Une soirée de vacances en Italie où chacun à pu prendre et contribuer au plaisir de l'autre ...
Proposée le 21/09/2016 par zolili7
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie
Lors d’un voyage en Italie, on avait préparé tout un périple à travers la Toscane, après quelques semaines de voyage, on se décide à passer quelques jours dans un hôtel un peu plus gros pour se poser et juste en profiter après tant de trajets et de petits hôtels romantiques mais très cosy. N’ayant jamais arrêté de voyager, on doit laver nos affaires, vider nos sacs et ranger un peu tout ce qu’on ramène avec nous.
L’hôtel est très beau et très grand, pas dans notre habitude mais ça nous convient pour nous reposer. Il y a peu de monde dans l’hôtel, ce n’est pas encore la haute saison. Lors de la fin du souper que l’on prend en terrasse (Du bon vin rouge italien à table) dehors sous des petites lanternes et avec de la végétation, Nath m’avoue qu’elle n’a plus grand-chose à se mettre. Je lui dis aussi que c’est pareil pour moi sans tilter sur l’allusion, je relève alors les yeux et voit qu’elle me regarde avec insistance. Elle me dit alors qu’elle n’a même plus un string à se mettre et qu’aujourd’hui en dessous de sa petite jupe blanche, elle n’a rien mis en dessous. « Ah oui… » je réponds tendrement, en la regardant de plus en plus intéressé. Profitant du fait que nous soyons un peu à l’écart, je lui dis que je ne la crois pas et que je vais vérifier ça… Je me rapproche un peu d’elle (table en rond) et fait glisser ma main doucement sur sa cuisse jusqu’à son entre jambe. Elle frémit un instant. « Ah oui, c’est vrai, tu ne me mentais donc pas… ». Ayant pu vérifier ses dires, je continue doucement à faire des allers retours tendre entre sa cuisse et son entrejambe, effleurant son sexe à chaque passage. Sa peau est chaude et un peu scintillante d’avoir été au soleil toute la journée. Après quelques passages, je m’attarde un peu plus longtemps sur son entrejambe en passant de l’effleurement à des caresses légères un peu partout sur son sexe. Elle frétille d’envie tout en continuant à boire son verre de vin rouge, me regardant de temps en temps à travers avec un petit sourire coquin. Le serveur vient alors nous enlever nos plats et prendre l’addition.
Un peu excitée mais sachant qu’elle pourra en profiter tout à l’heure, Nath me dit qu’elle aimerait beaucoup faire un tour sur la plage et regarder le coucher du soleil. Nous partons tous les deux le long de l’eau, le bruit des vagues suivant nos pas. Après quelques minutes de marche, je lui caresse un peu les fesses et sent sa nudité sous sa jupe. Elle me regarde tendrement et nous nous arrêtons pour nous coucher sur la plage. Je m’assied les jambes écartées alors qu’elle se met assise dans le creux de mes jambes. Le coucher de soleil est magnifique, à une centaine de mètres des personnes boivent un verre en terrasse mais trop préoccupé par un match de football qui se déroule ce jour-là. Coller l’un à l’autre et admirant le coucher du soleil, je profite de notre promiscuité pour recommencer à la caresser sur ses cuisses en faisant des allers retours sur son entrejambe. De la main gauche, je soulève alors un peu sa jupe et je fait glisser ma main droite en dessous pour la caresser doucement sur son sexe, et l’intersection entre sa cuisse et celui-ci. Elle respire un peu plus fort et m’embrasse tendrement dans le cou. De dos par rapport aux personnes qui boivent un verre, on croirait qu’on ne fait qu’admirer le coucher du soleil, pourtant, c’est une autre histoire qui se déroule ici. Après quelques minutes Nath devient un peu plus humide. J’alterne à faire des petits ronds sur son clitoris à caresser de haut en bas l’entrée de son sexe. Elle sent distinctement le bout de mes doigts qui font le contour de son clitoris et le glissement de ceux-là mêmes qui glisse fébrilement de haut en bas… Elle agrémente son plaisir de petits « mmmh » et autres gémissements.
