Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Le fourreau partie 2

La belle MILF l'invite chez elle pour des moments intenses, sans fourreau puis avec fourreau. Ils s'engagent dans des jeux sexuels dans différents lieux de la magnifique propriété, en l'absence de l'époux qui délaisse son épouse qui est en conséquence en manque.

Proposée le 14/10/2025 par jerome james b

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


LE FOURREAU
partie 2
On était jeudi soir, et je ne l'ai pas appelée immédiatement. J'avais besoin d'avoir un peu de recul. J'étais fasciné par elle, attiré par elle, sans limites, mais je voulais un peu contrôler les choses. J'avais été rarement été attiré par une femme comme je l'étais par elle. Elle me rappelait tout à fait cette femme, qui avait pour moi des allures d'éléphant blanc, dont me parlait un de ses copains, qui lui donnait du plaisir de manière très particulière, lui enfonçant la main entière dans l'anus et le fouillant à l'intérieur, ou le sodomisant avec des godes-ceinture. Il me semblait que la femme au fourreau était sur la même longueur d'ondes. Sans forcément aller sur les mêmes pratiques.
J'ai attendu jusqu'à mardi matin avant de lui faire un mot. Un SMS
Je suis libre cet après-midi, on pourrait se voir.
La réponse a été quasi instantanée.
300, rue des Tilleuls. Je t'attends. Pour un moment de plaisir.
C'est un quart d'heure après que sont arrivées les photos. Prises pour l'occasion ou déjà prises avant et envoyées de manière plus universelle pour séduire les hommes dont elle avait envie. En tout cas, j'en ai eu pour mon argent. Et la queue raide, bien sûr. Il y avait une première photo, un plan moyen sur ses jambes, gainées de bas stay-up, son ventre nu, fente entrouverte sur un intérieur rose, lèvres de sortie. La deuxième c'était un gros plan sur son sexe uniquement, qu'elle ouvrait d'une main, son index et son majeur écartant son entrée, pour laisser voir plus de son intérieur tout rose. L'autre main prenait la photo.
Sur la troisième et la quatrième, l'appareil devait être sur un trépied, et la photo prise avec minuteur. Sur la première, elle était à quatre pattes avec un fourreau, un autre,noir, qui l'enveloppait, tendu sur et par ses fesses, et on voyait bien que ses fesses étaient directement contre le tissu sans l'intermédiaire d'un slip, tissu qui s'enfonçait dans sa raie. Un fourreau plutôt court, qui s'arrêtait à mi-cuisses. Laissant ses jambes à nu. Elle avait des bas stay-up, apparemment elle aimait ça, mais aussi une belle paire de cuissardes, de cuir gris, avec des talons aiguille et une longue fermeture-éclair qui courait sur le cuir de la cheville jusqu'en haut.
Le deuxième cliché, c'était la même chose, mais en mieux, ou en pire, si je devais considérer le degré tolérable d'excitation, quoi que le premier m'ait déjà mis dans les tours. Elle avait retroussé le fourreau, dont la limite était maintenant à la moitié de son ventre. Laissant voir ses fesses, ouvertes par la position, vraiment bien galbées, le dessin de son anus, au fond de sa raie, et plus bas le dessin complexe d'une vulve toute gonflée, dont l'état, simplement sur la photo, disait son excitation.
Pourtant ce qui m'a troublé le plus, sans aucun doute, ça a été son expression. Elle était tournée vers l'objectif, et cette expression disait clairement: 'Tu peux venir et me faire ce que tu veux. Me baiser comme tu le voudras. De toutes les manières que tu imagines. Je serai d'accord.'
Difficile, après avoir reçu ces clichés de ne pas se précipiter vers elle.
Je me suis engagé dans cette rue des Tilleuls en début de l'après-midi. Elle était toute en ascension. Elle démarrait au bas d'une colline, et montait en même temps que celle-ci.
On baptisait dans la ville cette colline qui la surplombait 'la colline des riches' avec pas mal d'alacrité et de jalousie.
C'était là qu'il y avait supposément les plus belles propriétés, les plus riches en tout cas, grandes, avec piscine, et parfois parc arboré.
Le 300 c'était une belle maison d'aspect moderne, large, avec un étage, pas mal de baies vitrées, beaucoup de terrain devant et une piscine.
Et de quoi se garer devant.
