Sophie - Acte 2

Récit raconté "par" Sophie. On découvre toute la différence entre elle et Julie. Une première fois ça marque toujours quelque soit le moment. Et ça influe toujours sur la suite.

Proposée le 23/04/2025 par GuiNancy

Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Sophie -Acte 2

« T'as envie que je te raconte ? » me dit elle.
« Oui pourquoi pas »
Elle me regarda avec ce petit air qui veux dire « petit pervers » puis elle se rallongea à côté de moi.
« J'ai toujours été une salope moi.... » Et ainsi, elle débuta son récit.

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« J'avais 16 ans. Enfin, juste un petit peu plus. C'était la fin de l'année scolaire, on était au mois de Mai je crois. Un mois de mai bien chaud dans mon souvenir.

J'étais plutôt en avance pour mon âge. Le sexe m'attirait depuis très longtemps. Ça faisait bien plus d'un an que mes doigts avaient commencés à s'égarer entre mes cuisses. Assez souvent d'ailleurs. Pour être honnête, tous les jours ou presque. Mais j'étais encore vierge. Et ça me démangeait très fort.

En fait, la seule raison pour laquelle j'étais encore vierge, c'était mes parents. Très stricts et très envahissants. J'avais eu quelques petits amis, j'avais déjà senti des mains baladeuses sur mon corps et si j'avais pu, je me serai gentiment laissée faire il y a longtemps.

Mais ma mère était du genre à ne jamais me laisser seule avec un garçon. Et si mes cours finissaient à 15h, j'avais intérêt à être à la maison à 15h15 au plus tard. Et interdiction de sortir de la maison sans prévenir d'où j'allais et avec qui. Avec vérifications à l'appui. Franchement, quand je dis envahissant, je suis en dessous de la réalité. C'est peut être à cause de ça que je suis devenue une telle salope.

Donc on était un bel après midi d'été. Mes parents bossaient et moi j'étais bloquée chez moi. N'ayant pas de double de clé, je ne pouvais pas sortir. Et que peux faire une jeune fille en fleurs quand elle s'embête seule chez elle ? Elle se masturbe !

J'étais dans ma chambre, nue sur mon lit. Sur mon ordinateur portable tournait un porno. Le genre de truc assez hard issu d'internet. Un gang bang je crois. Car autant mes parents étaient stricts, autant en informatique, ils étaient moins bons que moi. Je savais parfaitement comment cacher mes traces, l'historique de connexion etc...

Donc me voici moi, totalement nue, les seins qui pointent, une main entre mes cuisses ouvertes, sur mon lit avec un porno qui tourne sur mon ordi. J'étais assez peu attentive à tout ce qui ne concernait pas mon plaisir.

C'est certainement pour ça que je ne l'ai pas entendu entrer. Il s'agissait d'un collègue de travail de mon père. Mon père était souvent en déplacement professionnel. Et c'était le cas ce jour là. Et ma mère ne rentrerait pas avant 18h au mieux. Donc pourquoi je me serai inquiétée ?

Ce collègue de travail, je le connaissais. Enfin vaguement bien sur. Il était déjà venu manger à la maison. Trentenaire plus proche de la quarantaine. Plutôt entretenu mais pas sportif pour autant. Pas moche, pas beau. Assez quelconque en fait.

Il était venu récupérer un dossier que mon père avait laissé à la maison. Et comme mon père était en déplacement, il lui avait dit où se trouvait son double de clé dans son bureau pour qu'il puisse venir le chercher lui même. C'est ce que j'ai appris plus tard bien sur.

Il était monté pour aller au bureau de mon père. Mais arrivé sur le palier, il a évidemment était attiré par les bruits provenant de la vidéo. Et certainement par mes petits gémissements aussi.

Quand je l'ai remarqué, il était dans l'encadrement de ma porte. Sur ma droite, avec une vue directe sur mon entrejambe qui devait luire d'envie. Ça m'a bloqué net. Tellement que je n'ai pas pensé à me cacher. Et lui, il était bloqué aussi. Sans rien dire. Ne sachant probablement pas quoi dire ou faire je pense.

