Histoire Erotique

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La copine de son père

Sur les Champs Élysées, je sauve une petite brunette. Elle va m'embarquer dans sa détestation de la future femme de son père jusqu'au jour où je lui donne un conseil... aux sacrés répercussions!

Proposée le 3/09/2025 par NONNE

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Thème: Couple, passion
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


C’était un après-midi de juin et je partais faire mon devoir, à savoir un rendez-vous avec un client dont les bureaux étaient logés derrière les Champs Élysées. Je devais traverser les Champs. Devant moi une petite brunette s’apprêtait à faire de même.

Qu’avait-elle dans la tête !? Je ne le saurais jamais, distraite surement… La voilà qui s’engage alors que les voitures arrivent encore sur elle. J’ai juste le temps de l’attraper par le col et, assez brutalement, je la ramène contre moi et moi de m’exclamer :
- Vous vouliez vous suicider !?

Je me trouve face à des yeux noirs qui le choc passé s’adoucissent lorsque je continue, entre irritation et la résistance aux charmes des beaux yeux :
- Avez-vous conscience que vous alliez vous faire renverser ?
La brunette, dix centimètres plus bas que moi, de me rétorquer :
– Ce ne serait pas la première fois !

J’en reste baba et mon visage doit exprimer une question que je n’ose prononcer ; « Vous vouliez vraiment vous suicider ? » Elle sourit comme si elle avait deviné mon interrogation.
– Non, c’était une distraction… et pas si lointaine - continue-t-elle : Je suis actuellement en congés maladie pour mon premier accident .. Un blanc puis …

- Je me suis fait renverser par un cycliste. Elle sourit.
Moi, ébahi et un poil intéressé par la suite … j’invente :
- Vous m’avez fait peur. Je crois que j’ai besoin d’un remontant.

Personne n’est dupe. La brunette s’appelle Ginette, fille du Sud de beaux yeux et un nez busquée qui lui donne du caractère. Nous partons coté Fouquets où je fais la connaissance d’une demoiselle, la trentaine, actuellement désœuvrée et visiblement ouverte à toutes les aventures.

Bien roulée, elle porte une jupette insolente et un haut qui laisse deviner un corps … désirable. Une fois installé je m’absente un instant pour aller raconter un bobard à mon client : j’ai été témoin d’un accident, je dois m’attarder… no problem. Je peux me consacrer à ma brunette.

Donc ma Ginette vit avec son père qui travaille dans une compagnie d’aviation connue. Un coup il est là. Un coup il n’est plus là. La mère ? Elle est partie pour de bon, lassée par ses absences. Donc premier message : je fais ce que je veux, quand je veux. Reçu 5/5. C’est plutôt une solitaire.

Moi c’est Michel. Jeune divorcé et sans regrets. Trente-cinq ans. Un visage émacié, pommettes souriantes, vigoureux et pas très épais. Une silhouette due à des joggings très réguliers. De beaux yeux bleus d’amoureux en long court ; je n’ai pas à attendre longtemps pour trouver des amies féminines.

Depuis mon divorce je vis la vie comme une série d’aventures aussi chaudes que possible. Mon instinct de prédateur au taquet, je rêve déjà de coquineries.

La brunette me parait d’autant plus disponible que je la sens « très intéressée » lorsque je lui apprends que j’ai un appartement non loin des Champs. C’est vrai que l’adresse est prestigieuse. Aussitôt dit aussitôt fait.

Finalement il n’y a pas que ses yeux qui sont pleins de promesses. La mignonne est chaude et y mets de la bonne volonté. Suffisamment pour que nous décidions un deuxième round. Si je croyais avoir fait la connaissance d’une gentille demoiselle j’ai vite compris que ma nouvelle copine était un sacré numéro.

