Après d’âpres discussions et hésitations, nous avions enfin décidé de franchir le pas vers le libertinage (voir chapitres précédents). Ci dessous, Virginie, ma compagne, me raconte la scène qu’elle a subie hors de mon contrôle, alors que j’avais été happé par un couple.
Proposée le 25/01/2018 par kiphilou
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Première fois
Personnages: FHH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Histoire vraie
Deux couples et un homme seul sont entrés sans hésitation lorsque j’ai ouvert la porte. Le premier couple, la trentaine environ, était le couple avec lequel nous avions plaisanté lorsque nous avons pris un verre au bar, en début de soirée. Tu les avais trouvés sympathiques, bien que les cataloguant bien au-delà de nos prétentions. Et c’est vrai, la différence d’âge nous avait enlevé toute illusion de faire une tentative que nous pressentions vouée à l’échec.
Le deuxième couple était plus en rapport avec notre âge, et la femme s’est immédiatement dirigée vers toi à peine était-elle entrée. J’ai d’ailleurs cru comprendre que ce n’était pas pour te déplaire…… Quand à l’homme seul, c’est celui qui m’avait déjà fait des avances plusieurs fois au cours de la soirée, souviens-toi. Tu l’avais même trouvé très attentionné. J’ai donc été très vite à l’aise avec ces inconnus, que j’avais l’impression toutefois d’avoir rencontrés dans une autre vie.
L’homme seul a pris l’initiative de me repositionner sur le canapé dans la même posture que celle que j’avais prise avant qu’ils ne se manifestent en secouant la porte. Je me suis donc remise à genoux sur le canapé, les avants bras en appui sur le dossier, et me retrouvais en levrette, sans pouvoir suivre ce que ces inconnus mijotaient dans mon dos.
Je me sentais observée, détaillée, scrutée quand je sentis plus que je ne vis, un homme devant moi qui me présentait sa verge devant le visage. Il avait grimpé sur un pouf, pour que son sexe soit à portée de ma bouche au dessus du dossier du canapé. Bien qu’à l’état de repos, cette verge palpitante était d’une belle dimension, et avant de l’enfourner dans ma bouche, j’ai levé la tête pour voir le visage de son propriétaire. Ce dernier me souriait pour m’encourager à poursuivre mon audace, et me caressa la joue du dos de la main. Son ventre plat et épilé était doté d’abdominaux bien dessinés, que je vis frémir à mesure que j’aspirais son sexe au plus profond de ma gorge. Je reconnus le jeune homme du bar, et fus heureuse qu’un homme aussi séduisant puisse s’intéresser à moi.
Sa compagne quant à elle, n’était pas dans mon champ de vision.
Puis deux mains avides se mirent à pétrir mes seins, alors que je sentais d’autres mains impatientes écarteler mes fesses. Enfin une caresse plus précise me fit interrompre la fellation sur laquelle je me concentrais. Je sentis une langue brûlante qui s’insinuait entre mes fesses très lentement, commençant par la naissance de mon sillon, pour s’aventurer vers mon anus ou elle s’attarda.
Tout allait très vite, trop vite ! Je ressentais un plaisir immense à me faire tripoter par tous ces prétendants. Un doigt, puis deux pénétrèrent en même temps mon vagin bien lubrifié, et commencèrent à s’agiter.
L’homme que je suçais se mit à osciller du bassin pour accompagner ma caresse, et tenter d’investir davantage ma gorge à chaque pénétration. Je relevais alors la tête pour favoriser cette pénétration et essayais de prendre le plus loin possible cette verge devenue dure comme un gourdin et qui avait du mal à se frayer le passage. Ma mâchoire ouverte à l’extrême devenait douloureuse.
En même temps, les mains qui pétrissaient ma poitrine laissèrent place à une bouche qui lécha longuement chacun de mes petits seins, évitant soigneusement les tétons pour les faire languir afin de mieux les agacer ensuite. Toutes ces sensations commençaient à me mettre dans un état d’excitation que je n’avais jamais connu auparavant.
Je me sentais l’objet de toutes les caresses, toutes les douceurs, toutes les attentions, fouillée par des tas de mains, de bouches, de langues, de doigts…….
Je ne savais plus sur quelle partie de mon corps me concentrer pour avoir le plus de plaisir, tellement les sources étaient nombreuses, différentes, et meilleures les unes que les autres. Je sentais mon corps parcouru de délicieux frissons qui venaient de partout à la fois, comme si j’étais livrée en pâture à des amants qui auraient décidé de me partager tel leur jouet.
J’avais envie que ça ne s’arrête jamais.
Et pourtant, je sentais la vague de l’orgasme monter rapidement en moi comme de l’eau dans un tuyau, de façon violente, inéluctable et surtout trop fulgurante à mon goût.
