Un jeune stagiaire commence à m'entreprendre lors d'une séance de travail, je ne sais pas y résister....et après avoir pris du plaisir avec lui, très intéressée par la bosse dans son pantalon, je l'accompagne à son appartement
Proposée le 23/06/2025 par GoldPussy
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
Arrivée chez lui, c'est à peine entré dans la petite cabine de l'ascenseur qu'il m’a enlacée, me plaquant à la paroi et s’emparant de mes lèvres pour me prodiguer un baiser torride. Moi je lui offrais totalement ma bouche, jouant un ballet avec sa langue, mélangeant nos salives et je laissais libre cours à ses mains qui pelotaient mes seins sous le tissu de mon top. Ses mains qui maintenant caressaient, découvraient et parcouraient la globalité de mon corps pour la première fois, ce qui me mettait dans un état de total abandon. Arrivés au sixième étage, l'ascenseur s'est arrêté et Julien qui ne semblait pas pressé d’arriver chez lui a continué à me peloter les fesses et les seins. La lumière du palier s'est éteinte et ses caresses sont devenues encore plus vicieuses, j'ai recommencé à gémir alors que ma petite culotte ne cessait à nouveau de s'humidifier tandis que sa langue dans ma bouche étouffait mes petits rugissements de jouissance.
La situation, nous deux dans le noir, paraissait lui plaire et j'ai même cru un moment qu'il allait me prendre sur le palier tellement ses caresses se sont faites plus intimes, et je crois bien que je l'aurais laissé faire. Il a passé ses mains à l'intérieur de mon soutien-gorge, triturant et pinçant mes mamelons, les faisant durcir à l’extrême, tandis que ma petite culotte s’humidifiait à nouveau et que des ondes parcouraient mon bas ventre, puis une de ses main s’est glissée sous ma culotte en dentelle à la recherche de mes fesses, tirant sur le fin élastique...
Ma chatte était maintenant toute trempée, clairement gluante, il ne pouvait pas l'ignorer, et pourtant son doigt continuait de frôler à peine mes petites lèvres, d'effleurer un bref instant mon clitoris dressé... je sursautais à chaque effleurement, mes reins ne m'appartenaient déjà plus, mes cuisses étaient grandes ouvertes, même si j'avais encore tous mes vêtements... Julien commença à faire glisser son doigt entre mes nymphes, juste à l’entrée du vestibule et introduisit la première phalange dans ma fente... Ce n'est pas bien gros un doigt, mais j'avais tellement envie, j’étais si excitée que je sentais le moindre relief de son doigt qui me pénétrait doucement... Sa main englobait maintenant mon pubis, puis ses doigts descendirent pour caresser ma fente gluante, remontant sur le clitoris innervé pour le pincer, le titiller. Tous ses gestes contribuaient à me faire mouiller d’abondance et mon excitation devenait si affolante qu’elle me fit perdre toute notion, je n'en pouvais plus !
Il était temps de rentrer dans son appart, il bandait comme un fou, je pouvais sentir son gros sexe dur contre mon ventre. Quant à moi, j'étais en train d'inonder ses doigts et ma petite culotte, si bien que quand il ouvrit la porte de son appart, nous avons continué dans le salon ce que nous avions déjà largement entamé sur le palier, et n’y tenant plus, je défis un à un les boutons de sa chemise et descendis rapidement ma bouche sur son torse en y appliquant de petits bisous. Arrivée à la taille, j’étais gênée par le pantalon duquel je défis rapidement la ceinture et ouvris les boutons, j’avais hâte d’aller à la rencontre de cette verge que je sentais gonflée et très dure sous son caleçon.
Tandis qu’il s’extrayait de son pantalon, je sentis à travers le tissu que la queue de Julien était d'une taille plus que respectable, et je ne fus pas déçue quand, descendant son boxer, elle apparut en pleine lumière, déjà semi érigée et moite. J’enveloppais délicatement ses bourses de ma main gauche tandis que l’autre se posait sur ce sexe dressé, ample et lourd et je descendis m’agenouiller à ses pieds, afin de m’occuper de son bel engin. Je pris alors entre mes doigts cette verge ample et lourde, tellement tendue qu'elle était maintenant érigée à la verticale et restait plaquée sur son ventre, ce qui avait vraiment de quoi me satisfaire et me rendait déjà folle de désir.
