Un jeune stagiaire commence à m'entreprendre lors d'une séance de travail, je ne sais pas y résister....et après avoir pris du plaisir avec lui, je l'accompagne à son appartement
Proposée le 23/04/2025 par GoldPussy
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie
Julien était stagiaire depuis presque six mois dans l’entreprise et j’étais la personne référente pour son stage, qui devait se terminer à la fin de ce mois. C’était un garçon charmant, plein de prévenance et qui avait un joli petit cul d’enfer qui faisait l’admiration de toutes les filles du service, et je dois dire que j’en étais assez folle également. Durant les poses, les filles discutaient régulièrement de ce qu'elles aimeraient bien faire avec ce beau gosse, sous mon sourire amusé, moi Océane, la fille de 28 ans casée et heureuse avec mon mec, Rémi.
Nous étions fin juillet et par ce beau temps j’étais toute légère vêtue d’un ensemble composé d’une petite jupe courte assez ample avec une veste en lin écrue assortie, portée sur un top cinabre au décolleté vertigineux laissant une jolie vue plongeante sur mes seins emprisonné dans un joli soutien-gorge corbeille rouge « Belle D’Ispahan d’Aubade », pour ceux qui connaissent, le tout perché sur de fines chaussures à talons hauts assortis.
C’était un Vendredi, vers la fin de la journée, pratiquement tout le monde était déjà parti pour le weekend et j’étais assise à mon bureau, en train d’expliquer à Julien quelques subtilités sur le fonctionnement d’un nouveau logiciel. Comme nous ne devions pas en avoir pour longtemps, celui-ci était resté debout et il se tenait derrière moi, légèrement penché par-dessus mon épaule.
Depuis quelque temps, je sentais bien qu’il n’écoutait pas et qu’il semblait distrait, vraisemblablement absorbé par ce qu’il pouvait apercevoir dans mon décolleté, et j’étais persuadée qu’il s’intéressait plus au contenu de mon balconnet, celui-ci découvrant légèrement le haut de mes aréoles, qu’à ce qui se passait sur le moniteur de mon micro.
Soudain, sous l'effet d'un courant d'air provenant de la fenêtre semi-ouverte, une feuille de papier qui était posée sur mon bureau glissa et tomba par terre, légèrement sous mon bureau. Aussitôt Julien me contourna et s’accroupit pour ramasser cette feuille, et dans son mouvement pour se relever, il posa sa main gauche (par inadvertance ?) sur mon genou.
Se sentant sans doute encouragé par mon absence de mouvement de recul à ce contact, tout en se relevant celui-ci garda sa main sur moi et en profita pour faire glisser ses doigt soyeusement en remontant un peu plus haut sur ma cuisse, juste à la lisière de la bande antiglisse de mes bas autofixants Dim up, ma jupe étant assez relevée, due à ma position assise, créant ainsi un frisson émotionnel au contact de ma peau. Puis il se déplaça pour revenir se positionner derrière moi, sa main qui remontait maintenant légèrement ma jupe toujours en place sur ma cuisse, et devant mon manque de réaction apparente, il commença à me caresser doucement le haut de la cuisse, en faisant remonter de plus en plus ma jupe jusqu’à ce que sa main se retrouve sur mon entrejambe, ses doigts frôlant maintenant mon joli tanga assorti à mon SG.
Prise un peu de court, j’étais un peu tétanisée et je ne savais trop comment réagir, mais je ressentais bien les agréables picotements au niveau de mon sexe et une boule de feu qui envahissait le bas de mon ventre, je me mis malgré moi à gémir doucement tandis que mon tanga commençait à s'humidifier.
Après quelques instants passés à lutter dans ma tête, partagée entre laisser-faire et laisser aller, je me suis rendu compte qu'après tout cela m'étais très agréable et me plaisais bien, il ne brusquait rien et j’ai donc décidé de ne pas intervenir et de m’abandonner, me disant que je verrais bien ou cela nous mènerais. Je l’ai même encouragé un peu (beaucoup ?) en écartant légèrement plus les jambes, arquant le dos en prenant appui sur les épaules et les pieds, en basculant mes fesses sur l’avant de mon fauteuil pour lui faciliter totalement l’accès vers le lieu de son désir.