Ce que j'ai fait.
Un peu comme dans certains films américains, il y avait une allée, dallée, qui remontait vers la maison.
Elle devait me guetter, ou plus simplement, elle m'a entendu, et elle est sorti sur le pas de la porte.
J'ai compris que le fourreau ce n'était pas forcément une obligation pour être sexy. Elle est apparue avec un micro-bikini, comme je n'en avais vus que dans les films pornos. Il était jaune et il couvrait un tiers de ses seins, prenant les tétons. En bas, c'était aussi rikiki, avec un triangle de tissu qui couvrait juste les lèvres, et derrière aucun tissu, je m'en suis rendu compte quand elle s'est tournée pour me guider vers la piscine. De plus, le tissu était mouillé, et donc entièrement transparent, laissant voir en haut ses tétons tout durs, et en bas, le dessin de son sexe, ses lèvres qui appuyaient contre le tissu, tout en s'enfonçant en partie dans sa fente.
— Je faisais trempette en t'attendant. Ca te dit qu'on aille dans la piscine à deux ? J'ai des maillots de toutes tailles, pour les amis quand ils viennent, viens je vais t'en faire choisir un.
Le tissu a changé, pas l'érection qui le déformait. Elle salivait en la regardant, mais elle n'était pas décidée à s'attaquer à ma queue dans l'immédiat. C'était sans doute reculer pour mieux sauter. Et l'expression sauter était parfaitement adaptée à la situation.
On a débouché à l'extérieur et elle m'a poussé dans l'eau.
Plongeant immédiatement. Et effectivement ses attaques se sont déroulées sous l'eau. J'ai senti qu'elle descendait le tissu de mon slip de bain, et qu'elle prenait ma queue dans sa bouche.
Je me suis laissé glisser sous l'eau moi aussi. Une sensation autre, nouvelle que de mélanger le plaisir sexuel et des perceptions autres, sous l'eau, le silence, le fait de retenir sa respiration, mais de pouvoir quand même agir. Sa bouche était verrouillée autour de ma queue, allant et venant dessus, et c'était tellement excitant que j'ai cru un instant que j'allais me jouir dessus. Elle s'est laissée porter par l'eau pour se mettre tête bêche, de telle manière que je puisse lui enlever son slip de bain et dévoiler son intimité. Dardant ma langue, je suis venu parcourir son sexe. Sa cyprine coulait d'elle, se mélangeait à l'eau, et c'était infiniment troublant. J'ai senti son corps se tendre quand ma langue est venue en travers de ses lèvres, et encore plus de cyprine est sortie d'elle, venant marquer sa différence d'avec l'eau avec un substrat différent, avant de s'y dissoudre. Elle m'a laissé faire, emportée par le plaisir, gardant ma queue dans sa bouche, avant de la caresser à nouveau.
On peut tenir un moment sous l'eau. Mais seulement un moment. Quand on est remontés, on était proches d'exploser. On a repris notre souffle. Elle était accrochée au rebord de la piscine, et je suis venu derrière elle. Ses fesses affleuraient l'eau. Je les ai ouvertes en appuyant dessus et j'ai fait glisser ma langue dans son sillon. Elle a gémi de plaisir. Je suis parti de haut en bas, puis de bas en haut, avant de venir appuyer sur sa muqueuse anale, en en dessinant les plissements.
— Ah, tu me fais trop de bien...Tu ne sais pas ce que c'est d'avoir le feu au cul en permanence, et de ne pas avoir de partenaire. Heureusement que je t'ai trouvé sur ma route. Quand je t'ai vu et que j'ai vu la manière dont tu me regardais, je me suis dit qu'on pourrait être de bons copains, toi et moi. Je me suis pas trompée. J'ai un instinct infaillible...
