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Le père de ma copine

Je vous raconte le jour où, à presque 18 ans, j'ai fait l'amour avec le père de ma meilleure copine sur qui je fantasmais depuis longtemps. C'est comme ça que j'ai découvert qu'un homme plus vieux pouvait me faire jouir.

Proposée le 2/10/2021 par Valentina

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Moi c’est Valentina, j’ai 18 ans, officiellement demain mais aujourd’hui avec ma copine Marie nous avons prévu de célébrer cela avec un peu d’avance.

Je me prépare et il fait très chaud aujourd’hui, du coup j’enfile une jupe courte avec un débardeur large et transparent, qui laisse totalement apparaitre mon soutien-gorge. Parfait.
Je me regarde une dernière fois dans le miroir mes longs cheveux bruns me tiennent chaud. Je ne suis pas très grande, 1m60 pour 45kg, mais j’aime mes petits seins fermes qui me permettent de sortir souvent sans soutien-gorge. J’adore provoquer les regards des hommes.

Je passe chercher Marie chez elle mais c’est son père qui m’ouvre la porte.
- Bonjour monsieur Colin, je viens chercher Marie.
- Elle n’est pas encore là, mais entre.
J’entre, il était en train de boire un verre et me propose un whisky. Je sais que je devrais refuser parce que je conduis et surtout parce que le whisky me monte à la tête très rapidement, mais j’adore le père de Marie. Il me fait fantasmer depuis que j’ai 12 ans. C’est un grand brun musclé au sourire charmeur et je ne peux m’empêcher de penser qu’il trompe sa femme à chaque déplacement professionnel. En cette fin d’après-midi, il porte un costume gris foncé avec une chemise blanche dont il a ouvert les boutons jusqu’au milieu du torse et j’aperçois ses pectoraux lorsqu’il bouge. Il me parle mais l’alcool commence à faire son effet et je me demande comment sont ses bras, ses jambes, quelle est son odeur.
- Coucou Valentina, tu rêves ?
Il me tire de mes pensées.
- Euh oui pardon.
- C’était Marie, elles sont coincées dans les bouchons avec sa mère et elle propose de te rejoindre directement au bar si tu ne veux pas l’attendre, elles en ont au moins pour une heure.
Je le regarde dans les yeux. Je ne sais pas quoi répondre. Je ne veux pas partir, ce que je veux c’est continuer à discuter avec lui. Ou encore mieux, le déshabiller et prendre son sexe dans ma main.
- Mais tu peux attendre ici, si tu préfères.
- Si cela ne vous dérange pas, je veux bien rester.
- Pas du tout, mets-toi à l’aise. Je te ressers ?
- Je crois que cela ne serait pas raisonnable. Je me sens déjà en peu ivre et j’ai peur de ne plus me contrôler après.
Oh mon dieu, qu’ai-je dis ? Ai-je vraiment prononcé ces paroles ? Je suis toute rouge, monsieur Colin sourit et remplit mon verre.
- Laisse-toi aller ! On n’a pas tous les jours 18 ans ! C’est aujourd’hui ton anniversaire ?
- Non c’est demain.
Nous nous regardons dans les yeux. J’ai tellement envie de lui mais je le connais depuis que j’ai 6 ans, c’est le père de ma meilleure amie. Je prends une gorgée de whisky et une grande inspiration.
- Monsieur Colin, vous ne trouvez pas qu’il fait chaud ?
Il sourit, je crois qu’il sait où je veux en venir.
- Si, si, il fait très chaud aujourd’hui et encore plus ce soir je trouve.

Je me lève et passe derrière lui pour lui enlever sa veste. Je me colle contre lui, face à lui, la tête contre sa poitrine, je sens enfin son odeur, je passe la main dans sa chemise. Il m’attrape le poignet pour me repousser.
- Valentina, qu’est-ce qui te prend ?
- Je sais que vous en avez envie aussi.
- Écoute Valentina, tu es très belle et je mentirais en disant que je ne suis pas attiré par toi mais tu as l’âge de ma fille. Tu comprends ?
- Je comprends que nous sommes tous deux attirer l’un par l’autre.

Je me sens audacieuse ce soir. J’essaie de me rapprocher de lui mais il me tient à distance. Je m’écarte donc, reprends une gorgée de whisky et je décide de tenter le tout pour le tout. Je ne peux pas m'arrêter maintenant, je le veux. Je ne pourrais de toute façon plus venir chez Marie alors je défais ma jupe et la laisse glisser le long de mes jambes.

