Il s'agit d'une histoire vraie racontée par Giulia. Une belle petite salope celle là... D'autres histoires véridiques viendront au fur et à mesure de la fictive. Bonne lecture.... ;)
Proposée le 11/08/2025 par GuiNancy
Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Toilettes
Type: Histoire vraie
Épisode 3 *
Cet épisode sera à travers les yeux de Giulia. Et * signifie que c'est une histoire vraie qu'elle m'a raconté. Je me contente de la replacer au cœur de l'histoire fictive. Et oui, j'ai découvert qu'elle était une belle petite salope caché sous une façade d'ange.... comme j'aime.
//////////////////////////
Après lui avoir sucé la bite pour le nettoyer, je me suis relevé, toute souriante et fière de moi. Et j'avais de quoi l'être je pense. Pour une fois j'avais un vrai mec, un qui n'a pas peur de traiter la petite salope que je suis comme elle le mérite.
Et je réussissais à le provoquer encore plus. Moi une gamine de 18ans, je donnais des envies encore plus bestiales à un homme vraiment Dominant. Oui, je suis fière de moi.
Je me suis rhabillée et on s'est installé dans son canapé. Sachant l'un comme l'autre que ce n'était qu'un intermède avant le second round. Mais ce second round, je comptais bien le provoquer. Encore.
Et en l'entendant me dire « Tu caches bien ton jeu petite salope », j'ai su comment j'allais m'y prendre.
« T'es pas le premier à me le dire »
« Vraiment ? Dis m'en plus »
« Que veux tu savoir ? »
« Une preuve que je ne suis pas le premier à te le dire »
J'ai pris mon plus beau sourire de salope, j'ai laissé glissé la bretelle de mon haut et je lui ai répondu.
« Le pion de mon lycée me l'a dit lui aussi »
« Le pion ? Raconte moi tout » et en me disant ça, il a fait glisser la seconde bretelle de mon haut, le faisant tomber sous mes tétons.
« C'était la fête de fin d'année au lycée. Juste avant Noël. Peu avant mon anniversaire. Le pion me plaisait depuis 2ans mais j'étais trop jeune »
« Tu l'étais encore si je calcule bien »
« Certes. Mais j'étais à 2 mois d'être majeure alors bon. Le pion était un grand brun, typé, sportif. Il faisait du rugby. Il avait 25ans. Et je rêvais de me l'envoyer depuis très longtemps. Et je m'amusais à l'allumer à l'occasion »
« C'est à dire ? »
« Je n'aime pas trop les soutifs notamment. Et certains de mes hauts baillent un peu trop. Surtout si je tire un peu dessus avant de passer devant un mec. Ou si un bouton saute par malchance »
Il s'est mis à rire. Et à caresser doucement mon téton.
« Par malchance hein... »
« Une fois j'ai fait sauter deux boutons et j'ai un peu écarté les pans de mon chemisier. Il a eu une vue parfaite sur mes seins. Et je l'ai regardé dans les yeux pour qu'il sache bien que je l'avais vu. Et que ça ne me dérangeais pas »
« Et donc, cette soirée ? »
« Il était là pour nous chaperonner. C'était dans le gymnase du lycée. J'avais mis une petite robe. Ça avait beau être Noël, dans la région il ne fait pas froid. Elle n'était pas trop légère et pas trop courte. Mais elle était boutonnée par devant. Et là encore, pas de soutif.
J'étais avec deux copines. Je l'ai tout de suite remarqué. Sage, surveillant la salle dans un coin à l'écart et plutôt loin des éclairages. Discutant à l'occasion avec un ou deux élèves. J'ai profité d'un moment dans la soirée où il était seul. Je suis allé le voir l'air de rien. Il m'a regardé arriver avec un petit sourire.
Je l'ai regardé en souriant. Je tournais le dos à la salle et personne ne pouvait me voir.
« Salut Giulia »
« Salut Marc »
« Ta soirée se passe bien ? »
« Oui. Mais elle pourrait être meilleure j'avoue »
« Qu'est ce qui te manque ? »
Et là, j'ai fait sauter les deux boutons du devant de ma robe. Je tournais le dos à tout le monde donc personne ne pouvait le voir hormis lui. Et ces boutons étaient assez espacés. Lui offrant une vue totale sur mes seins.
« La vue t'avait plu la dernière fois je crois... »
« Oui. Je confirme. Et elle me plaît toujours »
« Eh bien si tu veux en voir plus, je sais que les toilettes au fond du gymnase ne sont pas fermées.... » et j'ai refermé ma robe avant de repartir lentement vers la salle. Et de prendre la route du couloir desservant les toilettes du fond. Je savais qu'il n'y aurait personne car les toilettes des vestiaires étaient plus proches.
Je ne me suis même pas retournée. S'il ne venait pas, tant pis pour lui. J'ai remonté tout le couloir sans allumer la lumière par discrétion. Et je suis entrée dans les toilettes. J'ai fermé la porte sans verrouiller. Et j'ai tout de suite enlevé mon string sous ma robe. Il est entré quand je finissais de déboutonner le haut de ma robe. Mon string était posé en évidence sur le meuble du lavabo.