Le soleil est alors couché, nous rentrons à l’appartement. Pour y rentrer on doit prendre une montée sur le côté du bâtiment. Après 200 m, On est un peu fatigué de monter, on trouve une petite alcôve où les gens peuvent diner en pleine journée, un peu à l’écart du chemin. Nath s’assied sur le banc, alors que je m’agenouille tout de suite face à elle. « Non, c’est un chemin pour rentrer au appartement. » Je réponds qu’on fait juste une petite pause et qu’il n’y a pas grand monde dans l’hôtel… Sentant ma main glisser sur sa cuisse et mon autre main lui écarter les cuisses, elle n’en trouve rien à redire. C’est le soir mais il fait encore un peu chaud et toutes les senteurs de la journée et des fleurs ressortent d’une manière très agréable. Doucement, j’embrasse l’intérieur de sa cuisse de la hauteur du genoux à remonter jusqu’à son entre jambe petit à petit. Moi à quatre pattes, elle assise sur le banc l’entrejambe un peu en avant, je lui lèche doucement le clitoris alors qu’elle pose sa main sur le dessus de ma nuque. Quelle bonne idée de ne plus avoir de sous-vêtements à se mettre… Je lui lèche l’entrecuisse puis le clitoris à plusieurs reprises, j’entame alors de lèches un peu plus forte de haut en bas sur tout son sexe. Elle gémit doucement alors qu’à présent je fais tourner toute ma langue sur tout son sexe pour l’introduire par de légers allers retours à l’intérieur. Elle gémit, en profite, puis de temps à autre regarde si quelqu’un n’arrive pas. Je lèche encore tout du long puis aspire son vagin en prenant bien tout en bouche, puis une petite lechée puis j’encercle à plusieurs reprises son clitoris pour le suçoter. Je reprends alors à faire des petits ronds sur son clitoris. Elle gémit de plus en plus fort et est à présent toute trempée. Tout d’un coup, elle bloque ma tête et me relève, des personnes monte l’allée. Je stoppe mon activité et me met à côté d’elle l’air de rien sur le banc. Nous disons bonsoir au couple qui passe comme si rien ne s’était passé. Il prenne tout de suite un chemin sur la droite et partent assez loin. Nous décidons alors de remonter jusqu’à notre appartement tout au-dessus. Nath est déjà très loin dans l’excitation, elle est toute rouge et brulante.
Sur le chemin de l’appartement, je place ma main sur ses fesses (possible car elle à des hauts talons), au fur et à mesure que l’on avance, je la met en dessous de ses fesses. Je la caresse doucement. Elle me regarde profondément, nous continuons à avancer alors que je pousse un peu plus loin ma main et que je caresse son entrejambe. Elle avance tout en fermant un peu les yeux de temps en temps, se collant à moi tout en marchant. Je bouge alors ma main de plus en plus, elle est toute trempée et gémit de temps à autre. Un instant, vérifiant qu’il n’y a personne sur le chemin, je la plaque contre un mur pour l’embrasser et tout en l’embrassant je lui introduis doucement mes deux doigts dans son sexe par-dessous sa jupe. Elle gémit en m’embrassant et ouvre sa bouche pour me mordiller un peu les lèvres. Durant 30 secondes, je la doigte sur cette petite allée plaquée contre le mur alors qu’elle est au bord de l’orgasme.
Je la reprends alors par le bras doucement et nous continuons à avancer. Arrivé au bâtiment, nous attendons l’ascenseur alors que je caresse de nouveau juste en dessous de ses fesses. Elle est excitée comme une folle. Nous rentrons dans l’ascenseur, sachant que nous sommes au 7e, je m’approche d’elle et durant la montée de l’ascenseur, j’insère une nouvelle fois mes deux doigts en elle bloquée sur la paroi de l’ascenseur, elle gémit et émet des petits cris qui accusent un orgasme dans peu de temps. L’ascenseur arrive. Nous sortons, j’avais pu constater qu’il n’y avait personne à notre étage mis à part un couple de petits vieux qui ont déjà été dormir. Je marche à ses côtés en continuant à la toucher par-dessous sa jupe, elle est littéralement trempée et à du mal à marcher tellement ce geste lui procure du plaisir, elle s’arrête de temps à autre pour reprendre son souffle.
