Giulia - Episode 7*

L'histoire suivante est 100% véridique, racontée par Giulia. Vous allez vite découvrir que la fidélité, ce n'est pas pour elle. Que ça n'a jamais été pour elle. Une vraie petite salope je vous dit!

Proposée le 19/12/2025 par GuiNancy

Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

J'avais un peu moins de 17ans et je me trouvais en Italie dans le cadre d'un échange scolaire. Vous savez, ces échanges de correspondant. Ce pré-Erasmus pour lycéen. Si Erasmus est un vrai parcours de débauche.... ben celui là fut mon parcours de pré-débauche.

Je logeais dans une belle villa en banlieue de Rome chez une famille dont la fille était partie chez mes parents. Une belle et grande maison. Bon, en été ça serait mieux mais au printemps c'était déjà pas mal. J'avais ma chambre dans une aile de la villa. Les parents de ma correspondante avait la leur dans la partie principale.

J'aurai pu être seule dans cette partie de la maison.... si elle n'avait pas eu un frère de 23 ans dont la chambre se trouvait juste en face de la mienne.

Pour finir de vous décrire la situation, j'avais un petit copain à l'époque. Et je n'étais ni vierge ni sage. Alors être privée de sexe pendant deux semaines me semblait impossible. Raison pour laquelle j'avais emporté mon ordinateur portable. Et sa webcam.

Un soir, je me suis tapée une petite séance de vidéo-sexe avec mon copain. Nue. Cuisses ouvertes. La main s'égarant en bas de mon ventre tout en lui racontant ce que j'aimerais qu'il me fasse. Et évidemment, il en faisait de même.

C'était bon. Pas au point de jouir malheureusement mais bon. Bon au point d'oublier d'être vraiment prudente. Je me sentais suffisamment isolée dans cette grande maison pour me lâcher. Sauf que je n'avais pas entendu le grand frère de ma correspondante rentrer dans sa chambre.

Un bel italien, grand, brun, ténébreux, sportif. Plutôt beau gosse et complètement à mon goût. Tellement à mon goût que je me suis demandée si je n'avais pas volontairement provoqué ce qui est arrivé ensuite.

Je venais de refermer mon ordinateur et d'enfiler mon pyjama quand il a toqué à ma porte. Je me suis rapidement glissée sous mes draps avant de l'inviter à entrer.

Il était là devant moi, mon bel italien. Torse nu, portant juste un bas de pyjama. Et une bosse dans ce bas de pyjama. Il m'a regardé, un regard brûlant. Avant de me dire :
« Je parle parfaitement français tu sais »
« Euh... oui... et ? »
« Tu n'as pas vraiment été discrète »

Là j'ai compris. Et j'ai compris pourquoi il était tendu. Je n'ai rien dit. Je ne savais pas quoi dire en fait.

« T'es une vraie petite cochonne » a t'il dit avant de fermer la porte et de s'approcher de moi.
« Je ne peux pas le nier.... »

Et d'un geste sec, il a tiré les draps avant de poser une main sur ma cuisse au dessus du pyjama. Et pour tout dire, j'étais nue sous le tissus très fin.

J'ai senti ma respiration s’accélérer et ma seule réaction physique a été d'entrouvrir légèrement mes jambes. Alors il a finit le travail en se penchant sur moi et en m'embrassant. Il ne m'a pas trop laissé le choix. Mais pour être honnête, j'aurai eu le choix, je l'aurai laissé faire.

Ses mains ont soulevé le haut de mon pyjama, mettant mes deux seins à l'air tandis que la mienne glissait sous la ceinture de son pyjama et s'emparait de sa bite tendue. Une belle queue. Un beau morceau vraiment. Et bien dure comme je l'aime.

Je le branlais doucement pendant qu'il me léchait les seins et jouait avec mes tétons très sensibles. Je commençais à gémir doucement, profitant de ce moment les yeux fermés. Je l'ai alors senti baisser mon bas et une de ses mains est venue jouer avec ma chatte et mon petit clitoris.

Mon bras ventre était encore bien chaud de ma session précédente avec mon mec. Alors il n'a pas eu de mal à me chauffer encore plus. Ses doigts étaient très habiles à la fois sur mon bouton de plaisir et à l'intérieur de ma chatte.

