé par le plaisir intense crie pour de bon. La sensation est trop forte. Bien que n’étant plus vierge, elle n’a jamais ressenti autant de plaisir.
-Ah que c’est bon ! Ah que ta queue est bonne ! Ah oui ! Ah mon dieu je vais jouir ! Je vais jouir !
André sent lui aussi qu’il ne va pas tarder à se vider, la sensation est trop bonne, trop forte.
Eliane monte et descend à toute vitesse à présent tout en râlant de bonheur, la respiration courte, les traits déformés.
-Ouiii ! Ah ouiii ! Ahhh ! Ah ça y est ! Oui ! Oui ! Ahhhh !
Et adoptant une cadence folle, elle se met à jouir en gueulant.
André lui aussi va jouir.
-Moi aussi je vais jouir.
Liliane libère la queue prestement, André qui n’en pouvait plus se met à jouir lui aussi. De grandes giclées arrosent le cul de la fille.
-Ahhhh ! Ah ouiiii ! Ah oui ! Tiens ! Tiens pour toi salope ! Ahhhh !
-Oui ! Oui ! Vide toi, salaud !
Pendant quelque temps ils restent ainsi, récupérant leur souffle. André caresse le dos et les fesses souillées de la fille. Au bout d’un moment elle dit :
-T’es incroyable tu sais ! En moins de deux heures tu as joui trois fois.
André, d’abord interloqué, lui rétorque :
-Pourquoi trois fois ?
Eliane réalise qu’elle s’est trahie. Se redressant, elle regarde son jeune amant en souriant de façon vicieuse, répond avec un sourire salace:
-Oui, trois fois ! Je t’ai vu tout à l’heure.
Et devant son air ébahi, elle ajoute :
-Je t’ai vu te branler tout à l’heure, tout à fait par hasard je dois dire.
Elle ajoute :
-Cela aurait pu être le contraire d’ailleurs. Je cherchais un coin tranquille pour pisser, puis j’ai eu envie de faire la même chose que toi figure-toi ! Je commençais à me caresser quand j’ai entendu du bruit. Tu peux dire que tu m’as fait une belle frayeur !
Et elle éclate d’un rire nerveux.
André est bluffé. Lui qui croyait avoir pris l’initiative, il se rend compte que c’est elle qui mène les débats depuis le début. Cette fille semble avoir un sacré tempérament. Lui qui croyait la connaître, qui hésitait à l’aborder ! Il éclate de rire à son tour et demande :
-Et toi, qu’as tu fait tandis que tu me regardais comme une vicieuse.
Elle lui raconte.
-Moi qui te croyais sérieuse !
Elle rit à cette déclaration.
-Mais je l’étais il n’y a pas si longtemps.
André voudrait en savoir plus. Il insiste.
-Il n’y a pas longtemps tu dis ? Mais comment peux tu être si…, si ….
-Si salope ?
Et elle éclate de rire à nouveau.
André, honteux, le rouge aux joues, rétorque :
-Non, c’est pas ce que je voulais dire, je…
Eliane souriante le coupe à nouveau.
-Ne t’inquiète pas ! J’aime faire l’amour et je revendique le titre de salope. Bon, qu’est ce que tu veux savoir au juste ?
-Heu, j’aimerai bien savoir comment ça s’est passé pour toi la première fois. J’aimerai bien connaître tes expériences, j’aimerai tout apprendre, tout savoir quoi !
Elle le regarde puis :
-Toi je crois que t’es un sacré vicieux.
Encouragé, il répond du tac au tac :
-Et alors ? C’est mal ?
-Ah non alors ! Au contraire !
Elle lui embrasse les lèvres puis, d’un air mutin elle lui demande doucement :
-Tu veux que je te raconte tout, ça te ferait plaisir ?
-Oui
Un nouveau baiser appuyé puis, doucement, comme dans un murmure plein de sous entendus :
-D’accord. Je vais tout te dire. Mais attends un peu.
