Madame Romery, femme de ménage ... moderne. Episode 8

Madame Romery a quitté John. Elle se fait engagé chez un chatelain. Elle rencontre la belle fille de ce dernier, qui est barmaid dans un club échangiste.

Proposée le 27/01/2025 par vstorm

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FFH
Lieu: Bureau, travail
Type: Fantasme

Madame Romery avait longtemps vécu dans l’ombre de John, un homme dont le charme et la douceur avaient fini par l’étouffer. Leur séparation, douloureuse au départ, avait rapidement été suivie d’une révélation libératrice. Elle se leva un matin en se regardant dans le miroir, déterminée à prendre son destin en main. C’est alors qu’elle décida de se faire engager chez le richissime châtelain de la région, un homme connu pour sa fortune et ses goûts raffinés.

Dès son premier jour, elle entra dans le manoir majestueux de Sir Lucien d’Aubigny, persuadée que séduire cet homme était son unique voie vers une nouvelle vie pleine de passion et de luxure. La demeure, ornée de lustres en cristal et de peintures anciennes, était le théâtre idéal pour son plan. Elle s’était préparée avec soin, choisissant une tenue qui épousait ses courbes avec audace : une robe noire moulante, légèrement décolletée, qui mettait en valeur sa silhouette généreuse.

Le regard de Lucien, au premier coup d'œil, fut captivé par la beauté ardente de cette femme qui ne cachait en rien son désir. À chaque occasion, elle se rapprochait de lui, laissant traîner sa main sur son épaule, ou frôlant son corps dans un mouvement délicat. Le châtelain, bien que taciturne de nature, ne pouvait ignorer le feu qui émanait de Madame Romery. L’atmosphère entre eux changea progressivement, devenant chargée de tension sexuelle.

Un soir, alors qu’ils partageaient un verre de vin dans le salon, elle se pencha légèrement en avant, dévoilant plus que nécessaire de sa poitrine. “Sir Lucien,” dit-elle d'une voix douce et sensuelle, “ne serait-il pas agréable de goûter à quelque chose de plus… exaltant ?” Ses yeux brillaient d’un mélange de provocation et de promesse. Lucien, déstabilisé, répondit par un simple hochement de tête, conscient du désir qui le consumait.

Les jours suivants, Madame Romery affina encore plus son jeu de séduction. Elle choisissait des tenues toujours plus audacieuses, transformant ses apparitions quotidiennes en véritables spectacles. Son but était clair : rendre Lucien accro à sa présence, à son parfum, à son éclat irrésistible. Les soirées se succédaient, entre dîners et discussions, mais c’était dans leurs échanges furtifs qu’elle décelait le véritable intérêt de son maître.

Pour intensifier la situation, Madame Romery pensa à un plan audacieux. Elle savait que la belle-fille de Lucien, une jeune barmaid d’un club échangiste réputé, représentait une opportunité parfaite. Cette dernière, nommée Eléa, était aussi belle que sauvage, et leur complicité promettait de créer une dynamique explosive. Un soir, après quelques verres, elle aborda le sujet délicat avec Lucien, histoire de parfaire son intrigue.

“Vous savez,” eut-elle le courage de dire, “Eléa, votre belle-fille… je l’ai rencontrée récemment. Elle a un charme tellement… particulier.” L’intonation de sa voix laissait sous-entendre des idées bien plus torrides. Lucien ne put s’empêcher de réagir, ses yeux s'agrandissant avec curiosité. “Ah oui ?” répondit-il, feignant l’indifférence. Mais il était évident que l’idée d’un tel trio l’excitait.

Les semaines passèrent, et la tension entre eux atteignait son paroxysme. Lucien, fasciné, commença à fréquenter le club échangiste où Eléa travaillait. Madame Romery voyait ainsi son plan mûrir. Elle n’hésita pas à se rendre au club un soir, vêtue d'une tenue encore plus osée qu’à l’accoutumée, car elle savait qu'elle devait marquer les esprits. Les regards se posèrent sur elle, admiratifs et envieux, tandis qu’elle s’avançait, conquérante.

Lucien, déjà présent, ne pouvait détacher ses yeux d’elle. Lorsqu’elle croisa le regard d’Eléa, un sourire complice se dessina. Ensemble, elles élaborèrent un stratagème destiné à enthousiasmer le châtelain. La nuit était à peine entamée et les promesses de volupté dans l’air étaient palpables. La musique battait de manière hypnotique, et les corps dansaient avec sensualité autour d’elles.

Finalement, le moment tant attendu arriva. Le trio se retrouva dans l’appartement luxueux de Lucien, chacun apportant ses désirs et ses fantasmes. Madame Romery, avec toute sa verve, commença à provoquer Eléa, la faisant se déhancher devant Lucien, qui observait, haletant d’excitation. Leurs rires se mêlaient aux soupirs, des mains glissantes parcouraient les peaux, tandis que les barrières tombaient les unes après les autres.

À mesure que la soirée avançait, l’atmosphère se chargeait d’électricité et de promesses inavouées. Lucien, gagnant en assurance, rejoignit les deux femmes, participant à ce jeu de séduction et d’érotisme où chacun était à la fois acteur et spectateur. La chambre, baignée dans une lumière tamisée, devint un sanctuaire de plaisirs inexplorés, où les corps s’enlacèrent dans un ballet de passion.

Leur aventure se poursuivit, remplie de nuits blanches et de désirs insatiables. Madame Romery avait réussi son pari : non seulement elle avait ensorcelé le châtelain, mais elle avait également su apprivoiser l’esprit libre d’Eléa. Dans cette danse de sensualité et de pouvoir, chacune trouva enfin sa place dans le cœur de Lucien.

L’histoire de Madame Romery, Eléa et Lucien devint une légende au sein du manoir, un récit de passion effrénée et de libertinage, où l'amour et le plaisir se mêlaient sans jamais se heurter. Dans cette quête de séduction et de liberté, ils découvrirent un monde où le désir ne connaissait pas de limites, où chaque rencontre était une promesse, chaque caresse, un engagement. Et, au milieu de ce tumulte, une nouvelle vie s’épanouissait, flamboyante et audacieuse.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.

Commentaires de l'histoire :

Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email