Il s'agit ici d'un roman inventé. Mais dont le personnage féminin existe. Une petite surprise que vous lirez en préambule. J'espère que tout ceci vous plaira... et qu'il y aura plein d'épisode.
Proposée le 4/08/2025 par GuiNancy
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Forêt, campagne, nature
Type: Roman
"De la chenille au papillon - Giulia
Après mûre réflexion, je ne vois pas quoi écrire de plus sur Sophie. Je pourrais encore en écrire une dizaine, soyons clair. Mais il n'y aurait rien de neuf ou d'original.
Beaucoup d'histoires ressembleraient à des choses que j'ai déjà raconté avec « Julie ». Et à quoi bon se répéter ? Vous seriez lassé et moi peu motivé.
Je vais donc changer de récit. Pour une histoire fictive maintenant. Il s'agira toujours d'une histoire suivie avec des personnages revenant d'épisode en épisode.
Pour le personnage masculin principal, inutile que je le présente : ça sera moi. C'est celui que je connais le mieux après tout.
Mon personnage féminin se nommera Giulia. Elle a une particularité : elle existe en vrai. Il s'agit d'une de mes lectrices. Et oui ! Elle m'a contacté via le site. Je ne vous donnerai ni son pseudo ni rien d'autre donc inutile de le demander.
Nous discutons innocemment depuis quelques temps. Enfin innocemment, façon de parler. Pour ne rien cacher, la dernière discussion que nous avons eu m'a empêché de me lever pendant quelques minutes (quelle idée d'entamer ce genre de jeux sur un banc en extérieur !). Et visiblement, l’état de sa culotte n'avait rien à envier.
Donc Giulia existe (même s'il s'agit encore d'un pseudo). Je ne l'ai pas rencontré à ce stade. Mais je sais parfaitement à quoi elle ressemble, je connais le son de sa voix.... et les envies qui triturent son cerveau et incendient son bas ventre.
Alors d'un commun accord, elle devient le personnage principal de cette nouvelle histoire. Qui sera raconté tantôt de son point de vue, tantôt du mien.
La description que je donnerai de son physique sera fidèle à ce qu'elle me montre. Le fonctionnement de son esprit le sera autant que possible. Mais vu que ces histoires lui seront soumises avant publication, elle pourra corriger ce qui lui semble incorrect. Et donc vous aurez la version définitive.
Il est temps de commencer.....
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Bonjour tout le monde. Je m'appelle Giulia. Enfin, c'est le pseudo que j'ai choisi. Je vais me présenter un peu. Donc j'ai 18ans. Depuis peu, mais je les ai ! Pour me décrire, je dirai juste que je suis un peu plus grande que la moyenne, les cheveux longs et auburn. Et les reflets roux ressortent bien au soleil.
Le soleil, ça me connaît car je suis plutôt du Sud. Mais ma peau reste plutôt blanche malheureusement. Bon, on ne peut rien contre la génétique.
J'ai de jolies formes et je suis mince. J'ai fait beaucoup de sport. De ce fait, j'ai un corps ferme. Ce qui n'est pas désagréable à regarder je pense. Surtout de profil. Et de dos. Concernant ma poitrine, je suis satisfaite de ce que j'ai. Ni trop gros, ni trop petit. Ferme là encore. Le genre qui n'a pas besoin de soutif.
Vous ne me verrez jamais en photo mais croyez-moi, j'ai de quoi être heureuse de mon corps. Et je sais que je ne laisse pas indifférente. Celui qui écrit ces lignes pourrait en témoigner. Ahahahah !
Je suis différente de Julie. Mais on a quelques points en communs. Moi aussi, je suis le genre de fille insoupçonnable, issue d'une bonne famille, bien éduquée et cultivée. Personne ne pourrait se douter des envies qui brûlent mon ventre. Et de la perversité qui anime mes fantasmes.
Mais contrairement à Julie, je suis dépucelée depuis quelques années et je goûte aux plaisirs du sexe depuis quelques temps déjà. Pour mon plaisir et celui de mes partenaires.
J'ai commenté plusieurs récits de notre auteur préféré (oui, là je me lance des fleurs, je sais) et j'ai fini par lui écrire. Par envie de partager mes sensations et discuter de mes envies. Car bon, je ne serai jamais une femme soumise mais être dominée sexuellement est la source de mon plaisir.
Plus le mec me domine, me rabaisse, fait de moi sa chienne, plus je prends mon pied. Et si à ce stade, mes partenaires m'ont donné satisfaction, aucun ne s'est vraiment totalement lâché comme j'aimerais. Donc voilà pour la présentation. Le récit qui va suivre est fictif. Mais cela ne change rien....
Je me rendais donc au premier rendez-vous fixé par cet homme dont je lisais les récits érotiques depuis si longtemps. Je savais parfaitement à quoi m'attendre. On n'allait pas discuter de la météo. Mais bon, je suis suffisamment grande pour faire ce que je veux et j'en avais envie.
On était un soir d'automne. Un de ces soirs où l'été meurt très doucement. Il avait un peu plus de 22° toute la journée et la soirée était agréable. Le rendez-vous était en extérieur. A l'entrée d'un parc public, prudence oblige.
J'avais mis une petite robe tranquille. Pas sexy mais loin de la bonne sœur également. Le genre de truc plaisant. Et pas trop encombrant. Et mon string ne serait pas trop gênant lui non plus. Quant au soutien-gorge... inutile de s'encombrer avec ça. Surtout que le tissus fin de la robe ferait bien ressortir mes tétons.