Il a pensé à verrouiller la porte avant de s'approcher de moi. Il a tout de suite remarqué mon string.
« Tu caches bien ton jeu petite salope... »
A l'instant où j'ai dit ça, mon mâle m'a tordu le téton qui était tout dressé. J'ai échappé un gémissement de plaisir et de douleur avant de reprendre mon récit.
Il s'est approché de moi. Et j'ai alors fini d'enlever ma robe, la faisant glisser sur mon corps, la laissant tomber à mes pieds.
« Là je ne cache plus rien.... »
Il s'est approché encore plus. Timidement, il m'a attrapé un sein. Mais c'était trop timide pour moi. Alors je n'ai pas perdu de temps. A genoux. Directement. Et j'ai attaqué sa braguette. Il bandait déjà bien et ça a fini de m'exciter. J'ai sorti sa bite. Un bel engin. Et bien dur surtout.
Je l'ai regardé avec mon regard de petite salope en chaleur et direction ma bouche. Je l'ai entendu gémir de soulagement et de plaisir quand mes lèvres se sont fermées sur son gland et que ma langue est entrée en action.
Franchement, je l'ai bien sucé. J'adore ça donc c'est facile. Et il appréciait ça. J'ai senti ses mains dans mes cheveux et ses gémissements de plaisirs étaient très parlants.
Mais hors de question qu'il gicle aussi vite et juste dans ma bouche. Cette queue j'en rêvais depuis trop longtemps pour ne pas la prendre en moi. Alors je me suis relevée. Je me suis reculée et je me suis assise sur le meuble du lavabo. Cuisses ouvertes. Ma chatte luisante d'envie offerte.
« Tu viens de passer dans la bouche d'une adolescente dont tu as la garde... alors fini le travail, que le risque en vaille la chandelle »
Je pense qu'il a alors réalisé les risques. Et tant mieux si ça le rendait enfin bestial. Il s'est approché en me regardant dans les yeux et il m'a pris. Mais pas aussi fort que je l'aurai aimé. Il a glissé dans mon ventre sans difficulté tellement j'étais trempée. Et il est allé au fond. Mais je voulais des coups de butoir, qu'il me défonce, qu'il me traite comme une pute.
Et il me traitait à peine comme une petite salope. Il me ramonait, il me regardait dans les yeux, il jouait avec mes seins mais je voulais sentir sa main sur ma gorge, je voulais que ses coups de queue me fasse regretter de l'avoir allumé, je voulais qu'il m'insulte. Il était bien monté et il y allait quand même fort. De quoi m'arracher quelques gémissements et me donner du plaisir malgré tout.
Je l'ai laissé me labourer quelques minutes comme ça avant de le repousser et de descendre du meuble. Pour me pencher sur le lavabo, face au miroir. Et le regarder dans le reflet. J'ai enfin vu passer un éclair de bestialité dans son regard. Il m' agrippé les hanches et là le coup de rein valait vraiment le coup. Il m'a collé les hanches contre le meuble.
Et en avant la musique. Là, il m'a vraiment défoncé. Il m'a bien prise et j'ai du serrer un peu les dents pour m'empêcher de gémir et de crier trop fort. Le coup de grâce est venu quand il m'a tiré par les cheveux. Je ne sais pas si c'était pour me faire sentir qu'il me dominait ou pour voir mon visage crispé de plaisir dans le miroir, mais il a atteint son résultat.
J'ai joui. Un orgasme retenu, maîtrisé pour éviter qu'on ne m'entende même si la salle était assez loin. Mais un orgasme quand même. Il a du le voir et je pense qu'il a aimé le spectacle. Le temps de reprendre mes esprits, je me retirais avant qu'il ne gicle.
Il m'a regardé d'un air déçu, perdu, frustré. Je l'ai rassuré rapidement.
« Tu ne penses pas qu'il vaut mieux éviter de gicler dans le ventre d'une adolescente ? »
Et hop ! Retour à genoux ! En moins d'une minute, il se vidait dans ma bouche. Et j'avalais tout comme une grande. En me passant la langue sur les lèvres pour rendre tout ça encore plus salope. Il me regardait, désorienté après être redescendu sur terre. Il réalisait pleinement ce qu'on venait de faire. Son cerveau reprenait le dessus sur sa bite. Ça me faisait sourire. S'il savait, il serait moins choqué et moins stressé.
J'ai fini par me rhabiller, lui de même et on est retourné discrètement, et séparément, à la fête ».
« Tes copines n'ont rien remarqué ? »
« Non. Tout le monde pensait vraiment que j'étais sage. »
« Et tu as remis ça avec lui ? »
En disant ça, sa main passa entre mes cuisses. Et rapidement, ses doigts entre mes lèvres humides.
« Non.... il était bon mais il aurait fallut qu'il soit mieux que ça.... pour avoir le droit d'y retourner.... » je parlais entre deux gémissements car ses doigts étaient vraiment doués.... et merveilleux.
« Allez, suce moi maintenant petite salope... »
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email