Erika, la belle fille de la femme de ménage de John, raconte sa jeunesse. Nous découvrons une aristocrate mature, très particulière mais très lesbienne.
Proposée le 23/12/2022 par vstorm
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.
Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FF
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme
J'avais été présenté au thermes à une amie de ma mère. Elle devint le personnage le plus important de ma post adolescence. Le jeudi était naturiste et réservé aux femmes.
Elle y avait un tas de copines qui adoraient ma présence et on se faisait régaler toute l'après-midi. Parfois maman partait avec l'une d'elle au sauna. Pendant ce temps, je nageais avec une autre de ses amies. Celle-là aimait que je sois sur son dos. Mais pas les bras pas autour de son cou car ça l'étranglait disait elle. Je la tenais en dessous
des aisselles donc. Touchant très souvent ses seins, forcément.
C'était : la Comtesse. Elle proposa un jour de me donner des leçons d'équitation. Bien sûr je fus enchantée et ma mère accepta.
Nous ne devions nous occuper de rien, elle fournissait tout le matériel.
Un mercredi après-midi, me voilà 'au château'. Madame la comtesse (je ne lui ai jamais connu d'autres noms) , m'accueillit dans son éternelle tenue d'écuyère.
Cette fois-ci, elle avait une cravache dans la botte.
Elle m'explique qu'elle a développé sa propre technique d'apprentissage spécialement pour les jeunes filles.
Il faut monter à cru et au contact du cheval. La selle ne sera présente que pendant l'initiation.
Nous étions en automne, elle me fournit bottes, pantalon, bombe et doudoune molletonnée. Puis dit : 'change toi! '.
Je me déshabille . 'Intégralement, tu verras, c'est pour ton bien'.
Étonnement au moment d'enfiler le pantalon d'équitation : Il est largement ouvert à l'entrejambe et les fesses sont apparentes.
'Cela fait partie de ma technique de contact avec le cheval' commente la comtesse. Et en été tu n'auras pas besoin de tout cet attirail.
Nous quittons le château et rejoignons les boxes.
Elle me présente Emmanuelle, sa jument la plus douce.
Elle lui fixe son bridon (ce qui entoure la tête) et nous rejoignons le manège.
Un escabeau et la main de la comtesse ,entre mes fesses, m'aident pour monter sur Emmanuelle. Le cours commence classique au début, à la longe. Serrage des genoux, position des mains et des pieds.
La comtesse munie d'un long fouet fait varier les allures du cheval.
Parfois, le fouet effleure mes fesses, ce n'est pas si désagréable.
Bien entendu, un moment : je tombe. La comtesse calme le cheval puis vient m'essuyer la sciure de bois sur mes fesses. 'c'est le métier qui entre, tu remontes directement'. Suivi d'un petit coup de cravache sur les fesses et j'ai à nouveau droit à ses doigts entre les fesses.
Cela se passe trois fois. Puis la séance se termine, nous remettons le cheval au boxe, j’apprends à l'étrier et à le masser avec une poignée de paille. Toujours la chatte et le cul à l'air.
Nous rejoignons le château. Directement au sous-sol. Nous passons devant la cave à vin, des spots LED minuscules se déclenchent sur les plus belles étiquettes à notre passage. Et nous arrivons à la piscine intérieure.
Là, surprise, d'énormes posters recouvrent les murs. Des photos de David Hamilton.
C'est très beau. Directement, une soubrette à peine habillée (juste un voile façon Vénus), nous apporte une bouteille de champagne et nous sert deux verres. 'merci, vous pouvez nous laisser' . À son grand dépit la soubrette quitte la pièce, non sans un dernier regard de regret pour ma chatte.
Je suis assis en face de la comtesse. Elle me fait la remarque que croiser les jambes pour une jeune fille :' c'est juste bon pour les
grenouilles de bénitier'.
Je décroise et ouvre un rien les jambes. Elle a une vue superbe depuis son fauteuil enrotin, un rien plus haut que le mien.
Débriefing de la leçon. 'Tu es très douée, tu dois persévérer. Avant tout, il faut musclerles cuisses, les adducteurs. Elle se lève, ramasse un grand ballon transparent que je pensais être un accessoire de piscine. Elle place celui ci entre mes jambes et medemande de serrer les genoux comme si je voulais l'éclater en comptant jusqu'à 10.
La comtesse reste debout, elle a ainsi une meilleure vue.
L'exercice se répète une dizaine de fois. je suis épuisée.
'je t'offre le ballon, tu feras des séries de 10, trois fois par jour.
A cette condition, et je le verrai à ta musculature, tu pourras revenir. 'Assez d'efforts pour aujourd'hui : profites de la piscine.'
La comtesse me mate en sirotant du champagne. Au bout d'un bon quart d'heure, par interphone, la comtesse demande des serviettes chaudes et une autre bouteille de champagne. Quelques minutes plus tard, la Vénus que nous avions croisé apparaît.
Accompagné de ce qu'il me semble être sa sœur jumelle. (fait vérifié par la suite). Les deux beautés m'entourent d'un drap de bain, juste comme il faut.'Servez nous, et prenez donc vous aussi une petite flûte'.
Je me suis séchée et nous avons bavardé, moi toujours nue. Les deux
soubrettes restant debout. 'je pense chère Venus qu'un massage avec cet onguent à l'arnica fera le plus grand bien aux adducteurs d'Erika' .
La soubrette s'exécute, une table de massage est d'ailleurs prévue à cet effet.
Elle commence par mes fesses ,un rien douloureuses suite aux chutes et aux petits coups de cravache, elle s'attaque (c'est le mot juste) au côté face. Elle poursuit par l'intérieur de mes cuisses endolories, puis s'essuyant les mains, elle récupère un flacon d'huile et me fait le massage sexuel auquel madame la comtesse rêvait
d'assister. Sur ce, l'autre Vénus déshabille la comtesse et l'installe sur une chaise longue. Pendant 10 bonnes minutes elles suce (dévore en fait) les tétons de la comtesse. La comtesse s'enfonce la main entière dans le vagin. Puis, la Vénus2 s'attaque (c'est toujours le bon terme) au plus gros clitoris jamais vu dans ma vie.
Un moment j'ai un doute, la comtesse est-il un trans?
La suite m'apprend que non.
La vue de cet énorme appendice m'excite beaucoup, je l'imagine pénétrant mon anus.
Présentement occupé par un de mes doigts. 'Je veux Erika' ordonna la Comtesse.
Omnibulée par cet énorme clito, je me précipite dessus et le suce un temps interminable. Pendant ce temps-là, Venus2 , les jambes très écartées et debout, pose sa chatte sur la bouche de la comtesse. Vénus2 jouit plusieurs fois et finit par uriner
un rien. C'est le déclic,
Car je m'applique toujours sur le petit pénis qui sert de clito à Madame la Comtesse etje reçois en plein visage un bon demi litre de jus. Les fontaines sont un privilège de l'aristocratie, mais à ce point, je n'imaginais pas.
A partir de là, je devins sa maîtresse officielle. Elle payait mes études universitaires,
me sortait en boites (lesbiennes), me présentant alors comme sa nièce.
En été nous faisions des grandes balades à cheval dans le parc, toujours nues.
Au retour nous faisions l'amour, souvent à la piscine. Avec ou sans la présence des Vénus.
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