Après quelques secondes, sans rien dire, il a fait demi tour. Et, je ne sais pas comment j'ai pu oser faire ça mais je lui ai dit « Attends ».

Il s'est arrêté net, s'est retourné vers moi et je lui ai dit « Personne ne le saura ». Et j'ai recommencé à caresser ma petite fente lentement mais de manière visible.

Il a hésité et je l'ai vu approcher de moi. Je savais que là, j'allais enfin avoir ce que je voulais. Bon, j'aurais préféré quelqu'un d'autre mais j’espérais tellement cette occasion et depuis si longtemps qu'il était hors de question que je la laisse passer. Rapidement, il était debout juste à côté de mon lit.

Et s'il avait hésité quelques secondes au début, l'hésitation s'est vite envolée. Car sans attendre, il a attrapé un de mes tétons tout dur et m'a arraché un gémissement de plaisir instantané. J'ai repris mon action entre mes cuisses en le regardant droit dans les yeux.

Rapidement, j'ai vu son pantalon se distendre à l'entrejambe. Et je mourrais d'envie de voir ce qu'il cachait là dessous. Il l'a compris et il a commencé à déboutonner son pantalon puis il l'a enlevé. Son boxer était tendu lui aussi.

Et timidement, j'ai fini le travail. J'ai sorti sa bite du boxer et j'ai trouvé un engin déjà bien raide. Exactement ce que j'espérais. Faire bander un mec et le voir en érection pour moi. Et elle était pas mal sa bite. Pas la plus grosse de toute ma vie mais pas mal du tout. J'ai posé ma main timidement dessus. Et là j'ai découvert à quel point une bite pouvait être dure.

Je me suis alors trouvée comme une idiote. Ne sachant pas quoi faire bien que j'ai déjà vu ça sur un écran des centaines de fois. Mais lui, il a pris l'initiative. En un mot. Trash. Hard. Excitant.

« Suce »
Punaise, qu'est ce que ça m'a excité de l'entendre me dire ça ! Et là j'ai réalisé qu'il ne se doutait pas que j'étais vierge. J'ai faillit lui dire. Mais j'ai eu peur que ça le fasse reculer. Alors tant pis. J'allais devoir prendre comme une grande.

Je l'ai regardé dans les yeux, je me suis redressée et j'ai ouvert la bouche devant sa bite. J'ai d'abord sorti ma langue pour la goûter. Et il a alors posé sa main derrière ma tête. J'ai compris le signal. Et j'ai enfilé sa queue dans ma bouche.

D'abord juste le gland. Ne sachant pas quoi faire exactement, je me suis rappelée les vidéos. Et j'ai commencé à faire tourner ma langue dessus. Son gémissement de plaisir m'a indiqué que j'étais sur la bonne voie donc j'ai continué. Et sa légère pression sur ma nuque m'a fait comprendre que je devais aller plus loin sur sa queue.

Maladroitement, j'ai enfilé sa bite de plus en plus loin dans ma bouche. Aussi loin que possible. Ce qui n'a pas donné grand chose. A peine la moitié. Mais à ce moment là, j'ai senti ses doigts se poser entre mes cuisses.

Et ça ma littéralement électrisée. Le contact des doigts d'un homme sur mon clito m'a fait vriller. Là je l'ai sucé aussi bien que possible. Et de la manière la plus salope possible. Je m'y prenais certainement mal mais je le faisais avec une énormément d'envie. D'envie d'en avoir plus.

Il me caressait la chatte très habilement. C'était vraiment très bon. Et si ça avait été possible, je pense que j'aurais mouillé encore plus fort. Je l'ai même senti titiller l'entrée de ma fente. J'espérais juste qu'il ne me mette pas un doigt. Je ne voulais pas me faire déflorer par un doigt alors que j'avais enfin une bite en bouche.

