Voisin de palier

Lors d'un hiver assez froid, j'ai proposé à un voisin de palier sans chauffage de l'héberger. Il n'a pas dit non à l'hébergement. Ni non plus à m'offrir voluptueusement ses charmes

Proposée le 21/03/2025 par Sacha

Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie

C'était à Paris, en hiver, et mon voisin de palier, croisé dans l'escalier, m'informa que son chauffage ne marchait plus.

Mon voisin de palier était un beau garçon d'une vingtaine d'années, de ceux qui m'attiraient follement. Par un élan de solidarité, je lui ai donc proposé de dormir chez moi.
Mon logement n'était certes pas très grand, mais j'avais une chambre acec un lit double.

Il accepta donc volontiers ma proposition. Et comme nous étions en fin d'après-midi, je lui dis: Tant qu'à faire, t'as qu'à venir dîner.

Il se présenta à l'heure convenue. Nous avons donc dîné ensemble, histoire de se rendre service entre voisins .

Lors de ce repas un peu arrosé, mais pas trop, il me confia qu'il était étudiant en lettres classiques, amoureux de la Grèce antique, et qu'il voulait consacrer son mémoire de maîtrise à la pédérastie dans la Grèce antique, quand un jeune homme de bonne famille se laissait prendre par un homme plus mûr pour parfaire son éducation en lui offrant ses charmes et en aimant bien être par lu possédé. Sodomisé.

J'avoue que cette conversation m'avait un peu émoustillé.

Après le dîner j'ai feuilleté avec lui un livre de dessins érotiques de Jean Cocteau montrant tous les plaisirs pouvant être partagés entre hommes. Entre hommes qui se caressent, se donnent du plaisir, et qui baisent ensemble, entre hommes. Cela n'avait pas l'air de lui déplaire foncièrement, et même il en redemandait, tout en restant assez réservé.

Alors je lui ai dit mon attirance pour les garçons.

Puis vint l'heure d'aller au lit, vu qu'il avait cours assez tôt le lendemain matin. Je l'ai invité à prendre une douche.

Ce qui fut fait. Comme j'avais oublié de lui fournir une serviette, il revint peu après de dans le salon, , tout nu et presque penaud, cachant son sexe de ses mains, , pour me demander une serviette.

Je lui ai d'abord demandé d'arrêter de jouer les prudes, les saintes-nitouches, vu que les dessins érotiques de Cocteau ne semblaient pas l'avoir laissé indifférent. Donc d'arrêter d'utiliser ses mains comme cache-sexe. Il offrit alors son sexe à la vue.

Son sexe dans toute sa splendeur, sa belle queue en début d'érection.

Visiblement, la situation l'excitait et le faisait bander, comme moi.

Et il n'a pas tardé à me rejoindre au lit.

Allongé sur le dos, tout nu, il offrait ses fesses à mes caresses. Je ne me suis pas privé de ce plaisir, tant m'excitent les corps masculins, et mes caresses sur ses fesses le firent frémir. Au point qu'il souleva même sa croupe, me permettant ainsi d'accéder à ses couilles et à sa queue bien raide. Il se laissait faire, content, consentant, heureux dans la volupté qu'il éprouvait. Ses fesses étaient une merveille, rebondies, fermes, souples, accueillantes. Fermées et ne demandant qu'à s'entr'ouvrir.

Puis nous nous sommes accouplés l'un contre l'autre, face à face, nos deux queues se rejoignant et se frottant dans un duo d'enfer. Je l'ai alors branlé doucement, tout doucement, histoire de faire encore un peu monter la sève du désir.

Il s'est remis sur le ventre, pour que je caresse et lèche son petit trou. Ses fesses s'écartaient, quand je lui flattais la croupe et la fente et le cul. Son petit trou se dilatait, qui semblait fort aise de la situation.

Il se trémoussait et dandinait du cul, où ma queue ne tarda pas à combler son désir. Je l'ai pris en levrette. Nous avons crié et joui ensemble.
Merci mon chéri de m'avoir offert tes charmes, ton cul, comme quoi j'ai pu résoudre provisoirement ton problème de chauffage.

Tu reviens quand tu veux
Qui tu sais

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