La belle au jardin dormant

Je me dirige, dans le plus simple appareil, vers la terrasse en bois à l’arrière sud de la maison encore pleinement ensoleillé pour y découvrir mon aimée couchée en maillot de bain sur une serviette.

Proposée le 23/01/2017 par Ricardo

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Histoire vraie

Il y a des jours où le travail, même dans un bureau, est harassant et d’autant plus un jour de canicule avec une climatisation en panne. Heureusement la journée s’achève, il est 16h00 et je n’ai qu’une envie, celle de quitter mon jean trop épais et ma chemise qui me collent au corps.

En sortant, la chaleur est étouffante et peu de monde se risque à s’éloigner des rares zones d’ombre dans les rues. J’ai la chance de n’habiter pas trop loin de mon lieu de travail, le temps d’enfourcher mon vieux vélo et cinq minutes plus tard je suis chez moi, une petite maison isolée dans un village non moins isolé.

J’annonce ma rentrée à mon épouse mais pas de réponse. Elle est sûrement allée faire quelques courses, pourvu qu’elle ait pensé à refaire le stock de bière, j’ai soif. Ouf, il en reste une, je la descends en quelques gorgées tout en me déshabillant devant le réfrigérateur. Je n’en peux plus, il fait trop chaud et ça fait 2 semaines que ça dure.

Nu comme un vers, j’ouvre une porte fenêtre donnant sur le jardin en me dirigeant vers la piscine hors-sol que j’ai acheté le week-end dernier. Elle n’est pas énorme mais permet de se rafraîchir à moindre coût. De toute façon je ne suis pas aquaphile mais là ça fait vraiment du bien et sans entrave vestimentaire c’est encore mieux.

Après dix minutes de baignade je remarque le parasol derrière la maison grand ouvert. Je m’interroge et me dirige, toujours dans le plus simple appareil, vers la terrasse en bois à l’arrière sud de la maison encore pleinement ensoleillé pour y découvrir mon aimée couchée en maillot de bain sur une serviette.

« La belle vie ! » : pas de réponse. Elle dort vraiment profondément, je vois ça poitrine monter et descendre doucement. Son deux-pièces lui va à ravir et elle en a défait les bretelles du haut pour optimiser son bronzage que je trouve pourtant déjà parfait. Des perles de sueur coulent sur son corps, elle ne sait pas que je l’observe et ça m’amuse, j’avance sans bruit.

Cachée derrière des lunettes de soleil, je ne sais pas si elle dort encore pour de vrai où si elle veut juste que je la laisse tranquille. Tant pis, Je me couche doucement à côté d’elle sur le côté et la regarde, elle est imperturbable contrairement à moi qui commence à avoir certaines idées qui se bousculent déjà dans mon crâne surchauffé. Je commence à lui éponger du bout des doigts quelques gouttes ruisselantes en commençant par les épaules puis le cou puis le creux de ses seins.

Elle ne bouge toujours pas, j’ai du mal à croire qu’elle puisse encore dormir ! Je descends mes doigts le long de son corps chauffé par des heures de bain de soleil et commence à m’intéresser aux lacets de la culotte de bain que je meurs d’envie de défaire. Ni une, ni deux, je découvre son mignon petit coquillage à peine velu. Tout doucement je caresse cette douce toison dans le sens de sa pilosité comme on caresserait un petit animal.

Elle ne dort pas ou du moins plus, je le sais ! Elle écarte légèrement une jambe laissant de la place à ma main désormais plus intrusive. Elle ne dit toujours rien et ne bouge que lascivement sa main gauche avec le dos de laquelle elle commence à effleurer mon pénis déjà droit comme un « i ». J’effectue du bout d’un doigt de petits va-et-vient le long de la fente du « petit animal » qui est déjà bien humide. Ces seins sont demandeurs aussi, j’ai l’œil pour ça ! Deux petites tétines pointent à travers son maillot dont l’une a déjà la faveur de quelques coups de langue par tissu interposé.

Cette fois-ci je dégage son soutien-gorge qu’il me suffit de glisser vers le bas pour découvrir sa poitrine gonflée par le désir. Je partage mes baisers entre ses deux magnifiques seins et ses lèvres qu’elle mordille. Je ne sens même plus la chaleur écrasante dont je me plaignais encore il y a à peine une heure, l’excitation de nos jeux de mains m’a anesthésié.

Sa main maintient à présent mon sexe fermement avec un lent mouvement masturbatoire. Je lèche ses seins à pleine bouche en m’attardant sur les belles petites corolles qui entourent ses tétons. Sa peau à l’odeur de vanille et de noix de coco, les effluves de sa crème solaire. Je suis à point et elle aussi, je décide de me glisser sur elle pour immédiatement la pénétrer.

Je rentre dans un océan de douceur et veux prendre mon temps dans cette position des plus académiques. Mes va-et-vient sont très lents tout en l’embrassant dans le cou et sur les lèvres. Ses mains sur mes fesses, je sens qu’elle veut que j’accélère, je m’exécute mais suis déjà très excité.

C’est une sensation inédite que de sentir les caresses du soleil sur mes fesses dans pareille situation. J’attrape une de ses jambes pour la relever et gagner en sensation. Idem pour la deuxième. J’accélère encore, elle a le souffle court et moi aussi. Je sens qu’avec une de ses mains elle se dirige vers mon entre-jambes, je ralentie et elle attrape mes testicules pour quelques caresses avant que je meurs de ma petite mort.

Je m’écroule sur elle, la chaleur toujours présente se rappelle à nous. Je m’extirpe en me roulant sur le côté. Elle n’a toujours pas dit un mot, elle réajuste sa tenue et reprend sa position statique probablement pour continuer sa sieste. Moi je retourne me rafraîchir dans la piscine. Ma belle au jardin dormant s’est rendormie, tout ne sera peut-être qu’un rêve pour elle à son réveil. Il faudra alors que je recommence …

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