On arrive à l’appartement, le dernier du couloir un peu dans un encadré. Elle sort la clé et veut la mettre dans la serrure, pendant qu’elle se penche pour la placer, je rentre à nouveau mes doigts dans son sexe, elle s’arrête et gémit. « Quoi tu n’arrive pas à ouvrir la porte ? » lui dis-je en la narguant d’un sourire et d’un regard sexuel. Je la doigte alors avec des allers retours réguliers, elle tente de mettre la clé dans la serrure mais tombe à chaque fois à côté par les sursauts que provoque mon geste. J’accélère alors le rythme et Nath ferme les yeux et gémit de plus en plus fort essayant d’étouffer les sons qu’elle émet. J’y vais alors à fond, elle n’en peut plus, mord dans son petit débardeur et jouit juste en face de la porte de l’appartement. Je la caresse encore doucement sur l’entrée alors qu’elle se retourne transpirante d’un air soulagé et heureux.
On rentre dans l’appartement, après toutes ces émotions, je décide d’aller fumer une cigarette sur le balcon avec un verre de vin. Nath va un peu se rafraichir dans la salle de bain. Je fume doucement ma cigarette alors que je me satisfais de l’effet provoqué sur elle. Les cigales émettent leur son particulier alors qu’une lanterne éclaire la terrasse. Je finis à peine ma cigarette que je la vois revenir avec sa petite jupe mais surprise plus de haut… « J’ai vraiment plus grand-chose à me mettre dit-elle. » Sa vision m’excite beaucoup avec ses seins à l’air et ses petites pommettes rouges qui trahissent sa jouissance récente. Elle s’accroupit alors face à moi et commence à me déboutonner mon short. Elle déboutonne également mon slip large à boutons et l’ouvre au maximum. Mon pénis est déjà semi dur par cette vision. Elle me regarde alors dans les yeux, penche un peu la tête sur le côté avec ses cheveux qui tombe d’un côté et elle fait glisser le bout de sa langue tout le long de mon sexe en titillant le frein sur la fin. Ouf…. Ma respiration s’accélère et je ressens encore la sensation de sa langue sur mon pénis. Elle rit doucement puis entame des allers retours avec le bout de sa langue sur toute la longueur de mon sexe, il devient très dur en quelques instants et j’émet des petits hoquet de surprise par le plaisir que ça m’occasionne. Mon sexe bien dur, elle prend alors mon gland en bouche avec sa bouche bien humide, mes yeux se ferment de plaisir alors que je lui caresse les cheveux. Elle me regarde d’une manière sexuelle et tapote mon sexe sur ses lèvres puis enchaine en enfonçant mon sexe dans sa bouche par des allers-retours continus. Je deviens alors incontrôlable. Je respire fort et gémit toutes les 5, 6 secondes par les surprises qu’elle me donne dans ses attouchements.
On entend du balcon des gens qui rentrent du souper mais ils ne peuvent pas nous voir étant en hauteur et le balcon étant en pierre. Elle continue sa démarche et prend alors sa main pour accompagner sa bouche en suçant mon sexe. Ca me fait beaucoup trop de plaisir, je gémit et hoquette de plus en plus vite et de plus en plus fort. Elle descend alors et me suçote une testicule … puis l’autre. Tout en branlant doucement mon pénis. Encore un autre plaisir inouï, je commence à avoir du mal me gérer. Elle me regarde alors dans les yeux et utilise ses deux mains, elle me branle sur le dessus et caresse en dessous. Je n’en peux vraiment plus, je suis au bord de l’orgasme. Elle continue à me branler pendant 1 minute de la sorte, je n’arrive pas à ne pas bouger ayant des petites convulsions de plaisir. Elle arrête et tape quelques fois mon pénis sur ses seins tout en me regardant langoureusement puis elle recommence à me sucer. Je n’en peux plus. Elle y va à fond accompagnant sa bouche avec sa main, je crie un peu mais tente de me canalyser. Elle enlève alors sa main, appuie un peu plus ses lèvres sur mon pénis et fait des allers retours plus profond. La sensation de plaisir est intense, je ne me contrôle plus du tout, je gémis, ma main se crispe sur ses cheveux. Elle se retire, et je jouis sur sa poitrine alors qu’elle me branle rapidement et de manière ferme. Je prends un plaisir fou à ce que mon sperme sorte de mon sexe. Elle me regarde excitée et d’un air satisfait me voyant gémir, crier et me tendre sous l’effet du plaisir. Elle rentre alors dans l’appartement, la poitrine pleine de mon liquide chaud pour se nettoyer alors que je récupère de mon plaisir…
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