Je porte un string noir, j’enlève mon soutien-gorge et libère mes seins, je les caresse sous mon débardeur et je regarde monsieur Colin en mordant ma lèvre inférieure. Ça marche à tous les coups !

Je vois la bosse déformer son pantalon et je me rapproche de lui, je passe mes bras autour de sa taille, je l’embrasse dans le cou puis attrape son visage et le baisse vers moi. Je me hisse sur la pointe des pieds et colle mes lèvres contre les siennes. Il se laisse faire, ma langue ouvre ses lèvres je goute sa langue. Il passe enfin ses bras autour de moi, il répond à mon baiser, me colle contre lui, ses mains descendent dans mon dos puis sur mes fesses, il les attrape à pleine main. Je suis essoufflée mais il arrête soudain, me tient par les bras et me regarde dans les yeux.
- Valentina, tu sais ce qui va se passer si tu continues ?
- Oui, monsieur Colin, j’ai tellement envie de vous.
- Tu ne diras jamais un mot à qui que ce soit, n’est-ce pas ?
- Non, non, bien sûr que non.

Il passe ses mains sous mon débardeur, attrape mes tétons dressés, les fait rouler entre ses doigts puis relève mon haut pour prendre tour à tour mes tétons dans sa bouche. Je suis hors d’haleine, je défais les boutons de sa chemise, puis son pantalon, il tombe par terre et je fixe son boxer tendu par son érection. J’ai une petite hésitation. J’ai couché avec quelques garçons du lycée, mais aujourd’hui j’ai un vrai homme devant moi et j’ai peur de ne pas savoir bien m’y prendre, je ne veux pas le décevoir. Il me retourne et s’agenouille, sa tête au niveau de mes fesses, il les caresse, puis il fait glisser mon string, il écarte mes fesses et je sens sa langue sur mon petit trou. C’est un mélange de surprise et d’appréhension qui me tord le ventre. Je suis face à la porte du salon, que se passerait-il si Marie et Madame Colin arrivaient maintenant ? De plus personne n’avait jamais toucher mon anus auparavant et malgré l’inquiétude, je trouve ça très excitant.
- J’adore ton cul.

Il se relève et m’embrasse. Je sens qu'il hésite encore, je pose ses mains sur mes seins. Je souffle.
- Ça fait tellement longtemps que j’ai envie de vous monsieur Colin.
- Mais Valentina, tu n’as même pas 18 ans !

J’ai peur qu’il change d’avis. Il se parle à lui-même.
- Mais qu’est-ce que je fous putain !

Je me retourne et colle mes fesses contre son sexe, je me penche un peu, tiens ses mains sur mes seins, remue les fesses, je ferais n’importe quoi pour l’avoir. Je suis prête à tout. Je suis soulagée lorsque je l’entends :
- Baisse mon caleçon.

Je me retourne et passe les doigts sous le tissu et le fais rouler jusqu’au sol. Je suis subjuguée. Sa queue est longue et épaisse, elle se dresse au milieu des poils. Il s’assoit sur le canapé et me tire par la main. Je m’agenouille entre ses jambes écartées et je fais courir ma main sur son membre. Je ne peux détacher mes yeux, c’est la plus grosse bite que j’ai vue, le gland est gonflé, je sais qu’il veut que je le suce mais je me demande comment le prendre dans ma bouche et surtout comment l’accepter dans mon intimité, je suis sûre que ma chatte est trop étroite. Je continue de le branler puis approche ma langue de son gland, je la fais courir tout autour, descend jusqu’à la base de son sexe puis le prends dans ma bouche, j’enroule ma langue, son gland remplit ma bouche. J’ouvre grand pour essayer de le prendre autant que possible. Il me regarde faire puis tient ma tête entre ses mains pour imposer le rythme. Il me fixe de ses yeux embrasés et je suis très excitée de lui donner du plaisir.

Il me fait ensuite assoir sur le canapé et c’est à son tour de plonger entre mes jambes. Il suit ma fente de haut en bas puis écarte mes lèvres avec sa langue, il titille mon clitoris et je suis ébahit des sensations que je ressens, lorsqu’il entre un doigt dans ma chatte, je sens l’orgasme monter dans mon ventre.
- Aah monsieur Colin, oui, oui.