Elle a tendu sa main en arrière, et elle est venue masturber ma queue. Je lui ai facilité la caresse en me poussant vers elle. On s'est calés un moment comme ça avant qu'elle ne prenne appui sur le bord de la piscine et ne se pousse hors de l'eau, toute gracieuse en s'arrachant ainsi de l'eau, et ruisselante. J'ai suivi le mouvement. Elle a attrapé une grande serviette posée sur un siège, et elle est venue m'essuyer, insistant sur ma queue, dont elle a voulu s'assurer qu'elle était parfaitement bien sèche. Moi je n'ai pas attendu et je suis venu balader mes mains sur elle. Une peau fraîche, mais la chaleur de son corps remontait bien dans mes mains et mes bras. J'avais envie de mettre mes mains partout, la toucher, comme une première reconnaissance, qui, je l'espérais, en anticiperait d'autres. Je me suis calé à l'entrée de son sexe, je l'ai trouvé tout ouvert et tout humide. Elle a gémi. M'a tendu la serviette. Je suis venu sur elle, mes mains enveloppées par le tissu éponge, et je l'ai essuyée, insistant sur les parties de son corps qui lui donneraient le plus de plaisir, même si j'étais conscient que tout le corps était érogène. Elle s'est laissée faire, les yeux clos, au simple plaisir de la caresse.
Quand nos deux corps ont été secs, et si sa chatte a elle été mouillée, elle m'a attrapé par la main et entraîné vers un transat. Elle a basculé sur le dos, ouvrant ses cuisses, totalement offerte ainsi. Elle représentait, peau légèrement bronzée, seins gonflés, sexe qui ne l'était pas moins, entrouvert sur son intérieur rose, chairs toutes mouillées, une illustration vivante de ce que pouvait être la sensualité féminine. Un objet de désir ultime.
— Viens contre moi et laisse-moi faire. Pas besoin de préservatif, tu ne rentreras pas dans ma chatte. Tu es capable de rester dur même si tu jouis?
— Je pense que oui, et puis j'ai tellement envie de toi...Que, sitôt joui, j'aurai envie à nouveau et je serai de nouveau dur.
Elle m'a fait venir près d'elle, et elle a attrapé ma queue...Elle a commencé à frotter mon gland contre ses lèvres. Je sentais sa chair contre moi, l'épaisseur de ses lèvres qui gonflaient, mais aussi ses liquides qui coulaient contre mon gland, liquides auxquels répondaient le jus pré-sementiel qui dégoulinait de mon méat. Nos liquides se mêlaient.
Oui, c'était certain, j'avais connu des filles avant, j'en connaîtrais après, mais sans doute aucune qui ait le dixième de son imagination, et de sa maîtrise du sexe. Elle a amené mon gland au niveau de son gland clitoridien. Malgré son excitation, celui-ci ne s'était pas encore décalotté. Elle a frotté la peau qui le recouvrait. A force, il s'est décalotté, allongé. Il n'était pas épais, mais très fin et surtout très long. A un moment, j'ai cru qu'il n'allait jamais cesser de s'allonger.
Elle s'est servie de mon gland comme d'un instrument pour caresser son gland clitoridien. Un plaisir très fort pour elle, pour ne pas dire absolu, qui l'a faite gémir à n'en plus pouvoir. Un point de plaisir parmi d'autres.
Je ne m'attendais vraiment pas à ce qu'elle a fait. Elle a calé mon gland pile face à son gland clitoridien, et elle l'a poussé dans mon méat. Sa finesse lui permettait de glisser parfaitement dedans, et, dans un mouvement de bassin, elle s'est mise à aller et venir en moi. Une sensation très forte, d'autant plus qu'elle était inédite, et une grande partie du plaisir tenait dans l'inédit. Je devais me retenir pour ne pas jouir, mais elle ne valait pas mieux que moi, je voyais que sa chatte était dilatée, et elle mouillait vraiment abondamment, de la mouille sortant d'elle, une vraie cascade.
— Si tu continues, je crois que je ne vais pas...
Le reste de la phrase, c'était 'me retenir', elle l'avait prévu de toute façon. Le premier jet de sperme a jailli autour de son gland clitoridien, la semence partant dans tous les sens...Elle s'est retirée, tenant ma queue, mais la dirigeant vers son ventre, la semence, en jaillissant, est montée jusqu'à ses seins.
Elle a pris la suite, sa jouissance explosant quand la mienne était au bout, crachant des jets blancs, gras et copieux, sur ma chair, dans une sorte de retour, ou d'égalisation.
On est restés groggy un moment avant qu'elle ne me propose :
— J'ai bien compris que tu aimais les fourreaux. Tu veux que j'en mette un pour toi? Ça ne me prendra pas longtemps...Au fait, j'ai préparé une petite collation, elle est dans le living...