Elle s’écarte, se met à croupetons, sa chatte faisant face à André et se met à pisser. Un jet mordoré, dru sort en faisant comme un sifflement et arrose l’herbe.
La miction ne dure pas longtemps. Pour André il est clair que Liliane a voulu pisser pour l’exciter, pour s’exhiber en fait. Il est bluffé par l’impudeur de la fille. Prenant un mouchoir qu’elle avait préparé dans sa main, elle s’essuie la chatte et ses fesses.
S’approchant d’André, elle lui nettoie la bite gluante de mouille et de sperme.
Souriante, elle vient s’allonger sur le corps de son amant, s’installe confortablement puis dit :
-Bon je commence, tu veux ?
Il n’attend que ça et le lui dit.
Elle lui donne un baiser et raconte.
Il y a quelque temps, au début de l’été, j’ai découvert par hasard que ma mère avait un amant. C’était un employé forestier et j’avais remarqué que celui-ci rodait autour de la maison depuis quelques jours, toujours aux mêmes heures.
Cela m’a paru bizarre. Le jour suivant cette découverte, j’ai fait semblant de quitter la maison comme à mon habitude mais, après en avoir fait un grand tour, je suis revenue à travers le bois et me suis cachée derrière des fourrés en face de la maison.
Le type est venu comme d’ habitude, ma mère qui devait le guetter a ouvert la porte puis l’a refermée très vite derrière eux.
J’ai attendu un moment puis, passant par la porte de derrière que j’avais pris soin de laisser entre baillée, je suis montée sans faire de bruit après avoir enlevé mes chaussures.
A peine arrivée en haut de l’escalier, j’ai commencé à entendre des bruits bizarres.
A côté de la chambre de mes parents il y a une porte qui ouvre sur un débarras, débarras qui communique également avec celle ci par une porte aujourd’hui condamnée. Ouvrant la porte, je suis entrée sans faire de bruit dans le petit réduit sombre. J’ai attendu de m’habituer à l’obscurité puis je me suis dirigé vers la porte de communication en faisant très attention de ne pas faire de bruit.
J’avais repéré dans la journée que la porte de séparation qui est dans un mauvais état laissait passer le jour par un interstice. A cet endroit, les planches sont disjointes sur le plan horizontal, ce qui permet de voir absolument tout ce qui se passe dans la chambre. De plus cet interstice se trouve pratiquement à hauteur des yeux, donc j’avais une vue plongeante sur le lit.
Ce que je vis m’a tout d’abord sidérée. La porte en question se trouve sur le coté du lit, et à moins d’un mètre de celui-ci.
L’ouvrier forestier était en train de baiser ma mère. Celle-ci se trouvait allongée au milieu du lit sur le dos, sa tête se tournait de droite à gauche sous l’effet du plaisir. Je pouvais apercevoir par instants ses yeux révulsés.
La bouche ouverte, semblant manquer d’air, sa poitrine se soulevait à un rythme effréné.
Les bras faisaient se levaient, tapaient le lit, puis se relevaient, s’agrippaient sur les reins de l’homme qui lui donnait tant de plaisir.
Je suis restée un long moment sans réagir, soufflée par ce que je voyais. C’est la première fois que je voyais un couple en train de faire l’amour mais en plus il s’agissait de ma mère, tu te rends compte !
Le garçon acquiesce mais ne dit mot, captivé par le récit de la fille. Eliane continue, les yeux dans le vague, comme revivant la scène.
Portant la main à ma motte, j’ai découvert que ma culotte était trempée.
Je me suis débarrassée du vêtement en vitesse en levant une jambe après l’autre. Le fait d’écarter les cuisses. Récupérant ma culotte trempée, j’ai découvert qu’elle sentait fort, comme quand je suis très excitée. Je l’ai portée à mes narines sans réfléchir. Je crois que je suis restée ainsi très longtemps à la humer et j’ai failli jouir ainsi, tu te rends compte ! Sans me toucher !