J’adorais observer la progression des envies et des libertés que celles-ci prenaient après une phase « timide » style, ce n’est pas pour moi… Un peu d’alcool, des scènes insolites qu’elles pouvaient regarder sans risque de se sentir obligé de quoi que ce soit. Elle a vite pris goût aux clubs libertins ou j’allais de temps à autres avec certaines de mes conquêtes.

C’est rarement un démarrage au quart de tour mais une fois retournée « at hom », j’avais une vraie cochonne dans mon lit. Ensuite, il fallait réussir un deuxième passage.

Mon truc ? Aller dans un restaurant de libertins … après quelques verres et quelques danses la copine acceptait généralement de changer de cavalier sans trop de problèmes. La sentir plus brulante qu’un marron chaud en fin de soirée annonçait la possibilité de quelques privautés avec un couple ou un homme (le plus beau possible sinon pas d’excuses …).

Chaque fois c’était une aventure différente. Chaque fois c’était une occasion de pousser une bourgeoise dans ses retranchements. Parfois des drames. Lorsque ma partenaire prenait conscience, l’alcool aidant ; des privautés qu’elle avait accordé à des inconnus, j’avais droit au scénario classique « mais tu me prends pour une pute » ! Je m’en défendais.

- Mais pas du tout, tu as aimé, ne le nie pas… en général quelques larmes et hop, « on recommence quand tu veux ».

Le plus souvent, les filles découvraient la pauvreté de leur vie sexuelle mais avait peur sur ce qu’elle allait découvrir sur elle-même, soit elle en redemandait. C’est vrai que se découvrir audacieuse pouvait perturber bien des oies blanches mariées mais ignorantes des plaisirs du sexe.

Au bout de quelques semaines ma brunette, hurlait de plaisir avec moi dans son ventre, un autre homme dans ses fesses. Nous nous sommes vite entendus sur les boites où nous aimions dragouiller couple relax et mecs bien montés. Sentir deux hommes s’occuper d’elle, c’était une soirée réussie.

Un jour il s’est passé un truc insolite avec Ginette. Depuis quelques jours je la sentais préoccupée et nerveuse. Elle n’a pas beaucoup résisté à ma curiosité. C’est ainsi que j’ai appris que son père avait une maitresse et qu’il semblait bien accroché à sa nouvelle conquête. Mais le plus dur restait à venir : la demoiselle en question avait le même âge que ma Ginette !

- Mon père après son divorce, me racontait Ginette, se contentait de petites conquêtes sans lendemain. J’avais sous-estimée qu’il puisse tomber amoureux d’une fille de mon âge. Une belle salope concluait-elle en oubliant qu’elle ne l’était pas moins.

- Un soir mon père est venu me voir pour me présenter sa nouvelle dulcinée. C’était une blondinette de 30/35 ans, beaucoup plus jeune que lui. Elle était gaulée comme une actrice de cul et des yeux à faire péter des boutons de braguettes.

- Je me suis immédiatement demandée comment j’allais pouvoir vivre sous le même toit que cette bombasse sans que l’on s’arrache les yeux. J’ai pensé un moment lui faire quelques crasses pour chauffer l’ambiance mais je me suis rappelée que j’étais au chômage et que je vivais chez mon père… il me fallait me calmer et patienter.

A partir de là ses relations avec son père était en train de partir en sucette. Elle ne comprenait pas et n’admettait pas qu’elle lui vole – en quelque sorte - son père. En plus elles avaient le même âge ! A partir de là et durant des semaines j’ai eu droit à chaque rencontre un lot de récriminations et de colères parfois violentes.