La maison était vraiment très grande. Je l'ai regardée monter vers l'étage, en suivant un long escalier tout droit, et en me demandant si c'était mieux de la voir ainsi évoluer nue, ou habillée. Ses hanches roulaient, ses fesses bougeaient, et ses longues jambes étaient vraiment parfaites, ce qui est rare quand on considère une femme, au final.
Je me suis rempli du plein et du silence de l'immense living.
Il y avait effectivement une collation sur une table basse, un gâteau au chocolat fait maison et des jus de fruits.
Elle a fait son retour quelques minutes plus tard.
J'avais aimé la voir monter les marches nue, j'ai apprécié tout autant la voir revenir gainée par un fourreau, un autre. Celui-là était couleur cerise, et comme les autres, il soulignait parfaitement sa silhouette sans failles, la magnifiant. La différence, et elle était de taille, c'était que ledit fourreau était fendu très haut sur le côté, laissant voir ses jambes.
Elle est arrivée près de moi, nos bouches et nos langues se sont accrochées. Il y a des moments qui sont très bons...Là, c'était bien le cas...C'était rare de trouver ainsi une partenaire qui ait autant envie de sexe que soi.
Elle s'est posée près de moi, et on a goûté. J'ai caressé la jambe offerte...Elle m'a laissé faire avant de me proposer, après avoir fini son verre:
— Tu as envie de fouiller sous ma robe ?
Je n'ai pas répondu, tellement mon envie était évidente. Elle s'est légèrement soulevée, après que j'aie glissé à ses genoux, et m'a laissé soulever un pan de tissu, puis l'autre, puis remonter le tissu ainsi accumulé dans mes mains jusqu'à sa taille, dévoilant son ventre.
Un ventre qui avait changé en quelques minutes.
Elle a ri de ma surprise.
De sa chatte, émergeait une boucle de nylon fin d'un cordon. Quand à son anus, il n'était pas visible, vision obstruée par une rondelle métallique noire.
J'ai du avoir l'air surpris, parce qu'elle a ri.
— J'adore les gadgets, j'en ai des dizaines...J'aime jouer avec...Ce que j'adore, c'est ce que j'ai dans la chatte, les boules de geisha. Tu sais ce que c'est?
— J'en ai entendu parler. Sans plus.
— C'est japonais et les femmes s'en servaient, ben vu le nom, tu le comprends et s'en servent pour se donner du plaisir. Tu mets les boules dans ton vagin, et dès que tu bouges tu as du plaisir...Moi j'adore me les fourrer dedans quand je sors, sous une robe, et éprouver du plaisir...Souvent c'est l'accumulation, comme une pile va accumuler de l'électricité, et tu jouis en pleine rue ou ailleurs...J'adore parce que personne ne se doute de rien...Sauf si tu tombes sur quelqu'un à qui tu as décidé de montrer ta chatte, à un moment ou à l'autre...
— Et l'autre ?
— C'est un anus plug. Ca te dit quelque chose ?
--Vaguement aussi.
— C'est un gadget que tu t'enfonces dans l'anus pour t'ouvrir celui-ci. Après ça te donne du plaisir aussi, moi j'adore cette sensation. Ton anus se dilate petit à petit, et il est prêt pour accueillir les quéquettes les plus grosses.
— Ca veut dire que...
— J'adore me faire enculer.
Elle s'est laissée aller en arrière sur le divan. J'avais carte blanche. Mon doigt a accroché l'anneau en nylon, et j'ai tiré. Très lentement, et en prenant tout mon temps. Ça a fait des bruits visqueux. Les boules sont apparues les unes après les autres, noires, de matière plastique, ce qui n'était sans doute pas le cas des premiers jeux japonais, qui devaient être en ivoire, et enduits de sécrétions vaginales. Elle gémissait de plaisir, abandonnée contre le dossier du canapé. J'ai refourré les boules en elle, aussi lentement que je les avais sorties, et en lui donnant autant de plaisir, sinon plus, comme je pouvais en juger par ses sécrétions, toujours plus abondantes, qui coulaient autour des boules, sur ses chairs.
Je devais les avoir retirées pour la cinquième fois quand elle m'a dit:
— Mets ta queue dedans, à la place des boules. Maintenant.
J'en avais très envie, la queue raide à en être douloureuse. Elle a désigné, je ne l'avais même pas remarquée, la boite de préservatifs qui était posée sur le plateau, derrière la carafe.
— Une capote s'il te plaît, j'ai très peur de choper une MST.