Ma mère criait de plus en plus fort, creusant les reins. Visiblement elle était tout près de la jouissance.
Ils ne tardèrent pas à jouir en poussant des cris.
A ce moment je n’ai pas pu résister, je me suis branlée comme une folle tandis que ma mère et son amant jouissaient eux aussi. Heureusement car je crois bien que j’ai poussé un petit cri mais ils étaient bien trop occupés à jouir pour entendre quoi que ce soit.
Ensuite il s’est retiré, et se sont mis à discuter tout en se pelotant. L’homme se trouvait de mon côté, et je pouvais voit la bite flasque et humide de jus reposant sur les couilles. Allongé sur le dos, les mains derrière la nuque, il continuait à discuter tandis que ma mère, de l’autre côté et allongée sur le côté caressait doucement le ventre de l’homme. Les nichons de ma mère pendaient, déformés par la position mais je les trouvais beaux, bien gros, gonflés avec de gros bouts, beaucoup plus gros que les miens.
Disant cela, Eliane se relève un peu, prend un nichon en main et le regardant demande ;
-Comment tu les trouves ?
André est fou de désir, il bande comme un taureau et veut entendre la suite. Il répond :
-Très beaux, mais je n’ai pas beaucoup d’expérience tu sais.
Satisfaite, elle se recouche sur son amant, minaude :
-Dis donc, elle te fait de l’effet mon histoire !
Cela tout en faisant rouler son ventre sur la queue tendue.
-Tu parles si elle me fait de l’effet ! Mais continue je t’en prie !
Devant l’impatience du garçon, elle reprend son récit.
Au bout d’un moment ma mère s’est relevée, est descendue vers la bite toujours molle et s’est mise à la sucer. L’homme la regardait faire.
La queue n’a pas tardé à se redresser à nouveau. L’homme s’est mis à gémir et pousser des petits cris de bonheur. Il l’encourageait à continuer.
-Oui ! Ah oui ! Comme tu suces bien ! Ah quelle salope alors !
Puis ma mère s’est relevée, relâchant la bite qui était bien dressée, puis s’est empalée dessus avec un grand soupir de bonheur.
Elle montait et descendait, ses seins sautaient, le type les pelotait et elle criait de plus en plus fort.
Je continuais à me branler comme une folle. Ma main était trempée, mes cuisses aussi.
Cette fois ça a duré beaucoup plus longtemps que la première fois. J’admirais les seins de ma mère qui étaient secoués dans tous les sens. L’homme jouait avec, les triturait de ses mains, lui pinçait les bouts. Elle avait l’air de beaucoup aimer. Elle criait de plus en plus.
-Oui ! Oui ! Ah oui ! Oui pince moi les bouts ! Oui ! Oui salaud ! Oui, continue ! Continue !
Je jouissais sans arrêt, j’attendais la leur avec impatience. C’est ma mère qui est venue la première.
-Oui ! Oui ! Oui ça y est ! Ah oui ! Ouiiii ! Tiens ! Ahhhhh !
Elle se démenait comme une folle, elle pleurait presque tellement le plaisir était intense.
L’homme s’est mis à jouir lui aussi, il soufflait comme une bête. Il criait lui aussi.
-Tiens ! Tiens salope ! Tiens ! Tiens prends ! Ahhhh ! Ahhhhh !
Elle s’est affalée sur lui et ils sont restés sans bouger pendant un long moment.
J’avais joui comme une malade et j’en pouvais plus. Mes jambes flageolaient sous moi et j’avais l’impression que j’allais tomber, comme une femme saoule.
La fille se tait. Il demande :
-Et ensuite ?
-Ensuite le gars s’est rhabillé, ils se sont mis d’accord pour l’heure du rendez vous du lendemain et il est reparti. Le lendemain j’étais là également.