Je me dirigeais donc vers ce parc par une petite rue pavillonnaire très calme. Le sourire aux lèvres, l'esprit affairé à imaginer la suite. C'est pour ça que je n'ai rien remarqué avant de l'entendre.
« Giulia ? »
Je me retournais et je le découvrais derrière moi. Par le plus pur des hasards, j'arrivais au rendez-vous par le même chemin que lui. Et je le devançais de quelques mètres.
Toute timide, de ma petite voix de jeune femme, je lui répondais juste « Bonsoir » en souriant. Il s'approcha de moi, souriant lui aussi avant de se pencher et de déposer un baiser sur ma joue.
Sans attendre, il m'invita à marcher avec lui. On a continué et rapidement on s'est retrouvé sur un petit chemin blanc, serpentant le long d'un canal et bordé d'un espace boisé. On parlait de tout et de rien. Il me demandait si je n'étais pas trop nerveuse notamment. Et je lui ai menti en lui répondant que non. Mais ce n'est pas grave car il savait que je mentais.
La première poussée de chaleur fut quand sa main se posa dans le bas de mon dos. Entre le creux des reins et la naissance de mes fesses. Et que très lentement, elle glissa vers ma croupe. Il me regardait en souriant, guettant ma réaction, attendant de voir ce que j'allais dire. Mais je n'ai rien dit. Et si j'avais du dire quelque chose ça aurait été « baise moi » !
Je sentais sa main sur mon cul, le caressant doucement pendant que nous continuions à marcher. On avait croisé absolument personne depuis le début. J'avais du mal à me concentrer. Puis sa main lâcha mon cul pour venir prendre la mienne. Et m’entraîner vers les arbres.
Je me laissais faire comme une petite fille docile et rapidement nous fumes hors de vue du chemin. Le peu de lumière qu'il restait à cette heure-ci rendait tout très intime. Et avant que j'aie le temps de réagir, je me trouvais collé dos à un arbre et embrassée sauvagement. Le genre de baiser passionné qui parle plus de désir que d'amour.
Je lui rendais ce baiser avec tout autant de passion et d'envie pendant que ses mains exploraient mon corps ferme de jeune fille. Puis, sans prévenir, il m'a retourné face à l'arbre. Et en quelques secondes, je me trouvée penchée, m'appuyant sur le tronc et le bas de ma robe retroussée jusqu'au creux des reins.
Rapidement, ses doigts écartèrent mon string détrempé et j'entendis sa braguette se baisser pour libérer sa virilité. Il n'y aurait aucun préliminaire. Il allait me prendre comme ça. Et j'en mourrai d'envie. Tellement que quand il est entré dans ma chatte trempée mais serrée, j'ai échappé un cri de soulagement et de plaisir.
Ce qui a eu l'air de lui plaire car il n'a pas perdu de temps pour me défoncer en me tenant bien par les hanches. Je gémissais comme une chienne en chaleur. Et j'ai alors senti sa main fesser mon petit cul en rythme.
Mon dieu que c'était bon ! Il aurait pu lire dans mon esprit qu'il ne s'y serait pas pris autrement ! Je sentais le plaisir monter dans mon ventre. Et c'est à ce moment là que j'ai entendu des voix, me rappelant subitement où j'étais et ce que je faisais.
Deux femmes discutaient et s'approchaient sur le chemin. J'ai alors serré les dents pour arrêter de gémir comme une chienne en chaleur. Mais ça faisait visiblement rire mon mâle. Qui décida que c'était le meilleur moment pour attraper ma longue crinière et me tirer la tête en arrière. J'étais parfaitement cambrée, subissant des coups de reins dévastateur.
J'avais envie de jouir, de crier mon plaisir et me retenir de simplement gémir était une vraie torture. Heureusement pour moi, les deux femmes nous dépassèrent rapidement sans rien remarquer. Et une fois qu'elles étaient assez loin, j'ai pu me lâcher.
« Vas y baise moi, je suis ta chienne »
« Hmmm tu es vraiment une bonne petite salope effectivement... Tu es prête à devenir mon sac à sperme ? »
Je savais ce que ça signifiait. Il voulait gicler en moi. Et si j'acceptais ça, je devenais Sienne. Je le savais, on en avait discuté. Ça serait la marque que j'étais à Lui, sa propriété, son sac à sperme comme il disait. Ça impliquait beaucoup de chose. Mais tant pis, j'en avais trop envie. Alors je lui ai répondu :
« Oui vas y rempli moi de ton foutre, je veux être ton sac à sperme personnel, ta pute, ta chienne.... »
Sa réponse fut rapide. Je finissais à peine ma phrase qu'il giclait dans ma chatte. Un gros flot de sperme chaud envahit mon ventre. Et déclencha mon orgasme. Ma petite chatte se contractait sur son membre pendant que je criais mon plaisir. D'ailleurs hurlait serait plus réaliste. On était en extérieur mais tant pis. Cet homme me traitait enfin comme j'avais toujours rêvé de l'être alors au diable les conventions.
On a profité de nos orgasmes tous les deux. Et quand il est sorti de mon ventre, je me suis accroupie devant Lui pour le sucer et nettoyer sa bite de ma cyprine et de son sperme. En sentant son jus couler de ma fente. Je le regardais en faisant. Et malgré la pénombre, il a du lire mon désir d'aller plus loin et de savoir jusqu'où il allait m'amener…"
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