Puis, l’attrapant à pleine main, je me mis à la caresser délicatement, sa queue se soulevait et frémissait entre mes doigts, mais je ressentais le besoin impérieux de prendre ce sexe en bouche, d’en respirer le parfum et d’en savourer la texture. Après quelques coup du bout de ma langue sur son méat, je pris enfin son gland gonflé entre mes lèvres et je l’embouchais, c’est alors dans mon palais que se révéla toute sa saveur délicieuse. Je salivais énormément, j’humectais du bout de ma langue l’extrémité de son gland et de sa couronne, les titillant à tour de rôle. Je l’aspirais de nouveau dans mon étroit fourreau, son bassin se mit à onduler en accompagnant ma bouche venant à sa rencontre, il caressa mes cheveux puis chercha à accélérer le rythme en forçant ma bouche plus profondément et murmura à mon oreille d‘une voix voilée par le plaisir : "continue comme ça, c’est vraiment bon ! " Ses mains glissèrent vers moi, me massant la poitrine, me titillant gentiment mais efficacement les tétons. Maintenant, je gémissais à mon tour, je me tortillais sous ses caresses, je me liquéfiais sur place tellement c’était intense.
Je levais mon regard vers lui et plantait mes yeux dans les siens, on était comme accrochés, je sentais son ventre se contracter légèrement et sa respiration s’accélérer, c’était merveilleusement insoutenable. Au rythme de la masturbation que je lui prodiguais en même temps, je descendais petit à petit plus avant sur sa queue, la faisant pénétrer plus loin dans ma bouche, l'avalant plus profondément, jouant toujours de ma langue avec le gland, mes mains expertes continuant de le masturber à un rythme lent mais profond. Je mis toute ma fougue et tout mon talent pour lui prodiguer avec mes lèvres et ma langue des caresses inoubliables. Sa verge était grosse, longue, chaude et épaisse, elle remplissait bien ma bouche et après quelques instants de jeu avec ma langue, quand je la recrachais toute luisante de salive, elle s’était mué en une érection fougueuse et semblait maintenant d’une dimension incroyable. Tandis que je branlais vigoureusement ce barreau, je jouais gentiment avec ses couilles, les roulants dans ma main, les humant et les suçotant, faisant encore plus monter son désir. Je songeais déjà au plaisir que j'éprouverais en la recevant dans mes autres orifices.
Le sentant prêt à venir, j’arrêtais le mouvement de ma main et commençais à titiller son frein avec le bout de ma langue pointue, avant de glisser sur le gland et descendre le long de sa hampe, mordillant délicatement la peau fragile de son gland que je décalottais, puis je descendais jusqu’aux bourses que je gobais avec plaisir, jouant alternativement avec ses deux testicules, les faisant jongler entre mon palais et ma langue, les aspirants, les tapotant, les enveloppant dans mes joues, les léchant goulûment, celles-ci étant dépourvues de tout poil.
Puis je m’attaquais à nouveau au morceau de chair qui dépassait du fourreau de sa verge, ce gland rose semblable à un bonbon que l’on a envie de sucer copieusement et longuement. Ce dôme, je le fis glisser inlassablement sur mon plancher buccal entre mes lèvres qui s’arrondissaient, ce gland devenu violacé dans ma bouche chaude et gourmande que je pompais avec délectation jusqu’à sentir monter en lui cette vague de plaisir… Je n’ai pu me retirer à temps, l’aurais-je voulu d’ailleurs?? Quatre/cinq giclées chaudes inondèrent ma bouche jusqu’à ma gorge, frappant ma luette. Cette vague, j’en pris une gorgée, la fit tourner en rond dans ma bouche, mon palais absorba les saveurs fruitées et épicées de ce liquide … à m’en faire chavirer de bonheur et d’extase, ce nectar des dieux chatouilla ma luette et glissa comme du miel dans ma gorge, c’était délicieux !
