Sophie - acte 1

Bon, finalement je vais l'écrire la partie de l'histoire incluant Sophie. Ca sera différent, moins de sentiment, moins de relationnel et plus de sexe. Ce qui plaira à certains je pense ;). N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez évidemment.

Proposée le 18/04/2025 par GuiNancy

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

Sophie – Acte 1

Bon, vous m'avez décidé à écrire l'histoire avec Sophie. Elle sera plus courte que je ne l'envisageais au départ je pense. 5 à 8 textes grosso modo. Et je vais écouter les conseils de certains d'entre vous.

Les textes dans lesquels je serai acteur seront écrit de mon point de vue. Ceux concernant Sophie (des choses qu'elle m'a raconté de son passé) ou Sophie et Julie seront écrit du point de vue de Sophie. Je n'écrirai plus de texte du point de vue de Julie. Il faut savoir terminer une histoire. Dans tous les sens du terme.

Au fait, au moment où j'écris ces mots, je ne connais pas le contenu du texte écrit et publié librement par Julie. Donc j'espère qu'il n'y aura pas de doublon.

Pour ceux qui ont suivis toute l'histoire (je vous en remercie d'ailleurs), ce passage se déroule juste après celui où j'ai établi les règles et la hiérarchie avec Sophie et Julie. On avait fini par une sieste crapuleuse chez moi.
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On est 4 ou 5 jours plus tard. Julie était en pleine période de révision pré-partiel. Chose que je respectais. Mais je sentais mon envie revenir. Oui, je sais, j'ai de gros appétits sexuels . Mais avec une telle partenaire, rien d'anormal d'avoir envie souvent. Surtout avec une joueuse de ce niveau. Malheureusement, elle n'était pas disponible.

J'en étais là, seul chez moi, avec une envie bestiale qui commençait à me brûler les reins. Et à ce moment là, j'ai réalisé que j'avais une petite salope à disposition si je le voulais. J'ai pris quelques minutes pour y réfléchir. Puis, le souvenir de la croupe de Sophie a décidé pour moi.

J'ai donc pris le trousseau de clés qu'elle m'avait donné. Mais, s'agissant d'une première fois, je me suis dit que lui envoyer un message pour la prévenir serait mieux. Un message clair sur mes intentions.
« Le spectacle t'as plu la dernière fois? »
Elle m'a répondu du tac au tac.
« Oui. Beaucoup... »
« J'arrive. Tu vas passer de spectatrice à actrice »

Et j'ai pris la route avant de lire sa réponse. Qui, comme je l'ai découvert plus tard, était « ça promet.. ».

En 10 minutes à peine, je me garais en bas de chez elle. Et je décidais de sonner plutôt que d'utiliser les clés. Pour voir si elle allait ouvrir d'elle même. La porte s'est déverrouillée rapidement et hop ! Direction son appartement. Elle m'attendait et j'arrivai à peine sur son palier que la porte s'ouvrait.

J'entrais sans attendre. Pour découvrir Sophie quasi nue. Elle ne portait qu'un string ficelle. Et son sourire le plus provocant. Visiblement, elle avait autant envie que moi.

« Julie m'a dit que quand elle se devait de satisfaire son Maitre, il valait mieux qu'elle soit prête à l'emploi. Alors j'ai pris les devants. Tu apprécies j'espère ? »
Avec ce petit sourire de salope fière d'elle et de jouer l'ingénue, j'aurais pu la coller contre le mur et prendre son petit cul directement et violemment si je n'avais pas eu 2 sous de retenue. Malheureusement pour elle, je n'avais pas exactement 2 sous de retenue. 1 sou et demi au mieux.

Je l'ai attrapé par sa longue crinière rousse. Pour la forcer à s'agenouiller. La forcer est un grand mot. Ce fut très facile. Et à peine à genoux, elle ouvrait la bouche et tirait la langue. J'ai sortit ma queue sans attendre et sa bouche se mit en action tout de suite.

J'étais à demi érection mais sa langue et ses lèvres firent rapidement leur effet. En moins de 30 secondes, j'étais raide comme l'acier. Et elle feulait de plaisir comme un animal en chaleur. Elle me dégustait comme une affamée. Et c'était une très bonne suceuse. Julie suçait vraiment bien. Mais Sophie était juste un poil au dessus. Une bouche de compétition.