Maintenant, ses doigts caressait doucement les lèvres de mon sexe à travers le léger tissu de mon tanga déjà humide et il en profita pour presser mon clitoris, appuyant la paume de sa main sur celui-ci, lançant des ondes de plaisir dans mon corps à chaque pression. Puis il écarta délicatement d'un doigt le tissu de ma petite culotte pour passer dessous et venir caresser délicieusement mes lèvres vaginales, accrochant le bourrelet qui sert de capuchon à mon clitoris et sous le coup de l’excitation, ce simple effleurement fit que celui-ci se redressa et me fit soupirer. Ses doigts semblaient connaisseurs de l’anatomie féminine et par de tendres vibrations, l’extrémité de sa main agaçait maintenant mon bouton dressé complètement sorti de son capuchon, puis ses doigts replongèrent entre mes lèvres à la recherche d’humidité avant de revenir sur mon clitoris qu’il s’amusa à effleurer, tapoter, titiller, puis le prenant entre le pouce et l’index, il le pinça et le tira, lui procurant d’intenses stimulations, j’étais en transe, ma respiration soulevait ma poitrine et ma bouche ouverte avait du mal à prendre de l’oxygène tellement elle était sèche.
Il était parfaitement bien placé, je sentais monter le plaisir à chaque cercle qu’il décrivait sur ma vulve, et maintenant il tirait sur mes grandes lèvres, puis pinçait vicieusement les petites, tout en introduisant son majeur de quelques centimètres dans ma chatte brulante, puis ses doigts dévalaient les renflements maintenant abondamment mouillés de ma vulve. Le contact du liquide, fruit de mon plaisir, le grisa quelque peu, et il noya son majeur dans mon antre moite et surchauffée, pénétrant complètement ma vulve, pour mon plus grand plaisir, ce qui eut pour effet de me faire écarter un peu plus largement les cuisses et lui permit ainsi d’introduire un deuxième doigt dans mon sexe maintenant détrempé et de les activer par de doux mouvements de va et vient.
Bien calés au fond de mon vagin, ses doigts qu’il écartait et remuaient légèrement grattaient les parois de ma prison dorée, électrisant par là-même mon corps tout entier, ses attouchements aux tréfonds de mon être affolaient mes sens, faisant chavirer mon corps et mon esprit. Je me suis complètement abandonnée quand il a commencé à faire aller et venir lentement ses doigts dans ma fente.
Comme il était penché sur moi, je pouvais ressentir son souffle chaud dans mon cou et je ne pouvais plus m’empêcher de pousser de petits gémissements, tellement cela était agréable et le comble fut atteint quand Julien me susurra à l’oreille qu’il allait me faire jouir, tout en me faisant de petits baisers mouillés dans le cou. L'orgasme fut immédiat !
Il me mordillait maintenant le lobe de l’oreille et son souffle chaud m’électrisait, je tournais la tête pour jeter un regard vers lui. Sa bouche s’approcha alors de la mienne et s’empara de mes lèvres, elle avait un petit goût de nouveau et elle commença à la lécher, la mordiller, puis un jeu de lèvres et de langues s’instaura avant de s’entremêler et commencer à faire l’amour, ce qui eut pour effet de m’apaiser un peu, pour m’exciter encore davantage.
Pendant ce temps-là, sa main droite ne restait pas inactive, elle s’occupait activement de ma poitrine, malaxant doucement mes lobes et faisant durcir un peu plus mes tétons à travers le tissu soyeux de mon top. Comme je le laissais jouer à sa guise avec mes seins, il en profita pour glisser sa main à l’intérieur de mon soutien-gorge à balconnet, pinçant leur extrémité entre son pouce et son index, les roulant et les étirant de plus en plus sévèrement, ce qui eut pour résultat immédiat de les faire gonfler encore plus, puis il me dégagea un sein et délaissant mes lèvres, il le prit goulument dans la bouche, aspirant et mordillant le téton jusqu’à ce que plaisir et douleur se mélangent de manière si extraordinaire que je frémissais, mon épiderme se constellait d’une douce chair de poule jouissive et j’en ressentais des palpitations au plus profond de mon ventre.