Profitant de ce moment de répit dont il avait tant besoin, il entreprit de découvrir pleinement mon corps et c'est ainsi que ma jupe et le restant de mes habits ont volé dans la pièce, Julien ne m'a laissé que mes dessous et mes bas Dim up. Il a fait jaillir mes seins de mon soutien-gorge et tout en me mordillant le cou, ses mains trouvèrent dans mon dos l’attache de ce dernier rempart, qui ne résista pas longtemps et c’est ainsi que cette barrière entre lui et notre plaisir tomba, découvrant mes magnifiques seins qui pointaient vers des sommets de désirs, les pointes durement érigées. Il promenait maintenant ses mains sur mes collines, en suivant lentement leurs courbes, jouant avec mes pointes, les effleurant de ses doigts, puis les pinçant, avant de les offrir à sa bouche qui commença à faire de larges cercles autour de mon sein gauche, cercles de plus en plus petits, se rapprochant de mon téton qui bandait maintenant aussi dur que sa queue. Sa langue décida alors d’entrer en scène et commença très doucement à jouer avec un téton puis avec l’autre, avant de les titiller et les mordiller avec délicatesse, puis tout en les malaxant dans ses doigts, il les excitait entre son pouce et son index. Ses lèvres vinrent enfin recouvrir mes tétons, les léchant et les suçant, avant que sa bouche toute entière les aspire goulument, les rendant de plus en plus gonflés et durs tandis que je m’emplissais de frémissements.
Soudain, m'attrapant à bras le corps par la taille, il me fit asseoir dans le fauteuil qui se trouvait derrière moi et commença à m'attacher les poignets avec deux de ses cravates de soie aux accoudoirs. Ainsi libre de ses actes, il m’enleva délicatement ma petite culotte et posa ses lèvres charnues sur ma vulve, puis dégageant mon capuchon de ses doigts, il vint poser des petits bisous qui m'électrisèrent sur la pointe de mon clitoris. Pour mon plus grand plaisir, Julien prenait de l'assurance et la pointe de sa langue qui tendrement s’aventurait entre les plis charnus et lisses de mon sexe délicatement épilé, se faisait indiscrète, s'insinuant doucement entre mes lèvres, explorant la béance de ma petite moule, s’introduisant le plus loin possible dans ma grotte, recueillant les flots de cyprine qui s’en écoulaient, s’aventurant entre les globes de mes fesses pour inonder de salive mon anus, avant de remonter vers mon clitoris et de recommencer le voyage de nombreuses fois. Devant tant de plaisirs, je m’ouvrais encore plus et il me lécha encore plus profondément, je recommençais à gémir grave sous la montée du plaisir et mon bassin commençais à onduler, je n'en pouvais plus, je mouillais de plus en plus.
Sa langue titillait maintenant mon clitoris qui dardait à la commissure de mes petites lèvres luisantes d'émotion, ouvertes sur les profondeurs corail déjà prêtes à l'exploration. De l'index et du majeur de sa main gauche, il écarta mes grandes lèvres, puis il dégagea complètement le bouton durci de mon clitoris pour dessiner des cercles sur sa pointe avec l'index de sa main droite, c’étaient plus des frôlements que des caresses et chaque passage branchait mon bassin sur du 220 volts. Puis il prit délicatement mon clito entre trois doigts et le branla comme une petite bite, tandis qu'il me rendait encore plus folle avec sa langue, ses doigts mais aussi, avec tout ce qu'il me disait. Jamais je n’aurais imaginée rencontrer un garçon aussi doué au cours de cette soirée.
J'avais maintenant envie de le sentir en moi, j’avais envie qu'il s'enfonce entièrement en moi, que son corps se fonde dans mon corps. Son index venait à nouveau de pénétrer mon intimité, je feulais sous cette caresse. Bientôt, il introduisit un autre doigt, puis un troisième... Ce n'était qu’un hors d'œuvre, mais j'appréciais. Il savait combien j'aimais ce qu'il me faisait… Je le lui dis, lui murmurais, je lui dis aussi que c'était sa queue dont j'avais envie maintenant… je ne pouvais plus attendre…
En quelques minutes, j'étais hors de moi, haletante et gémissante, pressentant déjà que mon orgasme serait très violent. Mon corps se cambrait sous ses caresses et n'en pouvant plus, je le suppliais de venir me pénétrer. "Vas y ! Je t'en prie, baise-moi ! Merde, qu'est ce que tu attends ? Je veux toute ta queue dans ma petite fente... "
Julien n'attendait que cette prière de ma part, il voulait m'entendre lui dire combien j'avais envie qu'il me prenne….
Il me détacha alors les mains pour que je puisse aller sur le canapé et prendre une position plus confortable, tandis que je voyais nettement son sexe encore se gonfler.