La fille du Sud s’en donnait à cœur de joie avec moi comme spectateur. Elle ne pouvait pas « piffer » sa future belle-mère. J’avais beau lui dire que l’affaire n’était pas faite, elle ne décolorait pas.
- Je présume que tu en as parlé à ton père et que vous en avez discuté sur le fait qu’elle pourrait être sa fille ?
- Il refuse de me répondre. Cette fille l’a hypnotisé.
- Elle est si belle que ça ? Silence boudeur… Alors, tu me réponds ?
- C’est une très jolie fille…
- Ah bon, du genre de celle que tu aurais mis dans ton lit ?? Elle sourit.. Un exploit.
- Tu veux mon avis (ça c’est mon diable interne qui me le soufflait) ?
- Crache le morceau…
- Tu devrais prendre ton problème différemment. Tu dis qu’elle est belle, qu’elle a ton âge.. Bon CQFD
- C’est quoi CQFD ?! (Toujours de mauvaise humeur ma Ginette)
- Eh, bien fais ce que tu aimes faire avec moi : charme-la, fais-en une copine et baise là… et… au bon moment laisse ton père découvrir le pot aux roses !
- P.. de pervers.. Tu as raison.. L’idée de me faire cette bimbo me plait bien !

C’est comme ça que cette aventure a commencé. Pendant plusieurs semaines j’ai eu droit à la gazette de Ginette qui me racontait régulièrement ses avancées dans son objectif de mettre – comme elle le disait - la maitresse de son père à sa « main ».

A l’insu du pater les deux nanas devinrent copines. La copine selon Ginette, une blondinette aux yeux bleus avait un cul d’actrice porno, semblait être arrivée à la même conclusion que moi et Ginette : être copine pour l’une et « très copine » avec la future femme de son père pour l’autre.

Jusqu’à lors, Ginette ne savait pas grand-chose de la sexualité de son père mais les bruits qui sortaient de sa chambre ne laissaient pas de doutes. A croire que la maitresse (au fait elle s’appelait : Sonia) faisait exprès d’en faire des tonnes.

A cette époque je voyais Ginette atterrir chez moi, la bave aux lèvres. Moi je cherchais surtout à retourner sa rage sur son objectif : la mettre dans son lit !

Son vieux bossait beaucoup. Les deux femmes étaient bien obligées de cohabiter. Ginette sur mon conseil commença mine de rien à se balader en tenue légère à la première occasion mais à l’insu du pater. Laisser la porte de la douche entrouverte. Se laisser voir en train de faire sa toilette intime (et observer les réactions).

Petit à petit Ginette progressait. Déjà elles papotaient sur les dessous qu’elles préféraient. Puis elles s’invitaient au resto. Ginette en profitait pour commenter les infidélités du pater et en rajoutant un peu.

Puis vint le jour où elles se retrouvèrent ensemble dans la salle de bains en petite tenue… et le téton en l’air. L’occasion pour comparer leurs charmes respectifs…
- « On peut toucher ? » ma Ginette n’était pas timide et la maitresse aussi salope qu’imaginée.

Il fallait avancer sans faire de conneries. Ma Ginette n’avait pas beaucoup de patience mais son tempérament de chaudasse lui rendait service. Elle avait un objectif qui correspondait à son égo : mettre la future femme de son père dans son lit.

La blonde pulpeuse réagissait aux allusions parfois limites d’une Ginette totalement allumée. Finalement, se prenant au jeu, sa future belle-mère lui faisait de l’effet et elle s’attachait à ce que ce soit réciproque. Le père bossait. La fille chauffait sa future. Un soir le père fut mobilisé pour la nuit.

Ce soir-là, Ginette proposa d’aider Sonia à une lui faire sa couleur. Et voilà ma Ginette en train de jouer à la coiffeuse. Elle avait commencé prétextant un shampoing à masser la tête de Sonia puis le cou et suspectant une raideur (en tous cas c’est comme cela qu’elle me le raconta) s’attarda sur les épaules. A partir des épaules et à voir les yeux brillants d’attentes de Sonia, le massage tourna aux câlins …

Des câlins partout aux caresses des nichons sous prétexte de comparer leurs jolis melons… de là une première visite aux tétons déjà avides de découvertes lesbiennes… Tout roula sur des roulettes et les deux filles se retrouvèrent dans leur lit pour se découvrir. Finalement les deux femmes en conclurent chacune qu’elles avaient gagné.