J’étais maintenant complètement affalée sur mon fauteuil, à demi allongée, partagée entre la peur que quelqu'un rentre dans mon bureau et le grand plaisir que je ressentais, mais Julien ne me laissa pas réfléchir très longtemps, faisant pivoter mon fauteuil il en profita pour s'agenouiller et venir se positionner entre mes jambes, et tout en écartant la fine dentelle de ma petite culotte, il couvrit alors mes cuisses puis ma chatte de petits baisers légers, tout en retenue, ce qui provoquait à nouveau des fourmillements de plaisir au bas de mon ventre. Puis il attrapa mon tanga par le haut, je renversais la tête sur le dossier et en me soulevant à deux mains, je glissais vers le bord du siège, jusqu’à avoir les fesses à moitié dans le vide ce qui lui permit de faire glisser mon tanga le long de mes cuisses jusqu’à ce que celui-ci se retrouve par terre.
Il m’attrapa alors par les hanches et commença à me lécher avec finesse, goûtant le parfum de ma cyprine, je sentais la chaleur de sa langue s’insinuer entre mes petites lèvres, avant que celle-ci ne vienne darder vigoureusement ma vulve.... "J'adore ta langue dans ma fente, embrasse les lèvres de mon sexe, fais glisser ta bouche partout" ne puis-je m’empêcher de lui dire tellement cela me donnait de plaisir et je soulevais mes reins pour qu'il aille encore plus loin en moi.
Il prit alors mes jambes par les chevilles pour les déposer sur les bras de mon fauteuil, dévoilant ainsi les couleurs nacrées de ma vulve maintenant grande ouverte et lui offrant une vision de rêve.
Pour mon plus grand plaisir, sa langue explorait les lèvres béantes de ma petite moule, s'introduisait le plus loin possible dans ma grotte, recueillait les flots de cyprine qui s'en écoulaient, s'aventurait entre les globes de mes fesses ou je sentais son souffle frais avant qu’il n’inonde de salive mon anus... Je n'avais pas imaginé rencontrer au cours de ce stage un garçon aussi doué.
Mes gémissements redoublèrent lorsqu’il introduisit deux doigts dans ma chatte engorgée de désir, les ressortant pour les porter à sa bouche et goûter mon nectar, puis il les réintroduisit et commença un mouvement de va et vient, tantôt lent, tantôt rapide, ce qui, accentué par les douces caresses de sa langue sur mon clitoris, m’amena, tellement c’était jouissif, très rapidement à un nouvel orgasme avec un râle profond accompagnant les secousses qui agitaient mon bassin. C'était fabuleux, j’étais ruisselante de sueur, haletante, sans forces, complètement épuisée par tant de plaisirs. Si j'avais déjà connu des orgasmes foudroyants, jamais je n'avais ressenti ce flot ininterrompu de spasmes, d'éclairs de jouissance. Je ne parvenais pas à reprendre mon souffle, j'avais l'impression d'étouffer, comme lorsqu'on boit la tasse à la mer.
Et quand délicatement il me proposa de partir pour aller finir agréablement la soirée dans son appartement, j’étais dans un tel état d’excitation que je n’ai pas pu lui refuser, je venais d’avoir trop de plaisirs pour m'opposer à quoi que ce soit de sa part. Mon corps en demande lui appartenait déjà tout entier et le réclamait partout, et puis aussi, je tenais absolument à voir et m’occuper de cette chose qui provoquait une telle protubérance qu’il pouvait difficilement cacher sous son pantalon en toile fine.
Il était environ 18h30 quand nous allâmes au parking pour prendre nos voitures respectives, étant décidé que je devais le suivre, ne connaissant pas le chemin. Je profitais du parcours et de l'intimité de ma voiture pour téléphoner à Rémi et lui annoncer que je rentrerais probablement tard, lui disant que deux collègues de travail m'avaient proposées de passer la soirée avec elles.
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