"J'ai envie de te chevaucher", murmurai-je. Il s'étendit alors sur le dos et je vins pour m'empaler sur son pieu dressé à la verticale. Il était si dur et si droit que nous n'eûmes pas besoin de nos mains pour guider cette pénétration. Je m'installais sur lui, ma fente à l'aplomb de son sexe dressé et je m'agenouillais en contrôlant la vitesse de mes gestes, jusqu'à ce que les lèvres de mon minou viennent juste coiffer son gland gonflé à éclater. Là, je me mis à bouger presque imperceptiblement, je faisais pénétrer de quelques millimètres sa bite dans l'entrée de ma chatte, je me dégageais presque et je recommençais, encore et encore, c'était une sensation follement érotique.
Puis il souleva ses fesses et je sentis avec ravissement son gland forcer sans difficulté l'entrée de mon minou, ruisselant de cyprine. Pour l'exciter, j'ondulais des hanches, me contractais autour de son gland presque immobile, et réclamais crument de me faire défoncer. Lorsque je ne pus retarder plus longtemps la pénétration que j'attendais, je m'empalai, sans le toucher, sur l'énorme pieu que je contemplais pendant qu'il disparaissait dans mon intimité. Je me laissai descendre le long de cette hampe dure comme du bois, savourant chaque centimètre de sa progression que je ponctuais de gémissements sonores.
Lorsque ma vulve toucha le pubis de Julien, je marquai un petit temps d'arrêt, pour savourer cette sensation d'être complètement remplie par cette superbe queue.
Je poussais de nouveau de petits cris de plaisir, excitée par le regard halluciné de Julien fixé sur mon pubis glabre, tandis que je montais et descendais lentement sur cette tige.
Là, je me mis à contracter mon vagin, par petites secousses, autour de cette bite dure comme de l'acier qui ramonait en élargissant les parois de ma gaine. J'attendis que des ondes de plaisir parcourent mon ventre, mes seins, remontent jusqu'à ma nuque, et seulement à ce moment-là, je commençais à bouger mes hanches de plus en plus vite, pour m'empaler de plus en plus fort sur le pieu qui me transperçait.
Une excitation folle me gagnait, et je me déchaînais. Je poussais sur mes bras et mes jambes, pour me soulever, puis me laisser retomber brutalement sur la bite de Julien, qui accompagnait mes mouvements avec ses mains posées sur mes fesses. Puis ses mains se firent plus pressantes, remontant sur mes hanches qu'il empoignait maintenant, je vis qu’il voulait être le maitre du jeu et pour exacerber mon désir, Julien ressortit presque entièrement sa tige de ma fente trempée de mouille et il se mit à aller et venir tout doucement, juste à l'entrée de mon intimité.
"Aaaah ! C'est bon... Je la sens bien rentrer... Oh, c'est trop bon ! " Julien se contrôlait et je découvris bientôt toute son imagination.
Lorsqu'il sentit que mon désir m'avait fait perdre toute retenue, il me pénétra brutalement d'un grand coup de rein, m'arrachant un hurlement. J'avais l'impression d'être un jouet entre ses mains, qu'un feu d'artifice explosait dans mon ventre et dans ma tête. Je feulais sans m'arrêter, et je craignais que Julien ne parvienne pas à se contrôler.
C'était fabuleux ! Un orgasme d'une violence inouïe montait, incontrôlable, délicieux. Ma voix grimpait dans les aigus. Je me soulevai, permettant à Julien d'empoigner à nouveau mes fesses.
"Vas y, soulève-moi, baise-moi !... Oui, comme ça... Aaah ! Oui, plus profond encore ! "
Je m'empalais de nouveau à fond, me penchant en arrière, mes seins durcis dressés vers le plafond, Julien les malaxait à pleines mains à présent, pendant que je me mettais à crier.
"Bouge bien ta queue", criais-je, en contractant mon abricot autour de son gland.
De nouveau, le plaisir monta en moi, comme les vagues d'une grande marée, je poussais des cris inarticulés, cherchant à écarter mes fesses pour faire pénétrer la tige tendue à se rompre, encore plus profondément dans ma chatte.