Moi, je fus – mal - réveillé vers deux heures du matin pour l’entendre me crier dans les oreilles qu’enfin « elle tenait la salope qui voulait se marier avec son père » et de me citer quelque détails croustillants qui ne me réveillèrent pas plus. Je croyais que c’était fini… qu’on allait passer à autre chose… Je me trompais et c’était de ma faute !

Ginette devait me le dire bien plus tard en commençant par m’avouer que, finalement, la maitresse de son père n’était pas si gourde que ça et que .. Et que…

Bref, les deux nanas avaient fusionné sur un plumard. Pas difficile à deviner, je commençais à la connaitre ma Ginette. Le feu au pétard.
La suite devait être à la hauteur et c’est toujours Ginette qui me le raconta… Je résume, bien sûr.

************
On ne saura sans doute jamais si nous nous étions tellement habituées l’une à l’autre que la crainte d’être surprises ne nous souciaient pas tant que ça. De plus nous revenions d’une balade en goguette, c’est-à-dire que nous avions dragouillé deux beaux garçons. Nous nous étions laissé tripoter un peu et avions pris la poudre d’escampette avant que cela ne dégénère.

Bref de retour at home, nous étions chaudes et chargées suffisamment d’alcool pour ne pas faire attention à ce que le pater était dans l’appartement lorsque nous nous sommes retrouvés toutes les deux dans le salon, totalement inconscientes en un royal 69 pour évacuer notre excitation. Il est sorti de la salle de bain.

Coincées en plein « gougnottage », ni les explications, ni les excuses n’étaient de circonstances. Sonia blindée de mojitos et autres alcools a joué sur la provocation, totalement inconsciente de la situation. Moi je me faisais toute petite… c’est plus tard que j’ai réalisé que mon père a cru que c’était sa maitresse qui m’avait détourné du droit chemin (S’il savait !).

Il a saisi durement Sonia par les cheveux en commençant à ouvrir sa braguette. Il ne fallut pas longtemps pour qu’il sorte son engin. Il nous traitait de tous les noms. Mais il bandait ce salopard et moi je découvrais un paternel sous un autre jour.

Je les regardais faire, incapable, mais aussi peu disposée à bouger. Mon père avait pris la tête de Sonia et lui enfonçait sa bite si violemment dans la gorge que j’ai craint pour elle.

En même temps la scène était torride. Nues toutes les deux,
nous avions un mâle vexé dans son orgueil qui devait se faire à l’idée que sa future femme baisait avec sa fille. Il se déshabillait tout en continuant à se branler dans sa gorge.

J’ai vu le moment où elle s’asphyxiait sous sa violence.
J’étais partagé entre l’excitation et la crainte de sa colère sur sa dulcinée. En même temps je ne pouvais accepter le traitement qu’il infligeait à celle qui était devenue mon amie.

Je me souviens avoir fait un truc dont seul l’alcool pouvait me donner le courage. Je me suis avancée passant mon ventre au-dessus de la tête de Sonia et j’ai présenté mon ventre à mon père… Je me souviens lui avoir dit « Et moi, tu ne me punis pas ». Puis je collé mon sexe sur sa bouche… Lèche lui ai-je dit… Lèches moi ! J’étais hors de moi et très saoule !

Le plaisir sensoriel s'est transformé en un choc incroyable lorsque qu’il a poussé ses lèvres sur ma chatte. J’en ai eu le souffle coupé. Mon orgasme a été immédiat et le sien n’a pas tardé alors qu’il jouissait dans la bouche de Sonia.

C’était comme si nous attendions cela depuis toujours. Sonia c’était un peu moi qu’il mettait dans son lit. Je l’ai compris bien plus tard.

Sonia a bu son sperme puis comprenant que nous avions basculé dans une autre monde m’a saisi pour m’embrasser sauvagement en me délivrant le goût de mon père. Là, je me souviens, il y a eu une sorte de blanc comme si nous étions dépassés par des évènements que pourtant nous avions préparé, organisé, voulu.