-Il y a combien de temps que ça dure ?
-Il y a plus d’un mois que je les mate, mais ça avait du commencer avant je suppose.
André voudrait quand même en savoir plus, il demande :
-Mais c’est ce type qui t’a dépucelé ?
-Non, ça c’est une autre histoire. Attends la suite.
Elle semble réfléchir puis, l’air avec son air le plus vicieux :
-Tu te doutes bien qu’à force de voir ça tous les jours, de voir ma mère à moitié folle de plaisir, j’avais moi aussi envie d’y goûter. Un matin je suis donc allée traîner là où des coupeurs de bois travaillent.
J’avais repéré l’amant de ma mère mais, bien sur, je voulais choisir quelqu’un d’autre. Je suis donc allée roder autour d’une autre équipe qui travaillait un peu plus loin. Ils étaient deux, un homme et un jeune apprenti.
Le deuxième jour, je me trouvais pas très loin d’eux, bien cachée dans un fourré épais quand j’ai vu un l’homme se diriger vers moi. Je me suis accroupie et j’ai d’abord cru qu’il m’avait vu. Je me demandais ce que j’allais pouvoir dire, mais non il avait simplement envie de pisser.
Il a sorti sa bite et s’est mis à pisser devant le massif derrière lequel j’étais caché. Le massif était dense en haut à cause du feuillage, mais plus clairsemé en bas. Donc il ne pouvait pas me voir alors que moi en me baissant je voyais tout le bas jusqu’à la ceinture en me penchant bien.
Le jet éclaboussait les branches et des gouttes passaient au travers, atterrissant à mes pieds.
J’avais peur qu’il me voie, mais en même temps j’aurai voulu qu’il me découvre tellement j’étais excitée.
J’admirais la bite. Bien qu’étant au repos, je la trouvais grosse, plus grosse que celle de l’amant de ma mère. J’aurais voulu que ça ne s’arrête jamais.
Il a secoué son sexe longtemps pour évacuer les dernières gouttes, l’a serrée entre ses doigts en faisant coulisser la peau. J’avais l’impression qu’il faisait durer le plaisir.
J’ai même cru un moment qu’il avait détecté ma présence et qu’il voulait me faire profiter du spectacle.
Mais non, il l’a remise dans sa culotte et il est reparti tout en refermant sa braguette.
Je suis retournée chez moi, courant presque. Là je suis montée dans ma chambre et je me suis branlée comme une folle en revoyant le spectacle dans ma tête.
L’après midi je suis retourné au même endroit. Enfin presque. Je me suis assise sur un arbre mort juste à coté du massif où l’homme s’était mis à pisser et je lisais un livre que j’avais pris soin d’amener, ou plutôt je faisais semblant.
Au bout d’un temps qui m’a semblé interminable, le type est revenu. Je l’ai entendu arriver et je faisais semblant de lire quand il m’a découverte. Comme j’étais placée il ne pouvait me voir qu’au dernier moment et il avait déjà la main dans la braguette ouverte. Il est resté immobile quand il m’a vu, étonné, hésitant.
Je lui ai dit bonjour en souriant et il m’a répondu en me demandant ce que je faisais là.
Je lui ai répondu que je lisais, mais j’ai bien vu qu’il n’était pas convaincu. Il a du comprendre à mon air effronté que j’attendais quelque chose, surtout que j’avais les yeux rivés sur son entre jambes.
Alors, tout en continuant à me fixer, il s’est rapproché, il s’est mis à environ un mètre de moi et il sorti sa queue. Il l’a décalottée entièrement en tirant à fond sur la peau et j’ai vu le gland qui m’a semblé énorme, apparaître, très rouge
Il a commencé à pisser et je ne pouvais détacher mon regard de la queue qui se vidait juste à côté de moi et qui grossissait à vue d’œil en se redressant.
