Depuis je ne pense qu’à lui et je vais faire tout ce que je peux pour pouvoir repasser un moment avec lui. Je profite d'une journée piscine pour l'aguiché et je le rejoins dans son lit la nuit tombée.
Proposée le 4/10/2021 par Valentina
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie
Depuis que j’ai couché avec le père de Marie, ma meilleure copine, je ne pense qu’à lui. Les garçons du lycée ne m’intéressent pas, et comment pourraient-ils ? Ce sont des gamins. Monsieur Colin est un homme, un vrai, qui sait faire jouir une femme. Les seuls orgasmes que j’avais eu avant lui, je me les suis donnés moi-même dans ma chambre. Je ne peux pas m’arrêter là, je veux absolument faire l’amour de nouveau avec monsieur Colin, mais je ne sais pas comment me retrouver seule avec lui. Je passe dès que je peux chez Marie, mais son père est toujours au travail ou en déplacement, du coup je vois souvent sa mère et je me demande ce qu’ils font dans l’intimité, s’il la fait jouir tout le temps, si elle sait la chance qu’elle a. Je voudrais un homme comme lui dans mon lit tous les soirs. Je suis peut-être naïve mais je crois qu’il a aimé coucher avec moi aussi.
Un jour, Marie m’invite chez elle pour profiter de la piscine. Je saute sur l’occasion et m’achète un maillot de bain string, je brule d’envie de lui demander si son père sera présent.
Le jour J, je sonne chez Marie et c’est elle qui m’ouvre la porte. Elle m’avertit :
- Ma mère est partie pour le weekend avec une copine et mon père travaille, il va rentrer tard. Tu peux dormir ici si tu veux.
Bien sûr, que je veux ! Je préviens mes parents que je ne rentrerais pas du weekend et j’espère croiser monsieur Colin rapidement.
Je me déshabille près de la piscine et annonce à Marie que puisque nous sommes entre nous, je vais rester en string, sans haut, afin d’éviter les marques de maillot de bain.
- Comme tu veux, mais tu sais que mon petit frère risque de venir te mater.
Son petit frère a 14 ans, il ne m’intéresse pas du tout. C’est son père que je veux ! Je ne lui avoue pas.
Nous somnolons au soleil tout l’après-midi et monsieur Colin rentre enfin. Il vient nous saluer quand nous sommes sur les transats en train de discuter.
- Salut les filles. On se la coule douce à ce que je vois.
- Bonjour monsieur Colin, vous nous rejoignez ?
- Pourquoi pas.
Il revient après quelques instants, en short de bain. J’admire sa carrure, il est musclé, il a des larges épaules et des poils sur le torse, j’ai envie de le chevaucher sous le soleil de cette fin d’après-midi. Il plonge directement dans la piscine et l’eau qui scintille sur sa peau me donne envie de le lécher de sa bouche à sa queue. Je suis très excitée et je sens mes tétons se dresser ce qu’il remarque bien évidement. Le frère de Marie arrive lui aussi et propose une partie de volley. Nous plongeons tous dans la piscine et durant la partie, je fais de mon mieux pour agiter mes seins sous son nez et frotter mes fesses contre lui à toutes les occasions. À un moment, il murmure dans mon oreille :
- Tu vas prendre cher si tu continues comme ça.
Alors je continue.
Lorsque la nuit tombe, nous allons prendre une douche et j’emprunte un short et un débardeur à Marie, je ne porte aucun sous vêtement. Nous dinons avec son père et son frère, qui propose ensuite une partie de Uno. Nous passons une bonne soirée tous les 4 mais j’ai beau élaborer tous les plans possibles dans ma tête, je ne vois pas comment je pourrais me retrouver seul avec monsieur Colin.
Il est près de minuit quand Marie annonce qu’elle est fatiguée et nous montons nous coucher. Je ne suis pas fatiguée du tout. J’écoute son père se déshabiller et se coucher dans la chambre voisine. Oserais-je le rejoindre dans sa chambre ? J’attends que Marie soit endormie, sa respiration est régulière, je me lève le plus doucement possible, à pas de loup je sors de sa chambre et referme la porte derrière moi. Elle n’a pas bougé. J’avance à tâtons dans le couloir vers la chambre de monsieur Colin, j’ouvre la porte et la referme tout aussi délicatement. Il ne bouge pas. Je crois qu’il dort. Je m’approche et je l’entends respirer. Il ne sait pas que je suis là. Que faire ? J’hésite entre ressortir aussi calmement que je suis entrée et le réveiller. Je suis si près du but, comment rebrousser chemin maintenant ? Je me déshabille, soulève le drap, et j’admire son corps. Son sexe au repos, est déjà de belle taille et j’ai envie de le sentir grossir dans ma bouche. Je m’agenouille, attrape sa verge imperceptiblement et j’approche ma bouche. Il se réveille en sursaut lorsque mes lèvres entourent son gland. Je l’avale tout entier avant que son sexe durcisse. Il me laisse continuer quelques instants puis il m’attrape par le bras.
- Valentina ! Tu ne peux pas t’introduire dans ma chambre comme ça !
Je garde son sexe, qui grossit dans ma main.
- S’il vous plait monsieur Colin, je vous suce juste.
- Retourne te coucher, il ne faut pas, ce n’est pas bien.
