Première expérience de candaulisme

Ma compagne, très fidèle, a manifesté quelques réserves lorsque je kuu ai parlé de "relation ouverte". Tout en m'avouant qu'elle trouvait l'idée plutôt excitante.

Proposée le 23/04/2025 par Sacha

Thème: Homme dominé
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Notre couple se portait à merveille, nous faisions l'amour tous les jours, elle et moi, et parfois même plusieurs fois par jour.

Un jour j'ai senti que, pour maintenir ce rythme endiablé, ce serait bien d'apporter un peu de piment dans la relation. Elle a semblé d'accord. Je lui ai dit que cela m'exciterait qu'elle prenne un amant, ou du moins qu'un jour elle me trompe, et m'appelle son "cocu".

Ça, c'était mon fantasme.
Qu'elle me chevauche, m'interdisant de toucher ou embrasser ses seins, en me disant qu'un autre que moi, un autre homme et mieux membré les avait déjà caressés et embrassés quelques heures auparavant, qu'avec lui au moins elle avait bien joui, atteignant les sommets de l'orgasme, tout en me chevauchant et me racontant tout cela, elle me disait: "jouis !", et en effet, je n'ai pas tardé à éjaculer, au moment où elle m'appelait délicieusement son cocu.

Et les bagues qu'elle portait au pouce et à l'index me faisaient bien sentir qu'au fond c'était elle, le mâle, celle qui commandait. Ces bagues, c'était comme un phallus, elle, quand elle me doigtait le cul en me masturbant de l'autre main et m'ordonnait d'éjaculer.

Il faut dire qu'avant de s'empaler sur mon sexe elle avait recueilli dans sa main le sperme que sa chatte contenait encore, de ses précédents ébats. Et m'a demandé de lui lécher la chatte, quitte à laisser affluer aussi sur la langue et dans ma bouche, le sperme de l'autre partenaire qui, peu avant, avait giclé en elle.

J'avoue que tout cela m'excitait au plus haut point, et la rendait à mes yeux encore plus désirable. Ses beaux seins, sa vulve contemplés et comblés par un autre, rien que d'y penser cela me faisait bander.

Au point que mon seul regret était de n'avoir pas pu assister au spectacle de ses ébats, quand, toute excitée, et la chatte toute mouillées, elle baisait avec un autre.

C'est comme ça que je suis devenu candauliste.

Je lui ai demandé un jour, mine de rien, lequel de ses amis masculins lui semblait le plus attirant. Elle voulut bien me donner un nom.

Je lui dis alors, peu après, que je lui réservais une surprise à laquelle elle serait sûrement sensible. Cet ami, je l'ai invité à dîner. J'avais juste demandé à ma compagne, pour fêter l'événement, de mettre sa robe rouge avec son décolleté plongeant, dès qu'elle bougeait un peu on voyait les seins, et de pas mettre de culotte.

Après le dîner, j'ai mis de la musique sur laquelle ils ont dansé. Ils se frottaient langoureusement l'un contre l'autre dans les slows, lui sentant bien qu'elle n'avait ni soutien-gorge ni petite culotte, pas même un string, et elle de s'abandonner au plaisir d'être pelotée par son tendre ami.

C'est alors qu'ils eurent la courtoisie de me demander s'ils pouvaient aller tous les deux dans la chambre à coucher, notre chambre, tout en précisant qu'ils laisseraient la porte ouverte au cas où je serais pathologiquement jaloux.

Il m'a alors été demandé de faire la vaisselle, ce qui, après tout, est parfaitement normal après un repas. Et, la cuisine étant un peu éloignée de la chambre, aucun bruit suspect ne m'est parvenu.

Une fois la vaisselle terminée, je suis retourné dans la chambre, histoire de m'assurer que tout allait bien. Et cela semblait être le cas. Ils étaient nus l'un contre l'autre, bref, il la sautait. Ils faisaient l'amour, avec, visiblement, beaucoup de volupté. Par discrétion j'allais partir quand, m'apercevant, elle me demanda de rester.

Entre les cris que lui arrachait le plaisir d'être aussi bien baisée, elle réussit toutefois à me demander de rester. En me faisant comprendre que ce serait pour moi une bonne leçon, et qu'au spectacle de leurs ébats torrides, je pourrais faire des progrès dans ma manière de lui faire l'amour. "Lui, au moins, il sait me prendre", m'a-t-elle dit. "Il sait baiser une femme."

J'en prenais donc pour mon grade de sous-fifre. Et pour couronner le tout, une fois qu'ils ont joui, elle m'a demandé de lui lécher la chatte, pleine de sperme et de mouille, pour m'humilier encore plus.

Ce que j'ai fait, et avec grand plaisir. Puis elle m'a demandé de lécher aussi son mec, pour qu'il puisse bander encore en elle. Ce que j'ai fait aussi, sous ses yeux, et son mec appréciait visiblement ma fellation. Elle a profite du moment pour m'humiler encore, en me disant assez crûment: "La belle queue que tu suces, et qui va encore m'enfiler et me faire jouir, c'est quand même aut'chose que ta petite bite".

J'en convenais volontiers

Puis ils ont remis le couvert, sous mes yeux.

Mais loin de me déranger, tout cela m'excitait au plus haut point. Ma compagne a bien voulu m'accorder la permission de me branler quand sa chatte accueillait encore le sexe de son tendre ami. Il m'a juste fallu, après avoir éjaculé, lui lécher la chatte pleine de mouille et de foutre.

Ça m'a bien excité, tout ça. Cela ne m'a pas dérangé de subir ce qu'on appelle l'humiliation du petit pénis, vu que c'est le cas, ni de sentir ma compagne s'éclater acec un autre. On a baisé encore mieux, d'autant plus que, de temps à autre, elle ne manquait pas de me dire qu'elle m'avait une fois de plus cocufié et, pour me faire jouir, m"appelait tendrement son cocu.

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