J’avais une envie folle de la prendre dans ma main. Comme s’il l’avait senti, il s’est rapproché encore, et il est venu tout contre moi, à me toucher. D’une voix douce, il m’a dit :
-Vas-y, prends la dans ta main.
Il semblait que je n’attendais que ça. Comme dans un rêve ma main s’est posée sur la queue. Elle était ferme et chaud, je sentais le frémissement de la pisse. Puis ça s’est arrêté. Il a alors posé sa main sur la mienne et a commencé à imprimer un lent mouvement de va et vient.
Je sentais la bite augmenter de volume et durcir sous mes doigts. C’était fabuleux. La queue était complètement bandée, dressée vers le ciel et me semblait vraiment énorme. Il m’a alors demandé de relever ma jupe.
J’avais une culotte, il m’a demandé de l’enlever. J’ai voulu retirer ma main pour faire ce qu’il me demandait mais il a accentué la pression dessus.
Je me suis alors débrouillée pour enlever ma culotte avec une seule main, tout en me contorsionnant.
Il m’a alors demandé de m’allonger sur l’arbre. Là il m’a caressé un moment puis il est venu sur moi et m’a pénétrée d’un seul coup.
J’ai eu très mal, j’ai crié et il s’est arrêté. Il s’est retiré presque entièrement en regardant nos sexes et il a alors compris que j’étais pucelle.
Il a hésité un peu puis, au bout d’un moment il s’est enfoncé à fond, doucement.
Je devais faire la grimace et il a tenu à me rassurer.
-Ne t’inquiètes pas, bientôt ça va être bon.
Puis il s’est mis à me baiser lentement. La douleur a peu à peu disparue et j’ai commencé à ressentir un grand bonheur.
Je râlais, mais il me disait de me taire. J’ai mis ma main devant la bouche et j’ai joui. C’est venu d’un seul coup et c’était bon.
Il était tout près de jouir quand il s’est retiré. La bite était toute pleine de sang et s’est mis à la branler. Très vite il a déchargé. Je voyais son sperme gicler et se répandre par terre.
Il m’a souri, a sorti un mouchoir de sa poche, s’est essuyé et m’a quitté en me disant de revenir le lendemain.
Je me suis essuyée comme je pouvais, puis j’ai jeté mon slip dans un coin et je suis rentré chez moi.
Le lendemain je suis retournée au même endroit, en m’arrangeant pour qu’il me voie. Il est venu me rejoindre aussitôt.
Comme la première fois il s’est collé tout contre moi et s’est mis à pisser. Sans qu’il ait besoin de me le dire je lui ai pris la bite dans ma main, il m’a remercié d’un sourire complice.
Il devait attendre mon arrivée car il avait une grosse envie, on aurait dit que ça n’allait jamais s’arrêter.
Je la sentais grossir et vibrer sous le jet de la pisse.
Il me caressait les fesses. Très vite il m’a demandé d’enlever ma culotte, ce que j’ai fait au plus vite.
Il a tendu la main et je lui ai donnée. La prenant, il l’a portée à son nez, l’a respirée fort et longtemps. La pisse s’est arrêtée et il bandait très fort.
Il s’est assis sur l’arbre à califourchon sur l’arbre et m’a demandé de me mettre en face de lui. Il m’a alors demandé de le sucer. Je l’ai mis dans ma bouche, mais je ne savais pas trop comment m’y prendre. Il m’a alors pris la main, a mis mon index dans sa bouche et m’a fait voir comment il fallait faire, le faisant coulisser entre ses lèvres, enroulant sa langue autour de mon doigt, mimant la succion d’une bite.
Je me suis appliqué tandis que lui avait mis ses mains sous mon corsage, me pinçait les bouts des nichons.
Peu à peu il s’est mis à respirer fort et puis les contractions de sa queue se sont accentuées tandis que celle-ci grossissait et il s’est déversé dans ma bouche. Il avait posé sa main derrière la tête pour que je ne me retire pas.