Mais il ne fait pas un geste. Je commence à le branler lentement, je regarde son sexe grossir et durcir dans ma main. Puis je reprends ma fellation, pendant qu’il murmure des « non Valentina, ce n’est pas bien, retourne dans la chambre de Marie, et si elle nous entendait ». À ce moment précis, je m’en fous qu’elle nous entende, je suis prête à sacrifier notre amitié pour sentir la bite de son père en moi.
Monsieur Colin capitule, il s’assoit dans le lit et appuie sur ma tête pour que je l’avale encore plus. Je m’étouffe sur son pieu et j’adore ça. Il me relève ensuite la tête, m’embrasse et ordonne :
- Allonge-toi et écarte les jambes.
Je m’exécute, je remonte les genoux bien haut, lui dévoilant toute mon intimité. Il me regarde quelques instants en se branlant.
- Tu es belle. Tu te souviens de ce que j’ai dit dans la piscine ?
- Oui, monsieur Colin.
- Répète-le-moi.
- Que j’allais prendre cher.
- Et tu es prête ?
- Oui, monsieur Colin.
En fait, je n’attends que ça. Je suis déjà toute mouillée lorsque sa langue rencontre mon clitoris. Aaah… c’est aussi bon que dans mon souvenir. Il me lèche, introduit un doigt dans mon vagin, il m’amène au bord de la jouissance puis retire son doigt. Il me lèche maintenant l’anus, y glisse un doigt, ça fait mal. Il retourne me stimuler le clitoris avec sa langue. Je crois que je vais jouir, son doigt me fait mal, mais il me fait du bien en même temps, ces sensations son exquises et je mors ma main pour ne pas hurler. Je suis hors d’haleine.
- Aaaah… monsieur Colin arrêtez ou je ne vais pas pouvoir retenir mes cris.
Il s’arrête et me regarde.
- Si ma fille n’était pas à coté, c’est dans le cul que je te prendrais.
Sa bite est beaucoup trop grosse pour passer par là. Il me déchire déjà la chatte, et puis je n’ai jamais essayé la sodomie.
- Mets-toi à quatre pattes. Écarte tes fesses.
Il lèche de nouveau mon petit trou, et cette fois-ci j’ai peur qu’il essaie de me sodomiser. Néanmoins, je me laisse faire, j’apprécie ses caresses, mais tout à coup, je crois entendre du bruit.
- Arrêtez, arrêtez.
Nous tendons l’oreille mais rien.
Monsieur Colin s’allonge sur le dos, je le suce quelques instants, à quatre pattes sur le lit, puis je n’y tiens plus, je l’enjambe, guide son sexe à l’entrée de mon vagin et m’empale difficilement sur lui. Mon dieu, je ne me souvenais plus de cette sensation, il est si gros, je suis emplie de lui. J’attends quelques secondes puis me soulève et me laisse retomber sur lui, je le chevauche pendant de longues minutes. Il tient mes petits seins dans ses mains, les pince puis il attrape mes fesses et avec ses coups de reins, il me fait rebondir sur lui. Il me fait mal, mais c’est trop bon.
- Lève-toi.
Je me tiens debout à côté du lit, monsieur Colin aussi, il me soulève comme une plume, j’ai l’impression d’être une poupée dans ses bras. Je passe mes bras autour de son cou et mes jambes autour de sa taille, et d’un coup sec il me pénètre. Il tient mes fesses et imprime les mouvements, de plus en plus vite, je cache ma tête dans son cou.
- Aaah monsieur Colin vous allez me faire jouir.
Il continue de plus belle. J’étouffe mes cris sur son épaule, il continue encore quelques minutes, je suis si mouillée et ouverte qu’il coulisse rapidement en moi maintenant. Puis il me repose :
- Allonge-toi sur le lit.
Il s’approche, il se branle et moi aussi, puis il éjacule sur mes seins. J’étale son sperme sur ma poitrine, il me regarde faire pendant de longues minutes.
- Tu ferais mieux de repartir sinon je ne vais pas pouvoir me retenir et je vais te reprendre. Mais cette fois, c’est dans ton petit cul que j’ai envie de jouir.
Comme j’ai déjà envie de recommencer, je ne bouge pas.
- Tu as déjà essayé l’anal ?
- Non jamais.
- Oh putain. J’ai trop envie de ton petit cul vierge.
- Je ne crois pas que ça soit possible, ça ne rentrera jamais !
- Ne me défie pas ! Ou je vais essayer tout de suite.
J’hésite à me relever, j’ai envie de prendre sa verge dans ma main, de le branler, j’ai envie qu’il jouisse dans ma bouche. Mais ses enfants sont dans les chambres voisines et j’ai peur de les réveiller. Je me redresse, je l’embrasse :
- J’ai encore envie monsieur Colin.
- Moi aussi, mais il faut vraiment que tu partes maintenant, avant que les enfants se réveillent.
Je ramasse donc mes vêtements, jette un coup d’œil dans le couloir et fonce dans la salle de bain. Je me douche et me rhabille, puis je retourne m’allonger à coté de Marie, la chatte en feu et des idées plein la tête.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.
Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.
Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.
© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.
Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Beaucoup trop excitant !
Posté le 4/07/2022
Anonyme
Un texte très excitant Merci
Posté le 31/01/2022
Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email