J'avais la chatte en feu et je me suis mise à gémir et à crier mon plaisir sous les coups de boutoirs profonds et réguliers que je recevais, Julien baisait comme un dieu. L'orgasme m'a surprise et m’a tétanisée par sa soudaineté, entrainant celui de Julien. Mon plaisir se traduisit par une longue plainte, et des larmes coulaient même sur mes joues, mais je connaissais ma capacité à repartir aussitôt, et je ne regrettais pas de m'être abandonnée à ce plaisir.
Après un petit verre pour reprendre nos esprits…et la forme pour Julien, je me positionnais à sa demande en levrette, celui-ci aimant particulièrement tout comme moi cette position, et je pris son sexe à pleine main pour le guider vers mon antre encore affamée, ce qui me laissa une sensation étrange et eut pour effet de m'exciter encore plus. Je décidais alors de jouer un peu, et tandis qu'il tentait de me pénétrer par de lents va et vient, je retenais son sexe avec ma main, ce qui avait pour effet qu'à chaque coup de rein de Julien, mes petites lèvres s'écartaient légèrement sans pour autant que la pénétration fut complète. Puis quand je le lâchais un peu, ce fut lui qui prit le temps de faire de très lents aller et retours sur mes lèvres, lubrifiant au passage son sexe de ma mouille, m'excitant encore plus et écartant encore mieux mes lèvres, facilitant ainsi la pénétration à venir.
Puis enlevant ma main, je laissais libre cours à sa puissance, écartant les cuisses au maximum, et je sentis mes parois s’écarter pour laisser passage à son sexe qui s'engagea profondément dans le chemin du Paradis ou il commença de rapides va et vient, tandis que ses couilles battaient en cadence sur mon clitoris tendu. J’accentuais alors l’extase en resserrant les cuisses et en contractant les muscles de mes orifices, des vagues de plaisir montaient maintenant de mon ventre et je ne pouvais m’empêcher de bouger mon bassin. Encore, lui dis-je doucement, "c'est bon comme ça, tu vas me faire jouir, ne t'arrête pas ! " J'étais en nage, il caressait mes seins puis m'enfonçait un doigt dans l’anus, et soudain une décharge électrique violente partit du fond de mes reins et me fit hurler de plaisir, tandis que je ressentais les spasmes de ce nouvel orgasme et son sperme chaud jaillir par saccades au fond de mes entrailles.
Alanguis, nous fîmes un petit câlin pour reprendre nos esprits, et j'en profitais pour essuyer le sperme qui me coulait le long des cuisses, avant de ramasser le drap de bain qu’il avait étalé sous moi et d’aller prendre une petite douche pour me rafraichir. Au retour, je me sentais envahie par une sorte d'énergie sexuelle incroyable et je n'étais pas la seule, car les mains de Julien se remettaient bientôt à caresser doucement mon corps, descendant rapidement vers mon sexe qu'il effleura à nouveau de mouvements circulaires qui engendraient chez moi des soupirs de plus en plus irrépressibles.
Et tandis que je voyais sa lance se redresser, entre deux baisers il me dit soudain : "Retourne-toi ! " Bien sûr, j'en voulais encore et je savais qu'il allait me satisfaire, aussi j'exécutais aussitôt son désir, pensant qu'il désirait me prendre en cuillère ou pratiquer l'une des positions du Kamasutra permettant de contempler mon joli petit cul. Son sexe entama alors un doux mouvement de va et vient entre mes cuisses et je sentais à nouveau le désir monter en moi. Le glissement de son phallus en érection entre mes fesses m'excitait au plus haut point et une fois de plus, j'avais envie qu'il me prenne, quand soudain je sentis son doigt aller vers la rosette de mon anus et commencer de petites caresses circulaires. Quand il me dit qu’il aimerait bien remplir mon petit trou, je compris alors sa véritable intention qui semblait terriblement l’exciter. Bien que je n’ai jamais été une adepte inconditionnelle de la chose, cela n'a jamais été un tabou chez moi et quand elle est pratiquée avec douceur, la sodomie me procure beaucoup de plaisir et j’avais même déjà eu plusieurs fois des orgasmes dans cette pratique. En revanche, me faire enculer n'était pas forcement le genre de chose que j'étais théoriquement prête à pratiquer dès le premier soir avec un nouveau venu. De nouveau, tempête dans ma tête, tandis que son doigt allait maintenant de ma fente trempée à mon anus et que je commençais à sentir le plaisir monter de plus en plus. Emportée par trop de sensations à la fois, je me sentis soudain incapable de lui refuser cela, surtout après les pénétrations qu'il venait de me faire subir, et les nombreux plaisirs qu'il venait de me donner. Cette perspective de me faire sodomiser décupla mon excitation car Rémi était le seul, à part celui qui m’avait déflorée, à m'avoir enculée jusqu’à ce jour et ce n'était pas réellement un problème pour moi de lui offrir mes fesses, et comme de toute façon j'étais super excitée, autant profiter d'un orgasme anal que je suis sûre il allait m'apporter dans la droite ligne des orgasmes qu'il venait de me donner.