Sonia a roulé sur le sol et elle a écarté les cuisses en m’ordonnant : « Manges moi la chatte, ignoble salope ». Je n’ai pas hésité. Cela m’évitait de faire face au regard de mon père. J’ai commencé à lui lécher sa jolie chatte devant mon père qui nous regardait le visage hagard, encore sous le coup de sa découverte.

Pendant que je me nourrissais de sa cyprine, le cul à l’air, ma chatte bien exposée, j’ai vu Sonia prendre la main de mon père et lui montrer mes fesses en lui faisant signe de me prendre ou de me caresser.

Mon père est resté un instant abasourdi sans doute par la proposition puis il s’est mis en mouvement. J’ai senti son souffle sur mon sexe qui devait être béant d’excitation.

J’étais femelle et il a commencé à me caresser timidement, puis de plus en plus fermement jusqu’à enfoncer ses doigts dans ma chatte. Il a dû constater que je n’étais pas vierge depuis longtemps.

Puis et cela je ne l’oublierai jamais il a commencé à me couvrir le corps de baisers Mon corps devait être brulant, pendant un instant j’ai oublié Sonia en me sentant soudain libérée d’un immense tas de tensions qui me devenaient insupportables. Je me suis alors éloigné de mon père et de Sonia pour les laisser face à face. Pour apaiser une tête prête à éclater.

Nous sommes restés assis et couchés, taiseux, pendant un long moment, peureux des premiers mots que nous prononcerions. Pourtant c’est à moi brisa le silence. J’ai marmonnée « Je ne regrette rien ».

Là j’ai eu le courage de regarder mon père et j’ai rajoutée : même pas avec toi. Puis j’ai vu Sonia s’enrouler autour du corps de mon père et lui souffler tout bas : moi non plus ?

Elle continuait à l’embrasser. Elle m’a attiré contre elle et contre mon père et elle nous a embrassé à nouveau sauvagement, je dirais presque bestialement tous les trois nos corps étroitement collés sur la moquette. Elle n’avait pas oublié mes désirs incestueux que j’avais évoqué à plusieurs reprises pour justifier de ma jalousie de sa relation avec mon père.

J’ai senti mon père chercher le contact. Je n’avais rien d’autre à faire que fermer les yeux et savourer les sensations du contact de son corps et les sensations de ses mains sur ma poitrine… le sentir malmener mes tétons durcis par l’excitation. Puis ses baisers sur mon ventre. Je sentais aussi son sexe collé contre le mien. Je me suis coulée sous lui.

C’est moi qui ai pris en main son sexe déjà durci pour l’avaler en moi sous le regard plein de vice de Sonia. J’étais électrique. Le fait de sentir le sexe de mon père en moi m’a fait partir de suite dans un gémissement à réveiller un mort. Sonia n’a pu s’empêcher d’en glousser de rire. Mon père, lui, était comme intimidée. J’ai noué mes jambes autour de son torse et je lui dis dans l’oreille : baise-moi, papa !.
Ce fut calme, tendre. Mon père m’a fait l’amour avec amour. J’ai joui une seconde fois. Sonia me mordait cruellement les mamelons et je sursautais à chaque fois. Ça l’amusait.

Je me souviens que la soirée et une bonne partie de la nuit nous avons baisé comme des fous. Mon père nous voulait collées toutes les deux pour enfoncer sa bite dans ma chatte ou dans celle de Sonia. Nous parlions peu mais par contre nous buvions beaucoup comme pour effacer ou atténuer le sentiment que nous avions franchi un tabou et que dorénavant il faudrait faire avec. J’ai joui souvent et souvent sur la bouche de Sonia ou de mon père, comme s’ils établissaient une complicité commune pour me donner du plaisir, pour m’étourdir dans la luxure.