-Vas-y, suce ! Suce salope ! Avale tout ! Avale salope !
Le jus m’arrivait par saccades et je m’appliquais à avaler sans m’étrangler tandis qu’il gémissait de bonheur.
-Ah oui ! Ahhhh !
Puis il m’a lâchée, m’a relevée et il m’embrassé sur la bouche, sa langue pénétrant très loin dans mon palais encore plein de sperme.
Enfin il s’est écarté, m’a dit que je l’avais sucé comme une pro et m’a demandé de m’allonger sur l’arbre.
Il m’a sucée à son tour. J’avais une furieuse envie de jouir et c’est venu très vite.
Puis il s’est relevé, m’a embrassé et m’a donné rendez-vous pour le lendemain. Il a précisé :
-Ne mets pas de culotte, d’accord ?
Le lendemain je suis bien sur retournée au même endroit et sans culotte comme il me l’avait demandé. C’était la première fois que je me promenais dehors ainsi et bien qu’il n’y ait personne aux alentours, j’avais l’impression que tout le monde s’en rendait compte, que des gens cachés derrière les arbres voyaient mon cul.
En même temps ça m’excitait un max et je courrais presque pour aller retrouver mon amant.
Cette fois il m’a demandé de lui sortir la bite. J’ai fait ce qu’il me demandait, me battant avec les boutons. Sa queue était déjà à moitié bandée et j’avais du mal à la sortir. Pendant ce temps il avait passé ses mains sous mon corsage et il me pelotait les seins. Puis il a relevé ma jupe et il a vu que je n’avais pas de culotte. Il a souri.
Il s’est mis un peu de côté et il m’a demandé de le décalotter. J’ai tiré sur la peau tandis que je la sentais durcir de plus en plus. Soudain il s’est mis à pisser, le jet faisant vibrer son sexe déjà bien tendu. Le jet allait loin dans les fourrés et je ne pouvais détacher mes yeux.
Quand la pisse s’est arrêtée il s’est assis sur l’arbre et a demandé de le sucer.
Mais je lui avais préparé une surprise.
A son grand étonnement, je me suis reculée, et me suis accroupie en lui faisant face, prenant soin d’écarter mes jambes au maximum et de relever ma jupe très haut.
Puisqu’il aimait ça, se vider devant moi, j’ai pensé qu’il aimerait me regarder faire la même chose. J’avais une grosse envie, je m’étais retenue de pisser toute la matinée et je me suis vidée moi aussi devant lui, écartant les jambes le plus que je pouvais.
Il me regardait le sexe avec des yeux fous et j’étais super excitée. Tout en me vidant la vessie, je sentais la mouille qui commençait à couler de mon sexe.
Quand j’en ai eu fini, il m’a dit de m’allonger sur l’arbre et il a commencé à me bouffer la chatte. Très vite j’ai joui, les mains devant ma bouche pour ne pas alerter son apprenti. Il a continué de me bouffer le con encore quelques instants puis il s’est relevé et m’a attiré vers lui. Il s’est installé à califourchon sur l’arbre couché et il m’a guidé pour que je m’empale sur lui. Il me tenait sous les fesses et il me faisait monter et descendre sur sa bite dure. Il avait glissé un doigt dans mon cul et la sensation était incroyable. Très vite je me suis mise à jouir. J’avais la tête engoncée dans son épaule, je m’accrochais autour de son cou pour ne pas tomber et je le mordais pour étouffer mes cris. Il m’a laissé récupérer, me caressant toujours les fesses, puis je l’ai embrassé sur la bouche. Il était tout près de jouir et il m’a demandé de le sucer. Je me suis levé, la bite était trempée par mon jus et je l’ai nettoyée avec ma langue avant de le branler avec ma bouche. Comme la veille il s’est vidé en grognant de plaisir.
On s’est embrassés pendant longtemps puis je suis partie, lui donnant rendez-vous pour le lendemain.