J’étais déchirée entre l’envie de jouir de suite très fort, et l’envie de poursuivre cette escalade tout en faisant retomber le plaisir à chaque fois que j’étais proche de l’orgasme, pour atteindre un orgasme encore plus puissant ensuite.
Je voulais leur dire d’arrêter, de continuer, plus vite, plus fort, mais mes sentiments étaient confus, contradictoires, désordonnés.
J’avais aussi envie d’en profiter le plus longuement possible. Je priais pour que ça ne s’arrête jamais. C’était trop bon. J’étais prise dans un tourbillon comme un fétu de paille en pleine tempête. J’avais perdu toute maîtrise.
Et contre toute attente, je n’éprouvais ni sentiment de culpabilité, de débauche, de tromperie ou d’interdit, mais plutôt une sensation de bonheur, de gaieté, de légèreté, comme si nous partagions un repas de fête lors d’un banquet entre amis.
Mais mes partenaires avaient décidé de n’en faire qu’à leur guise, et leurs caresses montèrent crescendo, faisant fi de mes supplications. J’étais entièrement à la merci de mes bourreaux.
Les doigts qui fouillaient mon vagin s’agitèrent avec brutalité, heurtant mon utérus en cadence, alors que la langue qui me butinait plongeait avec délicatesse dans mon intimité la plus secrète, en alternance avec les pénétrations digitales.
Contraste exquis entre la violence des doigts et le moelleux de la langue à peine séparés par la fine cloison.
J’étais assaillie de toutes parts, pénétrée, léchée, masturbée, embrassée et les picotements de plaisir de ces caresses commencèrent à se superposer pour monter ensemble en résonance et s’accorder.
Je crus défaillir lorsque l’homme que je suçais abandonna ma bouche, et vint se positionner derrière moi pour planter profondément son mandrin dans mon anus, emprisonnant à son passage les doigts qui me masturbaient. C’en était trop !
Alors la vague orgastique que je pressentais me submergea avec violence. Et je jouis instantanément avec une force incroyable en me mordant les lèvres pour ne pas hurler, enserrant le sexe entre mes fesses brutalement contactées par la vague de plaisir qui déferlait en moi.
Ces contractions déclenchèrent son orgasme, et je le sentis se retirer brutalement pour inonder par longues giclées brûlantes, mes fesses et mes reins.
Au même instant, chose étrange et complètement inattendue, une bouche affamée se colla à la mienne, et une langue avide forçat mes lèvres.
Elle s’enroula autour de ma langue, comme pour étouffer mes cris et puiser en moi une partie de mon orgasme. Cette bouche était celle d’une femme.
La brutale invasion de ma bouche par cette langue chaude et douce augmenta encore la puissance de mon orgasme, et je me sentis me noyer avec délice et volupté dans une nuit d’étoiles, comme si je perdais connaissance.
En même temps, cette dernière avait pris délicatement ma poitrine dans ses mains, et la soutenait avec une infinie douceur, comme on tiendrait des oisillons. Elle voulait partager mon bonheur à sa source.
Quand je repris pieds, je sentis dégouliner lentement le sperme de mon assaillant sur ma taille et mes hanches. Sensation froide et pas vraiment agréable.
Le coupable s’en rendit compte et prit sa serviette pour m’essuyer le dos avec tendresse.
J’étais à peine remise de mes émotions que l’homme qui m’avait sodomisée me prit par la main et m’invita à le suivre dans une autre pièce. En me relevant, chancelante, je distinguais vaguement dans la pénombre, des corps entremêlés qui s’agitaient sur le lit. L’homme mûr qui avait participé à notre petite séance partit se joindre à eux.
Je compris plus tard que c’était le compagnon de la blonde qui avait accaparé Phil en entrant, et qui avait formé un trio pour offrir à cette dernière, une double pénétration.
En suivant cet homme comme un automate, je vis sa compagne et l’homme seul nous emboîter le pas. La suite à venir, si vous le souhaitez …
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Commentaires de l'histoire :
Anonyme
Super série, bien torride et dont l'authenticité renforce encore ...l'intérêt ! Authenticité des sensations, des sentiments, des situations...le tout servi par une plume qui, pour le coup, n'est pas dans le ... hum. Bravo, ici ce n'est pas souvent qu'on lit des histoires érotiques écrites avec le cerveau !
Posté le 11/04/2023
lerouche01
moi je veut bien la suite, car cette série, qui je pense est de fait réelle et très sympas a suivre
Posté le 8/04/2022
rorico
très bon
Posté le 26/02/2022
Anonyme
Très bonne série de description de baise en club, vois les miennes d'histoires. Kiss
Posté le 7/11/2021
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