Je jouis dans un cri. Je suis d’autant plus surprise que cela ne m’était jamais arrivé d’avoir un orgasme lors d’un rapport. Oui, j’ai éprouvé du plaisir avec mes partenaires mais je jouis lorsque je me masturbe dans ma chambre, c’est tout. Mais monsieur Colin est beaucoup plus expérimenter que les garçons de mon âge et il sait me faire jouir. Je me demande ce qu’il peut faire d’autre.

Il se positionne entre mes jambes, je sens sa verge sur ma chatte, il enfile un préservatif et sans attendre, il me pénètre. Je hurle.
- Valentina, tu n’es pas vierge ?
- Non, monsieur Colin.

Il pousse encore pour entrer plus profondément, j’ai l’impression qu’il me déchire les chairs, ma chatte est trop étroite. Mais il n’a pas l’intention de ralentir, il ressort légèrement et s’enfonce en moi. Il me fait mal. Je ne peux pas retenir mes cris. Il me caresse les seins, puis le visage, il me fait sucer son doigt. Je me détends, je sens qu’il coulisse mieux en moi. Je le regarde et je n’en crois pas mes yeux, monsieur Colin est en train de me pénétrer, je me répète, il a souvent hanté mes rêves et mes fantasmes d’adolescente. Plus d’une fois je me suis masturbée en pensant à lui, ‘le père de Marie’.
Et maintenant, il est en moi, il me remplit totalement, c’est le premier homme à m’avoir fait jouir. Le sentir en aller et venir en moi comme ça, après toutes ces années à l’avoir imaginé, c’est trop bon. Il se retire et me demande de me retourner. Je me mets à quatre pattes entre le sofa et la table basse, je me cambre au maximum, la poitrine par terre et les fesses relevées. Il caresse mon cul, passe sa main, puis sa bite sur mon anus, il tient mes fesses écartées et s’enfonce de nouveau dans mon vagin.
- Oh putain, ta petite chatte est tellement serrée.
J’adore. Je lui dis.
- Aah oui monsieur Colin c’est trop bon.
- Tu aimes ça ? Tu aimes ma bite ?
- Oui, j’adore.
- Tu en veux encore ?
- Oui, oui.
Il me tient par les hanches et me baise très vite et très fort, je hurle, je le sens buter au fond de mon vagin, ses couilles rebondissent sur ma chatte.
- Caresse-toi.
Je passe ma main sur mon clitoris et je me caresse comme je le fais souvent. Il ne faut que quelques minutes pour sentir un orgasme monter de nouveau en moi.
- Monsieur Colin, je vais jouir encore.
Je braille comme jamais, cet orgasme me submerge, mon corps entier tremble. Il me laisse me ressaisir puis se retire, je m’agenouille devant lui, comme je l’ai vu faire dans un film porno. Il enlève son préservatif et éjacule sur mon visage. Nous restons un instant sans bouger, à nous regarder. Je ne sais pas quoi faire maintenant. Il me tend des mouchoirs puis m’aide à me relever. Il m’embrasse et j’ai envie d’enrouler mes jambes autour de sa taille et de recommencer. Mais Marie et sa mère ne vont pas tarder, alors je me rhabille en vitesse, me colle contre lui une dernière fois et lui demande :
- On pourra recommencer ?
- File Valentina avant que ma femme et ma fille arrivent.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Magnifique, terriblement excitant.
Posté le 4/07/2023

Ivannormal
J'adore ce récit... Quelle tension... Quelle chance a ce M. Colin !
Posté le 30/06/2022

Anonyme
Une alchimie incroyable faite d'ingénuité et de sexe. Très évocateur. Merci.
Posté le 11/03/2022

Lectrice
Récit sympa ... par contre beaucoup trop de fautes, c'est perturbant
Posté le 3/11/2021

Anonyme
Vraiment, les copines de ma fille, je les attends encore !
Posté le 8/10/2021

Valentina
Merci Chip pour le commentaire, oui il y a un appel et ils savent qu'ils ont 1h devant eux.
Posté le 5/10/2021

Chip75
Bonjour Valentina, ce récit m'a beaucoup plu mais est-ce que l'héroïne a pensée à l'éventuelle arrivée de Marie et de Madame Colin ? C'est un très grand risque de sa part de faire l'amour avec son mari à ce moment. C'est la seule chose qui m'a un peu dérangé pour que l'histoire soit plausible...mais ce n'est qu'un récit.
Posté le 5/10/2021

Anonyme
C'est chaud!! J'adore, trop bon. Une suite?
Posté le 3/10/2021


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