Eliane, regarde André, surveillant sa réaction. Celui ci est excité par le récit détaillé de la belle.
Elle demande :
-Tu penses que je suis une salope ?
Comme si soudain elle réalisait que son récit pouvait paraître inconvenant.
Il la rassure :
-Non, pas du tout ! Je t’admire au contraire, et puis tu m’excites un max avec ton récit, continue je t’en prie.
-C’est fini. Cela a duré environ une semaine puis il est parti dans un autre secteur et je ne l’ai plus revu.
Eliane a fini son récit. André est estomaqué. Il la regarde, sonné par le récit de la fille.
L’histoire dépasse toutes les histoires de cul qu’il a pu lire dans les bouquins spécialisés. Il bande à nouveau comme un cerf.
Eliane pose la main sur la belle bite, la masse doucement.
-On dirait que ça t’a fait de l’effet dis donc !
-Si ça m’a fait de l’effet ! T’en as de bonnes toi ! Au fait, fais-moi voir toi !
Disant cela il se met à genoux, et glisse sa main dans le con de la fille. Il est trempé, dégouline littéralement de mouille. Il promène la main les yeux dans ceux mourants de la fille.
Ils halètent, les yeux dans les yeux.
-Tu aimes ?
Elle respire de plus en plus fort, parvient à répondre :
-Oui ! Oh oui ! Et pour toi c’est bon ?
André est aux anges.
- Tourne-toi vers moi, je vais te prendre en levrette !
Elle n’hésite pas, pivote sur elle-même. Le beau cul de la fille est devant lui. Sans hésiter, prenant sa bite dans une main, il vient la présenter à l’orée de la chatte.
Forçant, il se retrouve vite empalé dans le con trempé. La fille pousse un cri de bonheur tandis qu’il s’enfonce le plus loin qu’il peut.
Eliane a posé la tête par terre et gémit de bonheur.
André la laboure de grands coups de reins puissants. Eliane se met à crier de plus en plus fort à présent.
-Ahhh ! Ah oui ! Oui comme c’est bon ! Comme c’est bon, continue ! Continue ne t’arrête pas ! Ah oui ! Ah oui ! Ouiiii !
Et elle se met à jouir en criant sa jouissance. André continue encore un peu, surpris de la rapidité de jouir de la fille. Il s’arrête quand Liliane est un peu calmée, restant planté au plus profond du trou déformé par la taille de son chibre.
Eliane se redresse, relève la tête et dit :
-Retire toi je vais te sucer.
Il se retire, s’assoit sur ses talons, la bite frétillante humide de mouille.
Eliane se retourne complètement, s’assoit sur le sol, les yeux à demi fermés par le plaisir ressenti.
Se mettant à genoux, elle prend le chibre en main tout collant de sa mouille.
Ouvrant la bouche le plus qu’elle peut, elle l’avale, André pousse des grognements de plaisir.
-Oui ! Oui, suce moi bien salope ! Suce moi à fond !
André caresse la tête de la fille, le cou.
Eliane suce vraiment très bien et il sent le désir monter en lui.
-Oui ! Ah c’est bon ! C’est bon ! Ah oui ! Ouiii ! Ahhhh !
Il se répand en râlant dans la bouche de la fille qui continue à le sucer jusqu’à la dernière goutte. Enfin la bite arrête de se libérer et Eliane redresse la tête, la bouche barbouillée de sperme.
André l’attire vers lui et ils s’embrassent passionnément.
Eliane s’est bien gardée d’avaler tout le jus, sa bouche en est remplie. Longtemps le sperme passe de bouche en bouche jusqu’à ce qu’enfin il soit complètement dilué par leur salive.
Ils ses désunissent alors et se regardant, ils éclatent de rire, un rire heureux de jeunes qui on bien joui et ont bien fait jouir leur partenaire.
Ils se rhabillent enfin et se disent au revoir, prenant rendez-vous pour le lendemain.
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