Et vue de dessus, j'avais une vision sur son parfait petit cul bien cambré. La ficelle entre ses deux fesses semblait me dire « viens te glisser à ma place ». Je savais d'avance en venant ici que j'allais l'enculer. Je ne savais juste pas si j'allais juste prendre son cul ou baiser sa chatte d'abord.

« Tu as l'air de l'aimer ma bite »
« Je l'adore » lacha t'elle avant de me reprendre en bouche.
« Tu sais où elle va finir ? »
« Oui. Dans mon cul... » et en disant ça, elle me regardait d'en dessous, ma bite à la main, un filet de salive reliant son menton à mon gland. Je sentais la petite appréhension dans son regard mais son sourire me confirmait qu'elle ne reculerait pas.

Et j'avais envie de la dominer, de la soumettre. De l'enculer sauvagement et de la voir se laisser faire quoi qu'il arrive. Voir cette femelle bandante à souhait se soumettre et s'offrir sans réfléchir. Mon envie n'était pas juste sexuelle. Elle était aussi psychologique, mentale. Lui prendre le cul ne me suffisait pas. Je voulais qu'elle l'offre en sachant ce qui l'attendait.

« J'ai adoré le miroir dans ta chambre »
Elle a compris le message. Sans se relever, elle s'est dirigée à 4 pattes vers sa chambre puis elle est montée sur le lit, à 4 pattes, dans l'axe du miroir. Je n'ai pas perdu de temps. J'ai grippé ses hanches, ouvert ses deux petites fesses et j'ai découvert son petit anus serré et étroit. Preuve que son cul servait peu. Tant pis. Ou tant mieux....

« Tu as du gel ? » Autant être un petit peu prévoyant. C'était une première rencontre.
« Oui. Mais fais le comme avec elle. Ne t'inquiète pas pour moi.... ».
Soit elle était folle, soit elle était encore plus salope que je ne le soupçonnais. Elle a du voir mon sourire dans le reflet. Et quand j'ai posé mon gland sur son anus, je l'ai entendu souffler comme on le fait quand on veux se relaxer en attendant une douleur imminente.

Et j'ai commencé à pousser. Dans un premier temps son cul a résisté. Mais, étonnamment, elle a fait tout ce qu'elle pouvait pour se détendre et faciliter mon entrée. Petit à petit, mon gland a glissé lentement en elle, ouvrant son entrée si plaisamment étroite. Et là, je l'ai senti se contracter. Puis se reprendre tout de suite pour se détendre de nouveau.

Elle ne se contentait pas de me laisser l'enculer. Elle m'invitait à le faire tout en encaissant littéralement cette pénétration. Car je l'entendais souffler entre ses dents serrées. Et comment dire.... mon besoin de Domination était pleinement satisfait par cette situation. Voir amplifié.

Car, non content de voir ses efforts douloureux pour se laisser enculer, j'ai eu envie de plus. J'ai eu envie qu'elle ne puisse plus supporter, que ça soit au delà de ses efforts et qu'elle se laisse faire malgré tout.

Un vrai plaisir de Dominant. Car sincèrement, un anus ou un vagin, la différence au niveau des sensations physiques n'est pas énorme pour celui qui pénètre. C'est dans la tête que tout se joue. Car enculer c'est vraiment Dominer. Et surtout, se laisser volontairement enculer, c'est acter et démontrer sa soumission. Et ça, ça c'est le plaisir d'un Dominant. Enfin, ça joue beaucoup dans le mien. Mais fin de cette digression.

J'ai donc amplifié ma pénétration. J'ai poussé plus fort. Lui arrachant un cri. Ce qui ne m'a pas stoppé. J'ai continué et j'ai commencé à aller de plus en plus loin et assez vite dans son cul. Et j'ai attrapé sa longue tignasse rousse pour la forcer à relever la tête. Autant pour voir son visage dans le miroir que pour la forcer à me regarder.