Je ne sais pas combien de temps ce préliminaire a duré. Mais à un moment, sans me prévenir il est sorti de ma bouche et il est venu s'agenouiller entre mes cuisses ouvertes. Le moment de vérité était là. Il a attrapé mes jambes au niveau des cuisses pour bien les ouvrir et les redresser. Et sa queue est venue sur ma fente.

Je l'ai regardé dans les yeux et j'ai compris que j'allais y passer et bien fort. Mais juste avant de me prendre il m'a dit :
« Salope »
Voilà, le mec qui m'a dépucelé ne m'a dit que deux mots avant de me prendre. Suce et Salope. C'est peut être aussi ce détail qui a fait de moi la chienne que je suis.

Et là, il est entré dans mon ventre. Sans aucune douceur. Un gros coup de rein. J'étais peut être vierge mais j'étais détrempée. Alors ça a glissé tout seul. Et dans son élan, il a arraché mon hymen. Ma pureté. Mon innocence. En m'arrachant aussi un cri au passage.

Il s'est arrêté et m'a regardé dans les yeux.
« T'es vierge ? »
Ça ne lui semblait pas évident maintenant ? Mais j'étais toujours aussi chaude. Et j'avais peur qu'il s'arrête. Surtout que la sensation de cette bite dans mon ventre était agréable si on oublie la partie douleur. Alors je lui ai répondu :
« Plus maintenant.... »

Il m'a regardé bizarrement puis m'a dit « t'es vraiment une salope toi ».

Et là, il a commencé lentement à me labourer. Je dis lentement car il hésitait à me prendre vraiment fort. Pourtant j'en mourrais d'envie. Ouai, j'étais une vraie salope, il avait raison. Je voulais qu'on me baise comme dans les vidéos. Et rapidement j'y ai eu le droit. Avec une explication.

« J'ai pas trop le temps ». Tu parles, super explication au milieu d'un dépucelage. Il m'a bâclé en fait. Mais qu'est ce que j'aurai pu dire. J'étais une pucelle de 16ans, se faisant ramoner dans son lit par un collègue de son père.

Les coups de reins sont devenus plus puissants, plus rapides, plus bestiaux. Et j'aimais plutôt ça. La douleur est partie assez vite en fait. Je me souviens aussi que je gémissais. Comme une chienne. Comme dans la vidéo qui continuait à tourner en fond sonore sur mon ordinateur.

Il a été plutôt rapide. Je pense que moins de 5 minutes après qu'il soit entré en moi, il finissait. Il a eu l'intelligence de ne pas se vider dans mon ventre. Et je l'en remercie car moi je n'aurai jamais pensé à lui dire de ne pas le faire. Il est subitement sorti de ma chatte, il s'est branlé au dessus de mon ventre. Et il m'en a mis plein. Du pubis à bien au dessus de mon nombril. Une grosse éjaculation. Comme je les aimerais plus tard.

Après ça, il a à peine pris le temps de reprendre son souffle. Et je l'ai vu se lever. Il m'a regardé avant de dire « tu es bonne. Et t'es une petite salope en plus. Tu vas faire des ravages toi. Et n'oublie pas : ça reste entre nous »

Je lui ai juste répondu « Oui » comme la gamine idiote que j'étais. Bien sur que je garderais ça pour moi. Et finalement, il avait vu juste me concernant. J'ai fait des ravages.

Après son départ, j'ai juste pensé à mettre mes draps à la machine à laver puis au sèche linge. Heureusement pour moi, je n'avais pas trop saigné et tout a disparu. Quand même mère est rentrée le soir, elle n'a rien remarqué. Et j'avoue que j'étais fière de moi. Fière d'avoir été une belle salope, d'avoir été bien baisée à la maison et que finalement mon envahissante mère ne s'aperçoive de rien. Et après ça, j'ai juste trouvé d'autres moyens pour me faire sauter discrètement....

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