Je me suis gainé de latex en moins de temps qu'il ne faut pour le dire. J'avais très envie, très simplement, de la pénétrer. Il y avait des plaisirs raffinés, subtils, auxquels je n'aurais même pas pensé, comme ceux que je venais d'avoir avec elle, et puis il y avait celui basique, qui consistait à être enveloppé par la gaine chaude et étroite d'un sexe de femme. Simple, basique, comme aurait dit Orelsan, mais tellement bon!!! Et c'était vrai que là, j'avais simplement envie d'accomplir le plus vieil acte du monde, une pénétration.
Et sans doute qu'elle aussi, elle avait envie, simplement que je la remplisse.
Elle était en dessous, moi au-dessus, et elle m'attendait. Quand mon gland dilaté et enveloppé de latex est venu appuyer contre son sexe, elle m'a tenu un instant, au cas où j'aurais dérapé. Mais ça n'a pas été le cas, et j'ai glissé en elle, envahi dès les premières secondes par le plaisir de la sentir autour de moi. Ses gémissements, profonds, m'ont dit, eux, que elle, ce qui la réjouissait, c'était de me sentir en elle.
En s'accrochant à moi elle m'a entraîné dans d'autres positions. On s'est retrouvés elle à quatre pattes, moi sur elle, comme lorsqu'un chien prend une chienne...Je voyais nettement la rondelle d'acier, toujours plantée en elle.
— Le moment est venu que tu l'enlèves et que tu me prennes par le cul...Tu as déjà sodomisé une fille au moins?
— Moins souvent que je ne l'aurais souhaité.
--Tu vas pouvoir te rattraper, alors.
J'ai attrapé de la pointe des doigts le rebord du plug, sentant sa chair en dessous. La rondelle a laissé place à un bloc métallique qui allait en rétrécissant. Le résultat était en tout cas évident. En peu de temps, sa muqueuse anale était déjà bien dilatée, et j'imaginais sans mal que ce pouvait être encore plus important en la laissant plus longtemps. Sa béance était encadrée par une muqueuse toute rose.
Je suis sorti de sa vulve. Le latex dégoulinait de cyprine, et je me suis dit que, au cas où la muqueuse n'aurait pas été assez ouverte, le liquide aiderait pour la pénétration. Mais ça s'est très bien passé, je suis rentré en elle comme dans du beurre. Ça faisait très longtemps que je n'avais plus pénétré une femme par là, et ça a été un peu comme une première fois, dans cette muqueuse plus serrée, que je me suis mis à fouiller avec un plaisir intense...On était partis pour un plaisir différent, elle y trouvait apparemment autant son compte que moi. Elle se frottait le sexe avec frénésie, arrosant ses cuisses de sa cyprine, et elle a joui quasi immédiatement, le premier d'une série d'orgasmes qui ont secoué son corps. Moi, j'étais en contrôle, et je continuais de la fouiller, arrosé par les jets de cyprine. Heureusement, la matière du canapé faisait qu'un coup d'éponge suffirait pour le nettoyer.
Quand elle a senti que j'allais jouir, elle s'est dégagée, son anus impressionnant de béance à présent, son rectum aux chairs roses et délicates visible en profondeur comme en largeur, elle a arraché le latex, et m'a pris dans sa bouche pour ce qui lui donnait sans doute le plus de plaisir, resserrer sa bouche autour d'une verge dilatée à l'extrême et boire le sperme jusqu'à la dernière goutte.
On est passés sous la douche ensemble. Ma queue n'était pas encore défaillante, et je l'ai prise sous les jets d'eau chaude, après qu'elle se soit calée dans une position excitante, pliée en deux, son cul tendu vers moi. J'ai fouillé sa vulve, avant de cracher ce qui me restait de sperme dans sa raie.
Il était temps que je parte, elle me l'a clairement précisé. Son mari allait rentrer.
Je n'osais même pas pensé qu'on puisse se revoir, mais elle m'a soufflé:
— Je t'appelle dès que j'ai un après-midi de libre.
Je suis parti avec dans la tête l'image d'une superbe MILF gainée par un fourreau.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Aucun commentaire pour le moment.


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Le fourreau partie 1
Mon amant partie 2
Une vie de chien Partie 2
Une vie de chien partie 3
Une vie de chien partie 4 Fin !