J'ai sorti sa bite pour l'approcher de ma bouche. Ma langue a découvert le goût de son membre viril et il a voulu se poser en 69. Mais je ne suis vraiment pas fan de ça. Je veux profiter quand je suce et profiter quand on me mange. Et les deux en même temps m'empêche de profiter vraiment.

Alors je lui ai dit non et, avec mon meilleur regard de chienne en chaleur, j'ai commencé à le sucer. L'enfonçant aussi loin que possible dans ma gorge. Et à mon tour je lui arraché des gémissements de plaisirs. Ce qui a finit de m'exciter à mort.

J'ai profité un bon moment de cette bonne bite dans ma bouche puis il est venu se mettre entre mes cuisses. Et il a commencé à manger mon clito en fourrant un doigt puis deux doigts en moi. Et il savait s'y prendre ! Mieux que les mecs de mon âge clairement !

Il m'a regardé lubriquement en disant « c'est bien ça que tu demandais tout à l'heure non ? » avant de reprendre. Il avait effectivement tout entendu. Et tout compris.

En deux minutes à peine, il m'a fait jouir. Un orgasme retenu, contenu car sinon j'aurai hurlé à réveiller tout le quartier ! Mais un putain de gros orgasme dont on a bien profité tous les deux.

J'ai à peine eu le temps de redescendre qu'il était à genoux entre mes cuisses grandes ouvertes, sa bite à l'entrée de mon vagin ouvert et luisant d'envie. J'ai murmuré un « baise moi » et il s'est enfilé dans ma chatte jusqu'à la garde.

J'ai encore retenu un hurlement de plaisir avant de sentir ses hanches claquer contre l'intérieur de mes cuisses à un rythme régulier. Il m'a regardé en souriant puis a dit :
« Tu peux crier, t'es pas la première que je baise ici avec mes parents dans la maison. Ils n'entendront rien »

Vraiment ? Connard ! T'aurais pu le dire avant ! C'est exactement ce qui m'est venu à l'esprit. Mais je me suis retenue. Et à l'inverse j'ai pris ça comme un défi. Voir si ses parents allaient m'entendre moi. Et tant pis pour les conséquences !

Il a commencé à bien me défoncer et j'ai rien fait pour retenir mes gémissements et cris de plaisir. Je n'avais même pas besoin d'en rajouter sincèrement. Il me baisait vraiment bien.

« C'est ça que tu voulais petite cochonne hein ! »

Alors non, ce n'était pas exactement que je voulais. Et visiblement, levrette était dur à traduire en italien. Et j'étais trop concentrée sur la situation pour avoir envie de lui expliquer. Je me suis contenté de me redresser pour le sortir de mon ventre et de me mettre à 4 pattes devant lui.

C'est dingue comment le sexe est un langage universel ! Il a compris de suite, m'a agrippé les hanches et ce fut le début d'une bonne levrette. D'une excellente levrette même. Il était bestial à souhait. Il me baisait comme une chienne. Ou comme une petite cochonne comme il le disait.

Il me démontait littéralement, je sentais mes seins ballotter sous mon petit corps. Il m'attrapait par les cheveux pour me tirer la tête en arrière et quand il ne le faisait pas, c'était pour claquer fortement mon petit cul.

Vraiment, on était tout sauf discret. Il avait raison, si ses parents n'étaient pas en train de taper à la porte, c'est que personne n'entendait rien.

Alors j'ai profité pleinement de mon second orgasme. J'ai vraiment crié mon plaisir comme une folle. Et ça l'a vraiment rendu dingue car les coups de reins furent encore plus bestiaux et désordonnés.

J'étais sure qu'il allait gicler en moi quand il est sorti et m'a retourné sur le dos. A cheval au dessus de ma poitrine, il est venu me gicler en plein visage. Une groooosse éjaculation. Ma première faciale.... putain, que c'est booon d'être souillée ainsi....

Les jours qui me restaient en Italie furent ponctué de bonnes parties de baise. Ce que mon mec de l'époque ne soupçonna jamais. Même quand je lui ai demandé de me facialiser lui aussi.

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Commentaires de l'histoire :

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