Et le résultat fut à la hauteur de mes attentes. Sa bouche grande ouverte, cherchant l'air entre deux cris, n'était rien comparé à ses yeux bleus humides. Les larmes commençaient à couler lentement aux coins de ses yeux. Et son regard exprimait la soumission. La soumission absolue. Elle était physiquement Dominée et mentalement soumise.

Le coup de rein que je lui ai envoyé à ce moment là lui arracha le cri tellement recherché. Un cri entrecoupé d'un léger sanglot. Et après ça, j'ai ralenti le rythme. Le but était obtenu. Et mon but n'était pas la douleur comme je l'ai déjà dit. C'était la soumission psychologique.

Donc j'ai commencé à l'enculer, en tapant au fond certes, mais plus lentement pour lui permettre de mieux encaisser. Tout en la tenant par les cheveux. Et doucement, j'ai vu son sourire revenir sur ses lèvres. Elle fermait même les yeux pour mieux apprécier les sensations.

« T'es une vraie petite pute toi »
« Ouiiii et j'aiimme çaa »
« Tu aimes qu'on te baise hein salope... »
« Putain ouiii vas y encule moi, montre moi que je suis un bout de viande »

Après ces mots, honnêtement on est passé à un autre stade de bestialité. Elle a fini à plat ventre, toujours en train de se laisser enculer, tirée par les cheveux, souriante entre deux sanglots. Les mains agrippant les draps à en craindre de les déchirer. Je m'en suis donné à cœur joie et franchement c'était bon. Hormis à de rares occasions et toujours avec Julie, je n'avais pas eu l'occasion de baiser une autre femelle. C'est toujours plaisant une nouvelle partenaire.

J'en ai profité un max et j'espère pour elle que son appartement était bien insonorisé. Sinon ses voisins ont eu le droit à un sacré spectacle auditif. Ne laissant aucun doute sur le fait de savoir ce qu'elle est. Enfin quand on crie « je suis une salope, une sale pute » à s'en faire claquer les cordes vocales, il n'y a rien de surprenant.

J'ai faillit gicler dans son cul mais je me suis retenu. Une envie de la salir encore un peu plus. Alors je suis sorti de ses reins et je l'ai retourné comme une poupée sur le lit. Pour lui recouvrir le visage de foutre. Une bonne giclée bien blanche et bien épaisse.

Et après nos gémissements de plaisirs d'animaux en rût et avoir repris nos souffles, un fou rire nous a submergé tous les deux. Le genre irrépressible et qui dure deux bonnes minutes sans qu'aucun mot ne soit prononcé.

Une fois calmé, c'est elle qui a pris la parole.
« Putain, tu ne rigolais pas en me disant que j'allais passer au statut d'actrice »
« Tu étais prévenue hein »
« Oui mais mon cul va mettre quelques jours à s'en remettre »
« Tu veux dire que je ne peux pas y retourner ? » et je souriais. Le genre de sourire qui joue la provocation tout en affichant l'absence de sérieux.
« Pas tout de suite sauf si tu veux qu'on finisse par s'expliquer avec l'interne de garde aux urgences »
« Le genre : pouvez vous m'expliquer pourquoi cet anus ressemble au Vésuve le jour de la disparition de Pompéï ? »
Elle a éclaté de rire avant de répondre.
« Oui. Ou pourquoi la dame n'arrête pas de jouir dés qu'on touche son cul ? »
« Ca serait plus flatteur pour moi »
« Certes »
« T'es une sacrée petite salope quand même »
« Oui. Bon, ta régulière est pas mal aussi »
« Dans son genre c'est sur. Toi c'est différend »
« Oui mais moi j'ai pas été dépucelée à 20ans... »
« Elle t'as tout raconté donc ? »
« Oui. C'est une sacré veinarde quand même. Elle aurait pu tomber sur bien pire que toi »
« Merci. Et donc, pas dépucelée à 20ans toi ? »
J'avais envie d'en savoir plus sur elle.
« Oh non.... »

Le second acte sera le récit de son dépucelage. Raconté par elle même (enfin par moi à travers elle. Sur la base de ma mémoire et de ce qu'elle m'a dit ce jour là. Et j'ai une bonne mémoire).

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