Au petit matin nous étions épuisés. Nous avions tous dormi dans le lit de mon père. C’est lui qui s’est réveillé le premier. Lorsque nous sommes sorties de notre coma éthylique il avait préparé un brunch. Il m’a pris dans ses bras et m’a soufflé à l’oreille « Désolé ma chérie » … Ce à quoi j’ai répondu … « Hé bien pas moi ! », qui l’a laissé sec.

Sonia est venue ronronner dans ses bras puis dans les miens sans que personne n’y trouve à redire. Voilà, tu sais tout.

Moi j’étais encore sur ma première impression que m’avait laissé Ginette à savoir que la Sonia avait ouvert plus de braguettes de dictionnaires. Comme je laissais transparaitre un peu de scepticisme pour la suite, Ginette fit une erreur. Elle me proposa de venir me présenter sa copine. Pourquoi pas ? Connaitre la « bimbo » titillait ma curiosité.

L’affaire fut d’une aimable simplicité. Nous nous retrouvâmes dans un café connu. La « bimbo » dont me parlait Ginette n’avait rien à voir avec les descriptions qu’elle m’en avait faites. Un coté poupée « Barbie », des membres graciles, un popotin mit en valeur par une jupe bien moulante ; la future femme et belle-mère était canon jusqu’au moment où l’on rencontrait son regard. Des yeux observateurs, de prédatrice, qui m’évaluaient au moins autant que je l’évaluais moi-même.

Le genre de femme à garrotter un homme ou un couple pour en jouir et en profiter. Une calculatrice en ai-je conclu. Je ne me suis pas étonné de la savoir d’accord pour « visiter » mon appartement. Nous savions ce qui allait arriver – enfin on croyait. Quelques verres et des échanges vite orientés ; nous n’avons pas mis 20 minutes pour être à poil tous les trois pour nous lancer Ginette et moi à l’assaut de la poupée Barbie.

Je soupçonnais Ginette d’avoir voulu cette rencontre pour mouiller sa Sonia dans un « adultère » qui pourrait lui servir à l’occasion. Je doute que cette dernière ait été dupe mais cela je ne le saurais jamais. Nous en étions aux préliminaires, Ginette essayant de faire grossir ma queue avec sa bouche et moi doigtant consciencieusement la blonde lorsque celle-ci m’agressa – il n’y a pas d’autre mot- en m’interpelant sur le ton « c’est ça ton copain viril ! ».
Pas besoin d’être très malin pour comprendre l’insulte. Je n’ai pas apprécié. Cette Sonia était en train de me provoquer. Instinctivement, j’ai écarté Ginette et dans un réflexe qui m’a surpris moi-même je l’ai soulevé comme un plume pour la tourner sur mes genoux… et j’ai tapé.
- Tu préfères ça ?!

Ma fessée lui chauffait déjà les fesses. Elle tentait de se libérer mais je tenais bon.
– C’est ça que tu voulais, que je te prenne la température ? Tu aimes l’amour vache ?

Du coin de l’œil je voyais Ginette toute aussi surprise que moi qui observait la scène sans intervenir. La Sonia ne voulait pas perdre la face et elle a fait une seconde erreur. Elle m’a insultée et provoquée à nouveau. Alors j’ai tapé plus fort, de plus en plus fort… J’exigeais des excuses.

Je ne l’ai lâchée qu’au moment où elle a demandé pardon… Je me suis arrêté. Elle s’est levée puis s’est habillée rapidement en intimant l’ordre à Ginette – obéissante ? - de faire de même.

Elles sont sorties avec la promesse de Sonia de porter plainte… Cela ne m’a pas traumatisé. Je n’ai plus revue Ginette mais j’ai seulement reçu un SMS qui disait ceci : Ne lui en veux pas. Elle est atrocement jalouse et te voir me donner du plaisir elle ne l’a pas supporté. Nous sommes amantes désormais. Mon père veut toujours se marier avec elle.

Vous pouvez imaginer la suite. (histoire vraie)

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