Il me dit de l’attendre et partit vers ce que je saurais plus tard être sa chambre, et il revint avec un tube de gel et une boite de capotes. Il prit une capote dans la boite, la positionna sur son gland et me demanda de la dérouler avec mes lèvres, ce que je fis avec la plus grande science. Sa langue parcourait maintenant ma petite moule, écartant mes lèvres, agaçant au passage mon clito. C'était délicieux et je ne me suis vraiment pas refusée quand il a voulu la passer entre mes fesses, et c’est avec un certain plaisir que mon anus palpitant a accueilli sa langue, appréciant que sa pointe titille et en force tendrement l’entrée, alternant douceur et puissance, amplitude et intensité. Après sa langue, je sentis son doigt aller vers ma rosette et commencer de petites caresses circulaires, puis il a pris un peu de gel sur un doigt et l’a enfoncé délicatement dans mon anus, j’ai eu du mal à me retenir de crier de plaisir. J'aime cette caresse osée et je lui ai fait comprendre en ondulant ma croupe sur ce doigt qui m’enculait, qu'avec moi il pourrait se permettre toutes les folies.
Son sexe entama alors un doux mouvement de va et vient entre mes cuisses et je sentais à nouveau le désir monter en moi. Le glissement de son phallus en érection entre mes fesses m'excitait au plus haut point et une fois de plus, j'avais envie qu'il me prenne, qu’il me donne encore du plaisir. Je me mis alors à quatre pattes, le cul en pointe, offerte, ouverte et totalement en chaleur, écartant de moi-même mes fesses et me cambrant pour lui donner le meilleur accès. Devant cette soumission, il vint se positionner derrière moi, me complimentant et me remerciant de cette jolie vue. Je laissais échapper des petits gémissements, la corolle de mon œillet offerte comme une fleur en pleine éclosion.
Afin de rendre la pénétration plus facile, il s’enduisit le gland de ma cyprine en glissant celui-ci entre mes lèvres suintantes, puis il mouilla mon petit trou avec le gel lubrifiant. Enfin, appuyant son gland avec d'infinies précautions, il commença à m'élargir l'œillet, j'avais l'impression que toute la sensibilité de mon corps était concentrée sur cet anneau de chair que le gland de Julien dilatait. Je sentais mon cul s'ouvrir de plus en plus sous les assauts répétés de mon nouvel amant et soudain je sentis ma résistance céder avant que son gland enduit de ma cyprine se glisse entre mes fesses, forçant l'étroit passage de ma rondelle, puis son membre suivit et s'immisça complètement au plus profond de mes entrailles jusqu’à ce que ses couilles viennent taper contre mon cul. Vue la grosseur de son sexe, c’était un peu douloureux, mais aussi tellement bon de le sentir ainsi. J'étais à présent embrochée par un énorme pieu qui me dilatait l'anus et tandis qu'il allait et venait dans mon orifice, il malaxait avec délice mes fesses pulpeuses d'une main, tout en me caressant la vulve de l'autre. Mon petit cul rosé, mes fesses écartelées qui vibraient sous ses coups, étaient pour lui une vision paradisiaque. Ma tête était entre mes bras, je n’essayais même pas de contenir mes cris de plaisir, véritable furie en rut, déchainée, prenant mon pied comme jamais. Pour compléter la chose, quand il saisit mon clitoris entre deux de ses doigts et le pinça fortement, je su que je n’allais pas tenir longtemps.
Soudain, je ressentis les contractions du membre que j'accueillais ainsi que les flots de liquide qui jaillissaient par saccades et se déversaient dans le préservatif, et je criais mon plaisir qui explosait de la pointe de mes seins à mon sexe, de mon cul au plus profond de mon ventre, tandis que Julien s’agrippait à mes hanches en poussant un cri d’extase.
A suivre...
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